Pour l’avocat et essayiste, «le mâle blanc» subit une entreprise de rééducation morale permanente.
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Nouvel angle de mon regard quasi psychiatrique sur notre société en folie: nous vivons dans un camp de rééducation morale permanent.
Ses gardiens vigilants sont des journaux, des télévisions publiques et privées, des artistes conformistes prétendument antiracistes, des universitaires prétendument féministes, des organisations non gouvernementales prétendument humanitaires. Les gardiens surveillent notre attitude, nos plaisanteries, nos arguments, notre langage. Ils relisent même notre écriture dans laquelle ils prétendent inclure. L’écriture inclusive est ainsi un camp de rééducation féministe ambulant.
De là à penser que le mâle blanc serait le premier à être enfermé dans un camp de rééducation il n’y a qu’un pas que j’oserai franchir.
Gilles-William Goldnadel
Les gardiens de l’antiracisme, s’ils sont vigilants, ne le sont qu’à mi-temps. C’est ainsi que s’il est gravé dans le marbre que les noirs d’Amérique seraient victimes d’un «racisme systémique» édifié par les blancs, ces derniers, par essence, ne sauraient en souffrir. Sous cet angle obtus, Madame la maire afro-américaine de Chicago a pu organiser à peu près impunément un point presse dont étaient exclus les journalistes blancs. De là à penser que le mâle blanc serait le premier à être enfermé dans un camp de rééducation il n’y a qu’un pas que j’oserai franchir.
À noter, qu’en France, un journal vespéral, ordinairement vigie vigilante de l’antiracisme, n’a pas cru devoir écrire une seule lettre sur le sujet, ce qui montre que le camp de rééducation antiraciste est interdit aux personnes racisées.
La question du genre nécessite également un stage de rééducation obligatoire. Dès 2011, une circulaire du ministère de l’Éducation nationale réclamait aux rédacteurs de manuels scolaires de se pencher sur la question «devenir femme ou homme». L’objet était de lutter contre les stéréotypes de ce genre qui est devenu «fluide».
Désormais, un diagnostic de «dysfonctionnements» – très contesté par de nombreux spécialistes – est pratiqué, systématiquement suivi d’une incitation au changement social de sexe, et ce dès la maternelle. Comme l’écrit Charlotte d’Ornellas : «les bloqueurs de puberté peuvent être prescrits dès 10 ans, le traitement hormonal est possible dès 15 ans pour développer les caractères sexuels secondaires, mais il faut attendre la majorité pour les opérations génitales. Des limites que les militants – qui rêvent de faire même disparaître le sexe de l’état civil – travaillent à faire évoluer.» (Valeurs actuelles du 27 mai).
Pourtant, dans une tribune publiée par Marianne en janvier, un collectif de psychiatres, de pédiatres et de psychanalystes écrivait: «l’enfant ne choisit ni ses parents ni son sexe ni son nom en naissant. Il passe sa vie à composer avec ce qui ne lui est pas donné d’emblée, pour mieux s’en accommoder et devenir ce qu’il est avec ce qu’il n’a pas choisi. C’est ce principe qui est fondateur du genre humain. Il est contraint, il ne peut pas tout.»
Et dans une autre tribune publiée le 20 mai dernier sur le site de l’Express, des professionnels de santé dénoncent ce danger effrayant: «il y a un risque majeur de faire d’un enfant sain un patient à vie en raison de la mise en route de traitements hormonaux agressifs.» «Une fois installé dans l’identité de genre inversée que le jeune a réclamée, les liens de dépendance instaurée avec l’équipe médicale, les bouleversements familiaux que cette demande a engendrés, le statut acquis auprès de ses pairs, tous ces facteurs vont ensuite entraver les possibles retours à l’identité d’origine, compromettant son avenir et ses capacités procréatives». On ne sort pas sans dommages de ce camp-là.
Dans notre camp de rééducation permanent, il est hors de question de remettre en question l’immigration sous peine de déchéance de moralité.
Gilles-William Golnadel
Enfin, dans notre camp de rééducation permanent, il est hors de question de remettre en question l’immigration sous peine de déchéance de moralité. Le dernier argument à la mode des gardiens de l’idéologie gauchisante, effrontée lorsqu’elle affronte la réalité, est d’insister sur la citoyenneté française des derniers auteurs d’actes terroristes islamistes ou d’agressions de policiers: «ils sont de nationalité française et nés en France» répètent-ils à l’unisson. Cet argument étant censé interdire toute discussion.
Il faudra donc rappeler à ces obscurs gardiens de la pensée que Youssouf Fofana, chef du gang des barbares, d’origine ivoirienne, est l’un de nos compatriotes, né à Paris-12e. Idem pour feu Mohammed Merah, d’origine algérienne, natif de Toulouse. Ils n’en détestaient pas moins la France et les Français. Le même raisonnement s’appliquant plus récemment à Ndiaga Dieye, l’agresseur radicalisé de la policière municipale de La Chapelle-sur-Erdre, lui aussi né en France il y a 39 ans. Lui aussi musulman radicalisé. Lui aussi délinquant multirécidiviste. Schizophrène paraît-il. Lui aussi.
L’échec manifeste de l’intégration à la française vient précisément de ce que la génération qui précédait celle au sein de laquelle on compte de nombreux auteurs d’actes de terrorisme et de grande délinquance violente était souvent plus affectionnée et reconnaissante au pays qui l’avait accueillie et nourrie. Tel ouvrier métallurgiste méritant d’une usine Renault à Flins, par ailleurs musulman pratiquant, a pu parfaitement être le père de l’un de ceux-là.
Je n’écrirai jamais assez que la faute n’est pas à inscrire au débit de la communauté immigrée. Pas seulement non plus à celui de cet islam radical montant irrésistiblement. Mais avant tout aux gardiens faussement antiracistes du camp de rééducation qui, dans le cadre d’un lavage de cerveau quotidien, ont persuadé une bonne partie de la communauté immigrée que les Dupont-la-joie se lavant chaque jour à l’eau de Vichy les détestaient abondamment. Il a fallu beaucoup d’intelligence à nombre de jeunes gens issus de l’immigration pour ne pas vouloir endosser le rôle si confortable et tentant de la victime expiatoire.
Ceci posé fermement, rien ni personne désormais n’empêchera de poser la question de l’immigration ouvertement.
Sortir du camp de rééducation ou périr.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel pour Dreuz.info
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L’oïcophobie
?? développez svp, qui est oïcophobe ?
C’est la peur des tâches domestiques : je ne vois pas bien le rapport, à moins que…
C’est grave, docteur ?
La situation de notre pays ne se présente toujours pas sous un meilleur jour au fil du temps qui passe…
C’est à en périr oui ! à en crever !
Rééducation effectivement, il n’y a qu’à voir les publicités actuelles qui montrent sans arrêt des couples et familles mixtes, rien à voir avec la “vraie” vie où cela reste très rare.
Même démarche avec la propagande homosexuelle, leur représentation dans les publicités et les séries est disproportionnée par rapport à la réalité.
Une amie fonctionnaire m’a raconté que tout son ministère avait reçu un mail invitant chaque agent à faire un selfie pour manifester son soutien à la cause LGBT. Les selfies étaient destinés à être publiés dans une mosaïque le jour consacré à la lutte contre l’homophobie!!! Le Meilleur des mondes !
Je me demande s’il ne faudrait pas suggérer au ministre la même chose pour lutter contre l’antisémitisme… c’est vrai après tout, pourquoi une cause plutôt qu’une autre !
Une solution peu-être : systématiquement boycotter et refuser d’acheter les produits ainsi “publicisés”, ils feraient quand même mauvaise mine leurs promoteurs! On pourrait y ajouter tous les produits français dont la pub est en anglais et qui deviennent de plus en plus fréquents:..
Le droit du sol doit être supprimé. Ces musulmans qui haïssent la France ne sont que des Français de papier. Et le mâle blanc est de beaucoup supérieur à ceux qui le vilipendent mais en sont jaloux car ils sentent leur infériorité.
Tout à fait ! Par qui toutes les grandes découvertes scientifiques ont-elles été faites ? Par des hommes européens dans leur immense majorité.
Les musulmans prétendent que le coran contient des “miracles scientifiques”, j’ai vérifié, ils sont tous faux. De toutes façons, il serait surprenant que le coran contenant toutes les découvertes ultérieures, elles aient été faites par des gens qui ne l’avaient pas lu, les musulmans n’ayant jamais rien inventé.
Français de papiers a le même abréviation que fils de pu.. , une des insultes favorites des racailles : amusant, non ?
Rassurez-vous, cher Maître, les minorités sont bien des minorités, la majorité des femmes occidentales aiment toujours les hommes, les vrais, blancs de préférence, et dignes de ce nom !
Ne m’appelez plus jamais FRANCE !
Voilà dans quelques années ce que chantera notre Pays, et cela à la grande satisfaction de tous ceux qui optent aujourd’hui pour sa transformation ethnique.
C’est quand même une tristesse, pour tous ceux qui ont combattu, ont donné leurs vies pour rester Français, de constater qu’une majorité des leurs sont en admiration devant l’Islam et ses coutumes, et n’ont aucune crainte quand à leurs libertés futures lorsque cette religion aura pour adeptes plus de la moitié de notre population.
Et pourtant l’histoire du monde démontre clairement depuis plus de 600 ans, comment cette religion à coup de cimeterres, de sabres, et actuellement à coups de kalachnikovs, et ce au mépris des autres civilisations, investi, expulse, massacre viole etc etc pour rester dominante unique. Mais pour nous ce sera par les urnes, avec l’aide des islamogauchistes de souche bien sûr.
La haine de ces gens là va jusqu’à détruire toutes traces des civilisations qui les ont précédées: destruction de cimetières, de monuments de vestiges du patrimoine…
Alors notre FRANCE de demain s’appellera t’elle FRACELAM, ou FRACISLAM ou FRALLAH ? Qui sait ?
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