Publié par Magali Marc le 25 juin 2021

Kamala Harris s’est finalement décidée à visiter la frontière sud des États-Unis. Sa destination de choix est… El Paso (une ville située au Sud-Ouest du Texas). Mais El Paso n’est pas la destination des clandestins centraméricains. Mme Harris a plus de chances de rencontrer des Vénézuéliens, des Cubains, des Indiens, des Nigérians, des Brésiliens, des Équatoriens et des Haïtiens que des Honduriens, des Guatémaltèques ou des Salvadoriens. Les Vénézuéliens et les Cubains qui affluent dans le corridor d’El Paso fuient la fraude électorale et les dégâts économiques causés par les mesures socialistes. Ils sont plus susceptibles de dénoncer les méfaits du socialisme que ceux du réchauffement climatique !

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le site d’American Thinker, le 24 juin.

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C’est Donald Trump qui a décidé Kamala Harris à visiter la frontière

Kamala Harris, qui est la responsable nommée par Joe Biden en matière de gestion de la crise frontalière et qui prétend se concentrer sur ses «causes profondes», en particulier en Amérique centrale, va enfin se rendre à la frontière.

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Selon Fox News :

« La Maison Blanche a confirmé que la vice-présidente Kamala Harris doit se rendre vendredi (le 25 juin) à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, alors que les Républicains et certains Démocrates lui reprochent de ne pas l’avoir encore fait, suite à sa nomination par le président Biden pour s’occuper de l’afflux des migrants illégaux

De toute évidence, elle le fait parce que le Président Trump a annoncé qu’il se rendrait à la frontière, accompagné du Gouverneur du Texas, le Républicain Greg Abbott. C’est à peu près la seule raison qui peut expliquer cette annonce précipitée.

Donald Trump s’est empressé de souligner le fait.

Avant cela, la VP Harris se contentait de ricaner lorsqu’on lui demandait si elle comptait se rendre à la frontière – encore et encore, s’entêtant, et parfois refusant d’y aller, rejetant ces visites comme n’étant que des séances de photos, suggérant qu’elle était trop sérieuse dans sa volonté de résoudre l’afflux de migrants et qu’elle n’avait rien à apprendre des migrants illégaux. Cela alors même que des membres Démocrates du Congrès, en difficulté dans les régions où les migrants affluent, lui demandaient de prêter attention à ce qui se passait dans leurs districts.

On aurait dit qu’elle craignait de ne pas aimer ce qu’elle y trouverait.

Non, elle ne voulait pas y aller. Elle risquait d’attirer l’attention sur la dure réalité du fait que l’invasion à la frontière est causée par l’Administration Biden qui a invité les migrants qui s’y sont précipités.

De plus, les possibilités de prendre des selfies et des photos glamour sur Instagram étaient, au mieux, minimes dans la plupart des villes frontalières en difficulté.

Puis Donald Trump est intervenu.

Voici le titre du chroniqueur Scott Jennings du Courier-Journal :

« Joe Biden a un problème sur les bras avec la vice-présidente Harris, qui pourrait servir sur un plateau d’argent un second mandat à Donald Trump en 2024. »

Voici comment Mme Harris se situe par rapport à M. Trump dans une course en tête à tête, en 2024, selon un sondage rapporté par le site conservateur Breitbart :

« Un nouveau sondage McLaughlin & Associates a révélé que Donald Trump est préféré par les électeurs à la vice-présidente Kamala Harris pour l’élection générale de 2024. Le sondage demandait aux électeurs s’ils voteraient pour M. Trump ou pour Mme Harris dans un match hypothétique en 2024. Les résultats ont révélé que 49 % des répondants ont déclaré qu’ils appuieraient M. Trump, tandis que 45 % ont déclaré qu’ils appuieraient Mme Harris. Les électeurs indépendants ont également suggéré qu’ils appuieraient le candidat républicain, 49 % d’entre eux indiquant qu’ils voteraient pour Donald Trump. »

Voici ce que ce refus d’aller à la frontière a fait à sa popularité parmi les électeurs, selon Statista :

« En juin 2021, 33 % des adultes américains interrogés ont déclaré avoir une opinion très défavorable de la vice-présidente démocrate Kamala Harris. En revanche, 46 % ont déclaré avoir une opinion très favorable ou plutôt favorable de la première femme vice-présidente. »

Le fait est que son refus d’aller à la frontière a défini sa vice-présidence, qui ne date que de quelques mois. Sa crainte que le flux des migrants à la frontière lui colle à la peau n’a fait qu’aggraver la situation, tout en soulignant son incapacité à prendre des mesures à ce sujet.

Les migrants illégaux ont atteint un nombre record pendant qu’elle visitait des pâtisseries et des parades de la Fierté Gaie.

Maintenant que Donald Trump a annoncé qu’il se rendrait à la frontière avec des responsables texans, il a attiré son attention, et voilà qu’elle accourt, essayant de rattraper le temps perdu, de le devancer et espérant une couverture médiatique dithyrambique de la part notamment de Lester Holt qui semble le lui avoir promis.

Il est comique de voir que Lester Holt de CBS, celui qui l’a mise dans l’embarras par inadvertance en lui demandant quand elle irait à la frontière il y a quelques semaines, provoquant l’un de ses célèbres gloussements, a prétendu que c’est à cause de lui que Kamala Harris a finalement décidé d’aller à la frontière.

Cette interview date du 8 juin. L’annonce de Donald Trump date du 16 juin.

L’annonce de la VP Harris était hier (le 23 juin).

Vous pouvez tirer vos propres conclusions.

Il est assez triste de voir que la politique frontalière de Joe Biden dépend de la terreur qu’inspire le Président Trump.

Elle est surtout motivée par le désir de diminuer l’importance de l’inévitable couverture médiatique qu’il obtiendra.

Apparemment, Donald Trump a coincé la VP Harris et a été celui qui l’a amenée à faire face à la musique, au moins potentiellement, concernant la raison pour laquelle les étrangers illégaux déferlent à la frontière.

Elle tentera un tour de passe-passe devant les caméras, et essaiera de rejeter la faute sur Donald Trump.

Mais la plupart des gens comprennent très bien ce qui se passe.

Elle se fait balader par un ennemi politique, pour la simple raison qu’elle refuse de prendre au sérieux la crise frontalière.(…)

Donald Trump a montré qu’elle est une idiote, et maintenant elle est obligée d’agir comme il l’entend.

Je suppose que c’était ce qu’il fallait pour que cette femme paresseuse fasse son travail. Si elle a besoin de Donald

Trump pour se décider à agir, cela indique qu’il serait un bien meilleur président.

Vous ne verrez jamais Donald Trump faire ce que souhaite Kamala.

Elle est pathétique, et elle montre à quel point elle est inapte à être vice-présidente.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Sources :

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