Initialement publié le 14 mai 2021 @ 07:27
L’article suivant a été publié par «Durandal» le 10 avril 2006 pour le défunt blog «enpleindanslmille.blogspot.com». Il devait être republié et diffusé. Voilà qui est fait.
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Les fausses «racines anciennes»
Les supporteurs de la «cause palestinienne» scandent à tour de bras que les Arabes «palestiniens» vivent depuis «des milliers d’années» en «Palestine».
Des Arabes côtoient des Juifs dans cette région depuis des milliers d’années, ceci est vrai. Toutefois, ils n’ont jamais vécu en Terre d’Israël elle-même, ils étaient établis au Sud et à l’Est. Les Arabes en question sont les Nabatéens, une ancienne nation de chameliers-marchands.
Ces Arabes sont originaires de l’Arabie du Nord. Ils émigrèrent vers le territoire d’Édom (l’actuel désert du Néguev) 350 ans notre ère. Leur métropole fut Pétra, l’ancienne capitale des Édomites située à égale distance entre la mer Morte et le golfe d’Aqaba.
Peu à peu le Néguev fut connu sous le nom de Nabatène. Grâce à leurs caravanes allant d’une oasis à l’autre, ses habitants étendirent rapidement leur influence économique dans le Sinaï, l’est de la Jordanie actuelle, le sud de la Syrie actuelle et le nord-ouest de l’Arabie.
Voici une carte de la civilisation nabatéenne (prenez en compte que la partie en rouge ne correspond pas nécessairement à la région habitée par les Nabatéens, mais plutôt au centre de leurs activités commerciales).
La prochaine carte représente les routes commerciales terrestres des Nabatéens. Bien que leurs caravanes traversaient fréquemment la Terre d’Israël, celle-ci était habitée par les Juifs et les Samaritains.
Au cours de la guerre des Juifs contre les Helléniques en 166-142 av. J.-C., Juifs et Nabatéens furent alliés.
Le royaume nabatéen prit fin en l’an 106 lorsque la Nabatène est conquise par les Romains qui en font une province de leur empire.
Pendant les 2e, 3e et 4e siècles, les Nabatéens se convertirent au christianisme.
Au cours de leur histoire, les Nabatéens ne remplacèrent jamais les Juifs en tant qu’habitants de la Terre d’Israël, mais ils coexistèrent à côté d’eux sur un territoire distinct. Voici d’autres cartes de la province romaine d’Arabie :
Comme visible sur les cartes, les Nabatéens ne s’établirent pas à l’ouest du Jourdain. Ils s’installèrent toutefois à l’est du Jourdain et de la mer Morte. Les Juifs attaquèrent les Nabatéens vivant en Pérée et en Moab en 90 av. J.-C. et en convertirent (de force) beaucoup au Judaïsme. En 32-31 av. J.-C., les Juifs attaquèrent encore les Nabatéens, cette fois en Décapole et en Ammon.
Les Arabes «palestiniens» ne sont donc pas des habitants millénaires de la «Palestine».
La conquête arabo-musulmane
Les Arabes, dans le contexte des conquêtes islamiques, s’emparèrent de la Terre d’Israël en 638, la spoliant de leurs habitants Juifs et chrétiens.
Beaucoup de sources (dont plusieurs Arabes) confirment le fait que la Terre d’Israël était encore judéo-chrétienne par la population et la culture malgré la diaspora juive et la domination islamique :
- L’historien James Parker a écrit :
«Pendant le premier siècle après la conquête arabe [640-740], le Calife et les gouverneurs de la Syrie et de la Terre [Sainte] ont régné entièrement sur des sujets chrétiens et juifs. Mis à part des Bédouins lors des premiers jours [du règne arabe], les seuls Arabes à l’ouest du Jourdain étaient les garnisons.»
- En 985 l’auteur arabe Muqaddasi s’est plaint qu’«à Jérusalem la grande majorité de la population est juive», et dit que «la mosquée est vide des adorateurs…».
Quoique les Arabes aient régné sur la Terre d’Israël de 638 à 1099, ils ne sont jamais devenus la majorité de la population. La plupart des habitants étaient des chrétiens (assyriens et arméniens) et des Juifs.
Tout le monde conviendra que les Arabes ne prospérèrent pas plus pendant la période des croisades allant de 1099 à 1289.
L’ère ottomane
La seconde période de règne islamique est la seule qui reste aux musulmans qui veulent affirmer qu’une grande nation arabo-musulmane existait en Terre Sainte avant que les Juifs viennent recréer leur État.
Voyons voir si les Juifs s’emparèrent d’une «contrée bien établie, peuplée et verdoyante» en retournant en Terre d’Israël comme les Arabes l’affirment de nos jours. Tous les récits de voyage et rapports sur la Terre d’Israël de cette époque attestent au contraire d’une région vide de l’Empire ottoman. Voici ce que plusieurs personnes ayant voyagé dans cette région on constaté :
- – Ibn Khaldun, un des historiens arabes les plus crédibles, a écrit en 1377 : «La souveraineté juive sur cette terre s’est prolongée sur 1 400 ans… C’est les Juifs qui ont implanté la culture et les coutumes en s’y étant installés de manière permanente». Après 519 ans (non consécutifs) de domination musulmane sur la Terre d’Israël, Ibn Khaldun a certifié que la culture et les traditions juives étaient encore dominantes.
- – Edouard Webbe en 1590 : «Il n’y a rien à Jérusalem mis à part des vieux murs».
- – Henry Maundrell en 1697 : Nazareth, «un village minuscule et sans importance», Jéricho, «une bourgade minable et sale», Acre, «une désolation».
- – L’archéologue britannique Thomas Shaw en 1738 : la Terre Sainte «VIDE, désolée et manquant de tout, qui manque d’habitants».
- – Le comte François Volney en 1785 : «Nous avons du mal à reconnaître Jérusalem, on y compte environ 12 000 habitants. Le pays est désolé et ruiné.»
- – Commentaires par des chrétiens dans les années 1800 : «Les Arabes ne peuvent pas être considérés comme autre chose que des résidents temporaires. Ils ont placé leurs tentes dans un pays ruiné. Ils n’ont rien créé en Terre Sainte. Puisqu’ils sont des étrangers sur cette terre, ils ne sont jamais devenus ses maîtres.»
- – Alphonse de Lamartine en 1832 : Mis à part à Jérusalem, il ne rencontra pas âme qui vive et que la Terre d’Israël était «le tombeau de tout un peuple [les Hébreux]».
- – William Thackeray en 1844 : «La région est abandonnée. Nous n’avons vu aucun animal se déplacer parmi les pierres.»
- – Alexandre Keith en 1844 : «La Terre Sainte est arrivée à l’état de désolation total décrit par les prophètes.»
- – Le consul britannique en Terre d’Israël, James Pinn en 1857 : «Le pays est presque inhabité, il a grand besoin d’habitants.»
- – Le cartographe britannique Arthur Penrhyn Stanley en 1862 : «Ni signes de vie ni habitations en Judée, sur des distances entières.»
- – Mark Twain en 1867 : «Pas un seul village dans la vallée de Jezréel, rien sur 30 miles dans les 2 sens. 2 ou 3 petits groupes de tentes bédouines, mais pas une seule habitation permanente. On peut voyager pendant 10 miles sans rencontrer 10 êtres humains. Déserts sans âme qui vive, collines VIDES, ruine mélancolique de Capharnaüm, stupide village de Tibériade, enterré sous six palmiers. Nous arrivâmes à Tabor sans rencontrer âme qui vive tout au long du chemin. Nazareth est désolée, Jéricho est en ruine, Bethléem et Béthanie, dans leur pauvreté et leur humiliation, ces endroits n’abritent pas une créature vivante. Un pays désolé, dont la terre serait peut-être assez riche si elle n’était abandonnée aux mauvaises herbes. Une étendue silencieuse, triste. À peine y a-t-il un arbre ou un arbuste, çà et là. Même les oliviers et les cactus, ces fidèles amis d’un sol sans valeur, ont quasiment déserté le pays.»
- Le consul américain à Jérusalem en 1880 rapporte que la région continuait son déclin : «La population et la richesse de la «Palestine» n’ont pas augmenté pendant les 40 dernières années.»
- B. W. Johnson en 1892 : «Dans la partie de la plaine entre le mont Carmel et Jaffa on voit à peine quelques villages ou autres formes de vie humaine. Caesarea est maintenant entièrement abandonné. La désolation est partout autour de nous.»
- Compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 : «La région est sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers sionistes vers la fin des années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de Yavné. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment désertique. Les villages, dans cette région, sont rares et chichement peuplés. Beaucoup de villages sont désertés par leurs habitants.»
- Dawood Barakat, éditeur du journal égyptien Al-Ahram en 1914 : «Les sionistes sont nécessaires pour le pays : l’argent qu’ils apporteront, leurs connaissances, leur intelligence et l’industrialisation qui les caractérise contribueront sans aucun doute à la régénération du pays.»
Voilà pour le pays verdoyant et habité «envahi» par les Juifs. Fait historique : sous la domination turque, la terre était à l’abandon et dépeuplée. La terre s’est peuplée à la fois de Juifs et d’Arabes car les Juifs sont revenus et ont commencé à la réhabiliter.
Une seule ville arabe fut construite en Terre d’Israël : Ramleh. Toutes les autres sont des villes juives rebaptisées par eux. L’historien suisse Félix Bovet notait en 1858 : «C’est parce que les Arabes ne sont pas des autochtones qu’ils n’y construisent rien.»
Le mandat britannique
Après la Grande Guerre, les Britanniques héritèrent de ce morceau de l’Empire ottoman défait. Beaucoup de citations de l’époque attestent que le pays était désolé et qu’il n’existait pas d’entité dite «palestinienne».
- Hussein Al-Qibla, gardien des lieux saints en Arabie Saoudite en 1918 : «Les ressources du pays et le sol vierge seront développés par les immigrés juifs. […] Nous avons vu les Juifs des pays étrangers venir en «Palestine» de Russie, d’Allemagne, d’Autriche, d’Espagne, d’Amérique. […] Ils ont su que le pays était pour ses fils d’origine […] une patrie sacrée et aimée. Le retour de ces exilés à leur patrie s’avérera matériellement et religieusement [être] une expérimentation pour leurs frères [autres Juifs].»
- Lewis French, le directeur britannique du développement de la «Palestine» en 1931 : «Nous l’avons trouvée [la “Palestine”] habitée par des Fellahs [agriculteurs arabes] qui vivent dans des taudis de boue et souffrent sévèrement de la malaria très répandue. De grands secteurs étaient non cultivés. […] Il n’y avait presque aucune sécurité publique, Les fellahs sont sans cesse soumis au pillage de leurs voisins nomades, les Bédouins.»
Voici une carte des divisions administratives de la région sous domination ottomane. La mention de «Palestine» n’apparaît nulle-part. La Terre d’Israël est divisée en trois secteurs, la Syrie à l’est, Beyrouth au nord-ouest et Jérusalem au sud-ouest.
Le représentant arabe en «Palestine» déclara en 1919 : «Nous considérons la «Palestine» comme faisant partie de la Syrie.»
Le dirigeant arabe en Terre d’Israël Awni Bey Abdul Haadi déclara en 1937 : «Il n’y a pas de pays tel que la «Palestine». «Palestine» est un terme que les sionistes ont inventé. Il n’y a pas de «Palestine» dans la Bible. Notre pays a fait partie de la Syrie pendant des siècles. «Palestine» nous est aliénée, c’est les sionistes qui l’ont introduit.»
Le professeur Philip Hitti, historien arabe, déclara en 1946 «Il n’y a pas de chose telle que la «Palestine» dans l’histoire, absolument pas.»
Le représentant du Haut Comité arabe aux Nations Unies déclara en 1947 : «La «Palestine» fait partie de la province de Syrie. Les Arabes vivant en Palestine ne sont pas indépendants dans le sens qu’ils ne constituaient pas une entité distincte.»
Le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies déclara en 1956 : «C’est une connaissance générale que la «Palestine» n’est rien d’autre que la Syrie du Sud.»
Le roi Hussein de Jordanie répéta plus d’une fois : «Il n’y a aucune distinction entre la Jordanie est la «Palestine».»
Hafez Assad (ex-Président syrien) déclara : «Il n’y a pas de peuple «palestinien», il n’y a pas d’entité «palestienne».»
Ahmed Shuqeiri (ex-président de l’OLP) déclara : «La «Palestine» ne fut jamais rien d’autre que la Syrie du Sud.»
À cette époque, les Arabes (ainsi que tout le monde) n’ont jamais soulevé la question d’un État «palestinien» car les Arabes eux-mêmes n’exigeaient pas d’État pour un peuple qui n’existait PAS !
La «Palestine» n’a jamais constitué un pays et le concept même de «Palestine» n’existait pas dans l’Empire ottoman !
Le mot même de «Palestine» (ou mot équivalent désignant cette région) n’était quasiment pas utilisé chez les Turcs et les Arabes. Il n’y avait ni État ni peuple «palestinien». Les Arabes vivant en Terre d’Israël se considéraient comme Syriens ou Égyptiens.
Une pseudo-nation créée le lendemain de la Guerre des Six jours
«Pourquoi le soir du 4 juin 1967 j’étais Jordanien et le lendemain matin j’étais Palestinien ?»
«Nous ne nous sommes pas en particulier occupés du règne jordanien. L’enseignement de la destruction de l’Israël était une partie intégrale du programme d’études. Nous nous sommes considérés «Jordaniens» jusqu’à ce que les Juifs soient revenus à Jérusalem. Alors soudainement nous étions des «Palestiniens»… ils ont enlevé l’étoile du drapeau jordanien et d’un coup nous avons eu un «drapeau palestinien».»«Le fait est que les «Palestiniens» sont des immigrés des nations environnantes ! Mon grand-père avait l’habitude de nous dire que son village était vide avant que son père ne s’y installe.»
Walid Shoebat, ancien terroriste islamiste de l’OLP, repenti et devenu sioniste chrétien Le drapeau Jordanien Le «drapeau palestinien» proposé
Zahir Muhsin, un ancien membre du comité exécutif de l’OLP et l’ancien commandant militaire de la même organisation, déclara en mars 1977 au journal néerlandais Trouw.
«Il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les «Palestiniens», les Syriens et les Libanais. Nous faisons tous partie de la même nation. C’est seulement pour des raisons politiques que nous soulignons soigneusement notre identité «palestinienne». L’existence d’une identité «palestinienne» distincte sert seulement un objectif tactique. La création d’un état «palestinien» est un nouvel outil dans la bataille continue contre l’Israël.»
Et encore en s’adressant à un hebdomadaire pakistanais en 2006 :
«Le peuple «palestinien» n’existe pas. La création d’un État «palestinien» est seulement un moyen de continuer notre lutte contre l’État d’Israël pour l’unité arabe. En réalité aujourd’hui il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les «Palestiniens», les Syriens et les Libanais. Seulement, pour des raisons politiques et tactiques, nous parlons aujourd’hui de l’existence des «Palestiniens» pour des intérêts arabes exigeant la création d’un peuple «palestinien» pour nous opposer au sionisme.»
Vérité historique : le peuple «palestinien» et le pays «Palestine» n’existaient pas avant que les Arabes les inventent de toutes pièces pour éventuellement ANÉANTIR Israël.
Cette affirmation peut sembler radicale, mais je vous conseille de lire l’article suivant :
Palestinians – “Peoplehood” Based on a Big Lie [Myths and Facts]
Voici quelques passages sélectionnés :
«There is no age-old Palestinian people. Most so-called Palestinians are relative newcomers to the Land of Israel.
Like a mantra, Arabs repeatedly claim that the Palestinians are a native people. The concept of a ‘Stateless Palestinian people’ is not based on fact. It is a fabrication.
Palestinian Arabs cast themselves as a native people in “Palestine” – like the Aborigines in Australia or Native Americans in America. They portray the Jews as European imperialists and colonizers. This is simply untrue.
Aerial photographs taken by German aviators during World War I show an underdeveloped country composed mainly of primitive hamlets. Ashdod, for instance, was a cluster of mud dwellings, Haifa a fishing village. In 1934 alone, 30 000 Syrian Arabs from the Hauran moved across the northern frontier into Mandate Palestine, attracted by work in and around the newly built British port and the construction of other infrastructure projects. They even dubbed Haifa Um el-Amal (“the city of work”).
The fallacy of Arab claims that most Palestinians were indigenous to Palestine – not newcomers – is also bolstered by a 1909 vintage photograph of Nablus, today an Arab city on the West Bank with over 121 000 residents. Based on the number of buildings in the photo taken from the base of Mount Gerizim, the population in 1909 – Muslim Arabs and Jewish Samaritans – could not have been greater than 2 000 residents.
Family names of many Palestinians attest to their non-Palestinian origins. Just as Jews bear names like Berliner, Warsaw and Toledano, modern phone books in the Territories are filled with families named Elmisri (Egyptian), Chalabi (Syrian), Mugrabi (North Africa). Even George Habash – the arch-terrorist and head of Black September – bears a name with origins in Abyssinia or Ethiopia, Habash in both Arabic and Hebrew.
Palestinian nationality is an entity defined by its opposition to Zionism, and not its national aspirations. This point is admirably illustrated in the following historic incident :
“In 1926, Lord Plumer was appointed as the second High Commissioner of Palestine. The Arabs within the Mandate were infuriated when Plumer stood up for the Zionists’ national anthem Hatikva during ceremonies held in his honor when Plumer first visited Tel Aviv. When a delegation of Palestinian Arabs protested Plumer’s ‘Zionist bias’, the High Commissioner asked the Arabs if he remained seated when their national anthem was played, ‘wouldn’t you regard my behavior as most unmannerly ?’ Met by silence, Plumer asked : ‘By the way, have you got a national anthem ?’ When the delegation replied with chagrin that they did not, he snapped back, ‘I think you had better get one as soon as possible’.” But it took the Palestinians more than 60 years to heed Plumer’s advice, adopting Anthem of the Intifada two decades after Israel took over the West Bank and Gaza in 1967 – at the beginning of the 1987 Intifada.»
Six décennies après la déclaration d’indépendance d’Israël, nous pourrions nous attendre à ce que les Arabes arrêtent de jouer les victimes qui se font dérober leurs terres, mais non, le mythe perdure. On nous rappelle sans cesse dans les médias que les «colons» israéliens «occupent» la Judée-Samarie, qu’ils volent la propriété des «Palestiniens» et qu’ils y construisent incessamment des nouvelles «colonies».
En fait, de 1950 à 1967, plus de 250 colonies arabes ont été fondées en Judée-Samarie et de 1967 à 2002, 261 autres colonies furent fondées par les Arabes (incluant Jérusalem et Gaza). Durand cette seconde période, seulement 144 «colonies» juives ont été fondées (incluant Jérusalem et Gaza).
À ce jour, les Arabes continuent toujours à faire immigrer des milliers de colons en Israël. En 1998, Yasser Arafat déclare «Dans 5 ans, nous aurons 6 millions d’Arabes vivant en «Cisjordanie» et à Jérusalem. Nous pouvons importer des Arabes.» Le gouvernement israélien avoue avoir permis à 240 000 (mais le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé) «travailleurs» arabes d’entrer dans les territoires depuis 1993, ces «travailleurs» sont restés dans les territoires et sont devenus des colons.
Gaza ne comptait pas plus de 80 000 habitants «indigènes» en 1951. Comment est-il possible qu’en seulement 54 ans la population ait augmenté de 80 000 à plus de 1 300 000 habitants ? Ces Arabes de Gaza sont-ils capables de procréer d’une manière surnaturelle ? L’immigration massive est la SEULE explication plausible pour une augmentation démographique si forte. L’occupation arabe entre 1948 et 1967 était une occasion avantageuse pour les chefs arabes. Ils favorisèrent l’immigration massive de prétendus «Palestiniens» en Judée-Samarie/Gaza. Les immigrés venaient de chaque pays arabe, principalement l’Égypte, la Syrie, le Liban, l’Irak et la Jordanie.
Il est impossible de connaître le nombre de colons arabes ayant immigré en Judée-Samarie/Gaza depuis 1952, mais une chose reste certaine : la majorité ÉCRASANTE des «Palestiniens» n’ont aucun héritage en «Palestine» avant la guerre d’indépendance d’Israël (et le reste ont, pour la grande majorité d’entre eux, aucune racine dans la région avant 1917, et la faible minorité restante n’en a aucune avant le 19e siècle).
La «Palestine» n’est qu’une région géographique ; elle n’est ni un peuple, ni une nation, on ne peut donc en faire un État.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gally pour Dreuz.info.
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Sources :
- The True Identity of the So-called Palestinians [Im Nin’alu]
- Occupation and Settlement : The Myth and Reality [Front Page Magazine]
- Sionisme et vérité : Plaidoyer pour l’État juif [Objectif Information]
- Politically Motivated Mythology of «Palestine» [Ertz Yisroel]
- Ancient Nabatean Empire
“Fausses racines, faux territoire, faux peuple, fausse nation”
Ben c’est ce qui qualifie le vrai arabe, non ?
Et faux médias qui tentent de nous faire gober sa propagande nauséabonde…
À partager sans modération 👍
A quoi s’ajoute ce qui s’est passé entre 1291 et la domination ottomane, càd quand les Mameloucks turks régnaient sur l’Egypte et la Syrie. La première chose qu’ils firent après avoir chassé les Croisés, fut de ravager la Côte ouest d’Israël. La transformer en un glacis avait pour but d’empêcher toute armée ennemie de passer par là.
J’ajoute :
Le ‘mythe’ palestinien est en fait une ‘palestinolâtrie’, c’est-à-dire une idolâtrie que la Ligue arabe a savamment fait gober aux chrétiens. Car le coran dit que les chrétiens sont encore idolâtres et qu’ils ont des clercs qui ne sont pas fiers…
Dix millions de musulmans en France plus tard, on découvre que arabe+coran est beaucoup plus fort et efficace qu’on avait cru.
Merci, Gally, pour ce récapitulatif historique.
Les témoignages des voyageurs et hommes politiques
du 19 s sont particulièrement importants, car ils
concordent: la terre de “Palestine” n’était que “désolation”.
J’y rajouterais Chateaubriand.
Quelle différence fait-on entre les Juifs et les Samaritains?
Les Samaritains avaient leur temple au Mont Garizim, les Juifs à Jérusalem.
Mercipour votre réponse. Mais je sais cela; ce qui me
manquait était surtout des éléments de civilisation:
sont-ils considérés comme des juifs ou des arabes?
Leur langue est-elle l’hébreu?
Brièvement d’après mes fiches :
Comme leur nom l’indique, ils se considèrent comme héritiers du Royaume d’Israël submergé et dispersé par les Assyriens en 722 BC et qui s’étendait sur l’actuelle Samarie au nord de la Judée. Descendants de la tribu de Joseph, plus précisément. L’une des dix tribus disparus.
Ils pratiquent le judaïsme car sont fidèles à la Thora (mais pas Tanakh) mais se considèrent Hébreux ne non Juifs (Juda+Benjamin). Les Samaritains d’Israël parlent hébreu. Ceux restant en Samarie arabe.
Palestiniens ? Il faut savoir les Palestiniens sont de trois origines: 1) les descendants des Philistins, ennemis héréditaires d’Israël. Gaza occupe l’emplacement de plusieurs de ces anciennes villes. 2) Les descendants de Judée et de Samarie. Lorsque le Temple de Jérusalem (à l’origine Jébus, dont Melchiisédech était l’un des plus grands prêtres, cf. Melchisédech — Wikipédia (wikipedia.org), Jébus définition du dictionnaire encyclopédique de la Bible de Augustin Calmet (levangile.com)), une grande partie des habitants sont restés sur place (cf. 2 mai 73 – Chute de Massada – Herodote.net). Leurs descendants sont une partie de ceux qui vivent en Israël et en “Palestine“. Et, 3) Les Arabes qui sont venus habitaient en Israël et en “Palestine” du fait qu’ils pouvaient y trouver une qualité de vie meilleure que dans leur pays d’origine (cf. Le RU avait encouragé l’immigration arabe en Palestine – JForum et Histoire des Arabes en Palestine — Wikipédia (wikipedia.org)). Savons-nous, par exemple, qu’il existe une facilité donnée aux Palestiniens d’accoucher aux États-Unis, ce qui permet à leurs enfants de devenir citoyens américains ?
La situation en Israël n’est pas simple. D’un côté, l’armée israélienne ne peut pas laisser des Palestiniens commettre des actes criminels sans réagir. De l’autre côté, une bonne partie du peuple israélien aimerait vivre en paix avec les Palestiniens. Mais, l’ingérence étrangère, principalement arabe, crée souvent des difficultés, voire des conflits, à cette paix! Je ne parlerais pas ici d’une certaine haine des Palestiniens de Gaza vis-à-vis des Palestiniens de Cisjordanie !
Parfois, une erreur commise par quelques civils et/ou soldats israéliens peut provoquer une situation difficile, voire très difficile. C’est de l’une de ces situations, dont on voit le résultat aujourd’hui! Il n’est pas possible d’arrêter une ou plusieurs de ces personnes, pour des raisons de fraternité. Sauf dans des cas très graves. Mais n’oublions pas que de nombreux juifs et non-juifs désirent vivre ensemble en paix avec leurs familles respectives.
Faux, faux et faux.
Les Philistins n’existent plus.
Les Arabes qui vivent à Gaza et en Judée-Samarie sont originaires des pays arabes avoisinants, et leurs noms révèlent souvent leurs origines.
Le terme “Palestinien”, dans son acception actuelle, est un mensonge et une tentative de manipulation des esprits. Malheureusement, la majorité des gens s’arrête au nom ou au titre et ne va pas chercher plus loin. Ce terme a été choisi soigneusement pour suggérer une identité propre, nationale bien sûr, donc un pays commun. Or, tout cela est faux.
Cà arrange les antisémites de l’UE qui, après avoir laissé hitler exterminer le Peuple Juif, continue sa haine des Juifs en devenant antisioniste ce qui n’est rien moins que “antisémites” comme le rappelait Martin Luther King. Tous les locataires du Quai d’Orsay SONT antisémites (même le premier ministre de Chirac : Alain Juppé). Ne parlons pas du petit Macron qui pense effacer ainsi ses quelques années passées dans la banque Rothschild. A vomir …
Parfois, une erreur commise par quelques palestiniens peut provoquer une situation difficile, voire très difficile…
Parfois, une erreur commise par quelques civils et/ou soldats israéliens peut provoquer une situation difficile, voire très difficile. C’est de l’une de ces situations, dont on voit le résultat aujourd’hui! Il n’est pas possible d’arrêter une ou plusieurs de ces personnes, pour des raisons de fraternité. Sauf dans des cas très graves. Mais n’oublions pas que de nombreux juifs et non-juifs désirent vivre ensemble en paix avec leurs familles respectives.
Notre Seigneur Jésus-Christ nous a demandé de prier pour Jérusalem afin que la paix puisse régner. Notre paix dépend de celle de Jérusalem. Les Juifs attendent la venue du Messie. Comme nous aussi, nous attendons le retour de notre Messie Jésus-Christ. Dans la Bible, il s’agit du même Messie! Il n’y a pas d’autre Messie descendant de David, crucifié dans les temps fixés et dont le ministère a été de 1260 jours (soirs et matins) ! L’Ancien Testament nous montre qu’il s’agit du même Messie (cf. Esaïe 53). Ces temps difficiles annoncent cette venue. Vivement ce jour, ou chaque personne à la recherche de D.ieu & du Messie et désireuse de vivre en paix avec un amour sincère de son prochain, pourra enfin comprendre que nos disputes font plaisir qu’à celui qui a été vaincu à la Croix (cf. Crucifixion — Wikipédia (wikipedia.org) & La tête du Serpent est écrasée — BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower (jw.org)).
PS: La mention “Palestine” ci-dessus fait référence à un pays qui devrait être rattaché à Israël et dont le maire sera choisi en fonction de la majorité et l’adjoint au maire, pris dans l’autre partie. Seule une véritable démocratie permettrait aux Israéliens et Palestiniens de vivre ensemble. Assurément, la Palestine indépendante n’est pas viable et risquerait d’être envahie par une puissance arabe à leurs frontières.
Il n’y a pas plus de Palestine que de Palestiniens, cet article l’a rappelé encore une fois après bien d’autres, en fournissant à nouveau toutes les preuves nécessaires.
Dans ces conditions, venir nous parler encore de “Palestine” “séparée d’Israël”, c’est ce qui s’appelle parler pour ne rien dire !
PS: Quant aux “erreurs’ possibles commises par les Israéliens pour justifier la reprise de l’intifada chère aux Arabes, faites pas rire !
Je ne vois pas pourquoi le mensonge devrait être récompensé. C’est bien ce qu’on nous apprend dans nos Églises ? Pas d’Etat pour les menteurs. No way.
D’autant plus que malgré leurs affirmations larmoyantes aux médias occidentaux, les Arabes (y compris les pseudo-palestiniens) ne veulent pas d’un ‘Etat palestinien’. Ils l’ont toujours refusé à chaque fois qu’on le leur a offert ; la première fois en novembre 1947 avec la Résolution des Nations Unies 181, la dernière fois lors du Sommet pour la paix au Proche-Orient de Camp David en juillet 2000.
Tandis que dans le monde arabe : “We know only one word: jihad, jihad, jihad” (Arafat à Bethlehem, 1996).
Ils veulent une solution à 0 état. Ils n’ont aucune intention de se construire un état.
Merci, j’avais oublié qu’en plus, ils n’en veulent même pas !
Votre messie descend du Roi David ? A part que c’est FAUX, pourquoi votre pape François laisse les “falestiniens” expulser les arabe chrétiens de Bethléhem (plus de 80 % des chrétiens ont été expulsés), pourquoi laisse(=-t-il les hordes du Waqf se prendre pour les propriétaires du Mont du Temple ? Pourquoi considère-t-il l’islam comme une “religion” de tolérance et enfin, pourquoi l’UE et la Franc en particulier redevienne encore une fois aussi antisémites qu’en 1939 ? Il y a plus de liens entre chrétiens et musulmans aujourd’hui, qu’entre catholiques et Juifs …
Le Christ descend du Roi David par sa mère la Vierge Marie et par son père, Joseph. Cela est attesté par le Evangiles (Matthieu (Mt 1,1-17) et Luc (Lc 3,23-38), par des évangiles apocryphes et par la Tradition chrétienne.
Que le Pape François qui a des opinions d’extrême gauche fasse (et dise) n’importe quoi et se soumette aux mensonges de l’Islam est consternant pour beaucoup de catholiques sincères, mais cet homme est malheureusement très emblématique de la confusion qui règne aujourd’hui dans l’Eglise catholique, conséquence inévitable du poison instillé par les idées modernistes depuis les années 50 et même avant la guerre.
Il n’y a pas un souci dans cette phrase ?
Merci Gally. Superbe article. De toute façon, ce n’est pas Israël qui a créé le problème de tous ces gens qui sont venus s’agglutiner. Donc, ce ne devrait pas être à Israël de le résoudre. Mais à qui ?
Tout faux….comme le coran qui est une fausse spiritualité !
Excellente mise au point. La bataille est aussi sémantique : Judee Samarie, Mont du Temple, colons arabes… il faut privilégier ces termes.
Exactement ! J’en parlais hier à ma mère, la sémantique islamo-gauchiste s’insinue partout, il faut faire attention aux termes que nous employons.
J’ai lu des dreuziens ces derniers jours qui écrivaient colonialisme, un pur terme gauchiste pour parler de colonisation. Je sais bien que ce n’était qu’une erreur sémantique mais ça m’a quand même gêné, ce mot change le sens de tout ce qu’on pourra dire derrière. On sent la rancœur dans ce mot et on entend déjà ceux qui viennent après : impérialisme, grand capital, etc.
je me souviens de golda meir, qui exhibait son passeport “palestinien” délivré par les britanniques
elle souriait en me montrant
Relire « Exodus » !
En Europe, déjà bien avancée sur le chemin de l’Islamisation, on se sert de la cause palestinienne pour « victimiser » un peu plus les arabes et échauffer les jeunes esprits.
Israël est aux israéliens qui ont durement conquis leur terre après avoir été chassés et massacrés durant des siècles par les autres pays. Pourquoi n’ont-ils pas droit à leur propre territoire qu’ils ont fertilisé et enrichi au prix d’innombrables efforts et de pertes de vies ???
Oui, cette page ne m’appends rien que je ne savais déjà par ce que en tant qu’élève scolaire j’étais allergique aux leçons d’histoire et de géographie et que je préférais apprendre par moi même. C’est la même chose que l’Algérie qui prétend avoir été colonisée par la France alors qu’elle n’existait pas avant que la France n’ait été envoyée au Maghreb pour mettre fin aux ventes d’esclaves. En plus ils nous demandent des excuses que Macron aime à satisfaire. L’esclavage a bien eu lieu et les plus virulents esclavagistes étaient africains et arabes. C’est sur la base de mensonges qu’ils prétendent “Maintenant c’est à notre tour de vous coloniser” sauf que là c’est une réalité à laquelle ils sont dans leur élément naturel.
A l’époque où le secteur faisait partie de l’empire des Ottomans et que ces derniers traitaient les (quelques) habitants des lieux comme des chiens, personne ne s’est jamais rebellé: normal, oppresseurs et opprimés étaient de la même religion: Islam !!
Entre Jean-Patrick Grumberg et Gally, on peut dire que la vérité doit piquer les yeux à certains.
C’est bien.
Merci Gally, j’enregistre, je conserve et je diffuse.
La lettre P n’existe pas en arabe classique.
Zahir Muhsin, hospitalisé à Nice en juillet 1979 avec une balle dans la tête : trop compromis dans le massacre de Damour ses complices s’en sont débarrassés
Ah non alors, il existe une musée des faux palestiniens, je ne sais plus où exactement, il a couté plusieurs millions e dollars mais il est vide comme l’histoire de ce faux peuple, j’oubliais, je Le reconnais je suis de mauvaise fois, le seule objet présent dans ce musée, c’est le fauteuil d’handicapé de feu Arafat, l’Egyptien, faut bien un début ..
Bravo, il faut malheureusement dire et écrire ces vérités des centaines de fois et çà ne suffit pas à les faire accepter par une majorité de “politicards” de l’UE ! Ils le payeront et plus plus tôt sera le mieux ! Je pense en particulier à Macron-Le Drian prêts à aider les nazis d’Iran à se doter de la bombe atomique qu’ils destinent à la destruction d’Israël !
Excellent article !
Par ailleurs, dans la Bible comme dans les Évangiles, le mot PALESTINE ne figure nulle ! … et pour cause, il n’a été inventé par le colonisateur romain qu’après la bataille de Massada !
Faux: Le terme “Palestinae” a été infligé aux Juifs de Judée Samarie et du Royaume d’Israël par l’Empereur Adrien en 132, après la révolte de Bar Khorba:
Massada et les zélotes, c’était en 67:
« Quoique les Arabes aient régné sur la Terre d’Israël de 638 à 1099 ».
Pas même. Les Turks seldjouk prennent le contrôle dès 1071.
En 1099 une expédition venue du Caire se réempare certes de Jérusalem, mais pour quelques mois seulement, avant d’en être chassé par les Croisés.
Pour le commentateur exempt de préjugés, la prophétie biblique demeure. Qu’apporte-t-elle ? Elle définit le partage et les frontières du pays lors du Millénium. Tout est indiqué en Ézéchiel 47. C’est plus qu’un scoop, c’est beaucoup plus que tout autre chose ; sauf un cauchemar pour la région.
Je n’exagère rien, lisez plutôt : « Ainsi parle le Seigneur… Vous partagerez ce pays entre vous, selon les tribus d’Israël ». Une ‘Nakba’ puissance (allez savoir) pour eux… car en plus, ils verront les tribus d’Israël revenir en ce temps là. Où ? « Dans la Terre sainte » selon Zacharie.
Les douze tribus demeureront dans les limites que l’Éternel a fixées pour elles. Plus de division non plus entre Juda, Benjamin et les dix tribus : «Voici qu’il est bon et qu’il est agréable que des frères habitent unis ensemble». Ps. 133
Je n’ose évoquer le plus important entre tout : « Ma demeure sera parmi eux ; Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. Et les nations sauront que Je suis l’Éternel, qui sanctifie Israël, lorsque mon Sanctuaire sera pour toujours au milieu d’eux. » Ez. 37
NB : Hors-sujet !
Je comprends très bien que ces prophéties sont insupportables pour les tenants de la « Théologie de Remplacement ». Après 1600 années de rejet du peuple Juif et de leur place par les « chrétiens »… Origène, Jérôme, Augustin, Chrysostome, les Croisades, l’Inquisition, les pogroms et c’est triste à dire les écrits de Martin Luther à la fin de sa vie qui jetèrent les bases de la Shoah.
Il faut reconnaître à Hans Kung, théologien suisse, d’avoir reconnu que : « Le meurtre massif des Juifs par les Nazis… aurait été impossible sans les 2000 ans d’histoire chrétienne antisémite.»
Sur amazon, on peut aussi acheter “Le protocole des goys pour Sion” (ou l’infâme complot des non-Juifs pour défendre Israël à son insu) par un auteur qui récapitule les points principaux de la propagande antisioniste et explique pourquoi il faut que les Occidentaux s’allient à Israël (si Israël veut bien de nous et ne nous en veut pas trop d’être une bande de losers 🤯).