Franchement, il faut un peu arrêter avec ces histoires de #saccageparis, cette tendance lancée sur Twitter consistant à poster les photos d’un Paris de plus en plus dégradé : non seulement, tout le monde sait que tout ceci n’est qu’une nouvelle manœuvre sournoise des hyènes photographes de l’estrèmedrouate, mais en plus, on ne peut que constater que l’actuelle maire de Paris ne minimise guère ses efforts pour enlaidir améliorer encore la situation de sa ville.
Or, c’est un combat de tous les instants pour Anne Hidalgo que la « transformation » de Paris, véritable terrain de jeu livré à toutes les expériences les plus pertinentes en matière d’art comptant pour rien, d’urbanimsme total, de transiture écologique et de syntonisation forcenée avec Gaïa. Et c’est donc sans surprise qu’on la découvre trottant de happenings en pince-fesses et de cérémonies en inaugurations pour telle ou telle installation frétillante d’écologisme finement raffiné, de culture vibrante de diversité, d’audace artistique et de pertinence économique évidente.
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Et dernièrement, elle a donc participé à l’inauguration de quelques panneaux photovoltaïques installés sur les toits d’une école en face de la Tour Eiffel ; moyennant quelques serviles journalistes gamellards, la poignée de panneaux se transforme en « ferme de production photovoltaïque » (ah, cette poésie moderne qui transforme les aveugles en non-voyants et les imbéciles en « personnes à l’intelligence contrariée »), et l’installation devient le lien indispensable entre l’écologie, la mairie et le pâté de foyers attenants qui devrait probablement bénéficier un jour de la manne électrique ainsi produite.
L’utilisation du conditionnel dans la phrase précédente n’est pas fortuite : on se rappelle que le raccordement de tels panneaux au réseau électrique global reste parfois lettre morte lorsque des services municipaux, jamais en retard d’un retard, doivent se saisir du problème. Gageons cependant qu’ici, il n’en sera rien et que le courant presque gratuit coulera presque à flot.
« Presque » car, comme le conditionnel précédent qui est de mise lorsqu’on implique une grosse mairie, les rendements ainsi que le bilan économiquement et énergétique de ces merveilles technologiques ne sont que très rarement au rendez-vous.
Eh oui : question soleil, Paris n’est pas Casablanca (ni même Nantes), et même à Casablanca, les nuages viennent réduire l’ensoleillement et donc le rendement des panneaux. Et si Paris n’est que fort rarement balayée par des vents de sable contrairement à la ville marocaine, les poussières et autres aérosols opaques de la ville hidalguesque n’en tombent pas moins sur ces surfaces lisses et viennent inexorablement les recouvrir, faisant ainsi s’effondrer leur production de toute façon maigrichonne (on parle de moins de 15% de rendement en moyenne dans les cas favorables).
On peut imaginer les riverains, ayant poussé cette installation, venir tendrement nettoyer les panneaux avec régularité mais la réalité n’en restera pas moins cruelle : ces installations sont rarement rentables, encore moins quand les panneaux sont disposés à plat comme le petit reportage le montre clairement, encore moins dans une ville peu ensoleillée, encore moins dans une ville dont l’air est chargé de particules et encore moins quand c’est #saccagepanneaux mal entretenu (ce qui n’arrivera pas, n’est-ce pas).
Toute cette intéressante expérience n’est pas sans rappeler la précédente occurrence d’une dispendieuse politicienne s’agitant dans les énergies futiles : on se souvient en effet d’une Ségolène Royal décidée à développer le concept pourtant parfaitement consternant de route solaire et dont la facture finale avait été (au moins en partie) payée par le contribuable poitevin alors que la production, catastrophiquement faible, ne parvenait même pas à alimenter un foyer.
Ici, les panneaux hidalguesques, encrassés, à plat, sur le toit sale d’une école en plein Paris, auront sans nul doute un rendement athlétique en comparaison de l’expérience ségolienne, mais resteront globalement anecdotiques dans la fourniture des besoins parisiens, mêmes locaux, pour la même raison que ces panneaux ne sont jamais rentables en Europe du Nord (ce qui explique qu’ils sont encore subventionnés plus ou moins fermement) et qu’ils ne constituent jamais qu’un petit appoint dans la fourniture d’énergie d’un foyer moyen.
On peut même aller plus loin et garantir que cette expérience reviendra cher au contribuable : il faudra entretenir ces panneaux, et lorsque leur vie sera achevée, après quelques années de médiocrité molle, il faudra les démonter, les recycler et on peut raisonnablement parier que – chic type – le contribuable parisien sera mis à contribution.
Et de la même façon qu’il ne fut bien sûr absolument jamais question pour la Reine des Neiges de rendre des comptes sur cette décision calamiteuse (comme elle n’en eut jamais à rendre pour toutes les précédentes qu’elle avait pu prendre, en toute décontraction), on peut là encore garantir que le Drame de Paris ne verra jamais cette expérience coûteuse versée à son débit, tout comme les douzaines d’autres idioties plus ou moins hideuses que les Parisiens se seront cognés depuis qu’elle sévit.
Et puis rassurez-vous : cette aimable frivolité qui tient bien plus du green-washing que de l’écologie pratique et réaliste sera bel et bien financée, et ce malgré les abysses de plus en plus insondables que forment actuellement les finances de la capitale française : magie des finances publiques et de l’inventivité de nos édiles, le recours à l’une ou l’autre taxe viendra combler le petit trou photovoltaïque ainsi constitué.
Et pour taxer, on pourra commencer par cogner sur les restaurateurs de la capitale dont on a préalablement interdit l’exercice professionnel dans leur salle habituelle et qui sont donc forcés d’installer leur commerce sur des terrasses improvisées : puisqu’après tout, les voilà sur la voie publique, il semble logique pour la fine équipe en place de taxer les cafetiers, restaurateurs et autres commerçants installés là. Oh, bien sûr, on attendra la rentrée avant de leur tomber dessus, mais oui, indubitablement, on leur tombera dessus.
Comprenez-vous, il faut bien trouver quelqu’un pour payer l’entretien des panneaux photovoltaïques… Ou l’entretien, #saccageparis impeccable, des voiries, des monuments, des parcs et jardins de la ville lumière, n’est-ce pas !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)
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Les parisiens paieront ? Mais c’est qui qui a re-voté pour cette Hidalgo ? Les banlieusards qui galèrent depuis des années pour aller travailler dans la capitale, entre les innombrables chantiers, les voies rétrécies quand elles ne sont pas purement et simplement fermées dans les 2 sens (ex: Rue de Rivoli, où l’on peut rentrer mais jamais en sortir; à re-voir le sketche de Raymond Devos), les voies sur berge, où des milliers de voitures bloquées participent à la pollution, alors qu’à côté on compte 3 bobos à vélo), et j’en passe sur la saleté, l’insécurité galopante (quartiers de Stalingrad, Marais, etc …)
Mais tant mieux qu’ils paient les parisiens !
2 livres- réquisitoires étaient sortis sur Hidalgo, ça ne l’a pas empêché de re-passer. Faut dire, en face, avec la droite la plus bête du monde, et le candidat de LREM adepte du dick-pic vidéo-masturbatoire (tout de même “porte-parole du gouvernement” !), vite remplacé par la buse Buzin, il y avait une autoroute pour elle.
A lire donc:
Ca 🎶, c’est Paris ! 🎶
j’ai eu dans le courant de la semaine d’aller à Paris à l’hôpital Lariboisière via la porte de la Chapelle, c’est tout droit, à la la sortie de l’A1, une nuée de migrants (probablement les derniers arrivée) qui vous accostent pour réclamer une pièce, je passe mon chemin, j’attaque la rue de la Chapelle, à peu près à 200 mètres, sens interdit pour les automobilistes lambdas, c’est nouveau, obligé de bifurquer a gauche vers les petites rues, embouteillage garanti, jusqu’au métro aérien de la Chapelle, une vraie galère, j’ai du mettre environ 3/4 d’heures pour faire porte de la chapelle au métro la Chapelle, j’ai traversé le Maghreb et l’Afrique réunis, le grand remplacement est déja en place pour ceux qui nient l’évidence. Bref Paris n’est plus le Paris de mon enfance, un véritable crevé cœur.
Je suis abonné à une lettre, l’institut pour la justice qui a adressé un compte rendu sur Paris et notamment dans le 18 et 19em, je vous fais suivre le texte, désolé il n ‘ y a pas de lien
Institut pour la justice
Paris négligé, Paris souillé, Paris saccagé
Chers amis,
Beaucoup d’entre vous n’habitent pas Paris.
Peut-être cela fait-il même des années que vous n’y êtes pas venus.
Pourtant, la situation à Paris évolue à grands pas. Et les médias n’en parlent pratiquement pas.
Il y a en effet un immense quartier de Paris où les journalistes travaillent comme dans une zone de guerre.
Ce qu’on y vit, ce n’est pas seulement l’insécurité, mais c’est un climat de tension insoutenable, il faut y aller physiquement pour s’en rendre compte.
Les journalistes évoquent tous les 36 du mois ce quartier pour ses drogués, mais personne ne rend compte du chaos que c’est réellement.
Ce quartier, c’est le quartier de La Chapelle – Stalingrad dans les 18 et 19ème arrondissements.
Il y a quelques jours, des riverains à bout de nerfs ont tiré des mortiers d’artifice sur les dealeurs de drogue pour les faire fuir. En effet, les journaux en ont parlé.
J’y suis donc allé hier, avec les deux stagiaires de l’IPJ pour interroger ces riverains dans un micro-trottoir.
Ce que nous y avons vu dépasse l’entendement. Je vous résume les faits.
Un menu maxi best-of
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Tout a commencé dans la ligne 2 du métro, nous le prenons à Pigalle pour faire 3 stations. Un homme souffrant apparemment de problèmes psychiatriques fait la manche, il insulte violemment une personne imaginaire avant de circuler dans la rame bondée.
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Puis nous descendons à la station La Chapelle. Dès la sortie de la station, nous sommes dans le bain : beaucoup, beaucoup de monde en plein après-midi mais paradoxalement très peu d’Européens.
On sent une forte animation. La plupart des passants sont des hommes et plusieurs dizaines d’entre eux vendent des cigarettes de contrebande sans même prendre la peine de le faire discrètement.
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Puis, nous progressons à pied vers la place Stalingrad. Les magasins se suivent et se ressemblent : des kebabs et des « Lyca Mobile », entrecoupés de vendeurs à la sauvette qui vendent des fruits séchés sur des morceaux de carton.
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Enfin, nous arrivons sur la place Stalingrad où un groupe de gendarmes interpelle déjà deux dealeurs. Ils resteront là tout l’après-midi et arrêteront un dealeur toutes les 30 minutes environ.
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Vingt minutes après notre arrivée, nous entendons des cris sur l’avenue de Flandre. Deux hommes se battent à coups de bouteilles en verre, cela dure quelques instants puis les deux se poursuivent dans les petites rues derrière l’avenue.
Enfin, sur le retour vers le métro, nous avons croisé un homme inerte par terre au bord de la chaussée, il était peut-être évanoui, j’espère vivant.
Je passe sur les drogués qui sont venus nous aborder, soit pour nous raconter des cracks (sans jeux de mots), soit pour nous demander de nous emprunter notre téléphone. J’insiste également sur le fait que cette excursion était en plein après-midi. Imaginez le soir… pas sûr qu’ils respectent le couvre-feu…
Mais ce n’est pas ça le plus inquiétant.
Merci pour votre témoignage , je ne me rends plus à Paris …fini
suite …
Un raz-de-marée se prépare
Le plus inquiétant, c’est l’évolution de la situation.
Une dame habitant le quartier depuis 60 ans nous a dit que « oui dans les années 1970, c’était chouette comme quartier ».
Moi-même, j’ai travaillé pas très loin il y a 5 ans dans un petit cabinet d’avocats.
La situation me semblait déjà catastrophique, je me souviens de la centaine de vendeurs à la sauvette sous le métro en fin de journée. Je me souviens d’un article de journal qui évoquait comment un homme sri lankais en avait scalpé un autre. Je me souviens de la tension palpable lorsqu’on sortait de la station de métro.
Hier, j’ai revu tout ça, mais en pire. La situation se dégrade.
La zone est également de plus en plus grande. Elle ne se limite plus à une dizaine de stations de métro.
Aujourd’hui, une grande partie de la banlieue parisienne est exactement dans la même situation, de Saint-Denis à Bobigny.
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Trouvez-vous que la France progresse ?
Et aujourd’hui, ces trafics gagnent du terrain et gangrènent de plus en plus le centre de Paris. J’ai vu du deal jusque sous les fenêtres de l’Hôtel de Ville !
Récemment, c’est un journaliste de radio connu qui me disait que sa fille collégienne avait été agressée dans le 16ème arrondissement. Une de ses amies avait reçu de l’acide en plein visage.
C’est ce qui nous attend, c’est ce qui VOUS attend si vous ne prenez pas votre destin en main. Quand ce sera votre tour de fuir, qui sera là pour dire « non » ?
Où est la Justice ?
Il faut appliquer la tolérance ZÉRO pour tous les comportements antisociaux, pour que ceux qui les commettent n’osent plus jamais recommencer.
Il faut apprendre aux délinquants que ceux qui sont protégés par l’État, ce ne sont pas eux, mais ce sont les victimes.
Il faut que les Français retrouvent la sérénité lorsqu’ils se promènent dans la rue, comme dans tous les pays civilisés.
Je vous avoue qu’en rentrant chez moi, j’étais un peu sonné par ma journée. Heureusement, le quartier où j’habite est encore respirable.
Enfin, hier soir, même dans mon quartier, j’ai quand même vu un homme en pleine rue, le pantalon baissé, qui insultait les passants. Il fallait tout de suite le remettre à sa place et appeler la police si besoin.
Je l’ai souvent fait, mais cette fois-ci, je n’en ai pas eu le courage.
J’espère que quelqu’un d’autre s’en est chargé. Pour que ce quartier reste vivable. Pour qu’il ne soit pas rempli de zombies comme ceux que j’ai vus plus tôt. Pour que ne s’installe pas la fameuse « vitre brisée ».
Mais est-ce que quelqu’un l’a fait ?
Avec tout mon dévouement,
Pierre-Marie Sève
Délégué général de l’IPJ
PS : Le poète Paul Eluard habitait au 35 de la rue Marx-Dormoy il y a 80 ans, s’il était encore vivant, il serait parti.
A force de lacheté et d abandons les français finiront par demander une vraie dictature ,celle qui rétabli l’ordre ,en échange de la dictature de la violence qui ne cessera d’ augmenter.
En fait, ces témoignages qui reflètent la réalité me font penser à un film US datant de plusieurs décennies, le titre si j’ai bonne mémoire: le bucher des vantés. Le thème: un automobiliste new yorkais se trompe d’itinéraire et se trouve dans un quartier sans foi ni loi, probablement le Bronx. Il y risque sa peau. Un peu ce qui nous attend, si nous n’y prenons garde.
Et notre maire, qui ne semble pas avoir de compassion pour les administrés que nous sommes, nous y conduit allègrement. Comment les Parisiens ont pu reconduire une telle calamité relève, soit du masochisme, soit d’une indifférence coupable. Je n’ose imaginer l’avenir, notamment la période des JO et le trou béant financier que nous aurons à supporter. Mais elle s’en moque, preuve s’il en était besoin qu’elle n’a que du mépris pour ses chers zélecteurs, les-parisiens-et-les-parisiennes.
Pas seulement la maire mais les gouvernements successifs .La culture socialo “humaniste”- gauchiste est à l’oeuvre depuis des décennies .
Paris deviendra aussi dangereuse que Johannesburg . J ‘ y habitais il y a encore 3 ans et partir est la meilleure décision que j’ai prise .
https://m.youtube.com/watch?v=lMIjIOWeoEA
Les bandits ne sont pas tendres et tirent à répétition, ces gars ont eu de la chance
effectivement la balle aurait pu passer à travers la vitre . L’ Afrique du Sud est un des pays les plus dangereux au monde et ce qui s’y passe c’est ce qui nous attend .
Le bûcher des vanités !
On a comme l’impression qu’elle pense que la civilisation maligne arabo-musulmane a inventé la douchette accrochée au WC, pour économiser l’argent d’un bidet et le papier toilette à l’effigie du prophète..
On se rappelle que dans ces pays musulmans d’avant garde on trouvait une espèce de petit jet vers le haut à la partie arrière du wc, qu’ils ont bien sûr inventé. Ce petit jet actionnable vers le haut était censé en se servant habilement de doigts gourmands économiser le papier, mais il était toujours recouvert de caca qui coupait l’envie.
elle a du lire les écrits de l’ayatollah romhény des 1979 quand il expliquait dans le monde comment il fallait se torcher et ça a convaincu son QI gauche unef de la supériorité arabe.
quand on a un doute sur ce que les gens veulent et que l’on ne comprend pas, c’est qu’ils veulent vous faire mourir.
Résidant dans la zone porte de la chapelle
je confirme le commentaire de Maujo !
La socialo Anne nid dingo a transformé la porte de
la chapelle en porte de la géhenne ! l amère de Paris , elle est dans sa tour d ivoire , et pour les autres c est ambiance côte d Ivoire !
Après Delanoë , Anne la dingo a apporté le déluge
Ambiance western ou les crapules dominent mais
dans un décors pourri ! Vigilance rouge , les vieux sortent le matin , pas de gosses qui jouent ,le peu
d espace vert est pollué de migrants . C est la France de demain . Avant Paris c etait un rat par habitants , a présent c est un rat + un migrant !
Stalingrad est rebatisé Stalincrack ! si la maire fait
un site olympique dans cette zone , les athlètes
seront trés performant .
HIdalgo est tombé dans la panneau solaire ,
Paris est un gros consommateur de courant .
HIdalgo est tombé dans le panneau migratoire
Le migrant est un gros consommateur de coran .
Une émission TV sur paris crack dure une heures , pour nous résident( EVIL
ça dure 24 H sur 24 H .
Biden a raté la journée de prière , ici dans les zones islamo- crack-migrants , il vaux mieux
ne pas rater 365 jours de prières !
Et pourtant, elle a été réélue!!! En sera-t-il de même avec le félon ganelon macron???
Eclairez ma lanterne
Ce que je vois sur la photo, si c’est bien celle des panneaux du sujet, c’est que les capteurs sont posés a plat alors que Paris est situé a presque 49 degrés de latitude nord et que les panneaux, pour bien fonctionner auraient du etre inclinés en conséquence.
Les BoboEcoloDeMesDeux ne cessent de me surprendre.