Initialement publié le 5 juillet 2021 @ 08:30
Le déclin de l’Occident évolue à un rythme qui dépasse les prévisions les plus pessimistes, mais une grande partie de la population occidentale n’en a pas encore conscience, piégée dans un cycle sans fin de divertissements abrutissants de la télé-poubelle.
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L’Occident a abandonné ses valeurs judéo-chrétiennes, a cédé à des impulsions hédonistes et est devenu désespérément décadent. La civilisation occidentale s’est plongée dans une dégénérescence indolente.
Essaie 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »
Don Feeder, l’auteur de l’article ci-dessous, intitulé « How Nations Slip from greatness to Obscurity » s’interroge : l’Amérique est-elle sur le chemin d’un déclin permanent ?
Il brosse avec tristesse et amertume un tableau bien noir de l’Amérique d’aujourd’hui, non sans une pointe de nostalgie et une mince lueur d’espoir.
***
Les Hommes, comme les Nations, pensent être éternels. Quel être humain de 20 ou 30 ans ne croit pas, du moins inconsciemment, qu’il vivra éternellement ?
Au printemps de la jeunesse, un été sans fin semble nous attendre. Quand on passe le cap des 70 ans, il est plus difficile d’ignorer la réalité.
Les nations aussi ont des saisons. Imaginez un Romain du IIe siècle, contemplant fièrement un empire qui s’étendait de la Grande-Bretagne au Proche-Orient, certain que cela durera ad vitam aeternam. Hélas, son éternité dura environ 5 siècles.
La France était à la mode aux 17e et 18e siècles. Aujourd’hui, le pays de Charles Martel est en passe de faire partie de l’oumma musulmane.
Au 19e et au début du 20e siècle, le soleil ne se couchait jamais sur l’Empire britannique. Aujourd’hui, Albion vit dans un crépuscule perpétuel. Sa souveraine de 95 ans est le symbole d’une nation en phase terminale de déclin.
Dans les années 1980, le Japon semblait prêt à acheter le monde. Les écoles de commerce enseignaient les techniques de gestion japonaises. Aujourd’hui, son taux de natalité est si bas et sa population vieillit si rapidement qu’une industrie a vu le jour pour enlever les dépouilles des Japonais âgés qui meurent seuls.
Je suis né en 1946, quasiment au milieu du 20e siècle – le siècle américain. Le prestige et l’influence de l’Amérique ne furent jamais aussi grands. Grâce à la « Greatest Generation », nous avons gagné une guerre mondiale, qui se déroula sur la majeure partie de l’Europe, de l’Asie et du Pacifique. Nous avons réduit l’Allemagne en ruines et mis l’Empire du Soleil levant au lit.
Cela ouvrit la voie à près d’un demi-siècle de prospérité sans précédent. Nous avons stoppé la propagation du communisme en Europe et en Asie, et combattu le terrorisme international. Nous avons aidé nos ennemis à reconstruire leur pays et prodigué une aide étrangère à une grande partie du monde.
Nous avons bâti des gratte-ciel et lancé des fusées vers la lune. Nous avons vaincu la polio et le COVID. Nous avons exploré les mystères de l’Univers et les merveilles de l’ADN, l’empreinte de la vie.
Mais où est la gloire, qui était autrefois celle de Rome ?
L’Amérique est passée d’une économie relativement libre au socialisme, qui a « si bien réussi » ailleurs dans le monde. Nous sommes passés d’un gouvernement républicain guidé par une Constitution à un régime d’élites renouvelables. Notre liberté diminue d’année en année.
Comme un signe avant-coureur du règne de la terreur, la Cancel Culture est partout. Nous avons échangé la Révolution américaine contre celle de la Cancel Culture.
La pathétique créature de la Maison-Blanche est un récipient vide rempli par ses manipulateurs. Au sommet du G-7, sa femme, le Dr. Jill, a dû le guider comme un enfant.
En 1961, quand nous étions jeunes et vigoureux, nos leaders l’étaient aussi. Maintenant, une nation faible est techniquement dirigée par l’homme le plus âgé à avoir jamais servi à la présidence.
Nous ne pouvons défendre ni nos frontières, ni notre histoire (y compris les monuments de la grandeur passée) ni nos rues. Nos villes sont devenues des terrains de jeu pour les anarchistes.
Nous sommes une nation de dépendants, de mendiants et d’altruisme dévoyé. Les vétérans sans abri campent dans les rues tandis que les étrangers en situation irrégulière sont hébergés dans des hôtels.
Le président des États-Unis ne peut même pas citer correctement le début de la Déclaration d’Indépendance. Les diplômés de l’Ivy League* échouent régulièrement à des tests d’histoire que des élèves de cinquième année pouvaient facilement réussir, il y a une génération.
Les taux de criminalité montent en flèche, mais nous blâmons le second Amendement et réduisons les budgets de la police.
Notre culture est complètement folle
- Des hommes épousent des hommes. Des femmes se marient avec des femmes. Des hommes pensent être des femmes et vice-versa. Des gens combattent le racisme en cherchant à convaincre les membres d’une race qu’ils sont intrinsèquement mauvais, et les autres qu’ils sont des victimes perpétuelles. Une psychiatre woke donnant une conférence à Yale a déclaré qu’elle fantasmait sur le fait de « décharger un revolver dans la tête de n’importe quel Blanc ». (1)
- Nous massacrons les enfants à naître au nom de la liberté, des droits de la femme, alors que notre taux de natalité diminue d’année en année.
- Notre dette nationale est si élevée qu’il nous est impossible de prétendre pouvoir la rembourser un jour. C’est une dette colossale de 28 trillions de dollars, qui témoigne de notre imprévoyance et de notre refus de confronter la réalité.
- Notre « divertissement » est sadique, nihiliste et aussi durable qu’un emballage de tablette de chocolat jetée à la poubelle. Notre musique est un bruit qui va de l’agaçant au répugnant.
- Le patriotisme est appelé insurrection, la trahison est célébrée et la perversion sanctifiée.
- Un policier en uniforme bleu suscite moins de respect qu’un homme habillé en femme.
- On demande aux soldats de se battre, de sacrifier leur vie pour une nation à laquelle même nos dirigeants ne croient plus.
La façon dont la plupart se sont soumis docilement au Fauci-isme (le régime des masques et des désinfectants pour les mains) illustre bien la mort de l’esprit de liberté américain.
Pour passer de la Grandeur à l’Obscurité, il suffit aux nations :
- de mener des guerres sans fin qu’elles ne peuvent ou ne veulent pas gagner ;
- d’accumuler des dettes massives bien au-delà de leur capacité de remboursement ;
- de refuser de protéger leurs frontières, permettant ainsi à des hordes d’étrangers d’envahir leurs pays ;
- d’abandonner le contrôle de leurs villes à la loi du plus fort ;
- de permettre l’endoctrinement des enfants et des jeunes ;
- de perdre son identité nationale ;
- d’abandonner sa foi et la famille, les deux remparts de l’ordre social.
En Amérique, chacun de ces symptômes est présent, ce qui indique un stade avancé de la maladie.
Même si la cause semble désespérée, n’avons-nous pas une obligation envers tous ceux qui sacrifièrent leur vie pour nous donner ce que nous avions ?
« Les nations qui tombent en se battant se relèvent, mais celles qui se rendent docilement s’effondrent»
Churchill
Je suis entouré de fantômes qui me poussent à aller de l’avant : les soldats de l’Union qui ont défendu la colline du cimetière à Gettysburg, les Bastonneurs de Bastogne, ceux qui servirent dans l’enfer glacial de Corée, les gars qui allèrent dans les jungles de l’Asie du Sud-Est et rentrèrent à la maison pour être méprisés ou abandonnés à leur sort.
C’est la nation qui a accueilli mes grands-parents immigrés, dont mon père et la plupart de mes oncles ont porté l’uniforme pendant la Seconde Guerre mondiale. Je ne veux pas imaginer un monde sans l’Amérique, même si cela devient de plus en plus probable.
Aux heures les plus sombres de la Grande-Bretagne, quand son armée fut piégée à Dunkerque et qu’une invasion allemande semblait imminente, Churchill rappela à ses compatriotes que « les nations qui tombent en se battant se relèvent, mais celles qui se rendent docilement s’effondrent. »
Si nous laissons l’Amérique glisser entre nos doigts, si nous perdons sans combattre, que dira de nous la postérité ?
Le pronostic est loin d’être bon. Dieu seul sait si une Amérique brillant à nouveau au soleil reviendra !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Rosaly pour Dreuz.info.
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Source : «How Nations slip from Greatness to Obscurity» by Don Feder (FrontPage Mag) (Traduit par Rosaly)
* L’Ivy League est un groupe de huit universités privées du nord-est des USA. Elles figurent parmi les plus anciennes et les plus prestigieuses du pays. Le terme « Ivy League » a des connotations d’excellence universitaire, de grande sélectivité des admissions ainsi que d’élitisme social.
- https://www.dreuz.info/2021/06/le-fantasme-dune-psychiatre-democrate-vider-son-revolver-dans-la-tete-dun-blanc-au-hasard-246518.html
Et le vieillard qui croit diriger le pays vient de déclarer “America is back”
J’aurais plutôt dit “America’s future is dark” avec le sénile à la “présidence”
quand michel onfray disait que la civilisation occidentale était sur le délcin total…
avec la complicité des “progressistes”
que les réfractaires n’oublient pas d’aller voter
Il n’y a plus qu’Israël qui surnage ?
Israel n est pas a l abri de la decadence …maia par esprit de juif de ghetto ( de droite ou de gauche) comme vous le savez
Israël peut-être, les juifs eux sont à l’abri. Comme le disait Mark Twain, nous sommes immortels.
Merci pour cet article, Rosaly: C’est une bouffée d’oxygène 😶
Ah c’est facile pour vous de dire ça, chère Michelle, mais pour nous qui vivons sur place, c’est une bouffée de charbon noir !
Quelle déprime Rosaly ! Oui, ce qui est écrit est vrai, mais l’auteur regarde le mauvais coté des choses sans s’intéresser à ce qui est positif : et je sais de quoi je parle, je vis dans l’un des pires Etats d’Amérique, politiquement : la Californie, c’est presque le socialisme.
Mais c’est un article remarquable, et je suis content de l’avoir lu pour sa lucidité. Merci chère Rosaly.
Merci à vous cher Jean Patrick d’avoir pris le temps de le lire. 😀
L’auteur ne voit peut-être que le verre à moitié-vide, contrairement à vous, qui restez positif, mais lucide et réaliste, et là réside votre force. En lisant son article et en le traduisant, j’ai aussi ressenti une certaine déprime, mais rien n’est encore perdu. Il garde en lui une petite fleur d’espoir. J’espère qu’elle éclora un jour radieuse sous le soleil d’une Amérique débarrassée de l’obscurantisme de ses démons progressistes marxistes.
” Les ténèbres du monde ne pourront jamais éteindre, à force d’être noires, la flamme d’une bougie.” (proverbe chinois)
mais c’est exactement ce que disait le républicain Allen West : il a dit mot pour mot ” si l’ Europe est perdue , la flamme de la liberté n’est pas encore totalement éteinte en Amérique .
Merci Michelle
Comme le diraient les bouddhistes, la grande roue du Destin tourne inexorablement et ce qui, hier, était au sommet, se retrouve dans l’abîme aujourd’hui ! Pour nous, la chute de l’empire romain est l’exemple-type ! L’invasion massive de barbares hostiles et l’incapacité à gérer l’ordre étant donné l’étendue des territoires, la dissidence, la traîtrise et le multiculturalisme l’ont fait s’écrouler sur lui-même ! En ce qui nous concerne, tout n’est pas perdu si, comme le disait effectivement Churchill, nous sommes prêts à nous battre…mais le sommes-nous ? Il n’y a pas 10 alternatives, il n’y en a que deux : la soumission ou la guerre !
exactement la soumission ou la guerre , et j’ose espérer qu’on aura le courage de choisir la guerre . Les raisons qui ont provoqué l’effondrement de l’empire romain sont effectivement celles que vous avez cité mais vous en avez oublié une : le socialisme économique qui a ruiné l’économie de l’empire .
De nos jours le socialisme est également en train de ruiner les économies occidentales . Le socialisme qui ne marche JAMAIS a quasiment remplacé une vraie économie de marché . Meme les USA ne sont plus un vrai pays capitaliste alors que c’était encore le cas il y a 20 ans .
Bonjour Rosaly
Le tableau n’est pas réjouissant, mais heureusement le peuple américain a encore de beaux restes et la liberté reste le morceau de choix !
Beaucoup d’états américains réagissent en défendant le deuxième amendement, ce qui fait que le FBI, cette nouvelle police politique, a du soucis à se faire dans ces états.
L’invasion barbare et la criminalité galopante, le wokisme, les antifas et autre black lives matter, le green deal et l’inflation, les dépenses gargantuesques du gouvernement démocrate ainsi que toutes les attaques contre la liberté de penser, risquent de faire déborder le vase.
L’injustice flagrante et les mensonges d’état toujours plus nombreux, finiront peut-être par créer une réaction de révolte chez les plus placides des citoyens…
La gauche règne sur la faiblesse des gens en les transformant en assistés sans plus aucun repères; la droite en réaffirmant ses valeurs pourrait la balayer en renouvelant le rêve américain. Rien n’est perdu, mais la violence risque d’être au rendez-vous, parce que la liberté est la mère de tous les combats surtout au USA…
Bonjour Christopher
Comme vous, je reste malgré tout optimiste. Le peuple américain, le vrai, finira par l’emporter sur les ennemis de leur nation.
La Nature a fait que rien n’est éternel. Tout à une fin, seules les durées de vie sont différentes. Les papillons vivent quelques jours, les humains entre 80 et 90 ans, certains arbres plusieurs siècles, des cathédrales plusieurs dizaines de siècles et ainsi de suite.
La Nature a fait aussi que les choses disparaissant, cela ne relève pas d’une volonté mais d’événements dramatiques.
De l’histoire de l’Humanité, à ma connaissance, il n’a jamais existé de civilisation ayant disparu sans lutter pour sa survie.
Il est tout à fait innovant de voir que la civilisation occidentale a fait un choix voulu, volontaire, conscient, de décider de sa propre disparition. Le suicide est contre nature. Or les civilisations actuelles occidentales, essentiellement maintenant de gauche, même sous des étiquettes de droite, ont décidé consciemment ou inconsciemment leurs exterminations.
Alors, comme je l’ai dit bien souvent, le gros travail des historiens dans quelques siècles sera d’essayer d’expliquer comment une civilisation s’est auto détruite en faisant venir pour ce projet chez elle le système le plus meurtrier, le plus violent, le plus inhumain, le plus horrible qu’est l’islam.
Nous ne serons plus là, mais après de maintes et maintes recherches ils ne pourront en déduire qu’une seule chose : la folie.
En effet, ils essaieront de trouver mille et une raison pour qu’une civilisation décide de sa propre disparition et avec une ténacité remarquable puisque cela fait maintenant plus de 50 ans que cela dur, mais ne trouveront pas une seule raison pour justifier ce suicide.
Les historiens de l’avenir compareront la civilisation occidentale à une gigantesque secte qui a suivi ses gourous jusque dans la mort. En effet cette disparition programmée se fait dans l’indifférence quasi générale comme rappelé dans l’article.
Durant 45 ans de ma vie, j’ai essayé d’expliquer, de montrer, preuves à l’appui, démonstration à l’appui, faits à l’appui, évidence à l’appui, le processus de disparition de notre civilisation.
Dans la quasi-totalité des cas je me suis heurté à une indifférence effroyable et je suis même passé le plus souvent pour un emmerdeur.
C’est aussi un futur travail de recherche des historiens que de savoir pourquoi des peuples occidentaux ont été dans une indifférence cosmique alors qu’ils étaient en train de disparaître progressivement.
Il y a des choses que l’on croit que l’on ne rencontrera jamais durant sa vie, mais on se trompe. On peut être confronté à des éléments les plus inconcevables, inaccessibles, que l’imagination et la compréhension ne peuvent pas capter.
Nous sommes dans cet état là.
Merci de cet excellent article.
Bonjour Oryx
Merci pour votre excellent commentaire!
Nous assistons à une première. Dans l’Histoire de l’Humanité, jamais des peuples furent vendus à leurs ennemis par leur propre dirigeants et ce dans l’indifférence générale des citoyens totalement anesthésiés, au nom de la défense et du respect des valeurs européennes!!!
Notre civilisation disparaît car elle a oublié DIEU! Mais DiEU ne l’oublie pas….,àsuivre
Frontpage lui-même est une récente victime de la censure gauchiste qui sévit en Occident.
Le 3 mars dernier, le magazine en ligne a reçu l’email suivant de Disqus, une plateforme de réseaux sociaux utilisée par des centaines de milliers de sites aux USA permettant aux lecteurs de commenter les articles : “nous avons appris que votre site est inclus dans la liste des groupes propagateurs de haine établie par le Southern Poverty Law Center (*). La propagation de la haine constituant une violation des conditions d’utilisation de notre plateforme, nous ne pouvons plus accueillir votre site parmi notre réseau. Disqus sera exclu de votre site le 17 mars.”
(*) Le ‘Southern Poverty Law Center’ créé en 1971 par un gauchiste d’Alabama qui considère l’Amérique comme irrémédiablement raciste, prétend être une NGO spécialisée dans la traque des ‘groupes propagateurs de haine’; en réalité, un grand nombre de ses victimes n’ont rien à voir avec ‘la haine’, ce sont simplement des organisations diffusant de façon intelligente et pondérée les valeurs et principes conservateurs que le Centre exècre.
Pamela Geller, chez qui je publie des articles, s’est fait elle aussi faite éjecter de chez Disqus.
Bien entendu. Il faudrait vraiment arriver à se débarrasser de ce Centre scandaleux qui est la honte des NGOs honnêtes.
que de bons commentaires sur cet article Christopher Dee , Oryx , Atikva franchement en vous lisant je me soins moins seule .
Franchement sur Dreuz y a du niveau .
Merci i love the usa.
Nous devons former, et formons, une communauté solide de résistants contre tous ces dégénérés gauchistes puants qui ne veulent que la destruction de notre extraordinaire civilisation bâtie progressivement au fil des siècles, et la remplacer par une cohorte de sauvages assoiffés de sang, c’est-à-dire l’islam.
Tu, je, nous ne sommes pas seuls, nous sommes ensemble et unis malgré nos divergences naturelles.
Et oui, Dreuz a un certain niveau que peu d’autres sites patriotes atteignent.
Bien à toi.
Les Occidentaux, au nom d’un progressisme qui a perdu la raison, suivent bêtement les apprentis-sorciers qui les mènent vers le chaos.
D’autres, au nom des Droits de l’homme et des Libertés individuelles, entrent chez les Occidentaux sans frapper à la porte, obligent les autochtones à accepter leurs propres règles en attendant le moment opportun pour imposer à tous leurs lois.
Eric Zemmour ne cesse de nous rappeler que l’Histoire est tragique, mais ça ne semble pas perturber grand monde.
Je partage l’avis de J-P Grumberg, l’article de Rosaly est remarquable.
Merci Claude. J’éprouve une grande admiration pour Eric Zemmour et je me réjouis qu’il soit de plus en plus écouté, mais pas encore suffisamment pour susciter un sursaut salutaire et c’est regrettable, car il en va de notre avenir, de celui de nos enfants et de nos petits enfants.
Tellement vrai. De toutes façons à partir du moment où ils ne faisaient plus d’enfants, ils étaient foutus. Les envahisseurs arrivent toujours quand ils voient une civilisation fragile. A fortiori quand elle s’écroule de l’intérieur et que l’effort de conquête sera ridicule.
Discours de Orban du 21-09-2015
[…] Grâce aux « mass media » et à internet, il est maintenant clair pour tout le monde que l’Europe est riche, mais faible. C’est la combinaison la plus dangereuse.
Il semble parfaitement raisonnable de décider, pour ceux qui vivent dans les difficultés, d’émigrer vers un pays riche mais faible, afin de prendre leur part de bonheur, en l’occurrence dans nos pays. […]
Nous vivons le même cauchemar dans toute l Europe , nous sommes envahi , occupés , les jeunes envahisseurs se mettent a 15 pour tabasser a mort les blancs accusés de racisme par ces mêmes envahisseurs qui pillent l UE de ces richesses , ils nous tuent par milliers chaque année et les médias accusent leur peuple de racisme , c est de la démence
C´est le tableau de notre quotidien et il n´est pas beau!
“Tous les pays du monde ont une armée sur leur sol. Soit la leur propre, soit une armée d’occupation”
Environ 1900, Houston-Stewart Chamberlain pouvait légitimement constater que
« Le point décisif, c’est d’avoir acquis l’assurance qu’il dépend de l’énergie européenne d’étreindre la terre entière dans un avenir plus ou moins rapproché et, par là, d’échapper au sort des civilisations passées qui succombèrent sous l’assaut de forces barbares insoupçonnées et indomptées. »
(Houston-Stewart Chamberlain, “La Genèse du dix-neuvième siècle”, tome Ier, Introduction générale ; trad. Robert Godet ; Librairie Payot et Cie, deuxième édition, Paris, 1913, p. 19)
Eh bien, pour être raté, c’est raté !
https://lesobservateurs.ch/2019/02/15/la-gauche-na-plus-de-limite-morale-et-les-autres-partis-sont-sur-la-meme-voie/
« La gauche n’a plus de limite morale, et les autres partis sont sur la même voie »
Article publié le 15.02.2019
Interview de Laszlo Kövér, président de l’Assemblée nationale de Hongrie
[…]
– L’avenir de l’Occident :
Kövér est pessimiste pour l’avenir de l’Occident : il faudrait un miracle divin pour que certains pays retrouvent leur santé mentale. Kövér pense également que c’est tout l’avenir de l’UE qui va se jouer ce printemps, mais pas seulement.
Le mode de gouvernance dictatorial de l’UE ne peut plus durer. Surtout l’Europe de l’Est, avec son passé historique des années 90, n’acceptera plus la dictature de l’UE. Peut-être qu’il y aura un nouveau départ pour l’Union Européenne, ou bien elle va encore s’étioler et agoniser… mais par la dictature, ça ne tiendra plus. Cependant, quoi qu’il arrive, que l’Union Européenne s’effondre ou passe en phase d’agonie, l’avenir de l’Europe sera « marqué au fer rouge » après le 26 mai.
Pour Kövér, la question concernant l’avenir de l’Europe est simple. Est-ce que la politique européenne va renforcer la natalité et la politique familiale, ou continuera-t-elle à pratiquer le remplacement de population par la migration?
Si les Européens font des enfants, il y aura encore une Europe. Sinon, dans 50 ou 100 ans, il y aura un califat à la place. Les Maures ont déjà été historiquement présents en Europe, peut-être vont-ils peupler l’Europe future. De toute façon, il y aura du monde pour habiter cet espace européen.
Kövér pense que le premier devoir des gouvernants n’est ni le bien-être individuel, ni la satisfaction d’un idéal de liberté individuelle, mais bien de créer les conditions qui permettent la survie du pays dont ils ont la charge. Une fois que cette donnée essentielle – la survie de la collectivité – est établie, alors seulement l’on doit s’efforcer de satisfaire les exigences de liberté et de bien-être.
– Si l’individualisme pouvait être remplacé par le nationalisme en Europe de l’Ouest, pourrait-on renverser les tendances actuelles ?
Kövér répond ainsi : Les stalactites mettent des millénaires pour devenir grandes. C’est pareil pour les civilisations. Casser une stalactite qui a mis si longtemps à se former est possible en quelques secondes. Notre civilisation a mis des millénaires à se former. Cela a commencé bien avant l’ère chrétienne. La détruire serait possible en très peu de temps. Les médias publics (ou mass média) peuvent amener rapidement à cette destruction de notre civilisation.
Ces médias publics n’ont en réalité rien à voir avec le public, ni avec des médias (moyens de communication). Ce sont les outils de destruction de notre civilisation. La technique pour y parvenir repose sur des artifices faisant appel à des manipulations.
Actuellement, les normes non écrites communément admises précédemment ne sont plus respectées, le bon sens commun n’existe plus. Kövér fait allusion à la folie des Occidentaux:
– de céder l’Europe aux Maures,
– de faire entretenir ces derniers par le labeur des autochtones,
– de ne pas défendre ses frontières,
– de cultiver les théories du genre et leurs ravages.
Source : Bayer show du 10. 02. 2019 sur Echo TV (en hongrois; depuis 18:06).
Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch
****
Laszlo Kövér a une fidélité sans faille à l’égard de Viktor Orban. Il est à ses côtés depuis la création du Fidesz en 1988.
Octobre 2018 : Démocratie illibérale signifie pour les Hongrois une démocratie sans l’idéologie de la gauche – libéral étant pris au sens américain, c’est-à-dire gauchiste.
[…] Depuis 2014, lorsque le premier ministre hongrois Viktor Orbán a dit vouloir bâtir une société illibérale – par opposition à la société progressiste occidentale, qualifiée en anglais de liberal […]
[…] À ceux que l’analyse ci-dessus laisserait perplexe, je ne peux que recommander, en conclusion, de prendre le temps de méditer le passage suivant du discours prononcé le 15 mars 2018 par Viktor Orbán :
« Nous qui croyons aux États-nations, à la défense des frontières, à la famille et à la valeur du travail, nous sommes d’un côté. Et nous nous opposons à ceux qui veulent une société ouverte, un monde sans frontières ni nations, de nouvelles formes de famille, un travail dévalorisé et des travailleurs bon marché – tous régis par une armée de bureaucrates insaisissables. D’un côté, les forces nationales et démocratiques, et de l’autre côté, les forces supranationales et antidémocratiques. »
https://lesobservateurs.ch/2018/03/30/pourquoi-vouloir-la-tete-de-viktor-orban/
https://www.polemia.com/illiberalisme-fleurit-ancienne-europe-communiste/
L’illibéralisme fleurit dans l’ancienne Europe communiste
15 novembre 2018 | Polémia
Par Javier Portella, écrivain espagnol francophone, essayiste ♦
Lorsque, en regardant une carte, on pense à la situation politique, sociale et culturelle de l’Europe (c’est d’elle que je parle, non pas du machin de Bruxelles), on ne peut que se pincer en songeant à tout ce qui sépare les pays de l’Est et de l’Ouest de notre grande patrie.
Moi surtout, qui ai jadis roulé ma bosse dans les pays soumis alors au joug soviétique, je me pince encore plus fort. Non pas, toutefois, à cause du changement connu par le monde soumis hier à une décomposition telle qu’elle risquait d’emporter les assises mêmes de la civilisation. Je me pince parce que, en changeant de signe, la plupart de ces pays-là (la Hongrie, la Tchéquie, la Slovaquie, la Pologne, l’Estonie, la Russie…)[1] sont devenus le plus ferme rempart dressé contre ce qui maintenant se décompose et court des risques pareils – mais de façon tout à fait différente – dans la partie occidentale de l’Europe.
Il ne s’agit pas seulement de l’affrontement entre les gouvernements qui refusent et ceux qui encouragent l’immigration qui risque de remplacer l’être et le sens de l’Europe. Il s’agit de ce qui sous-tend un tel affrontement. Il s’agit de la lame de fond qui, de l’Irlande jusqu’aux rives de l’Elbe, fait que des élites dépravées, mues par leur soif mondialiste et disposant du consensus majoritaire (pour l’instant) de la population, prétendent rejeter toute forme d’identité : culturelle, historique, nationale… voire sexuelle. Ou ce qui revient au même, elles visent (qu’elles s’en aperçoivent ou pas) à n’être strictement rien : rien que d’amorphes zombies agissant au gré de leurs caprices, divertissements et convoitises économiques.
C’est là tout le contraire que visent les peuples soumis hier au communisme. Ce qui est en jeu chez eux, c’est de continuer à être ce que, pendant plus de cinq mille ans, de façons différentes mais rassemblées dans le faisceau d’une même civilisation, nous avons tous été : des hommes pleins de sens et confrontés au non-sens, marqués par le destin, conscients de notre identité.
L’identitéL’identité : voilà le mot clé. Voilà l’enjeu qui se dresse de part et autre de ce nouveau rideau séparant ceux qui prétendent assumer leur être et ceux qui, voulant s’en défaire, prétendent arracher leur chair et leur sang, souhaitent ne plus avoir de signes d’identité : ni historique, ni nationale, ni même sexuelle (celle qui distingue les hommes et les femmes dont le sexe, selon certains délires, ne serait pas déterminé par la nature mais par la volonté).
Certes, le mur qui sépare les uns et les autres est traversé de bien des fêlures. Les choses sont loin d’être univoques en Europe occidentale, dont les peuples commencent à se révolter contre le pari que leur super-classe apatride fait en faveur du néant. La frontière est mouvante entre les deux formes d’être au monde qui sont en jeu (l’Italie est, par exemple, en train de passer maintenant du côté de ceux qui misent sur l’identité), mais cette frontière est encore nettement délimitée : c’est celle de l’ancien rideau de fer.[2]
Pourquoi ?
Pourquoi l’expérience de l’horreur que fut le communisme a fini par déboucher sur des sociétés qui sont spirituellement les plus saines aujourd’hui de l’Europe ? Et l’inverse. Pourquoi dans les sociétés riches et démocratiques d’Occident l’expérience de leur paisible bien-être (qu’une croissante précarité entame toutefois) a par contre débouché sur une telle décomposition ?
Pour deux raisons.
Une décomposition plus visible qu’une autreTout d’abord, parce que la décomposition communiste était telle – tellement grossière, tellement impudente, tellement effrontée – que, n’ayant pas réussi à tromper ses victimes, elle a fini par s’effondrer sans marquer personne. C’est tout le contraire qui se passe avec la décomposition déployée en Occident avec tant d’adresse, de subtilité et de leurres que ce n’est que maintenant qu’on commence à s’en apercevoir vraiment.
La déchéance qu’entraîne le nihilisme libéral est, en effet, d’un raffinement si diabolique que ses deux grands artifices – une égalité de conditions et une liberté politique qui restent purement formelles (note PR : toute égalité réelle de condition est une horreur à la Mao et la liberté politique n’est pas formelle en Occident… et ailleurs ) – ont réussi à s’incruster dans le cœur des populations convaincues que la mainmise qu’elles endurent – celle notamment de la « pensée unique » et du « politiquement correct » – n’est rien d’autre que l’expression même de leur liberté.
Or, si cela explique l’emprise du nihilisme libéral en Occident, cela n’explique pas pourquoi c’est l’illibéralisme […]