A l’occasion de la sortie en France de la traduction de son livre à succès « Sword and Scimitar: Fourteen Centuries of War between Islam and the West », sous le titre L’épée et le cimeterre*, Raymond Ibrahim publie sur American Thinker un extrait de l’interview qu’il a accordée au site La Nef, dont nous vous proposons la traduction.
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L’Américain Raymond Ibrahim vient de publier une histoire fascinante et érudite des conflits séculaires entre l’islam et le christianisme : L’épée et le cimeterre* (Editions Jean-Cyrille Godefroy). Ce livre est le récit quasi exhaustif des quatorze siècles d’antagonismes et de combats, majeurs ou mineurs, qui se sont déroulés…..
Ibrahim montre que les forces musulmanes obéissaient essentiellement à une logique religieuse, messianique, expansionniste et conquérante
Historien, linguiste et philologue, spécialiste des langues orientales, Ibrahim a méthodiquement exploité des sources de première main, tant musulmanes qu' »occidentales », et a consulté de nombreux manuscrits de la Bibliothèque du Congrès à Washington.
Son livre n’est pas seulement une chronique détaillée des batailles, c’est aussi et surtout une analyse rigoureuse des intentions et des stratégies des différents chefs de guerre. Ibrahim montre que les forces musulmanes obéissaient essentiellement à une logique religieuse, messianique, expansionniste et conquérante, alors que les armées chrétiennes voulaient avant tout récupérer des territoires qui, pendant des siècles, avaient été romains, grecs et chrétiens. Il montre aussi que la ferveur religieuse des islamistes d’aujourd’hui recoupe exactement les dogmes islamiques ancestraux, que les réactions occidentales sont des mécanismes d’autodéfense vieux de 1400 ans, et que les rivalités actuelles sont le reflet d’une lutte existentielle très ancienne. Nous l’avons interviewé pour La Nef.
La Nef : L’hostilité entre l’islam et le christianisme est-elle un accident de l’histoire ou s’inscrit-elle dans la continuité de l’histoire de l’islam ?
Tous ces groupes se sont appuyés sur la même logique et la même rhétorique djihadistes que les groupes terroristes contemporains tels que l’État islamique
Ibrahim :
Elle s’inscrit très certainement dans un continuum. Le problème est que les historiens modernes ont tendance à mettre de côté cet aspect religieux et à se concentrer plutôt sur les identités nationales. Par exemple, nous savons que pendant des siècles, un grand nombre de peuples » orientaux » ont envahi et parfois conquis des parties de l’Europe. Les historiens modernes leur donnent une variété de noms – notamment Arabes, Maures, Berbères, Turcs et Tatars ; d’autres fois, ils les appellent Omeyyades, Abbassides, Seldjoukides et Ottomans. Ce que les historiens modernes omettent de faire, cependant, c’est de souligner que tous ces groupes se sont appuyés sur la même logique et la même rhétorique djihadistes que les groupes terroristes contemporains tels que l’État islamique. Qu’il s’agisse des Arabes (ou « Sarrasins ») qui ont envahi la chrétienté pour la première fois au VIIe siècle, ou des Turcs et des Tatars qui ont terrorisé l’Europe de l’Est jusqu’au XVIIIe siècle, tous ont justifié leurs invasions en invoquant l’enseignement islamique, à savoir que le « destin » de l’Islam est de régner sur le monde entier par le biais du djihad. Ils ont également suivi les injonctions juridiques classiques consistant, par exemple, à offrir aux « infidèles » trois choix avant la bataille : la conversion à l’islam, l’acceptation du statut de dhimmi et le paiement du tribut (jizya), ou la mort. Et, une fois qu’ils ont conquis une région chrétienne, ils ont immédiatement détruit ou transformé les églises en mosquées, et vendu tous les chrétiens qui n’ont pas été massacrés à un esclavage abject, et souvent sexuel.
Le degré d’ignorance de l' »Occident » moderne est évident lorsqu’il affirme que des groupes comme l’État islamique ne se comportent pas selon l’enseignement et la doctrine islamiques. En fait, non seulement ils agissent en stricte conformité avec la vision traditionnelle du monde de l’islam – haïr, combattre, tuer et réduire en esclavage les infidèles – mais ils imitent souvent intentionnellement les grands djihadistes de l’histoire (comme Khalid bin al-Walid, le « sabre d’Allah ») dont l’Occident a tendance à ne rien savoir.
Pensez-vous que le terme » Occident » masque l’histoire réelle car il laisse entendre que les terres » orientales » et nord-africaines conquises par l’Islam (Syrie, Egypte, Asie Mineure, Afrique du Nord), soit les deux tiers des territoires chrétiens d’origine, ne faisaient pas vraiment partie de l’héritage chrétien gréco-romain, contrairement à ce que l’on dit habituellement des régions chrétiennes des Balkans ou Hispaniques ?
Oui, tout comme l’Europe post-chrétienne et ses ramifications (l’Amérique, l’Australie, etc.) ne comprennent pas la véritable histoire de l’islam, ils ne comprennent pas non plus leur propre histoire, en particulier l’impact de l’islam. Ce que l’on appelle aujourd’hui « l’Occident » a été pendant des siècles connu et délimité par l’étendue territoriale de sa religion (d’où le terme plus ancien et historiquement plus exact de « chrétienté »). Elle comprenait toutes les terres que vous mentionnez et bien d’autres encore ; elles étaient devenues chrétiennes plusieurs siècles avant l’arrivée de l’Islam et faisaient partie de la même civilisation globale.
Puis l’Islam est arrivé et a violemment conquis la majorité de ces territoires, certains de façon permanente (le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, l’Anatolie), d’autres de façon temporaire (l’Espagne, les Balkans, les îles de la Méditerranée).
Pendant ce temps, la majeure partie de l’Europe est devenue le dernier et le plus redoutable bastion de la chrétienté à ne pas être conquis, bien que constamment attaqué par l’Islam. Dans ce sens (oublié), le terme « Occident » devient ironiquement exact. Car l’Occident était en fait et littéralement le vestige le plus occidental d’un bloc civilisationnel beaucoup plus étendu que l’Islam a définitivement coupé. Dans l’ensemble, cependant, le terme « Occident » ne tient pas compte de sa propre histoire avec l’Islam et de sa troncation par celui-ci. Il implique en outre que tous ces pays « orientaux » conquis par l’Islam n’ont jamais fait partie de la « civilisation occidentale », alors qu’ils étaient en fait les premiers héritiers de son héritage gréco-romain et chrétien.
La bataille de Manzikert, qui fut pour les Turcs ce que Yarmuz fut pour les Arabes, est célébrée comme une grande victoire de l’Islam par Erdogan et les dignitaires turcs. En revanche, les dirigeants de pays comme la France et l’Espagne préfèrent ignorer ou sous-estimer l’importance historique de Tours-Poitiers ou de Las Navas de Tolosa. De nombreux universitaires français ne considèrent plus la bataille de Poitiers-Tour (732) comme un « tournant » mais plutôt comme un « épisode mineur de raid ». Faut-il voir dans cette attitude les signes du renouveau de l’islam combattant et, à l’inverse, du pacifisme et du renoncement européens ?
La honte que ces élites éprouvent à l’égard de leurs ancêtres et l’éloge qu’elles font de leurs ennemis sont révélateurs du degré auquel elles ont été endoctrinées
Oui, vous devriez très certainement le regarder ainsi, car c’est précisément ce que ces positions signifient. Mais je dirais que, pour l’élite européenne, la question est pire que de simplement » minimiser » les victoires défensives de leurs ancêtres contre l’Islam. Certains les condamnent activement. Pour un nombre croissant d’Espagnols, par exemple, la Reconquista – des siècles de guerre pour libérer l’Espagne de l’Islam – est une source de honte, un rappel de l' »intolérance » et de l' »arriération » de leurs ancêtres, en particulier vis-à-vis des musulmans d’Al-Andalus, supposés « tolérants » et « avancés ». En réalité, la honte que ces élites éprouvent à l’égard de leurs ancêtres et l’éloge qu’elles font de leurs ennemis sont révélateurs du degré auquel elles ont été endoctrinées dans une « histoire » aux antipodes de la réalité.
Le sentiment de solidarité chrétienne a disparu de nos jours, non seulement chez les politiciens et les chancelleries européennes, mais plus généralement dans l’opinion publique. Qu’en est-il des musulmans qui connaissent l’histoire de l’islam ? Considèrent-ils que le concept de djihad contre les infidèles fait partie intégrante de l’islam ?
Le musulman moyen est de loin beaucoup plus instruit de l’histoire de l’Islam que l’Européen moyen ne l’est de sa propre histoire
Oui absolument, surtout ceux qui connaissent l’histoire – et le musulman moyen est de loin beaucoup plus instruit de l’histoire de l’Islam que l’Européen moyen ne l’est de sa propre histoire. Pire encore, comme nous l’avons mentionné, les Européens ont tendance à être » instruits » – c’est-à-dire endoctrinés – dans de fausses histoires, conçues pour diaboliser leur passé et leur héritage, tout en blanchissant le passé et l’héritage des autres, dans ce cas, les musulmans. Le djihad contre les infidèles fait en effet partie intégrante de l’islam, documenté et validé partout – dans le Coran, les hadiths (puis la Sunna) et le consensus de la umma. Aucun religieux musulman faisant autorité (ou ‘alim, singulier de ‘ulema — « ceux qui savent »), passé ou présent, n’a jamais nié cela — sauf, bien sûr, lorsqu’il s’exprime devant des auditoires « infidèles » et pratique la taqiyya.
Les musulmans » militants « , » extrémistes » ou » islamistes » sont-ils fidèles à l’islam ou le prennent-ils en otage pour leurs propres intérêts politiques ?
Comment pouvons-nous qualifier ces musulmans de « militants » et d' »extrémistes » ? Il semble plus logique de qualifier l’islam lui-même de « militant » et d' »extrême »
L’essentiel est qu’il n’y a pratiquement rien que ces types de musulmans fassent qui ne fasse déjà partie de leur religion et de leur héritage. Par exemple, toutes les dépravations auxquelles s’est livré l’État islamique – réduire en esclavage, vendre et acheter des « esclaves sexuels » infidèles ; décapiter, crucifier et même brûler vifs des infidèles ; détruire ou transformer des églises en mosquées – ont été commises d’innombrables fois au cours des siècles par des musulmans, toujours au nom du jihad. De telles dépravations sont d’ailleurs définies comme étant au moins « permises » par la loi islamique. Comment pouvons-nous alors qualifier ces musulmans de « militants » et d' »extrémistes » ? Il semble plus logique de qualifier l’islam lui-même de « militant » et d' »extrême », non ?
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Les pieds noirs et les juifs ont l’expérience vécue au contact , les chrétiens ont racheté suffisament d’esclaves pour bien connaître le sujet , mais les gens de gauche athées (ainsi que les franc-maçons qui noyautent nos institutions) s’en moquent comme de leur première chaussette .
Bravo, précis et concis ! Tout est dit:
Recommandé par une amie juive américaine, j’ai immédiatement acheté ce livre dès sa sortie. A consommer sans modération. De même que le remarquable et remarqué « Crucified again » du même auteur sur les persécutions des Chrétiens en terre d’islam. Dans « Sword and Scimitar », l’auteur, qui n’a pas froid aux yeux, vient avec des faits insolents sur quelque huit grandes batailles entre l’islam et l’Occident à des époques où ce dernier ne se laissait pas faire. Attention, c’est de l’histoire militaire et cela peut rebuter mais le livre est très bien écrit (c’est clair et concis) et très bien documenté (les sources et références fournies y sont abondantes). A mon tour, je recommanderai également le très bon « Jihadi Dictionary » de Nancy Hartevelt Kobrin qui complètera l’étude de la stratégie de l’islam conquérant, message de paix et d’amour, bref un grand ami qui nous veut tellement de bien !
combien de non musulmans dans les pays d’islam ?
la valise ou le cercueil ça a commencé avec les arménien de turquie, ça n’a pas arrêté depuis,
-« Le musulman moyen serait de loin beaucoup plus instruit de l’histoire de l’Islam que l’Européen moyen ne l’est de sa propre histoire. » La chose n’est pas assurée. En tout cas l’ignorance de l’histoire, des guerres de religion, de la Révolution française, des luttes pour la séparation de l’Eglise et de l’Etat, est manifeste chez les plus instruits d’entre eux( fermés aux principe sd el’évolution de s peuples et des cultures . Le plus incompréhensible est la cécité des « progressistes » qui redécouvrent ‘le fil à couper le beurre » malgré leur illusion de la page blanche. Le passé résiste au présent au bon sentiment et la peur de passer pour xénophobe, essentialiste etc.C’est l’éternel retour; ils gardent une morale de dhimmi, pour ne pas dire d’esclave tout en se voulant rebelles. Tragique
Bien sûr que les musulmans sont beaucoup plus instruits que les chrétiens! A la Mosquée, ils recoivent une véritable éducation d´histoire, de religion, de politique…qui leur permet de « défendre leur cause »,… et il n´est , bien sûr, plus possible pour eux de sortir de leur carcan mortifère
Il est bien en Retard le Monsieur …
Il y a hélas des Générations et des Générations , que ceux qui ont cohabiter avec ce monde Musulman le savent..
Et ce n’est pas près de s’améliorer , loin s’en faut….
Qu’ont-ils attendu pour nous informer de manière plus offensive puisque nous ne savions pas entendre ? Et donc Raymond Ibrahim fait partie de ceux qui comblent ce retard en étant plus offensif par ses livres, son érudition, ses conférences, Internet, etc.. Quand je dis « nous ne savions pas entendre », il ne s’agit ni de vous, ni de moi mais de nos z’élites, vous savez, ceux qui sont élus afin de s’occuper de la chose publique dont notre sécurité individuelle et collective fait intégralement partie en tant que tâche régalienne.
je vais simplement enregistrer ce document, et je l’envoie aux imbéciles d’ignards de députés de mon département, qui nous emmènent à la soummision.
faites en autant………………
Remarquable lecture du volet chrétienté/islam de nos évolutions respectives, j’espère trouver ce livre en ebook.
Pour ce qui est de l’autoflagellation des espagnols et particulièrement des andalous, je n’en vois qu’une explication : le complexe d’infériorité sublimé de ceux-ci par rapport à l’Europe. Ce sont les mêmes qui acceptent le rejet qu’ils reçoivent des latino-américains.
La conquête musulmane n’a jamais cessé mais aujourd’hui, la cohorte des ennemis est dans nos murs ! Elle a le vent en poupe, choyée et défendue par une masse de collabos « progressistes » mais aussi par des chrétiens et des juifs ! Nous sommes empêtrés dans nos propres contradictions et nous n’avons plus la notion d’unité face à l’agresseur ! Idem à l’international…qui a levé le petit doigt pour arrêter la récente conquête du Haut Karabagh en Arménie par le mégalomane d’Ankara au profit de l’Azerbaïjan ainsi que le vol des terres chypriotes ?
@aster: le parallèle que vous établissez avec l’Azerbaïdjan et Chypre est judicieux. En effet, d’après les Turcs, Chypre leur appartenait avant les Grecs. Et donc que dire d’Israël qui était juive BIEN LONGTEMPS avant que le peuple palestinien ne soit inventé? Idem avec le Haut Karabagh qui est arménien de facto. Que fait-on également des minorités russes qui continuent de vivre dans les Pays Baltes, certes aujourd’hui indépendants, mais qui furent longtemps sous occupation soviétique càd. russe? Ce n’est pas moi qui fais le droit international bien évidemment, mais je hais par dessus tout l’incohérence ainsi que les deux-poids-deux-mesures. Et je me fous de savoir si les contextes sont différents car au final ce qui est différent ce sont les risques et donc les peurs. Israël ne fait pas peur. Mais la Turquie fait peur. La Russie fait peur. La Chine fait peur. L’islam fait peur. Et pourtant, y faut pas avoir peur de ces clowns. Depuis 1945, l’Occident laisse tout faire. Il n’y a eu que Mrs Thatcher pour remettre l’Argentine à sa place avec l’aide de Pinochet. C’était un vrai leader et une autre époque. On riait de l’exploit Mathias Rust qui avait atterri avec son Cessna sur la Place Rouge. Aujourd’hui, des Mathias Rust turcs, chinois ou russes pourraient atterrir facilement sur la Grand’Place de Bruxelles. Nos z’idiots z’utiles les prendraient pour des réfugiés et les feraient défiler à la gay pride.
d’ailleurs en parlant de ce qui s’est passé au Haut Karabagh . Il y avait une vidéo particulièrement choquante diffusée sur Twitter ou on voyait un Chrétien un monsieur agé se faire égorger par des soldats Turques . La vidéo a bien sur était censurée rapidement . A ce moment là , j’ai eu honte d’etre Européenne .
Au lieu d’envoyer nos soldats se faire tuer en Afrique , les pays d’Europe auraient du intervenir , ne serait ce que pour protéger ces Chrétiens puis leur offrir l’asile politique . Il la méritent contrairement à d’autres .
Merci!Tout y est si bien dit, mais qui comprendra ou qui osera se poser la question de l´exactitude de ces affirmations? Les racines de l´islam sont destruction et mort, pas d´arbre vert…
Excellent cet article, publié le 25 juillet, jour de Santiago, saint qui accompagna, avec succès, les troupes espagnoles lors de la Reconquista.
Je dois lire ce livre.
oui, lisez le coran, mais plume en main, relevez tous les versets qui vous font enrager, par catégories: assassins(tuez les tous), misogynes (la femme est un champ à labourer à loisir) , sadiques(du cuivre fondu à boire et des herbes sèches à manger pour les mécréants), scientifiques (la terre est plate comme un tapis) etc.
La mafia et ses mécanismes sont connus depuis des dizaines d’années, on a réussi à l’éradiquer? Non.
Pourquoi? Parce que c’est dans l’intérêt de beaucoup de gens.
Notre société produit beaucoup de gens qui trouvent que la nature n’a pas été juste avec eux et qui sont prêts à se battre pour corriger cette injustice.
Je veux pas dire que cette idéologie n’est pas à dénoncer et combattre, je veux juste dire que le problème est plus profond et qu’il ne faut pas l’oublier. Quelle différence entre le Nazisme, le communisme, l’Islamisme, si on veut regarder les choses sous l’angle du vol? Même notre faux capitalisme occidental génère son vol.