C’est la catastrophe en République Populaire Démocratique du Bisounoursland : alors qu’on avait promis à tous des vallées de lait et de miel, les soucis s’accumulent, des petits mentons tremblotent de tristesse et certains ont même du mal à retenir leurs larmes.
Eh oui : tout ne se passe décidément pas comme prévu et le sort semble même faire l’exact contraire de ce qu’on voulait. Ainsi, plus on impose gentiment l’inclusion, la solidarité, le bien commun et l’intérêt général, plus l’exclusion, l’égoïsme et les intérêts personnels semblent s’imposer… Comme c’est étrange ! On dirait vraiment que l’introduction aux forceps de l’État et de la bureaucratie, des règles et du législateur dans la vie de tous, partout et tout le temps ne permet d’augmenter sensiblement le bonheur que de ceux qui établissent les lois à leur profit !
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Zut alors ! Voilà qui est gênant et d’autant plus qu’à l’occasion de crises plus fréquentes et plus profondes, les raisons de rouspéter s’accumulent… Ce que s’empressent de faire ceux pour qui les médias ont d’ailleurs toujours eu micro ouvert.
Alors que la situation ne semble pas s’améliorer, c’est donc une véritable noria incessante de groupes d’intérêts, de syndicalistes, de représentants officiels ou non, de figures tutélaires et autres délégués qui défilent sur les plateaux télé, radio, dans les tribunes des journaux subventionnés. Tous n’ont qu’un cri : ce qui nous arrive est abominaffreux, le monde – qu’on nous avait promis gentil et duveteux – n’est que méchancetés et aspérités pointues, c’est un scandale.
C’est bien évidemment le cas des personnels soignants qui n’en peuvent plus, sont à bout de force et sont débordés dans des services aux effectifs et aux moyens sous-dimensionnés, et ce alors même que moyens et masse salariale n’ont cessés d’augmenter sur les 30 dernières années dans ce secteur.
La pandémie joue ici un simple rôle de révélateur d’une vérité qu’il ne fait pas bon écrire : l’hôpital public se fout de la rentabilité, de l’optimisation des équipes et des moyens, croule sous la tamponnocratie compulsive et ce n’est absolument pas nouveau. Il suffit de se rappeler les cataractes de témoignages des années précédentes expliquant tous les mêmes choses, sans pandémie pour camoufler :
Ces personnels débordés sont rejoints par les enseignants qui, eux aussi, sont débordés, manquent de moyens et sont même mis en danger au contact d’élèves potentiellement bourrés de miasmes mortels. L’hécatombe observée chez les enseignants en exercice permet d’ailleurs de corroborer leurs peurs et de ne pas prendre les empilements de revendications diverses, les préavis de grèves et leurs manifestations plus ou moins vives pour de l’agitation politique habituelle à leur paroisse.
Et puisqu’on parle enseignants, ce serait dommage d’oublier les enseignants-chercheurs qui, eux, pleurnichent parce que leur ministre les a blessés en les accusant d’être islamo-gauchistes. Finalement, il y a toujours une bonne raison d’aller ouvrir son cœur aux micros mous des radios et des télés !
Pour les policiers, on appréciera leur position un tantinet paradoxale puisqu’ils gémissent tristement sur le peu d’estime qu’ils obtiennent de la part des citoyens ; c’est étonnant de la part de ces derniers de ne pas faire un petit effort quitte à développer un gentil syndrome de Stockholm, alors que l’individu lambda se fait maintenant harceler depuis des mois par le zèle trop souvent débile d’une maréchaussée bien trop heureuse de pruner le père de famille solvable, le conducteur fou à 82 km/h sur route de campagne ou le randonneur inconscient, seul en forêt, plutôt qu’aller remettre un peu d’ordre dans certains quartiers très émotifs de la Non-République Française.
Manifestement, la violence au quotidien est de plus en plus fréquente (et sur ce point, c’est exact) et nos forces de l’ordre préfèreraient ne jamais en rencontrer (on le comprend, mais ce n’est pas exactement le fondement de leur mission, n’est-ce pas).
On ne pourra pas non plus s’affranchir de noter que ce gros vague-à-l’âme touche aussi nos militaires : eux aussi, confrontés à la violence, semblent de plus en plus réticents à envisager sereinement leur mission. Dans leur récente tribune (maintenant célèbre), ils pleurnichaient par anticipation d’avoir un jour à agir en cas de guerre civile, c’est-à-dire à faire le travail pour lequel ils sont payés.
De façon moins surprenante, on notera qu’on n’entend guère les cris et les grincements de dents de tous les indépendants, les commerçants, les entrepreneurs divers et variés qui ont dû faire une croix sur au moins six mois d’activités depuis un peu plus d’un an et qui sont souvent au bord de la faillite, du suicide ou ruinés. Les pleurs des uns n’ont pas le même retentissement que les pleurs des autres.
Force est de constater qu’une fois encore en République Populaire Démocratique du Bisounoursland, ce sont finalement toujours les mêmes qui se plaignent amèrement d’une situation douloureuse, en la mettant sur le dos pratique de « la société » dans le cas le plus flou, ou de « la pandémie » dans un sursaut de précision, tout en oubliant que le principal facteur, la cause-racine des maux observés n’est autre que l’étatisation de la société pour l’un et la gestion étatique de cette pandémie pour l’autre.
Ont ainsi été créés des bastions, des États dans l’État, des mandarinats, des chasses gardées qu’il est devenu impossible de réformer et ce sont ces choix (catastrophiques) de collectivisation complète des soins ou de l’éducation qui aboutissent à ces problèmes, à commencer par l’illusion de gratuité de ces services qui entraîne des dérives de coûts invraisemblables et une lourdeur de plus en plus cadavérique de la bureaucratie attachée pour tenter de contrôler (en vain) ce qui s’y passait, qui aboutit à son tour à une impossibilité de réforme.
Alors qu’une part croissante de la population, silencieuse ou – pire – sans écoute subit de plein fouet les décisions de plus en plus criminelles de nos gouvernants pour s’enfoncer dans la misère, ces couinements stridents de professions protégées et, au fond, engluées dans leur volonté de ne rien changer, ont un côté de plus en plus gênant : on a si puissamment enfoncé dans le crâne de tous que l’État était devenu indépassable, qu’il était la source de toute chose, de toute action et de toute réaction, la solution à tout problème, que même les professions et ceux qui les exercent et sont censés représenter à la fois l’autonomie et l’indépendance sont devenus les premiers à chouiner pour que cet État leur apporte soutien et réponse à leurs problèmes, alors qu’il en est la cause.
On doit s’étonner de les voir pleurer pour faire le travail pour lequel ils sont payés (avec nos impôts qui ne diminuent pas du reste) : que leurs conditions d’exercice soient effectivement pourries est assez évident mais qu’ils réclament davantage de ce qui a propulsé leur situation dans l’ornière montre un gros problème de logique interne. Ou bien l’ornière n’est pas si inconfortable, ou bien ces pleureuses illustrent bien l’adage selon lequel on ne peut attendre de quelqu’un qu’il comprenne quelque chose alors qu’il est payé pour l’ignorer.
S’ils veulent l’estime de leurs concitoyens, mais qu’ils arrêtent de les emmerder, pardi ! Et tant qu’à choisir parmi ceux à victimiser, qu’ils prennent donc pour cible ceux qui pondent ces lois iniques, et pour lesquelles elles devraient aussi s’appliquer !
S’ils ne veulent pas être mis en danger dans leur travail, qu’ils le quittent à raison et rejoignent le camp pépère des professions exposées au marché et aux lubies de nos gouvernants, pour comparer : ces départs en masse d’adultes conscients qui prennent leurs responsabilités finiront par provoquer un vrai débat. Le reste n’est malheureusement que de la fanfreluche et le levier par lequel, justement, l’inique perdure, les réformes sont repoussées et chacun reste à sa place.
S’ils ne veulent plus s’épuiser à batailler contre la bureaucratie qui les enlise, qu’ils cessent donc de voter pour plus de bureaucratie ! Qu’ils cessent de vouloir régenter la vie des autres car à la fin, c’est évidement la leur qui se trouve régentée !
De façon générale, ceux qui ne veulent pas se trouver en première ligne lorsque la merde va heurter le ventilateur doivent arrêter de fournir de l’électricité à ce ventilo, ne plus voter pour ceux qui ne sont que des ventilos et arrêter d’adouber ceux qui alimentent la pompe à merde.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)
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La France est un pays où la moitié des gens sont payés pour emmerder l’autre moitié.
Là, H16 tape fort, y compris sur la police qui se fait quand même sérieusement agresser, il fallait oser. Remarquez, ça fait un moment que je me demande ce que ça donnerait si tous les policiers démissionnaient en bloc, y compris ceux qui protègent notre gouvernement. Recours à des mercenaires pour l’Elysée et cour des miracles partout ailleurs ?
Les muzzs seront trop contents d’occuper les places laissées vides.
“Dans leur récente tribune (maintenant célèbre), ils pleurnichaient par anticipation d’avoir un jour à agir en cas de guerre civile, c’est-à-dire à faire le travail pour lequel ils sont payés.”
Vous interprétez à votre façon, que je trouve déplacée.
Nous sommes nombreux à penser qu’il ne s’agit pas de pleurnicheries mais plutôt d’une sérieuse mise en garde.
Je partage votre avis.
Je n’ai jamais dit qu’il s’agissait de pleurnicheries.
Tout a fait d ‘accord avec vous ,c ‘est honteux pour moi d ‘écrire cela
Encore un coup, je ne suis pas l’auteur. Tout le monde se trompe d’adressage.
Oui, j’ai relevé aussi ce passage incongru (de H16 et non Freddie).
Merci Fleur de Lys 😉 ! C’est pour ça que j’ai dit que H16 a tapé fort. Il en a assez des abus d’étatisme en France et il a raison. De là à taper sur tous les fonctionnaires… C’est pour ça que j’avais imaginé que tous les policiers démissionnent en masse. Pas sûr que ce serait génial, même si le fonctionnaire, payé pour obéir, peut faire bien des dégâts sous un pouvoir pervers. Le fait est que le pouvoir est un sujet complexe, et que la propension à obéir au chef et à se démettre confortablement de toute responsabilité, est une tendance de l’être humain qui n’est pas spécifique à son institutionnalisation dans le fonctionnaire.
C’est un sujet délicat : les mutineries entraînent les révolutions, et pas pour le meilleur. Il y a la désobéissance civique, moins meurtrière et plus morale. Elle viendra peut-être, à force d’ôter aux policiers leurs prérogatives de violence légitime. Je me souviens de ces policiers jetant leurs menottes au sol.
Les policiers se sont positionnés clairement, en massacrant les opposant politiques (gilets jaunes), coute que coute, y compris dans l’illégalité la plus totale et en en mettant en œuvre des méthodes maffieuses (identification des coupables “impossible”).
De plus en plus de gens ont finis par comprendre que ces gens nous méprisent, ne protègent jamais nos intérêts, mais uniquement ceux du pouvoir.
Tout ça se paye.
vous parlez de crs et non de policiers qui eux sont en première ligne pour nous défendre, les crs n’étant payés que pour jouer aux cartes dans leurs camions avant d’aller taper sur la têtes de giletjaunes et regarder les racailles bruler et casser
Je ne fait aucun distinguo dans les ”forces de l’ordres”. Il y a les résultats, ce que o’on constate. Le reste, ce sont des allégations.
Les chiffres (souvent cachés) de la délinquance sont éloquents, on comprends que protéger ”ceux qui ne sont rien” n’est pas au programme.
De même, je met police justice et gouvernement dans le même sac, car ils obéissent tous aux même pouvoir.
“Les policiers se sont positionnés clairement (…)”.
Des policiers, ça ne se positionne jamais. Ça obéit aux ordres. Et ce depuis la nuit des temps.
Si les ordres qu’ils reçoivent sont de t’amener au lit un petit déjeuner avec des croissants chauds, ils le feront. Si les ordres sont de t’éliminer à coups de balles réelles, ils le feront.
On ne compte plus dans l’histoire le nombre de choses horribles réalisées par des policiers parce qu’ils ont obéi aux ordres.
Pour ne t’en citer qu’un des exemples les plus spectaculaires, tu connais je suppose la Ralph du Val d’Hiv.
Entre les 16 et 17 juillet 1942, plus de treize mille personnes, dont près d’un tiers d’enfants, sont arrêtées avant d’être détenues au vélodrome d’hiver de Paris et d’autres camps presque sans eau ni nourriture pendant cinq jours. Ils sont ensuite envoyés par trains de la mort vers le camp d’extermination d’Auschwitz. Moins d’une centaine d’adultes en reviendront (et aucun enfant).
Ces flics ont obéi aux ordres.
Voici, pour exactement le même fait historique réel, l’attitude complètement opposée de la police qui n’a tout simplement que fait obéir aux ordres mais qui étaient, cette fois-ci, contraires à ceux de la Ralph du Val d’Hiv.
Cela s’est passé à Nancy. Edouard Vigneron, chef du service des étrangers, et son adjoint Pierre Marie avaient cinq hommes sous leurs ordres. Le 18 juillet 1942, il apprit que la rafle de Nancy devait avoir lieu le lendemain à l’aube. Il convoqua au commissariat tous ceux qu’il put joindre.
Nancy fut le théâtre d’une vaste action concertée de policiers sauveteurs. Le service des étrangers tout entier s’est mobilisé pour donner l’alerte à 385 juifs devant être arrêtés et déportés. La police leur a donné de faux papiers et de fausses cartes d’identité à chacun d’entre eux avec des billets de train pour des directions diverses. Ainsi le train qui devait transporter près de 400 juifs dans les camps d’extermination a été annulé.
La presse nancéenne a écrit en 1987, à l’occasion de la cérémonie de remise de la médaille des Justes aux deux chefs du service des étrangers : “Lorsqu’à l’aube du 19 juillet 1942 les bottes résonnent sur les pavés nancéens, que les crosses des fusils nazis défoncent les portes des appartements, il n’y a plus personne.”
Les ordres du gouvernement de Vichy étaient de rassembler le plus de juifs possibles pour les envoyer se faire massacrer. La police a obéi aux ordres.
Les ordres du responsable de l’immigration de Nancy été de sauver le maximum de juifs. Sur 400 juifs connus dans les services, 385 ont été sauvés. Les autres ne l’ont pas été car ils n’ont pas cru la police. Là aussi, la police a obéi aux ordres.
Il en est de même pour l’armée.
Il faut bien comprendre que ni la police, ni la gendarmerie, ni l’armée ne sont là pour protéger la population française. C’est être un grand naïf que de croire cela. Ils sont là pour obéir aux ordres QUELS QU’ILS SOIENT.
Actuellement la police ne cesse de traquer les Français pour leur mettre des amendes sur le port du masque, et elle ne va même plus dans les zones de non-droit où aucune mesure sanitaire n’est prise et où il se passe des choses indignes de notre pays, par l’islam. Ils agissent ainsi parce qu’ils ont reçu ces ordres d’agir ainsi.
La puissance d’un ordre hiérarchique est telle que la police ne se défend même plus quand elle est agressée par des racailles islamiques. Elle se sauve ou se laisse tuer de peur de désobéir et de passer après devant les tribunaux avec des juges rouges qui leurs donneront évidemment tous les torts et laisseront tranquille les racailles.
Ils obéissent aux ordres, on a déjà entendu cela, à Nuremberg. Et ça n’à pas été très efficaces comme défense.
Absolument d’accord le problème est que la plupart des gens semblent ne pas le savoir. Il faudrait qu’il y ait une mutinerie globale et c’est quasiment impossible car la hiérarchie s’opposerait.
Mais : “IL” n’attend que ça… c’est ce qu”‘IL” voulait avec ben lala…
Bravo c’est tres clair. J’aime beaucoup cet expose pour sa clarete. Bref. Un soldat d’armee est est engagee pour tuer c’est son boulot, et pour se faire tuer pour l’honneur de son pays, le peuple et ses lois.Ce n’est pas un travail de PDG de salon et quand son pays est en danger qu’il se sauve. Nous connaissons l’histoire avec les vies militaires perdues pendant la 1-iere et 2-ieme guerre mondiale. Maintenant ils n’osent meme plus rentrer dans les zones de non-droit creees sur le territoire de sa patrie par les Islamistes. bon n’oublions pas la lachete des gens qui nous gouvernent avec a la tete un Jupiter qui se croit le President de l’Europe et mieux encore du monde.
vous ne comprenez pas ! LS osent rentrer dans les zones de non-droit mais c’est l’ORDRE du gouvernement de ne pas intervenir! Je peux vous assurer que s’ils avaient l’ordre ou le droit il n’y aurait plus une seule de ces zones en France!
H16 ou l’art de souligner l’insupportable avec assez d’ironie pour nous le rendre supportable.
Excellent article.
50 ans d’imbécilités cosmiques du bon peuple français, de dénis majeurs, de moqueries face aux gaulois résistants, d’égoïsme, de haine des patrons, de lobotomisations, d’applatissement, de provocations faisant fuir les investisseurs, de jalousies, de soumissions (voir approbations) à une immigration ayant perdu toute mesure, de justifications de l’islamisation de la France, du refus toujours, encore, et toujours de citer l’islam comme l’horreur absolue, d’acceptations de pertes de centaines de zones de notre territoire, de passivité.
50 ans que ça dure avec les votes de ces cons débiles de français. Et ça continue, toujours et encore de plus belle. Toutes les mairies des grandes villes sont passées aux mains des malades mentaux profonds, les auto-proclamés “Ecolos”.
JE HAIS CE PEUPLE DE CONS FINIS.
LE FRAN9AIS VEUT CREVER, QU’IL CREVE, ET DE PREFERENCE EGORGE PUISQU’IL NE REAGIT MÊME PAS QUAND CA ARRIVE, IL N’A QUE CE QU’IL VEUT ET DONC MERITE
Rien à foutre de ce peuple de dégénérés profond.
“On a le destin que l’on mérite” Einstein
Nous, français, peuple de cons.finés, à laquelle je m’associe par votre message, je vous réponds, Orix :
Ne nous maudissez pas, s’il vous plaît.
Ne faites pas comme celui qui nous méprise et qui est, plus pour très longtemps, notre président.
Je ne pense maudire personne. Mais je pense par contre dire la vérité. Et ce n’est pas de gaieté de cœur que j’observe que les Français se suicident eux-mêmes depuis 50 ans. Je suis loin d’être le seul à le dire.
Quant à notre président qui ne le sera plus très longtemps, permet moi d’en douter sérieusement. Cela fait 50 ans que ça dure, les choses s’aggravent d’avoir fait passer tout récemment toutes les grosses villes de France aux mains des écolos, et le peuple français va donc dans le sens de l’imbécile toujours plus grande que de celui de se reprendre.
Macron est une marionnette, un objet des mondialistes. Si ces derniers estiment qu’il peut être réélu pour continuer la destruction majeure de la France et de l’Europe, ils le remettront pouvoir.
S’ils estiment qu’il n’a plus de chance de repasser, ils en mettront un autre qui sera la même marionnette et continuera la même mission funeste, et enverrons une bombe atomique sur son adversaire comme il a fait avec Fillion.
Le français, comme d’habitude, se laissera avoir par de belles promesses d’assistanats supplémentaires.
Non, rien ne changera, la France est foutue, tout ceux qui réfléchissent et ne pratique pas le déni par peur des réalités le savent.
pleurnicher, même manifester ne vaut pas un détour par l’isoloir
s’abstenir c’est laisser les bobos aux manettes
Qui va s’attaquer aux comités théodules, aux commissions payées tous les mois et qui se réunissent une fois par an (ou moins parfois) ?
La France est spécialisée dans la constitutions de commissions dont l’objet est d’étudier la possibilité de constitution d’une commission qui s’occupera d’étudier un sujet qui aurait pu se régler d’un trait de plume