Source : Lesalonbeige
Faut-il vraiment les insultes d’un Algérien proférée à l’encontre d’Africains et revendiquant la politique esclavagiste des arabo-musulmans à l’égard de l’Afrique noire pour que le grand public découvre cette vérité dérangeante que Christiane Taubira a voulu cacher en son temps ? Ben sûr que non ! Ceux qui veulent s’informer le peuvent et le Salon beige a maintes fois relayé des articles sur ce sujet (ici, ici ou encore ici).
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Le Figaro a récemment publié une tribune de Marie-Claude Barbier Mosimann, maître de conférences honoraire à l’ENS Paris-Saclay, à ce sujet. Extraits :
En 2004, l’ouvrage de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau, intitulé Les traites négrières, suscita bien des controverses. Il y montrait en effet qu’il existait non pas une mais trois types de traites négrières : la traite atlantique, la traite arabo-musulmane et la traite interafricaine qui alimentait les deux autres traites. Or ce livre sortait trois ans après le vote de la loi Taubira de 2001, qui reconnaît comme crimes contre l’humanité, la seule traite négrière occidentale, faisant des «blancs» les seuls coupables. Comme on ne pouvait pas en nier l’existence, Pétré-Grenouilleau fut accusé de hiérarchiser les traites pour minimiser la responsabilité occidentale puisque les chiffres donnés (respectivement 11, 17 et 14 millions) montraient que la traite transatlantique avait été la moins meurtrière.
La polémique s’intensifia quand, en 2005, il déclara au Monde qu’au «poncif raciste blanc – l’Occident civilisé face aux sauvages noirs – a succédé l’image tout aussi déformée de bourreaux uniquement blancs face à des Noirs uniquement victimes». Il fit, de ce fait, l’objet d’une plainte pour «diffamation publique raciale» et un collectif de Guyanais, Réunionnais, Mahonnais et Antillais l’attaqua au civil devant le tribunal de grande instance de Paris. Un collectif de 600 historiens se forma pour défendre la liberté des chercheurs, soulignant le sérieux du travail et mettant en garde contre une lecture sélective du passé. La plainte fut abandonnée. Notons que la polémique portait sur l’implication des Africains dans le processus de traite puisque plusieurs ethnies servaient de pourvoyeurs aux négriers.
En 2005, Jacques Chirac décida que le 10 mai, jour de l’adoption de la loi Taubira, serait désormais célébré comme «la journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leur abolition». Ce singulier amnésique ramenait la culpabilité sur le seul Blanc. Un an plus tard, à la veille de la célébration, interrogée par un journaliste de l’Express sur son silence concernant la traite orientale, Christiane Taubira déclara qu’il était préférable de ne pas évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les «jeunes Arabes» «ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes». Autrement dit, outre le mépris infantilisant de cette remarque, les enjeux du présent autorisent l’amnésie mémorielle.
Or, si la traite occidentale a duré 3 siècles, la traite arabo-musulmane, elle, s’est étendue sur 13 siècles. Dès les débuts de l’Islam, au 7e siècle, elle s’est répandue dans tout le Maghreb d’où partaient des caravanes qui traversaient le Sahara pour ramener des esclaves noirs de la côte subsaharienne. Tombouctou fut une plaque tournante de cette traite qui déclina au plus fort de la traite occidentale, avant de reprendre de plus belle après les abolitions en Europe. Avec l’extension de l’Empire ottoman en Afrique du Nord, traite et esclavage restèrent florissants et des villes comme Alger, Tunis ou Tripoli, offrant de grands marchés d’esclaves, alimentés par des raids terrestres et également maritimes puisque d’elles partaient les pirates barbaresques pour razzier des esclaves chrétiens sur les rives nord de la Méditerranée. La traite arabo-musulmane a concerné pratiquement tout le territoire africain au nord du Zambèze, se divisant en plusieurs volets : transsaharien, sahélien, nilotique, et le moins connu, la traite zanzibarite qui saigna à blanc toute la région des lacs à partir de Zanzibar (…)
Le bilan que l’on peut tirer de tous ces témoignages (ici très résumés), c’est la progression inexorable des traitants arabo-musulmans à l’intérieur de l’Afrique de l’Est à partir de 1850 avec, en corollaire, le dépeuplement des régions parcourues. Ils illustrent bien le constat de Pétré-Grenouilleau : «Au 19e siècle, alors que la traite atlantique disparaissait progressivement, les traites orientales prirent une ampleur considérable, drainant entre 4,5 et 6,2 millions de personnes hors de l’Afrique noire continentale. Pour répondre à la demande croissante, les traitants arabes, Swahilis ou Africains islamisés, non seulement ouvraient des routes vers l’intérieur, mais, de plus, ils créaient des stations, fixes ou temporaires à l’intérieur du pays, pour y entreposer et y accumuler un maximum de « prises », avant de les ramener vers la côte […] Ce scénario eut pour résultat la mise à sac de régions entières, jusqu’aux Grands Lacs d’abord, puis bien au-delà, le fleuve Congo constituant une des grandes voies de pénétration » (…)
Il ne s’agit nullement de dédouaner l’Occidental mais de montrer qu’il n’y a pas de raison historique d’en faire le bouc émissaire des malheurs de l’Afrique. La traite occidentale, partie émergée de l’iceberg, a duré moins de 3 siècles : elle a commencé à la fin du 15e siècle pour les Portugais, mais beaucoup plus tardivement pour la France puisque le premier bateau négrier, l’Union, partit de Nantes en 1707. Elle s’est terminée un siècle plus tard pour la France, qui, comme la plupart des autres nations européennes, a aboli la traite à la suite du congrès de Vienne de 1815.
La traite négrière arabo-musulmane en Afrique a duré, elle, 13 siècles. Elle a été qualifiée de «génocide voilé» par l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diane qui écrit : «Bien qu’il n’existe pas de degré dans l’horreur ni de monopole de la cruauté, on peut soutenir […] que le commerce négrier et les expéditions guerrières provoquées par les Arabo-musulmans furent, pour l’Afrique noire et tout au long des siècles, bien plus dévastateurs que la traite atlantique» (…)”
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Tout le monde le sait mais aucun politique n’en a suffisamment dans le pantalon pour abroger ou amender la loi taubira. (qui d’ailleurs n’est à charge que contre la France).
10 mai , la journée des mémoires de la traite négrière par les Noirs , Arabes puis Blancs, de l’esclavage par les Noirs , Arabes puis Blancs et de leur abolition par les
Noirs , Arabes puisBlancs 😂 Question !
Si la traite des noirs a vraiment permis à l Occident de s’enrichir et de progresser dans les techniques diverses , pourquoi le monde musulman qui fit pire que nous 4 fois plus longtemps n’est–il pas à l’origine de l’aviation , du téléphone, du chemin de fer , pourquoi ?
Pourquoi?, avez-vous déjà vu un musulmans progresser en quoi que ce soit,sauf dans sa soumission à son coran, qui le garde taré 1000 ans derrière les autres civilisations!
J’adore les gauchistes avec leur raciste à géométrie variable, à oui j’oubliais ils ont également en eux, la haine d’eux-même et le genoux à terre stupide!
Encore une fois, je donne pas cher, pour l’avenir de cette génération de mollusques.
CIA…Bravo pour ce commentaire
Excellent et bravo!
because parce que ce sont des Hmars Gadol des nanes geriens des Halousy la preuve cherchez des ruines arabes!!!! que du sable du desert ,
https://www.youtube.com/watch?v=HCRw1TAPlQ8
M.sarfaty bon sens ,le gars ose dire la vérité et la réalité,les musulmans par honte,doivent vouloirs se lancer du haut d
une fenêtre...qu
ils sautent!Petite correction à l’article , Le fleuve Congo n’est navigable que jusqu’au chaudron (Matadi) au delà ce ne sont que rapides et irrégularités. Le Congo n’ était donc pas une des grandes voies de pénétration. Marin j’ai fait escale à Djeddah et vu beaucoup de clochards d’origine africaine anciens esclaves dont certain très abimés. C’était en 1963…
A travers l’histoire, tout les peuples devenus un moment dominants ont pratiqué l’esclavagisme et ce depuis que l’humain existe !
Sans doute ! Les premiers esclaves étaient des Slaves, d’où le nom “esclave” !
Qu
ils continuenrt a oculter; et ils font la joie des marchands d
esclaves encore en activite dans beaucoup de pays musulmans, Il est en plus en fait que dans les pays en guerre; les fractions islamistes font de la population des esclaves, ordinaires et sexuels; meme des enfants et personne s`insurge. Alors ecoutez bien messieurs les europeens; dans pas beaucoup de temps, vous verrez ceci en europe.Non seulement le contenu de cet article est parfaitement exact,et il était temps de remettre “les pendules à l’heure” mais pour des raisons évidentes de mise en page et de place, il ne s’gît que d’un “concentré” des événements, pour connaître la triste réalité avec des chiffres précis et des données rigoureuses,il convient de lire des ouvrages de spécialistes reconnus et compétents, parmi ceux-ci : “Esclaves Chrétiens et Maîtres Musulmans” de Robert C Davis, aux editions Jacqueline Chambon, il est professeur d’histoire à l’université de Colombus(Ohio) spécialiste de l’Italie de la Renaissance:Travail remarquable de précisions avec des statistiques,des références,et une bibliographie plus qu’impressionnante !
Il existe des centaines d’ouvrages sur ce sujet dont on ne parle jamais,bien sûr, et sur Internet on peut trouver quantité d’éléments.
Il est possible sans difficulté de consulter la liste des exactions Musulmanes depuis l’avénement de l’Islam jusqu’à nos jours qui a été publié par le journal Allemand “Die Welt”. Impressionnant !!
C’est tellement plus jouissif quand la vérité sort de la bouche d’un descendant d’esclavagistes algériens ! En une minute, le gars a débité toute la réalité de la traite des noirs par les arabo-musulmans durant des siècles !😄 La Taubira doit en faire des cauchemars…et MélenCon également !
Il y a quelques années, à Bruxelles, j’ai visité une exposition dans un centre culturel sur l’esclavage des Africains…pas un traître mot sur la traite des noirs par les Arabes !!! Ils avaient complètement (volontairement) occulté des siècles de ce commerce juteux aux mains des muzz!
Qui à mis au goût du jour le mot
EUNUQUES
Si ce n’est dans les Harems ,et autant que je sache , les Harems n’existaient pas en Europe.
Donc….
Pas besoin de remonter si loin pour prouver que l’esclavage entre africains a toujours existé et encore de nos jours, ce sont des traditions séculaires qui ont la vie dure, encore dans des familles nobles et depuis plusieurs générations. Gare aux africains de la caste des esclaves qui voudraient s’affranchir. La famille Traoré fait partie des nobles dans son pays d’origine et a toujours été esclavagiste.
Mali, la révolte des esclaves
https://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/mali-la-revolte-des-esclaves_1249313.html
Mali : «l’esclavage par ascendance», continue plus d’un siècle après son abolition
https://www.youtube.com/watch?v=4mioijD5DDI
Ne pas oublier que si les descendants noirs sont moins importants dans les pays arabes, cela est du à la très importante castration des esclaves mâles africains dont beaucoup mouraient de façon atroce.
c’est encore encré dans l’inconscient des arabes musulmans, la preuve dernièrement.
vidéo des insultes d’une noire sur sa couleur par une magrébine à carrefour
https://twitter.com/i/status/1400873045590528012
podcast radio
https://twitter.com/i/status/1401172463996788745
et la droite molle a bien suivi taubira sans rien dire sans rien ajouter
je m’en souviens
On est bien d’accord mais vue la manière dont on enseigne l’Histoire à nos chères têtes blondes depuis des décennies, nos enfants et même beaucoup d’adultes restent persuadés que nous sommes d’affreux esclavagistes.
Comme aucun gouvernement ne semble décidé à remettre les pendules à l’heure, nous aurons bientôt oublié le passé glorieux de notre pays pour le plus grand bonheur des nouveaux envahisseurs – pauvres immigrés, victimes de notre société et de notre « blanchitude » – qui, s’ils prennent le pouvoir, auront tôt fait de ruiner la France comme ils le font de leurs propres pays.
Des formes d’esclavage seraient encore en vigueur en Mauritanie et au Niger….entre autres .