Publié par Guy Millière le 5 mai 2021

La présidence de l’imposteur Biden est un véritable cauchemar qui s’accentue de jour en jour et qu’il faut regarder en face, dans son ensemble, sans baisser les yeux, sans laisser de côté aucun détail. Et le cauchemar ne concerne pas que les Etats-Unis : vu le statut des Etats-Unis sur la planète, il concerne le monde et aura un impact sur les cinq continents.

Toutes les institutions américaines sont touchées. Le pouvoir exécutif est aux mains d’un vieillard sénile, corrompu, crapuleux, pris en main par des gauchistes haineux, et la femme qui peut lui succéder est elle-même une gauchiste incompétente qui ricane stupidement dès qu’on lui pose une question pertinente.

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Le pouvoir législatif est détenu par les chefs de la majorité démocrate à la Chambre des représentants et au Sénat, Nancy Pelosi et Chuck Schumer, qui passent leur temps à mentir de manière ignoble et à faire voter des lois plus destructrices les unes que les autres.

Le pouvoir judiciaire a pour clé de voute une institution censée être la gardienne de la Constitution et de la Déclaration des droits, mais qui, bien qu’elle contienne une majorité de juges originalistes (censés faire respecter scrupuleusement les textes fondateurs) a renoncé pour l’essentiel à sa mission.

La grande majorité des juges fédéraux ont été mis en place sous Obama et n’ont pu être remplacés par Donald Trump (ils sont inamovibles), et ils ne cessent de révéler qu’ils sont davantage des militants de gauche extrême que des juges dignes de ce nom. Les juges qui ne sont pas de gauche extrême subissent des pressions et des menaces.

Les plus grandes entreprises du pays sont dirigées par des gens qui se soumettent au pouvoir politique en place, parce que c’est lucratif pour elles ou parce qu’elles ont peur de représailles venues de la cancel culture, culture de l’annulation disséminée par la gauche extrême.

Il reste des médias qui ne sont pas devenus des organes de propagande, mais ils sont minoritaires.

Le Parti Républicain lui-même contient un nombre assez net de traîtres et de crapules.

La police fédérale est dirigée par un homme qui est, précisément, tout à la fois un traître et une crapule, et qui réussit à être pire que son ignoble prédécesseur. Il s’appelle Christopher Wray et fait régner la terreur en faisant arrêter et jeter au secret ceux qui ont été photographiés à Washington, DC, le 6 janvier, le jour où Donald Trump a appelé ses soutiens à se rassembler à Washington et où des provocateurs ont entraîné une centaine de manifestants à entrer dans le Capitole. Des braves gens qui n’ont agressé personne et qui n’ont rien (ou pas grand-chose) à se reprocher sont arrêtés à l’aube et jetés en prison. Et Christopher Wray dit, comme tous les Démocrates, que le danger principal qui menace le pays est le “terrorisme intérieur” venu de l’”extrême droite” (comprenez : les soutiens de Trump).

Pendant ce temps, des émeutiers agissent dans plusieurs villes du pays, impunément ou presque, et ce ne sont vraiment pas des gens d’”extrême droite”, non : ils sont membres d’Antifa et de Black Lives Matter, qui sont désormais les deux bras armés du Parti Démocrate.

Les policiers de base travaillant dans des grandes villes démocrates subissent sans cesse des accusations de racisme de la part des politiciens démocrates et des médias, sont confrontés à la haine qui découle des accusations et qui conduit de plus en plus de criminels à résister aux arrestations, ce qui  mène de plus en plus souvent à  la mort de policiers (mort dont on ne parle nulle part, plus de cent policiers tués depuis le 20 janvier) ou à la mort de criminels (mort dont on parle partout, et qui conduisent vers la prison des policiers qui n’ont fait qu’exercer leur métier). Les policiers de base, dès lors, démissionnent en masse. Et le nombre de démissions s’est nettement accru depuis la condamnation de Derek Chauvin à Minneapolis par un jury soumis au règne de la horde.

L’armée n’est pas laissée indemne puisque le ministre de la défense, Lloyd Austin, a décrété qu’elle était elle-même “rongée par le racisme” et par la présence en elle de “suprématistes blancs”, et parce qu’il applique une politique destinée à intégrer les transsexuels et les femmes enceintes aux forces combattantes….

La situation sur la frontière avec le Mexique est un cataclysme délibérément provoqué, qui fait entrer par centaines de milliers dans le pays des immigrants illégaux presque aussitôt légalisés et qui bénéficient immédiatement d’allocations versées par le gouvernement fédéral.

Les revenus encaissés par les cartels de la drogue mexicains se sont accrus considérablement depuis le 20 janvier, car ils demandent des milliers de dollars par tête pour faire franchir la frontière américaine aux candidats à l’immigration illégale, et utilisent l’afflux d’immigrants illégaux pour faire passer leurs produits toxiques en des emplacements de la frontière que les border patrols ont dû déserter pour s’occuper de ceux qui passent et entrent aux Etats-Unis. Les enfants qui passent seuls la frontière sont eux-mêmes des dizaines de milliers, et les border patrols les entassent dans des lieux surchargés. Comme le disait Donald Trump, un pays qui n’a pas de frontières n’est plus un pays, et les Etats-Unis n’ont quasiment plus de frontière Sud.

Les executive orders promulgués et les lois votées depuis le 20 janvier visent des objectifs aisés à déchiffrer, et dont je dresse la liste :

a) saborder le secteur de la production énergétique américaine aux fins de faire exploser les prix de l’énergie et de rendre à nouveau les Etats-Unis dépendants de pays souvent ennemis des Etats-Unis.

b) démultiplier les réglementations de façon à placer l’économie américaine sous la dépendance des autorités fédérales (les prétextes écologiques sont très utiles pour cela)

c) accorder des contrats très rémunérateurs aux grandes entreprises participant au capitalisme de connivence (entreprises qui soutiennent les Démocrates pour avoir les contrats),

d) accroitre les impôts payés par les petites et moyennes entreprises déjà en difficulté en raison de la pandémie et des réglementations nouvelles, de façon à ce qu’elles soient au bord de l’asphyxie et plus dépendantes encore des autorités fédérales, qui peuvent alors leur octroyer des “aides” qui les rendent infiniment plus dépendantes encore (les grandes entreprises participant au capitalisme de connivence ont des branches à l’étranger et peuvent échapper aux hausses d’impôts),

e) placer un nombre croissant de gens en position d‘assistés, donc en position de dépendance des autorités fédérales eux aussi, et leur donner des chèques mensuels de façon à ce qu’ils votent pour les détenteurs du pouvoir, qui donnent les chèques,

f) placer la population sous des contrôles croissants,

g) augmenter de manière démesurée la masse monétaire aux fins de créer de l’inflation, de détruire l’épargne et de détériorer la formation de capital,

h) faire entrer un maximum de nouveaux immigrants aux fins de les régulariser au plus tôt, de changer la population américaine, et d’avoir des millions de nouveaux électeurs démocrates dès que les nouveaux immigrants ont la citoyenneté,

i) attiser les tensions raciales et créer un climat de violence et d’insécurité (et détériorer pour cela les possibilités de rétablir l’ordre),

j) implanter dans un maximum de têtes, dès l’école, la haine envers les Etats-Unis et envers la civilisation occidentale,

k) mener une politique de défaitisme actif vis-à-vis des ennemis des Etats-Unis (Iran, Chine). 

l) exacerber le climat de terreur intellectuelle découlant de la cancel culture de façon à étouffer ce qui reste de la liberté de parole

Rien de tout cela n’étant expliqué dans les grands médias français et européens, peuplés pour l’essentiel de journalistes aussi biaisés et désinformateurs que les journalistes des grands médias de gauche américains, j’y consacrerai un livre en cours d’écriture. 

Le but de ceux qui exercent le pouvoir aux Etats-Unis est de s’efforcer de faire table rase de ce que les Etats-Unis ont été depuis deux siècles et demi, de tenter de faire du Parti Démocrate un parti unique dirigeant un pays passé à un fonctionnement de régime autoritaire au sein duquel le pouvoir politique et économique serait aux mains d’une forme de nomenklatura dirigeant une population placée en état de sujétion.

Ce qui se passe est le résultat d’une action de longue haleine enclenchée dans les années 1960 par une “nouvelle gauche” américaine néo-communiste.  L’action repose sur les idées d’un communiste italien des années 1930, Antonio Gramsci, et sur celles de philosophes gauchistes, en tête desquels l’Allemand Herbert Marcuse, théoricien du “refus de tout ce qui est”, et les principaux “penseurs” de ce qu’on appelle aux Etats-Unis la French theory, Jacques Derrida et Michel Foucault (les Français qui se plaignent des idées woke venant des Etats-Unis devraient se souvenir que ces idées sont en réalité made in France et reviennent vers leur pays d’origine)

Il s’est agi pour la “nouvelle gauche” de procéder à une infiltration opiniâtre de tous les secteurs de la société, en commençant par le secteur de l’éducation, et cette infiltration a été menée à bien. Le but de l’infiltration était d’obtenir l’effondrement de l’ancien monde, d’y prendre le pouvoir sur les décombres, et d’y édifier un autre monde “socialiste”. L’effondrement est presque là.

Les autres modèles socialistes s’étant eux-mêmes effondrés, il n’est resté pendant des années aucun autre monde susceptible de servir de référence, et puis, il y a une dizaine d’années, le modèle chinois a commencé à fasciner la gauche américaine et a séduit aussi les grands entrepreneurs planétaires adeptes du capitalisme de connivence, tels ceux qui se réunissent à Davos, et ceux-ci ont commencé à soutenir le Parti Démocrate.    

L’action enclenchée dans les années 1960 a conduit à l’installation au pouvoir de Barack Obama pendant huit ans (2008-2016). Et Obama a parachevé le travail d’infiltration, renforcé les liens qui font le capitalisme de connivence pro-démocrate, et renforcé aussi liens du capitalisme de connivence américain avec la Chine communiste.

L’élection de Donald Trump a été un imprévu, et la gauche américaine a mené contre un homme qui a entrepris de redresser la situation une guerre totale qui a conduit à deux années d’enquête frelatée du grand inquisiteur Mueller, à une procédure d’impeachment anticonstitutionnelle, à l’utilisation cynique de la pandémie pour détériorer l’économie, au recours aux émeutes, puis à l’élection frauduleuse du 3 novembre 2020 et à l’installation au pouvoir de l’imposteur Biden. La gauche américaine agit aujourd’hui avec une rage destructrice décuplée. Elle n’a aucune retenue et aucun scrupule (avoir choisi d’installer à la Maison Blanche un homme sénile, très corrompu, acheté par la Chine, le montre).

Le seul espoir qui subsiste et qui peut encore permettre de sauver la liberté d’entreprendre, de penser, de choisir, la démocratie et l’état de droit aux Etats-Unis est une victoire des Républicains trumpistes aux élections de mi-mandat de novembre 2022. Si les Républicains trumpistes reprennent la majorité à la chambre des représentants et redonnent la majorité aux Républicains au Sénat, ils ne pourront pas agir pour remédier aux dégâts commis par la gauche, mais ils pourront au moins empêcher assez largement la gauche de nuire davantage – et encore pas partout et dans tous les domaines (la politique étrangère relève largement des décisions du président). Si les Républicains trumpistes reprennent la majorité à la chambre des représentants et redonnent la majorité aux Républicains au Sénat, cela signifiera que les fraudes n’ont pu se répéter, et un retour de Trump en 2024 sera très envisageable (ou, si Trump devait renoncer, l’élection d’un candidat trumpiste, Ron de Santis sans doute).

C’est parce que la gauche américaine craint cette victoire en 2022 qu’elle s’efforce de susciter un maximum de destructions en un minimum de temps, et veut tenter de créer un chaos irréversible, quel qu’en soit le prix matériel et humain. C’est aussi parce qu’elle craint cette éventualité qu’elle tente de légaliser les fraudes par la loi HR1, veut détruire le collège électoral (le système électoral qui est utilisé aujourd’hui pour élire le Président) et la Cour Suprême (à laquelle la gauche voudrait ajouter quatre juges de gauche, prêts à piétiner davantage la Constitution), et rajouter deux Etats (Washington, DC, et Porto Rico) aux cinquante Etats existants. C’est parce qu’elle craint cette éventualité qu’elle a trafiqué les chiffres du recensement, de façon à minorer le fait que la population fuit les Etats démocrates et rejoint les Etats républicains (le recensement permet de déterminer le nombre de représentants par Etat, et le Texas devait gagner trois sièges, la Floride deux sièges, l’Arizona un siège, et les chiffres trafiqués font que le Texas gagne deux sièges, la Floride un seul, et l’Arizona aucun)

C’est parce qu’il sait que ce n’est pas seulement le pays qui est en jeu, mais l’existence même d’un monde libre, que Donald Trump se prépare à la bataille, et que ceux qui le suivent se préparent à la bataille eux aussi.

C’est parce que la bataille doit commencer par le soulignement des fraudes du 3 novembre dernier qui font de Joe Biden un Président illégitime que des hommes courageux mènent la bataille dès aujourd’hui.  

L’examen des résultats du 3 novembre a commencé en Arizona, dans le Maricopa County, le district le plus peuplé de l’Etat, celui où ont eu lieu des fraudes massives qu’il s’agit de mettre au jour d’une manière plus nette.

Les Démocrates envoient des dizaines d’avocats pour tenter de faire arrêter les opérations.

Au moment où j’écris, les opérations se poursuivent.

Il est crucial qu’elle se poursuivent.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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