“Les gens aiment l’administration, mais ce n’est pas une belle lune de miel”, a déclaré Mark Penn, sondeur démocrate. “Ce n’est pas Hawaii ou une autre destination paradisiaque.”
Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
En réalité, les Américains se réveillent avec la gueule de bois. Le président Joe Biden reste dans sa “phase de lune de miel”, mais de plus en plus d’électeurs doutent de cette administration, qui est confrontée à “aux problèmes qui se dessinent”, prévient Mark Penn, codirecteur du sondage CAPS/Harris de Harvard, en commentaire d’un sondage qu’il a réalisé fin avril.
L’humeur du peuple américain est toujours positive, mais…
Il y a trois grandes conclusions à tirer de ce sondage, a expliqué M. Penn lundi sur “Just the News AM”.
- Premièrement, les Américains sont optimistes pour le pays parce qu’ils sont optimistes pour le vaccin COVID-19.
Cependant, parmi ceux qui pensent que l’économie s’améliore, 54 % attribuent cela au vaccin et non aux politiques de l’administration Biden. - Deuxièmement, le président reste dans sa “phase de lune de miel” avec un taux d’approbation global de 59%, toutefois, cette cote est modeste par rapport aux normes historiques, avertit M. Penn qui rappelle que lorsqu’il travaillait avec l’ancien président Bill Clinton, les taux d’approbation atteignaient les 70 %.
- La lune de miel de Biden semble désormais précaire – c’est la troisième conclusion de Penn.
“Si vous regardez sous la surface, l’administration a quelques problèmes qui se préparent”, a-t-il averti. “Le plus important est peut-être le fait que 85% des électeurs préféreraient des frontières plus solides.”
- Dans le sondage d’avril, M. Biden est le plus faible en matière d’immigration, et cette question se classe juste derrière le coronavirus comme le problème le plus important auquel le pays est confronté aujourd’hui.
- 80 % des électeurs interrogés considèrent l’immigration comme un problème sérieux,
- 65 % pensent que les politiques de M. Biden ont encouragé l’immigration illégale.
- Les Américains pensent aussi que ces mauvaises décisions politiques ont entraîné une augmentation de la drogue et de la criminalité aux États-Unis.
- Plus des deux tiers des personnes interrogées pensent que les clandestins qui traversent illégalement la frontière devraient être renvoyés au Mexique au lieu d’être relâchés dans le pays avec une date de comparution devant le tribunal – à laquelle ils ne se présentent jamais, sachant que leur dossier et vide, et connaissant le taux important de rejet.
- 77% pensent que le président et le vice-président devraient se rendre à la frontière maintenant pour rendre compte des dégâts et du chaos qu’ils ont créé – ce qu’ils refusent de faire.
Les Américains restent conservateurs malgré les coups de bélier des médias et des “woke”
Au-delà de l’immigration, les électeurs ont une position conservatrice sur les sujets brûlants. Et c’est parce que les médias traitent les sujets de manière à faire croire qu’il s’agit de l’opinion publique et du consensus général, que nous l’ignorons.
- À la question de savoir si les athlètes transgenres devraient pouvoir jouer dans des équipes sportives de filles, 65 % des électeurs (56 % des Démocrates et 82 % des Républicains) ont répondu “Non”.
- Les Américains préféreraient que les industries pétrolières et gazières restent en activité par une marge de 74 % contre 26 %.
- En ce qui concerne les dépenses d’infrastructure, 40 % des électeurs souhaitent que le chiffre proposé reste inférieur à 1 000 milliards de dollars, ce qui correspond davantage aux 600-800 milliards désirés par les Républicains du Sénat qu’aux 2 300 milliards de dollars de Biden.
- Une proportion surprenante de 24 % des personnes interrogées dit ne pas croire du tout aux dépenses d’infrastructure.
- 65 % souhaitent que le paquet de mesures ne soit adopté qu’avec un soutien bipartite.
Si les sondages de Mark Penn sont exacts, la lune de miel de Biden avec le public américain est en train de tourner au crêpent de chignon – mais les médias sont là pour le cacher au monde – vous ne l’apprendrez dans aucun média francophone, je vous le promets. Et si je me trompe, merci de me donner les informations, je ferais un correctif.
Des graves problèmes sous-jacents commencent à montrer le bout de leur nez
1 Les chiffres du chômage d’avril viennent d’être publiés. Ils sont catastrophiques. Plusieurs commentateurs politiques de gauche ont eu des hoquets en les lisant, en plein journal télévisé. Seulement 266 000 emplois ont été créés le mois dernier, soit bien moins que le million prévu par les économistes attendaient.
Le chômage devait baisser, et non augmenter, comme il l’a fait, pour atteindre 6,1 %, alors que le gouvernement continue de distribuer de généreuses allocations gratuites aux gens sans qu’ils travaillent…
Les chiffres de l’emploi en avril étaient si bas que Steve Liesman, de CNBC, a cru, à l’antenne, qu’il y avait une faute de frappe.
“On dirait que c’est 266 000. C’est une grande déception à 266, mais peut-être que je me trompe”, a déclaré Steve Liesman, avant de confirmer le chiffre sur le site du Bureau of Labor Statistics.
“Oui, 266 est correct… Nous avons quelques problèmes ici.”
Je peux me tromper, mais je crois que chaque Américain a gardé à l’esprit, jusqu’à maintenant, qu’avant la pandémie, Donald Trump avait réalisé le plein emploi et atteint des niveaux que l’Amérique n’avait pas connus depuis 50 ans.
2 Inflation et hausse des prix à la consommation. L’enquête sur les anticipations d’inflation de la Réserve fédérale (1) n’a rien d’encourageant. Le dernier rapport montre que les estimations de la croissance des prix à un an sont ancrées à 3,36%. Il s’agit du résultat le plus élevé depuis septembre 2013.
Quant aux prix, les effets commencent à se faire sentir :
- essence 9,18%,
- alimentation 5,79%,
- soins médicaux 9,13%,
- université 5,93%,
- loyer 9,49 %.
Déjà des signes de pénurie
Des étagères vides. Est-on en Russie soviétique où au Venezuela ? Non, dans le pays dirigé par le président le plus à gauche de mémoire d’homme.
1 Pénurie de voitures et d’ordinateurs. La pénurie de puces électroniques (2) touche aussi bien les voitures, les iPads que la technologie de lavage pour chiens. Cette pénurie de puces est un problème pour les consommateurs, car pratiquement tout ce qui s’achète de moderne possède un composant informatique.
Mais les plus touchés sont les constructeurs automobiles. Nombreux constructeurs ont été contraints de fermer des usines et de donner la priorité à certains modèles, tandis que les prix des voitures chez les concessionnaires ont continué à augmenter (3).
Même Apple – une entreprise dont beaucoup pensaient qu’elle serait capable d’éviter la pénurie après avoir commencé à fabriquer ses propres puces informatiques à haute puissance l’année dernière – a déclaré qu’elle allait retarder la production de ses iMac et iPad (4).
Les voitures d’occasion ont connu en avril leur plus forte hausse mensuelle en 68 ans
2 Voitures d’occasion. Comme le rapporte USA Today (5), les prix des voitures d’occasion sont en hausse, car la pénurie de puces susmentionnée affecte la production des voitures neuves et les acheteurs se tournent vers le marché de la voiture d’occasion. Selon l’UBS, les voitures d’occasion ont connu en avril leur plus forte hausse mensuelle en 68 ans, avec une augmentation des prix comprise entre 8,2 % et 9,3 % (6).
3 Voitures de location. Si vous cherchez à louer une voiture, pas de chance. Le marché a subi ce qu’on pourrait appeler une “tempête parfaite” sur les voitures de location : une flambée des prix et une augmentation de la demande.
- Les Américains ont hâte de partir en vacances cet été, car davantage de personnes sont vaccinées et certaines restrictions s’assouplissent.
- La demande est donc beaucoup plus forte.
- Mais les sociétés de location de voitures ont vendu une partie de leur flotte dès le début de la pandémie par besoin de trésorerie, pour éviter les faillites, et parce qu’ils n’avaient pas de clients pour les louer. Résultat, ils ont moins de voitures à louer, ce qui fait monter la demande, donc les prix.
4 Essence : hausse des prix et pénuries. C’était à prévoir. Dès que Joe Biden a déclaré qu’il retirait les autorisations au pipeline Keystone XL, les compagnies pétrolières ont compris que la guerre était déclenchée, et ils ont commencé à augmenter les prix pour compenser le choc. Biden, en épousant les propositions les plus extrêmes des militants écologistes pastèque, en promettant de faire disparaître la production intérieure de pétrole, leur a donné raison.
Selon les experts, les conducteurs devront faire face à des pénuries de carburant cet été, alors que la baisse de la production a également augmenté la valeur des carburants.
Les prix de l’essence sont montés en flèche depuis l’élection de Biden.
- L’essence à la pompe a fait un bond de 22,5 % en mars par rapport à l’année précédente, selon l’indice des prix à la consommation du Bureau américain des statistiques du travail (7).
- Les prix de l’essence et du pétrole se sont encore envolés au début du mois de mai, après la fermeture du plus grand gazoduc du pays, celui de Colonial Pipeline, à la suite d’une attaque par ransomware venue de Russie et orchestrée par les criminels du groupe DarkSide.
5 Plastiques. Les tempêtes hivernales dévastatrices au Texas ont également laissé des traces dans l’industrie du plastique. Biden a regardé et n’a rien fait. Pire, il a promis d’augmenter les taxes sur les entreprises, qui en retour n’étaient pas enclines à investir dans des solutions alternatives et coûteuses.
Citant des données de Mintec, le Financial Times rapporte que les coûts d’emballage ont augmenté de près de 40 % depuis le début de l’année 2020, marquant ainsi des “sommets historiques.” (8)
6 L’huile de palme, qui entre dans la composition d’une majorité des produits d’emballage, a également vu ses prix grimper. Cela est dû à une énième pénurie de main-d’œuvre – merci les quarantaines, le confinement, et les chèques de Biden, qui paie les gens à ne rien faire au lieu de les encourager à chercher du travail, et qui continue à bloquer l’économie sans discrimination au lieu de faire dans la nuance.
7 Maisons et maisons de vacances. En avril, les États-Unis étaient confrontés à une pénurie de 3,8 millions de logements, selon Freddie Mac (9). Les constructeurs de maisons ont du mal à répondre à la demande, le travail à distance alimentant l’intérêt pour les logements plus spacieux, ils ne trouvent pas de personnels car les salariés reçoivent des chèques et gagnent presque autant qu’en travaillant, et les prix des maisons ont augmenté à leur rythme le plus rapide depuis 15 ans, selon le Wall Street Journal (10).
- L’année dernière, le coût médian d’une maison aux États-Unis a augmenté de 15 %, passant de 300 000 dollars en 2019 à 340 000 dollars fin de 2020, selon les données de l’Association nationale des agents immobiliers (11).
- Cette mesure ne prend en compte les marchés immobiliers recherchés par l’exode des Etats démocrates vers le Texas et la Floride. A Austin, au Texas, le prix moyen des maisons s’est envolé à plus de 800 000 dollars en avril.
- Même les locations de maisons de vacances n’ont jamais été aussi chères. 85 % des locations de vacances dans des destinations populaires comme Cape Cod, les Outer Banks et le Jersey Shore sont réservées jusqu’en août, selon le site de location VRBO. Et quand j’ai regardé le prix des chambres d’hôtel pour rendre visite à Guy Millière à Las Vegas (je suis allergique aux chats et je ne peux pas entrer chez eux, encore moins y rester), les prix ont presque doublé dans mon hôtel préféré, le Trump International Hotel (12).
8 Bois de construction – c’est un choc, du jamais vu. Et n’oubliez pas que chez nous, les maisons et immeubles sont construits en bois. Les prix du bois ont grimpé en flèche et les constructeurs augmentent les prix des maisons pour tenter de compenser la demande.
Cette situation est due à une autre perturbation due à la pandémie, les scieries ayant été contraintes de fermer temporairement pour des raisons de sécurité – ce qui n’était sans doute pas une bonne idée.
Lorsqu’elles ont rouvert, elles n’ont pas pu suivre le rythme d’un marché immobilier en pleine expansion, stimulé par une économie du travail à domicile, des taux hypothécaires plus bas que jamais et le besoin d’espace personnel pendant la pandémie.
Selon une analyse réalisée en avril par la National Association of Home Builders (13), la flambée des prix du bois a ajouté 36 000 dollars au coût d’une nouvelle maison. Les prix du bois “restent obstinément élevés”, selon le rapport, en raison de la fermeture d’usines, de la demande inattendue des grandes surfaces et des bricoleurs, et des droits de douane imposés sur le bois canadien.
9 Pénurie de papier toilette, couches et tampons. L’un des plus grands producteurs de pâte à papier utilisée pour créer du papier toilette a déclaré à Bloomberg que les retards dans les ports et les coûts d’expédition élevés ont obligé les entreprises à repousser les dates de livraison de plusieurs mois.
Le mois dernier, Proctor & Gamble a annoncé (14) qu’il allait augmenter les prix des produits de soins pour bébés et pour femmes. La même semaine, Kimberly Clark a augmenté le prix de ses couches Huggies et de son papier toilette Scott.
Pénurie de poulet. Si vous avez du mal à trouver des ailes de poulet, vous n’êtes pas le seul : elles sont difficiles à trouver car l’offre se réduit. Le Washington Post rapporte que la pénurie ne se limite pas aux ailes de poulet, et que tous les types de poulet sont plus difficiles à trouver en raison du manque de main-d’œuvre et de la fermeture forcée de nombreuses usines.
- Le bacon et les hot-dogs seront probablement en pénurie cet été. La pénurie de porcs remonte à l’apparition du COVID-19 : au moins 167 usines de transformation de la viande ont été obligées de fermer, obligeant par effet domino près de 40 usines à fermer.
Alors que les taux de vaccination augmentent et que les gens se préparent pour les vacances d’été et les grillades, les analystes ont déclaré que la demande dépassera l’offre. - Les produits importés, notamment le café, le fromage, les fruits de mer et l’huile d’olive, sont eux confrontés à des mois de retards d’expédition.
Des dizaines de méga-conteneurs attendent d’accoster au large de Los Angeles. Ce site représente environ un tiers des importations américaines, et l’arriéré fait que les navires attendent des semaines pour accoster et décharger.
Certaines entreprises constatent déjà l’impact sur leurs rayons. En mars, Costco a déclaré que ses stocks de fromage, de fruits de mer et d’huile d’olive étaient en train de s’épuiser.
Coca-Cola a également augmenté ses prix pour lutter contre la pénurie de la chaîne d’approvisionnement et Reuters rapporte qu’en février, les retards dans les ports ont fait grimper le prix du café à son niveau le plus élevé depuis plus d’un an (15). - Maïs. Le prix du maïs bat des records, avec une hausse de 16 % pour le seul mois d’avril. C’est la plus importante hausse mensuelle depuis mai 2019, déclenchant un gain de 43,7 % jusqu’à présent cette année. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles la demande est si élevée, rapporte Axios (16), et notamment une énorme demande de maïs en Chine. Ce pic de la demande est couplé à des baisses au Brésil et en Argentine à la fois à cause de mauvaises conditions météo et des pénuries de main-d’œuvre liées à la pandémie.
Enfin, un phénomène que les Français connaissent bien est en train de se révéler à l’Amérique socialiste de Biden : la crise de l’emploi. Il y a à la fois pénurie de demande et pléthore d’offre. 14 millions de chômeurs, et des entreprises qui n’arrivent pas à embaucher faute de candidats. D’importantes pénuries de main-d’œuvre frappent les entreprises à travers l’Amérique. Des chaînes comme Dunkin et Starbucks ont du mal à trouver des salariés, ce qui entraîne une réduction des horaires, une hésitation à rouvrir les restaurants, et un doute sur les expansions prévues.
Il y a une raison essentielle pour laquelle les chômeurs choisissent de ne pas revenir travailler, et c’est l’immiscions du gouvernement dans le monde de l’entreprise, qui fausse la marche naturelle et saine de l’économie. Il s’agit notamment du fait que les travailleurs gagnent plus avec les allocations de chômage de Biden qu’avec leur ancien travail, ainsi que des inquiétudes persistantes concernant le COVID-19 : un coup les entreprises sont ouvertes, le lendemain elles doivent refermer, et la nécessité de faire garder les enfants à la maison.
Et bien sûr, il y a l’inflation. Vous savez que le problème est inquiétant lorsque le secrétaire du Trésor annonce qu’il n’y a aucun souci à se faire et que la situation est sous-contrôle. C’est ce que vient de déclarer Janet Yellen, la ministre de Biden. Les experts de l’UBS prévoient que l’inflation de l’indice des prix à la consommation (IPC) sur 12 mois passera de 2,6 % à 4,3 % en 2021, ce qui représente “une augmentation considérable en seulement quelques mois”.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.
- https://www.dailyfx.com/forex/fundamental/daily_briefing/daily_pieces/commodities/2021/05/11/Gold-Price-Outlook-Turns-to-Fed-Speak-After-Consumer-Inflation-Expectations-Jitter.html
- https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-semiconductors-foc/with-singapore-lockdown-underway-essential-chipmakers-count-on-less-disruption-idUSKBN21Q042
- https://www.businessinsider.com/cars-most-likely-impacted-by-chip-shortage-brands-models-2021-2
- https://www.businessinsider.com/apple-imac-and-ipad-production-will-be-delayed-chip-shortage-2021-4
- https://www.usatoday.com/story/money/cars/2021/04/27/used-car-trade-values-used-car-prices-chip-shortage/7396966002/
- https://www.businessinsider.com/used-car-prices-saw-their-biggest-monthly-price-increase-ubs-2021-5
- https://www.bls.gov/news.release/cpi.htm
- https://www.ft.com/content/4a30e5c4-82f2-4070-9fa7-6769aca518fc
- http://www.freddiemac.com/perspectives/sam_khater/20210415_single_family_shortage.page?
- https://www.wsj.com/articles/u-s-home-price-growth-accelerated-in-january-11617109259
- https://www.realtor.com/research/december-2020-data/
- https://www.booking.com
- https://nahbnow.com/2021/04/skyrocketing-lumber-prices-add-nearly-36000-to-the-price-of-a-new-home/
- https://markets.businessinsider.com/news/stocks/procter-gamble-maintains-2021-outlook-to-pay-more-than-8-bln-in-dividends-1030322287
- https://www.reuters.com/business/autos-transportation/us-coffee-roasters-weigh-price-increases-cite-shipping-inflation-2021-03-03/
- https://www.axios.com/corn-prices-inflation-48022bc2-77e6-41ae-bf1f-004e51dfdb9c.html
Nul doute que les médias propagandistes français vont soigneusement occulter ces faits tout comme ils ont sciemment occulté le fabuleux bilan de Donald Trump.
Ou alors ils vont dire que tout est de la faute de Trump.
Lune de miel ou lune de fiel? Ces dems (and demmer) ne vont tout de même pas nous dire que c’est avec des politiques socialistes, les leurs, qu’on diminue le chômage et qu’on assure la prospérité de la grande majorité. En Vieille Europe, il y en a qui pensent comme ça aussi avec les résultats que l’on connait: les mêmes recettes produisent toujours les mêmes résultats et espérer des résultats différents est signe de folie. C’est ça, la gauche, c’est aberrant. Les politiques de gauche créent TOUJOURS la pénurie. La pandémie en est un exemple. Les bonnes gens croivent (pour parler belge) que l’état voulait les sauver en les confinant et puis en les vaccinant. En réalité, le souci est purement idéologique car il fallait surtout chauver la chécurité chochiale d’état qui a tous les monopoles sur nos vies. Il n’est pas question de changer de système. Sauver la sécu, cela veut dire en l’occurrence ne pas surcharger les hôpitaux d’état, sinon cela révélerait les fortes carences (et il y en a eu beaucoup) mais la bonne presse subsidiée est là pour diluer le problème et cacher la honte: nous avons le meilleur système au monde qui nous l’envie mais qui pourtant ne le copie pas. Et le pire, c’est que ça marche. En tant que citoyens libres, nous sommes en droit d’attaquer l’état pour abus de position dominante, ponzisme et refus explicite d’assistance à personne en danger. A moins que nous ne nous soyons pas libres. Aujourd’hui, on a la liberté d’enculer une chèvre (Jack Lang vous félicitera pour ça) mais pas de choisir ses impôts (tu paies pour ce que tu as choisi de consommer sans oublier le contrôle du rapport qualité-prix qui est désastreux chez m’sieur l’état) car choisir ses impôts, ben il ne manquerait plus que cela, ce serait, comment dire, immoral. Je comprends bien le séparatisme, étant moi-même séparatiste au sens où je n’ai vraiment pas besoin de l’état car, aux mains des gauchistes, il ne sert plus à rien, il est encombrant, il devient un fardeau. IL EST LE PROBLEME. Et donc, excellent article qui démontre bien les limites et la démagogie du beau système socialo-étatiste, une autre face du fascisme !
Très bon article. Du solide, de l’information et rien d’autre.
Très intéressant de lire comment des faits indépendants les uns des autres font boule de neige et annoncent le pire. Je lis que des grandes entreprises, à priori pro gauchistes, sont en difficulté (pénurie de main d’œuvre et hausse du coût de leurs matières premières). Et pourtant, elles ont détesté Trump. C’est comme vos vidéos d’Arabes israéliens fêtant le missile qui détruit leur village. Consternant.
pauvre amerique de biden
Comparer les USA de Biden au Venezuela de Chavez semble de plus en plus réaliste… Mon Trump, pourquoi nous as-tu abandonné ?
eh oui les Américains ont voulu gouter au socialisme et en paient le prix .
Je constate une certaine analogie entre les 2 rives de l’Atlantique, entre le 7 mai 2017 et le 3 novembre 2020. Dans les 2 cas, un face à face entre un candidat honni, accablé par tous les médias, et un candidat à la une de tous les magazines et propulsé au pinacle par toutes les radios et toues les télévisions, financé et élu de façon discutable.
Et les 2 vainqueurs ont en commun la même obsession mondialiste, la même préférence pour les immigrés face à leurs propres citoyens, le même mépris pour les chambres parlementaires…
on verra dans deux ans si les américains ont la mémoire aussi courte que les français
Les anciens de l’ex-urss doivent bien se bidonner en voyant les USA sombrer petit à petit dans le communisme ! Finalement, ils n’avaient pas besoin de la guerre froide vu qu’il suffisait qu’il y ait une pléiade de politichiens au pouvoir pour faire basculer l’Amérique 😡!
Robinette met le souk à dessein, plus il y en a moins on se souvient de son fils… Il n’est pas si idiot que l’on veut bien le dire/croire !