Les Démocrates dansent avec le diable. Pour eux, c’est le commencement de la fin et ils savent que Donald Trump, s’il est réélu en 2024, sonnera la fin de la récréation. Alors ils ont décidé , avec leurs comparses de la gauche et leurs complices dans les médias de masse, de passer à la phase accélérée de l’atteinte de leur hégémonie politique. Leurs principales armes sont l’accusation de « racisme systémique », la Théorie Critique de la Race enseignée dans les écoles, ainsi que la censure de la « désinformation » et des « opinions inacceptables » en utilisant les médias sociaux et les chefs d’entreprises « woke ». Les Américains ne peuvent pas honnêtement prétendre qu’ils ne voient pas ce qui se passe. C’est à eux qu’il appartient de réagir.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Steve McCann, paru sur le site d’American Thinker, le 25 mai.
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Comment le « Trump Derangement Syndrome » pourrait sauver l’Amérique
Pendant les quatre années où il a été président, Donald Trump a reconstruit l’économie après les désastres politiques des années Bush-Obama. Il a considérablement réduit l’immigration illégale, a affronté et exposé le Parti communiste chinois et, grâce à l’opération Warp Speed, il est venu à bout de la pandémie du coronavirus chinois. Si cette liste est impressionnante, sa réalisation la plus significative à long terme pourrait bien le placer au panthéon des présidents américains qui ont sauvé la nation : il a fortuitement arraché les lattes du plancher et exposé les termites qui se nourrissent furtivement et sans relâche des fondements culturels, sociétaux et gouvernementaux du pays.
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Au cours des dernières étapes de la campagne de 2016 et des quatre années de sa présidence, les caractéristiques personnelles de Donald Trump et le moment de son élection ont poussé les élites dirigeantes et la gauche américaine d’inspiration marxiste à la folie furieuse et, ainsi, elles se sont totalement exposées.
Leur duplicité collective, leur alliance dissimulée, et l’ampleur des progrès secrets et inquiétants de cette fusion dans la transformation de la nation en une oligarchie socialiste à parti unique sont maintenant mises à jour et chacun peut s’en rendre compte.
Avec ce que l’on appelle souvent le Syndrome de Dérangement anti-Trump (SDT), cette colère s’est transformée en une frénésie obsessionnelle de ne rien laisser au hasard afin de forcer M. Trump à démissionner ou, sinon d’étouffer sa présidence et, au moyen de la fraude électorale, si nécessaire, s’assurer qu’il ne sera pas réélu.
Donald Trump possède un trait de caractère que les élites dirigeantes ont ignoré jusqu’à ce qu’il devienne évident qu’il pouvait réellement remporter la présidence.
Non seulement M. Trump est capable de s’identifier aux masses populaires et avoir de l’empathie pour elles, mais il pense, agit et parle comme la plupart d’entre elles.
La possibilité d’avoir à la Maison Blanche un homme qu’ils percevaient comme ressemblant à leur vision stéréotypée des Américains moyens rendait les élites furieuses. Pour elles, M. Trump était la copie conforme des ploucs abrutis du Sud, des ouvriers négligés du Midwest, des habitants peu instruits des ghettos urbains, des fermiers peu sophistiqués des milieux ruraux, et des chauffeurs de camion vulgaires.
M. Trump constituait également une menace existentielle pour la gauche américaine et son projet vieux de plusieurs décennies d’atteindre l’hégémonie politique et de transformer la nation en un État socialiste.
Après avoir infiltré pendant des décennies la bureaucratie, les établissements d’enseignement (ce que les élites dirigeantes ont choisi d’ignorer), et après huit ans de la présidence d’Obama, la gauche est devenue convaincue que son objectif ultime est non seulement à la portée de la main mais incontournable.
En 2018, 40% de tous les Américains avaient une opinion favorable du socialisme, pour les plus jeunes générations (les Millenniaux et la Génération Z) c’était 49%. De plus, 52% de ce groupe démographique disait préférer vivre dans un pays socialiste plutôt qu’un pays capitaliste.
Encore plus surprenant, 30 % avaient une opinion favorable du marxisme. Actuellement, 51% des moins de 40 ans pensent que l’Amérique est une nation raciste ayant une longue histoire de discrimination.
La tendance au cours des deux dernières décennies est une augmentation inexorable, en particulier parmi les jeunes générations, de la préférence pour le socialisme/communisme par rapport au capitalisme et de la perception des États-Unis comme étant une nation injuste et raciste qui doit être transformée.
Craignant de perdre leur base de pouvoir et leur style de vie, les élites dirigeantes, conscientes de ces tendances, ont été incitées à se fusionner tacitement avec la gauche américaine d’influence marxiste, dans l’espoir qu’elle s’associe et s’en remette à une oligarchie dominée par elles. Cet accord sur le partage du pouvoir ne tenait qu’à un fil, mais les deux partis étaient convaincus que l’hégémonie permanente de la gauche était imminente.
Jusqu’à ce que l’élection de Donald Trump menace l’influence des élites et les ambitions de la gauche.
Le Syndrome de Dérangement anti-Trump a fortuitement exposé ce qui était en train de métastaser sous la surface depuis de nombreuses années et qui est maintenant mis en lumière au centre de la scène où il est à la vue de chacun.
- Il existe aux États-Unis un système de justice à deux vitesses basé sur l’affiliation ou les opinions politiques. Le FBI, qui était autrefois l’organe d’application de la loi le plus respecté du pays, est aujourd’hui un appendice du Parti Démocrate et le Ministère de la Justice en est l’exécuteur de facto. Ils opèrent politiquement, de façon vicieuse, en enquêtant à partir d’allégations fictives (par exemple, la collusion Trump-Russie), en alimentant des accusations malveillantes (par exemple, la soi-disant « insurrection armée » du 6 janvier) et en appliquant le traitement le plus sévère possible aux transgresseurs qui « pensent mal » tout en ignorant généralement les anarchistes qui « pensent bien ».
- La bureaucratie fédérale est un pouvoir à part entière, favorable à la gauche, qui peut délibérément détruire un président ou un citoyen ordinaire sans subir de répercussions.
- En exploitant la pandémie du coronavirus chinois comme un moyen de battre Donald Trump, les membres élus du Parti Démocrate ont montré qu’ils sont des tyrans mesquins et vindicatifs. Ils ont réduit de manière calculée les libertés individuelles, lancé des confinements inutiles et dévastateurs, provoqué une peur injustifiée dans la population, détruit la crédibilité de la communauté médicale et scientifique du gouvernement, et amené la nation au bord du chaos économique.
- Le Parti Démocrate, dans sa guerre contre Donald Trump, s’est révélé être une filiale à part entière de la gauche radicale américaine qui utilise de manière flagrante des tactiques nazies pour atteindre ses objectifs.
- Les complotistes élites dirigeantes/gauchistes, déterminés à vaincre Donald Trump en 2020, ont utilisé tous les moyens, y compris la fraude électorale, pour atteindre leur objectif. Par conséquent, il ne devrait plus y avoir de spéculation concernant la fraude électorale à grande échelle. Elle existe. Ces mêmes complotistes tentent maintenant audacieusement d’intégrer la fraude électorale potentielle dans chaque État et de s’assurer que quelqu’un d’inacceptable pour eux ne sera jamais élu président.
- Ce que l’on appelait autrefois les « grands médias » ne peuvent plus prétendre être impartiaux alors qu’ils marchent avec les gauchistes, dénigrant Donald Trump et vilipendant ses électeurs. Ils sont le bras de propagande non dissimulé de l’élite dirigeante/l’oligarchie de la gauche américaine, diffusant volontiers des « fake news » sur l’opposition et régurgitant les points de discussion qui leur sont donnés par leurs maîtres.
- Les élites se sont entendues avec leurs comparses de la gauche, accélérant leur calendrier pour atteindre l’hégémonie politique en fomentant volontairement des troubles civils. Les principales armes utilisées afin de mener à bien ce projet sont l’accusation de « racisme systémique » et la défense de la Théorie Critique de la Race qui impose ouvertement une discrimination raciale, le fait de fermer les yeux sur un antisémitisme virulent et croissant, et la censure de la « désinformation » et des « opinions inacceptables » en utilisant les médias sociaux et l’extorsion des entreprises et des gouvernements.
Au cours des quatre derniers mois, les médias de masse ont abondamment vanté les politiques autocratiques de l’Administration Biden et du Congrès contrôlé par les Démocrates. — Des politiques qui englobent et exposent davantage les points précédents.
Ainsi, la majeure partie des citoyens ne peut honnêtement prétendre être ignorante ou inconsciente de ce qui se passe dans le pays, car cela devrait être évident pour toute personne ayant un minimum de conscience et d’intelligence qui n’est pas imbue d’une fidélité aveugle au Parti Démocrate ou à l’idéologie marxiste.
Ce n’est plus une exagération de dire que l’avenir des États-Unis ne tient qu’à un fil. Le fait de dire que cette nation est proche du point de non-retour dans sa course effrénée vers un bouleversement sociétal et culturel potentiellement violent ne vient pas du délire d’un alarmiste de droite déséquilibré.
La faute n’incombe pas à la gauche radicale américaine, qui est peu nombreuse, mais à la classe dirigeante, par son inaction délibérée, son souci d’auto-glorification et sa volonté de s’allier avec la gauche.
Ce sont ces actions traîtresses s’étendant sur plusieurs décennies qui ont amené les États-Unis à ce point.
Alors que les élections de mi-mandat de 2022 aux niveaux étatique, local et fédéral sont essentielles pour endiguer la marée et retarder ce qui pourrait être inévitable, la seule solution est le remplacement de la classe dirigeante actuelle.
Cela peut être accompli si les Américains s’unifient et utilisent leur poids économique pour boycotter les entreprises et les institutions, en particulier les universités, qui promeuvent le socialisme ou les politiques de haine de l’Amérique.
L’élection de Donald Trump et le Syndrome de Dérangement anti-Trump ont offert à l’Amérique une dernière chance de rouvrir complètement la nation. Il appartient maintenant aux citoyens de le faire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : American Thinker
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Tout ça ressemble à une sorte de fuite en avant. A celui ou celle ou ? qui sera le plus progressiste.
Au fait, quelles sont les minorités qui devront primer?
Quels seront les critères pour appartenir à une minorité?
En cas de plusieurs critères de minorités dans la balance, quelles minorités seront prioritaires?
Comment vont réagir les sous-minorités?
De plus, il y a un aspect financier non négligeable: les associations dites “progressistes” sont de formidables pompes à fric largement subventionnées, entre autres, par quelques milliardaires en quête de popularité auprès du cénacle artistico-sportivo-journalistique. Qui plus est, se ranger du côté des “progressistes” c’est bénéficier d’une quasi-immunité médiatique…
Pour continuer à exister (et donc recevoir des subventions en veux tu en voilà) ces associations doivent prouver qu’elles agissent. Du coup, le moindre mot de travers est repéré, la moindre incartade antiprogressiste est exposée au grand jour. Ces associations de “bienfaiteurs” veillent au grain et, surtout, à leur filon juteux!
Trump fut très certainement l’un des président qui aimait plus que n’importe quel autres présidents son pays. Il y en a eu avant lui, certes, mais pas depuis les dernières années. Sa liste de réalisations est impressionnante en effet, étant donné les bâtons dans les roues qu’il avait continuellement. Il a travailler très fort, et les États-Unis sont passé du jour à la nuit, de la lumière à la noirceur en moins de 24h seulement. Ceci étant dit, nul n’est parfait. Son manque d’expérience en politique lui a joué des tours et lui a coûté sa réélection. Il n’a rien fait pour mettre en prison, les Clinton et Obama, il avait devant lui un marécage puant et monstrueux qui a su tiré profit de son inexpérience politique. Il était quasiment seul contre tous, et je lui lève mon chapeau. Malheureusement, malgré les signes clairs et évidents de fraude électorale, il n’a pas su comment évité cette catastrophe et il a été naïf. Croire que les choses vont changer en 2022, ou 2024, alors que le marécage, les médias, la corruption sont encore plus fort et plus gros qu’en 2016, relève de l’illusion. Pour ce qui est du peuple, c’est un soulèvement pacifique et non violent que ça prendrait. Trump risque fort bien d’être en prison d’ici là ou assassiné. Et les médias corrompu comme jamais vont célébrer et sortir le champagne.
On ne met pas les gens en prison sans preuves.
Bien dit … ils sont avec le diable …
Cela dépend comment tu te sens, si tu es et te sens homme blanc hétérosexuel : tu as tout perdu ! Mais si tu te sens noir et lesbienne, alors tu amasses les points positifs !
D’après moi, notre cher Président Trump avait encore d’autres défauts aux yeux de l’establishment : il ignore le politiquement correct et disait les choses comme elles sont. Ensuite, il est milliardaire et il est impossible d’acheter un milliardaire. Aussi, sauf erreur de ma part, il ne faisait pas partie du club complotiste et élitiste de Bilderberg.
on verra très bientot (2 puis 4 ans) si les américains s’en rendent comptent
Les socialistes dans le monde ont un avantage indéniable par rapport à la droite :
Ils ont une idéologie et la volonté farouche de la mettre en œuvre à tous prix.
Ce sont ces 2 choses qui manquent le plus aux droites du monde, qui ne combattent pas assez la gauche sur le plan des idées.
Il faut démonter leurs inepties une par une et sans pitié.
C’est ce que Dreuz essaie de faire :
Merci.