Publié par Christian Larnet le 7 juin 2021

Dans les prochaines années, le monde pourrait se réveiller avec près de 60 laboratoires de virologie de niveau 4 à sécurité maximale.

Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !

En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.

Montant libre






La province de Guangdong a annoncé en mai qu’elle prévoyait de construire entre 25 et 30 laboratoires de biosécurité au cours des cinq prochaines années. Les installations seront disséminées aux quatre coins du globe, dans 23 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Inde, le Gabon et la Côte d’Ivoire.

“Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?”, s’est interrogé ironiquement le journaliste de droite Jack Posobiec.

L’actuel Institut de virologie de Wuhan est au centre d’une enquête des autorités américaines – malheureusement organisée par l’administration Biden, donc animée par des personnes qui sont en conflit d’intérêt, visant à déterminer si le COVID-19 a pu fuir de son laboratoire.

Environ 75 % de ces installations sont ou seront construites dans des zones urbaines, ce qui inquiète les experts du monde entier quant à la possibilité de nouvelles “fuites” de laboratoire.

Ces laboratoires, utilisés pour mener les recherches biologiques les plus dangereuses, ont proliféré au cours de la dernière décennie. Les scientifiques avertissent aujourd’hui que le relâchement des contrôles sur plusieurs sites pourrait entraîner une nouvelle pandémie.

“Plus il y aura de travaux de recherche, plus il y aura d’accidents”, a commenté Filippa Lentzos du King’s College de Londres, rapporte le Financial Times (1).

Richard Ebright, professeur de biologie chimique à l’université Rutgers, est du même avis :

“Plus le nombre d’institutions et d’individus ayant accès est important, plus le risque est grand.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.

  1. https://www.ft.com/content/a0badd5d-4d88-4a3b-b019-61c6d8275caa

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading