La dernière folie de la « cancel culture » cible la « tarte aux pommes », cette pâtisserie exquise, devenue soudainement le produit infernal du « capitalisme de guerre », coupable d’avoir réduit des peuples en esclavage et commis des actes de génocide.
Personnellement, quand je dégustais une tarte aux pommes, accompagnée d’un excellent café bien noir ou d’un verre de vin demi doux blanc, je n’étais pas consciente de la nature diabolique de ce dessert à l’apparence si inoffensive. Mais aujourd’hui, me voilà devenue « woke », éveillée à toute la laideur qui se cache derrière ce fruit maudit, grâce à un article des plus édifiants paru dans le journal The Guardian, ce quotidien britannique, promoteur de nombreux combats « civiques et progressistes ».
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Le politiquement correct et la « cancel culture » lancent des croisades féroces tous azimuts, persuadés d’oeuvrer pour plus de justice sociale, afin de créer un monde meilleur selon leurs propres critères dominés par un esprit de revanche anti-Blanc et rien n’échappe à leur courroux de justiciers, comme le prouve la furie idéologique déclenchée contre la pauvre tarte aux pommes. Cette dernière, la fameuse « American Apple Pie », une grande tradition classique de la pâtisserie anglo-saxonne, aussi très appréciée en Europe, a été accusée d’être « raciste ».
Celui qui pointa d’un doigt accusateur cette pauvre tarte aux pommes dans un article paru sur The Guardian fut Raj Patel, un expert en cuisine et réalisateur de documentaires, défini par le passé comme une « personne dominée par de fortes sympathies anarchistes ».
Dans sa diatribe anti-tarte aux pommes, Mr Patel, d’origine indienne, mais possédant la double nationalité britannique et américaine, commença par affirmer que ce dessert typiquement américain n’était rien d’autre que « l’expression du triomphe du colonialisme et de l’esclavage et que les origines de ce dessert étaient « imbibées de sang ».
Et comme les ingrédients nécessaires à la préparation de cette douceur seraient également le produit de siècles de « vols » de terres, de richesses et d’exploitation d’esclaves, il énuméra aussi les « péchés originels » de plusieurs d’entre eux, inextricablement liés aux tragédies du suprémacisme et du colonialisme des Blancs. En partant de la pomme, il disserta sur l’apparition de ce fruit sur le continent américain, associant la diffusion de la culture de la pomme à l’expansion des colonisateurs européens au détriment des terres et des propriétés des peuples indigènes.
Selon Mr Patel, l’implantation de pommiers en Amérique aurait eu lieu au XVIe siècle, au prix d’un « vaste génocide des peuples indigènes ». Et Mr Pattel attira particulièrement l’attention sur le fait que les colonisateurs anglais utilisèrent les pommiers comme indicateurs de civilisation, c’est-à-dire de propriété, en plantant de grandes quantités de ces jolis arbres à la belle floraison parfumée d’un rose tendre dans des zones volées aux propriétaires légitimes amérindiens. Cette habitude des colonisateurs anglais sera reprise et revigorée des siècles plus tard par des pionniers américains tels que Johnny Appleseed, accusé par Mr Patel d’avoir « apporté ces signes de propriété colonisées aux frontières de l’expansion américaine, où ces arbres symbolisaient l’expulsion des communautés indigènes. »
Mais le caractère raciste de la tarte aux pommes ne provient pas seulement de la pomme, ce fruit honni, mais aussi d’un autre ingrédient : le sucre. Selon le documentariste indien, cet ingrédient, présent sur la croûte au sucre du gâteau incriminé, est irrémédiablement lié à la traite négrière du XVIIIe siècle ; le sucre serait en effet arrivé aux États-Unis principalement grâce au travail des esclaves africains employés dans les plantations des possessions françaises des Caraïbes.
L’ire antiraciste de Mr Patel ne se limita pas à la pomme et au sucre, mais aussi à la petite « nappe à carreaux » sur laquelle on laisse généralement refroidir la tarte aux pommes fraîchement cuite.
À la base du caractère « suprémaciste » de cette nappe, affirme l’auteur, il y a le fait qu’elle soit en coton, un matériau végétal tragiquement lié à l’image des plantations ensoleillées du sud des États-Unis remplies d’esclaves travaillant pour leurs maîtres blancs. Aux yeux de Patel, la tarte aux pommes, en raison de ses ingrédients et de sa préparation, est donc un produit odieux du « capitalisme de guerre », qui a « réduit en esclavage et commis des actes de génocide à l’encontre de millions d’indigènes d’Amérique du Nord et de millions d’Africains ».
Selon Mr Pattel, son exposé sur la raciste tarte aux pommes a contribué à sensibiliser les gens au concept de « justice alimentaire » et à rendre les consommateurs plus conscients du sombre passé, qui se dissimule derrière les plus inoffensives des sucreries : « la justice alimentaire est un terme qui n’est compréhensible que parce que des communautés opprimées et exploitées se sont organisées pour prendre leur revanche sur les déprédations du capitalisme américain. »
La « justice alimentaire » woke s’attaquera-t-elle bientôt au café, au thé au chocolat…?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : «Torta di mele razzista”. Ultima crociata della cancel culture.» (Il Giornale.it)
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Mr Patel doit consulter un psychiatre d’urgence !
Ce crétin diplomé ne veut pas admettre que ses médicaments, son slip, ses chaussettes et son PQ sont aussi « le produit de siècles de vols de terres de terres, de richesses, d’exploitation d’esclaves » par des vilains suprématistes blancs colonialistes privilégiés. Mais il en profite quand-même tous les jours.
Sauf que ce sont ces mêmes suprématistes Blancs privilégiés qui l’ont élevé et éduqué, et qui lui permettent de s’exprimer dans les médias, alors que pendant ce temps là-bas dans son bled, l’Inde le Pakistan et le Cachemire se bombardent allègrement au prix de dizaines de milliers de morts, les gamines sont vendues pour 10$ et deux chèvres, et les épouses sont dissoutes dans l’acide. Encore aujourd’hui, en 2021 !
Décidemment, le progressisme est une véritable pathologie mentale.
Très bon !!!!!!!!!
Il est certain que le péché originel est lié aux pommes. 😀
Et aussi la guerre de Troie !
Mon D.ieu, mon D.ieu….! Il y en a qui ne savent plus quoi inventer pour se distinguer quitte à sombrer dans une stupidité abyssale. Le pire est qu’il y a une cohorte du même acabit qui les suivent.
Vive le mâle blanc!
Absolument, c’est le plein délire!
Le monde devient fou ça fait peur ils vont aller jusqu’où ? La décadence en marche c’est certain 🤦♀️
Mr Patel a tout faux. Il aimerait tant que cette tarte aux pommes soit l’aboutissement d’un racisme systémique blanc . Quand il n’existe pas, il faut l’inventer et force est de constater que tous les ” wokistes” du monde ne manquent pas d’imagination en la matière.
La pomme est un fruit que l’on trouvait dans le jardin d’Eden décorant l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal. La Genèse ne parle jamais de tarte aux pommes, ni de racisme.
C’est donc ça ! Le fait de torturer les pommes (vous les surinez puis vous les soumettez à une chaleur intense), c’est ça qui est raciste. Eureka !
et la Bible ne parle pas de pomme mais du “fruit”: Très cordialement:
Bonjour Rosaly!
Le baba au rhum devrait aussi être considéré comme raciste puisque le rhum est fabriqué dans d’anciennes colonies espagnoles: Cuba, Martinique, Panama, Costa Rica, etc…
J’espère que vous n’allez pas pour autant vous priver d’une excellente tarte aux pommes, avec un p’tit verre de rhum?
Bonjour Magali
Exact! Ce sera peut-être le sujet de la prochaine diatribe anti-Blanc de cet “éveille” illuminé. Le choix est vaste pour les “justiciers” alimentaires de la Cancel Culture… Ils peuvent faire travailler leurs petites cellules grises gravement endommagées à leur guise.
Me priver d’une tarte aux pommes? Jamais de la vie, c’est l’un de mes desserts préférés. D’ailleurs, j’en ai confectionné une après avoir envoyé l’article à Dreuz et je l’ai particulièrement savourée, non pas avec un petit verre de rhum, vu la canicule actuelle, mais avec un petit verre de vin blanc très frais. Délicieux! Le rhum, je le réserve pour l’hiver, après mes promenades dans le jardin ou dans les rues du village avec mes chiens.. J’adore aussi le baba au rhum 😀 D’ailleurs, c’est très facile à faire.
Imaginez toute l’horreur d’un monde dominé par l’idéologie Woke-Cancel Culture, alliée à l’idéologie islamique. 😡 Je me demande combien de temps ce mouvement de déments va planter ses fleurs du Mal dans le coeur des naïfs occidentaux?
Vous êtes courageuse de faire cuire des pâtisseries par ce temps. Ici, à Montréal, la chaleur humide me décourage d’allumer le four! Je préfère acheter une tarte aux pommes ou même une portion de tarte chez un excellent pâtissier non loin de chez moi ….
Une seule solution : il faut vider l’Amérique de tous ses colonisateurs, européens bien sûr mais pas que. On va même renvoyer les sioux en Asie via le détroit de Behring. Naturellement on va t’envoyer l’auteur de l’article du Guardian. Non mais !
Renvoyer
Il faut aussi vider le proche orient, l’afrique du nord et l’asie des colonisateurs arabes.
je croyais les indiens végétariens, la pomme est elle devenue de chair et de sang ?
les dingos volent en escadrille!
En lisant rapidement j’avais lu “en espadrille”
Je conseille à ce Monsieur la tarte Tatin. Elle est comme lui : toute retournée…
Tout ce qui concerne le “woke” est du complotisme.
Bonjour Rosaly
Un apiculteur n’est après tout qu’un esclavagiste qui vole le fruit du travail des abeilles…
Souvenons nous aussi que le croissant est une viennoiserie islamophobe
Le wokisme est typiquement le sectarisme imbécile qui permet la compétition des idiots pour reconnaître les chefs d’escadrilles…
Lorsque plus rien n’a de sens, tout en a et la dictature s’impose par la peur du rejet de la majorité “bienpensante”.
Cela me fait penser à la chanson de DEVO (années 80) qui scandait : “I was a punk before you were a punk”
Il est grand temps d’avoir un retour féroce des humoristes qui ont là une matière inépuisable…
Il faut vraiment être oisif et tordu pour se complaire dans de tels délires
Rosaly, vous m’avez convaincu et je ne mangerai plus jamais de tarte aux pommes esclavagiste.
C’est dommage car j’adorais ce dessert. Il ne me reste plus qu’à aller m’acheter une tête de nègre.
Que des gens disent des conneries c’est une chose, mais être obligé de vivre avec eux et de les écouter c’est ça problème !
La patelle est l’autre nom de la bernique, chapeau chinois, etc… Je n’aurait jamais pensé qu’il y avait plus d’intelligence dans une bernique que dans une tête d’imbécile. Et pourtant…