Après le vol de la présidentielle au profit d’un homme qui n’a plus toute sa tête (il a déclaré cette semaine qu’il “vient de se rendre à l’usine de bus de Proterra” alors que c’était il y a plus de 2 mois, et que c’était virtuel), la débâcle électorale de la ville de New York sape davantage la confiance dans les élections.
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Le conseil électoral de la ville de New York a supprimé 150 000 voix au gagnant dans la course à la mairie, et cette débâcle a une importance nationale.
La confiance dans les élections à l’échelle nationale a connu une chute vertigineuse au cours des dernières années, l’intégrité des systèmes électoraux américains ayant été dénoncée par l’ancien président Donald Trump à partir du mois de mai 2020, et les élections se sont soldées par des comportements suspects et de fraudes massives lors de l’élection présidentielle de 2020. Par le jeu d’une coïncidence miraculeuse, la fraude a eu lieu exclusivement dans 6 très grosses villes démocrates de 6 Etats qui votent tantôt démocrate, tantôt républicain, dans la nuit du 3 au 4 novembre, où, en quelques heures entre 23h et 4 heures du matin, l’avancée de Trump qui lui donnait une large victoire présidentielle a été totalement effacée. Comme à New York pour Eric Adams, qui était en tête et a vu son avantage effacé.
Dans la ville de New York, les responsables électoraux ont publié des résultats mardi qui donnaient une confortable victoire à Eric Adams. Puis les chiffres ont changé après qu’ils aient affirmé que leurs chiffres étaient erronés. Le conseil a ensuite annoncé qu’il avait compté accidentellement 135 000 bulletins de vote test, alors que par le jeu d’une coïncidence miraculeuse, Adams avait 140 000 voix d’avance.
- Le président de l’arrondissement de Brooklyn, Eric Adams, détenait une avance importante dans la primaire démocrate pour la mairie après le premier tour de scrutin.
- Mais la première vague de dépouillement des bulletins de vote, ce mardi, a vu l’ancienne commissaire à l’assainissement Kathryn Garcia dépasser l’avocate des droits civiques Maya Wiley et réduire l’avance d’Adams à presque rien.
Trump n’a pas manqué, mercredi matin, de comparer ce qui s’est passé à New York avec lui. C’était “comme pour l’élection présidentielle de 2020”, a-t-il expliqué. Il a publié une deuxième déclaration plus tard dans la matinée, modifiant son affirmation pour dire que la mauvaise gestion des bulletins de vote à New York était en fait moins grave que ce qu’il a subi, car les résultats de New York sont “bien plus précis” que l’élection de 2020.
Certains Démocrates ont également affirmé que des élections entières ont été volées
- La Démocrate Stacey Abrams affirme toujours qu’elle a remporté les élections de Georgie en 2018, et que le gouverneur de Géorgie, le républicain Brian Kemp, lui a volé l’élection par la fraude.
- En novembre 2000, Al Gore a affirmé que l’élection lui a été volée par Bush.
- Dans Rolling Stone, Robert F. Kennedy Jr. affirmait encore en 2004 que “de nouvelles preuves” démontraient que Bush avait volé l’élection.
Rick Hasen, un expert en élections, a averti dans son livre “Election Meltdown” que quatre “principaux dangers” pour la démocratie peuvent mettre en péril les élections :
- La réelle suppression d’électeurs,
- les manœuvres frauduleuses,
- la rhétorique incendiaire sur les élections “volées” ou “truquées”, et les allégations de “suppression d’électeurs” par les Démocrates, qui ne sont jamais étayées par des preuves claires, mais des suppositions, sapent la confiance dans les élections,
- et enfin, les “poches” d’incompétence dans des systèmes électoraux anciens et défaillants.
M. Hasen a précisé :
“Si New York était un État républicain, il y aurait des protestations dans les rues et on parlerait de suppression d’électeurs, parce que la ville gère si mal ses élections. Mais il obtient un laissez-passer, parce que c’est un État démocrate”, a-t-il déclaré à Yahoo News l’année dernière.
- La Gotham Gazette, un site d’information new-yorkais géré par une organisation de surveillance du gouvernement, a écrit :
Le conseil électoral de la ville de New York est une créature de la loi de l’État, avec des nominations politiques et des embauches par favoritisme, connue pour son dysfonctionnement et son ineptie dans sa mission principale de gestion des processus essentiels à la démocratie locale.
https://www.gothamgazette.com/city/10613-ranked-choice-runoff-tight-mayor-race-120-000-absentee-votes-rcv
Mais les commentaires de Hasen et de la Gotham Gazette mettent en évidence l’impact majeur de l’embarras électoral de la ville de New York : il devient beaucoup plus difficile pour les médias et les Démocrates de réfuter les exemples de fraude et de suppression intentionnelle des votes des dernières élections, d’autant que des audits sérieux et effectués dans les règles de l’art ont commencé en Arizona, en Georgie, et que d’autres Etats veulent suivre afin de redonner confiance aux électeurs.
Conclusion
Pour moi, Donald Trump est entièrement responsable de son échec en 2020 : il savait qu’il y aurait une fraude massive, mais il a trop compté sur sa popularité, et pensé qu’elle serait plus forte que la fraude. Il ne s’est pas douté que la plupart des tribunaux refuseraient d’entendre les affaires, ni que ses avocats seraient si … “exotiques”. Et il a été inactif le 4 novembre au matin : il aurait dû faire saisir les machines des 6 villes qui sentaient le plus mauvais, et engager la plus grande firme d’analyse Data pour exposer les anomalies.
Pour moi, la fraude électorale fait partie de la vie politique, mais je ne l’imaginais pas si importante. Même si JF Kennedy a été élu grâce à une fraude massive et l’aide de la mafia.
Voici ce que George Kenney écrivait dans le numéro du 2 novembre 2012 de In These Times. Oui, en 2012…
Dans de nombreux États, y compris des États clés, les responsables gouvernementaux ne garantissent pas que les votes puissent être comptés, ni, dans certains cas, comptés avec précision, ni, dans d’autres, comptés du tout. La mécanique des systèmes de vote américains, selon les normes internationales, se traîne au niveau d’un échec lamentable du tiers monde.
Une grande partie – voire la plupart – de nos problèmes actuels en matière d’audit électoral peuvent être attribués à la prolifération des machines à voter électroniques. Des machines sans papier qui ne laissent aucune preuve vérifiable de qui a gagné, qui a perdu ou qui a volé une élection.
https://inthesetimes.com/article/the-threat-of-a-stolen-election
Que dire de plus ? Que ce sont des paroles, et qu’en l’absence de preuve, cela reste des paroles. C’est exact. C’est cependant ce qui vient d’arriver à New York à Eric Adams, c’est ce qui est arrivé en novembre 2020 à Donald Trump, et ce qui arrivera en 2022 et 2024 si les politiciens ne veulent pas que ça change. Et j’ai une confiance très limitée dans les politiciens.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Merveilleux texte. Mille fois bravo !
Avec ses preuves constatées de fraude, l’Amérique devient un état policier. Mc Carthy a fait des émules.
Sauf que McCarthy pourchassait les gauchistes communistes à qui nous devons la déliquescence actuelle de l’Occident.
Il a surtout poursuivi des innocents.
Innocents… les communistes? Entre les incurables jobards toujours ennivrés de mythes éculés et les dictateurs qui les manipulent dans l’ombre, personne n’est innocent.
Bonjour, Je trouve vraiment injuste d’accuser le Président Trump. Même si je n’adhère pas à la mentalité de victimisation des fausses-victimes, je pense que oui, le Président Trump a été victime non pas de son assurance comme dit, mais de la perversité diabolique des Démocrates. Qui aurait pu imaginer que les Démocrates et l’État profond auraient manigancé à un tel point ? Même le Président Trump, pourtant aguerri, n’a pas vu venir cette perfidie historique. Oui, il aurait dû faire ci et ça, avec le recul, tout semble clair ; mais dans le feu de l’action, on se trouve parfois désemparé. Donc, j’acquitte notre cher Président Trump et je le vois revenir au pouvoir, directement ou indirectement. Mon commentaire est respectueux : restons respectueux.
Je le précise, c’est en mai 2020 qu’il a affirmé qu’il y aurait fraude, et il a précisé qu’elle serait massive. Je maintiens mon jugement.
la “justice” américaine
la “démocratie” américaine
Au moins les Américains ne se sont pas illusionnés sur le sacro-saint dogme républicain qui a conduit les disciples de Robespierre à perpétrer tant de massacres suivis de deux guerres mondiales.
Benjamin Franklin, par exemple, était parfaitement conscient de sa fragilité lorsqu’il répondit “If you can keep it, Madam” à une interlocutrice le questionnant sur le régime choisi par les nouveaux Etats-Unies d’Amérique.
L’erreur de Trump : il a totalement négligé le Politique se concentrant sur l’économie!
Recruter ce Barr, ??? Voir que ce gros vers ne faisait rien ?? Ne pas avoir déverser 1 200 000 fonctionnaires avec autorité de virer et contrôler les fonctionnaires d’Obama ? Et ce chaque année! Puis décider que les villes qui votent massivement Trump soient déclarées État-//Écraser les membres des cours suprêmes avec plus de gars et filles militaires droits dans leur bottes de Trump !
Trump n’a fait QUE de la politique ! Sans une économie saine, un pays ne peut rien faire, c’est comme les fondations d’un immeuble. Ensuite, concernant l’économie, il s’est contenté d’écarter le plus possible le gouvernement du chemin des entrepreneurs, des entreprises et des citoyens pour qu’ils soient libres de générer de la richesse et de poursuivre leur droit à la recherche du bonheur. Ce n’est pas de l’économie, c’est se mettre au service des citoyens.
Concernant Barr : il s’est fait roulé, parce qu’il ne se doutait pas qu’une fois recruté, une personne pouvait se retourner contre lui. N’oublions pas qu’il vient du monde des Affaires où ce comportement n’existe pas. Il a sur ce point fait de multiples erreurs, mais il a toutes les excuses à mes yeux.
Enfin, évidemment qu’il aurait dû virer les employés gauchistes et les fonctionnaires d’Obama. Mais pour les remplacer par qui ? N’oublions pas qu’il s’est présenté comme un homme qui n’appartient pas à l’establishment, et c’est la réalité. La conséquence est qu’il n’avait aucun réseau politique. Il n’avait pas les réseaux pour remplacer les taupes d’Obama : il ne connaissait personne.