Publié par Rosaly le 20 avril 2021

Que les Démocrates soutiennent le mouvement des « Black Lives Matter » n’est un secret pour personne. C’est leur mouvement favori. Néanmoins, il n’est nullement nécessaire d’être un fan de cette organisation marxiste, pour affirmer que les vies des Noirs comptent. Personne ne souhaite qu’un seul Noir américain innocent et respectueux des lois meure inutilement. Toute vie humaine compte !

Toutefois, une question simple devrait être posée au président fantoche Joe Biden et à tous les politiciens démocrates de Washington : « les vies américaines comptent-elles autant que les vies des Noirs pour eux ? »

Au vu de leurs décisions et actions iniques, rien n’est moins certain, car elles suggèrent clairement le contraire : ils essaient délibérément de détruire la vie des citoyens américains, coupables d’être les oppresseurs Blancs.

  • Quel président sain d’esprit ouvrirait les frontières, arrêterait la construction du mur, inviterait le monde entier à venir en Amérique, annoncerait qu’il n’expulserait personne et encouragerait les migrants à venir en leur offrant des aides judiciaires, des avocats, des billets de bus ou d’avions gratuits et bien sûr, des soins de santé gratuits ?
  • Pire encore, quel dirigeant, sain d’esprit, ouvrirait les frontières en plein milieu de cette pandémie de COVID-19 ?
  • Qui serait assez fou pour exiger que chaque citoyen américain rentrant aux États-Unis passe un test COVID, mais refuserait d’imposer ce même test aux milliers d’immigrants entrant illégalement dans le pays chaque jour ?
  • Qui dépenserait 86 millions de dollars pour offrir de belles chambres d’hôtel aux immigrants illégaux, tout en demandant à nos troupes courageuses et désintéressées de dormir dans des parkings glacés, sur des sols en béton, avec une seule salle de bain pour 5.000 soldats ?
  • Qui voudrait ouvrir les frontières au cartel mexicain de la drogue, aux trafiquants de drogue, aux trafiquants de sexe et aux pédophiles ?
  • Qui voudrait permettre aux meurtriers du MS-13 d’entrer facilement aux États-Unis ?

(Le MS-13 (Mara Salvatrucha) est l’un des gangs les plus violents du Salvador. Il profite de la vulnérabilité de milliers de mineurs qui traversent seuls la frontière pour les enrôler dès leur arrivée aux USA.)

Pensez aux pays du monde entier qui nous détestent – des régimes terroristes comme l’Iran, la Corée du Nord, la Syrie, la Somalie, la Libye – et nos ennemis la Russie et la Chine. Notre frontière est grande ouverte et non gardée. N’importe qui peut y entrer. Croyez-vous que nos ennemis ne profitent pas de l’aubaine pour nous envoyer des terroristes et des espions ?

Pouvez-vous faire la différence entre un gentil père et mari du Mexique ou du Guatemala, et un terroriste d’Iran ou de Syrie se faisant passer pour un gentil père de famille ? Bien sûr que non !

Combien de cellules terroristes entrent en Amérique en ce moment ? N’importe quel chef d’une nation ennemie profiterait de cette occasion pour envoyer des centaines de cellules terroristes assoiffées de sang à travers la frontière ouverte. Si une seule passe, c’est une victoire. Et si des centaines passent ? Ce serait une tragédie sans précédent pour le pays.

Pensez au réfugié syrien qui, il y a quelques jours à peine, a commis un meurtre de masse dans une épicerie de Boulder, dans le Colorado. Il est venu en Amérique quand il était enfant. Vingt ans plus tard, il commet un meurtre de masse. Combien d’enfants exactement comme lui traversent actuellement nos frontières ? Des bombes à retardement qui, dans 10 ou 20 ans, commettront des atrocités ?

. Qui serait assez stupide pour laisser entrer des milliers de futurs terroristes et meurtriers de masse venant de pays qui nous haïssent ? (nos dirigeants occidentaux)

Biden et ses hauts fonctionnaires ont promis haut et fort, fièrement et publiquement, qu’aucun enfant ne serait refusé. Il y a près de 2 milliards d’enfants âgés de 14 ans ou moins dans le monde. La plupart d’entre eux vivent dans la pauvreté et la misère. Et s’ils venaient tous ? Pourquoi ne viendraient-ils pas ? Biden leur promet l’entrée gratuite. Êtes-vous prêts à partager ce pays et nos ressources avec un milliard de bouches étrangères à nourrir ?

Combien de meurtres, de viols, d’agressions, de vols avec effraction ces étrangers commettront-ils dans notre pays ?

Quel dirigeant d’un pays pauvre ne serait pas tenté d’ouvrir ses prisons et encourager ses criminels à immigrer vers les USA ? C’est ce qui se passe actuellement. Les crimes violents se multiplieront bientôt dans nos villes. Le monde entier va venir. Des centaines de millions dans les années à venir. Peut-être un milliard ? Peut-être plus ? Biden les a tous invités. Ils vont transformer l’Amérique en une catastrophe économique. Ils vont transformer nos rues en champs de bataille. Ils vont apporter la maladie et répandre le COVID. Ils vont détruire notre système scolaire et notre système de santé. Ils vont créer de la pauvreté d’un océan à l’autre. Les taxes atteindront 90% pour payer tout ça. Ce sera la fin de l’Amérique.

A ce stade, c’est clair comme de l’eau de roche. Pour Biden et les démocrates, « les vies américaines ne comptent pas. »

Une coalition anti-américaine sévit au coeur même de la Maison Blanche, formée d’une diversité de racistes anti-Américains blancs et d’antisémites.

La frontière mi-ouverte, mi-fermée du président Joe Biden crée le chaos au sud de la frontière et pulvérise son soutien parmi les électeurs latinos et indépendants au nord de la frontière.

« Ce qui se passe maintenant, c’est que les cartels de la drogue gèrent la frontière sud de l’Amérique » a déclaré jeudi dernier le représentant Steve Scalise (R-LA), le whip du GOP à la Chambre. « Ils gagnent des millions de dollars par jour grâce à cette entreprise créée par les actions exécutives du président Biden, et les agents frontaliers américains ne veulent pas être occupés à changer des couches à minuit, alors qu’ils devraient plutôt empêcher le fentanyl et l’héroïne d’entrer aux USA via la frontière. » (Le Whip républicain, deuxième plus haut responsable républicain de la Chambre des représentants)

« Nous avons assisté à une visite nocturne de la frontière », a déclaré jeudi dernier le représentant Michael Mc Caul (R-TX). « Des milliers de personnes entrent, y compris des enfants. Je l’appelle le Sentier des larmes parce que c’était tellement triste de voir une petite fille de cinq ans en larmes, ne sachant pas où elle était, sans ses parents, sans sa famille. Nous avons parlé à certains d’entre eux en espagnol. Il a fallu 40 jours pour traverser du Guatemala jusqu’à la frontière. Quarante jours de misère, tous créés par le président des États-Unis, d’un simple trait de plume. »

Les politiques de Joe Biden lui valent 64 % de désapprobation chez les indépendants et 55 % chez les Latinos, selon un sondage Quinnipiac réalisé du 8 au 12 avril auprès de 1.237 adultes. Seuls 22 % des indépendants et 27 % des Latinos soutiennent la politique de M. Biden visant à extraire des centaines de milliers de migrants de leur pays dans une course d’obstacles de type Hunger Games, afin qu’ils puissent être utilisés dans l’économie américaine.

Les électeurs du GOP s’opposent fortement à ces politiques, de sorte que les chiffres de Quinnipiac se traduisent par un taux de désapprobation national de 55 %, avec seulement 29 % d’approbation de la politique d’immigration de Biden.

Toutefois, la pression de l’opinion publique, inquiète des conséquences désastreuses d’un tel afflux, a obligé Joe Biden à revenir sur son projet d’accueillir davantage de réfugiés. Ainsi, l’équipe du président Joe Biden a déclaré vendredi à certains journalistes sélectionnés, qu’elle ne tenterait pas de faire venir davantage de réfugiés dans les communautés américaines en 2021.

Le New York Times a rapporté :

« L’administration Biden maintiendra l’objectif des admissions de réfugiés pour cette année au niveau historiquement bas fixé par l’administration Trump, revenant sur une promesse antérieure d’accueillir plus de 60 000 réfugiés aux États-Unis. »

Un responsable de la Maison Blanche a déclaré au New York Times que ce revirement était dû à l’opposition d’un grand nombre de citoyens effrayé par le chaos frontalier. (Tiens, Joe Biden, dont la présidence après 100 jours frise quasiment la perfection, dixit Bill Clinton, suit l’objectif décidé par les fascistes de l’Administration Trump ?)

Hélas pour Joe Biden, ce revirement a provoqué un vif tollé général au sein même du parti démocrate, le forçant à faire marche arrière et à préciser qu’il s’agissait d’une décision provisoire, qui serait revue à la hausse d’ici fin mai.

La marxiste Alexandria Ocasio-Cortez ne tarda pas à manifester son indignation et sa colère :

« Complètement et totalement inacceptable. Biden a promis d’accueillir les immigrants, et les gens ont voté pour lui sur la base de cette promesse. Soutenir les politiques xénophobes et racistes de l’administration Trump, y compris le plafond de réfugiés historiquement bas est tout à fait inacceptable. Respectez votre promesse. https://t.co/A82xYf1XpR — Alexandria Ocasio-Cortez (@AOC) April 16, 2021 »

AOC s’était auparavant offusquée de l’utilisation du terme « déferlement » ou «vague» pour décrire l’énorme afflux de migrants à la frontière américano-mexicaine. « Quiconque utilise le terme « vague » autour de vous, consciemment, essaie d’invoquer un cadre militariste. Et c’est un problème, car il ne s’agit pas d’une « vague », mais d’enfants. Et ce ne sont pas des insurgés et nous ne sommes pas envahis ! Ce qui, soit dit en passant, est une philosophie de l’idée suprématiste blanche. »

Bien qu’elle ne se soit pas encore rendue à la frontière, AOC a déclaré à son public sur Instagram qu’il n’y avait pas de crise frontalière aujourd’hui.

« C’est une crise de l’impérialisme, c’est une crise climatique, c’est une crise commerciale. C’est aussi une crise carcérale. » a-t-elle ajouté.

AOC et ses camarades de lutte pour la justice sociale à sens unique voient tous les problèmes socio-économiques et politiques de l’Amérique, y compris les politiques d’immigration actuelles du pays, à travers le prisme des théories critiques raciales. Ils pensent qu’il faille mettre fin au règne des méchants suprématistes blancs pour sauver l’Amérique. Dans leur monde, la majorité blanche de ce pays représente automatiquement la classe oppressive, tandis que les Latinos et les autres personnes de couleur font systématiquement partie de la classe minoritaire opprimée.

La démocrate socialo-marxiste AOC a déclaré plus tôt cette année à propos de ceux qu’elle qualifie de suprémacistes blancs : (les électeurs de Trump en particulier)

« Nous devons doubler, tripler ou quadrupler ou augmenter en masse le financement de ces programmes de déradicalisation. » Rêve-t-elle à une future République populaire américaine ?

Présumant parler au nom de tous les Latinos, AOC affirma en 2019 que « les Latinos étaient les descendants d’Amérindiens. » Les immigrés clandestins latinos n’existent pas, quelle que soit la façon dont ils sont entrés aux États-Unis, car ils sont les descendants des autochtones et se trouvent sur leurs terres natales. »

AOC n’a pas précisément identifié les « autochtones » auxquels elle fait référence, mais on pense qu’ils appartenaient à d’anciennes cultures méso-américaines.

Outre la méconnaissance totale de l’histoire par AOC, elle semble ou feint d’ignorer la criminalité des vicieux cartels mexicains qui se livrent au commerce lucratif du trafic d’êtres humains, lequel accélère le déferlement de migrants à la frontière américano-mexicaine. Nous avons vu à quel point ces passeurs peuvent être cruels lorsqu’ils ont été filmés en train d’escalader une barrière frontalière de 4m27 et de laisser tomber deux jeunes enfants de 3 et 5 ans dans une partie reculée du désert du Nouveau-Mexique. Les agents frontaliers ont sauvé les fillettes, qui autrement seraient probablement mortes toutes seules. Mais AOC pense que les agents frontaliers sont collectivement les mauvais « Hombres ». C’est ce qui arrive quand on veut créer un récit basé sur la race des soi-disant « oppresseurs » et celle des prétendus « opprimés » , plutôt que de se concentrer sur la responsabilité individuelle.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

  • «Biden and Democrats: American Lives Don’t Matter.» by Wayne Allin Root (FrontPage Mag) (traduit par Rosaly)
  • «Joe Biden’s Border Chaos Crashes His Poll Numbers» (Breitbart) (extraits)
  • «AOC Deplores Calling Huge Immigrant Increase at the Border a «Surge»; (Breitbart) (extraits)
  • «Public Pressure Forces Biden to Reverse Plan for More Refugees». (Breitbart) (extraits)

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