Publié par Jean-Patrick Grumberg le 5 juillet 2021

La semaine dernière, le président américain Joe Biden a posé un genou à terre devant Rivka Ravitz, chef de cabinet et chef de bureau du président israélien Reuven Rivlin, en apprenant qu’elle avait 12 enfants.

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“J’ai eu le privilège de rencontrer trois présidents américains de près. J’ai rencontré Obama dans le bureau ovale, Trump ici à Jérusalem et maintenant Biden. Il est difficile d’expliquer ce que l’on ressent lorsque le président de la plus grande puissance mondiale s’agenouille devant vous et s’incline en signe d’honneur”.

“Après s’être relevé”, poursuit Ravitz, “Biden m’a dit…

“J’ai une photo de ma mère ici, vous devez voir qui elle était”, et il m’a montré une photo de sa mère. “J’étais sous le choc, mais ensuite j’ai mis de l’ordre dans mes pensées”, a raconté Ravitz à Channel 12 News.

Pour moi, Biden s’est agenouillé devant ma mère, devant ma grand-mère, devant toutes les mères, où qu’elles soient. Il ne s’est pas incliné parce que je suis le chef de cabinet de la Résidence du Président, et il ne sait pas que je vais bientôt terminer mon doctorat. Il voulait exprimer sa reconnaissance pour la valeur de la famille, du foyer, de la maternité, du sacrifice pour élever la génération suivante”, a-t-elle ajouté.

Rivka Ravitz se trompe. Son récit est touchant, mais il n’empêche, elle est dans l’erreur totale.

Biden n’a strictement aucune reconnaissance pour la valeur de la famille, du foyer et de la maternité. C’est tout le contraire. Il est le président le plus hostile à ces valeurs, car ses décisions sont dictées par des personnes de la gauche radicale qui travaillent précisément, soigneusement depuis 50 ans à la destruction de ces valeurs.

  • Concernant la maternité, Biden est favorable à l’avortement jusqu’au 9e mois. Je ne m’avance pas beaucoup en disant qu’il existe de meilleures façons d’exprimer sa reconnaissance en la valeur de la maternité qu’en encourageant l’avortement.
  • Il est pour les mariages homosexuels, ce qui est précisément l’inverse des valeurs de la famille et de la maternité : les dernières tentatives de tomber enceinte faites par deux hommes ou deux femmes ne laissent pour l’instant aucun espoir de compenser la baisse de la natalité.
  • Joe Biden n’a pas prononcé un mot, une phrase, une allusion, au grave problème que rencontre la minorité noire américaine : les foyers monoparentaux. 70% des foyers noirs américains n’ont pas de père à la maison. Voilà une valeur à défendre, madame Ravitz, et ce n’est pas genoux à terre qu’on règle ce fléau mais la tête haute.
  • Et Biden ne fait strictement rien pour protéger les familles et les foyers contre le plus grand danger du moment : l’explosion de la criminalité et de la violence dans les villes.
  • Par ailleurs, s’il voulait protéger les familles et les foyers américains, Biden n’aurait pas facilité par ses ordres exécutifs, l’immigration illégale, qui coûte des fortunes aux foyers américains. Il aurait bouclé les frontières afin d’empêcher la drogue et les criminels d’entrer – pour protéger les foyers américains.

Vouloir comprendre le sens de la courbette du président, oui. Ignorer sa main droite et ne regarder que son genou, cela n’a pas de sens.

Pas une seule de ses décisions n’est en harmonie avec son agenouillement, et c’est pourquoi Ravitz, dont je comprends qu’elle a été très émue par le geste du président – et ce devait être un moment très émouvant – se trompe d’un bout à l’autre dans son interprétation.

Mais je reste à devoir expliquer le geste étonnant de Biden

Et cela suppose donc de spéculer, ce que je n’aime pas faire, parce que ce n’est pas du journalisme, même si tous les journalistes s’y livrent avec délice.

Si je dois me risquer à une hypothèse, et gardez-bien en tête que ce n’est qu’une hypothèse, j’en ai deux.

  • La première, Joe Biden a perdu une épingle à nourrice et il est en train de la chercher sur le tapis.
  • La seconde, pour le cas où ma théorie de l’épingle à nourrice soit disputée par le New York Times, est que ce vieillard a perdu pied avec la réalité. Il a perdu les pédales. Il sucre les fraises. Et cette théorie est attestée par les vidéos de lui : Il a des moments de lucidité, puis des oublis, c’est ce qu’on voit dans les vidéos de ses interventions et interviews. Une fois il est normal et répond de manière cohérente, trois fois il déraille et aligne des mots qui n’ont aucun sens, des phrases incompréhensibles, qu’il ne terme pas.

    Au G7, rappelle aujourd’hui un article de Dreuz, on le voit perdu, et sa femme a dû venir le chercher et le prendre par la main pour le conduire. La vidéo est facile à trouver.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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