Source : Lesobservateurs
Depuis plusieurs années, et avant même la crise du Covid-19 et la vaccination, les médias occidentaux se repaissent d’un mot devenu totem « le complotisme ». Après une forme de glissement sémantique, le terme est désormais utilisé à travers et souvent à tort pour disqualifier les propos de ceux qui ne pensent pas comme le dictent les médias.
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Après « Gouverner par les Fake News », Jacques Baud (colonel d’état-major dans l’armée suisse, dans les services de renseignements, expert en armes chimiques et nucléaires et spécialiste du renseignement et du terrorisme) publie chez Max Milo « L’Affaire Navalny – Le complotisme au service de la politique étrangère ». Dans un ouvrage fouillé, l’auteur revient sur le passé d’Alexeï Navalny, ses engagements politiques aux antipodes de l’idéologie de ceux qui le défendent et le propulsent, ses déboires avec la justice, et bien sûr, l’affaire de son « empoisonnement ».
Jacques Baud décrypte comment les Etats occidentaux, armés de leurs médias unanimes, parviennent à fabriquer une histoire visant à servir des intérêts stratégiques et géopolitiques, en s’accommodant largement avec le réel.
Des procédés souvent exploités vis-à-vis de la Russie de Vladimir Poutine comme dans l’affaire Navaly ou l’affaire Skripal plus tôt… bien résumés par Henri Kissinger : « La diabolisation de Vladimir Poutine n’est pas une politique, c’est un alibi pour ne pas en avoir une ! ».
Jacques Baud revient également sur les officines qui donnent le la dans les médias et les sphères de l’élite mondialiste, à la manière de l’Open Society de George Soros, mais aussi de fondation publique telle que la NED (National Endowment for Democracy, la Fondation Nationale pour la Démocratie), une émanation de la CIA fondée en 1983 visant ni plus ni moins à faire la promotion des Etats-Unis et des politiques pro-américaines dans le monde.
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Il y a là un sacré gars, ML Pen a des idées de primesautière à côté de cet extrémiste de l’extrême. Le coup de l’empoisonnement, qui peut y croire avec l’ONG Allemande qui a le droit d’envoyer un avion médical pour venir le récupérer et puis le soigner ! Quand on veut tuer on tue !
Les Russes ne sont pas gâtés avec un meilleur opposant : Jirinovski : extrême d’extrême : lui aussi, son meilleur fait d’arme : avoir déposer une loi pour réglementer l’usage de l’ail en Russie, afin que les Russes ne payent plus du bec ! Oui ! L’usage de l’ail est régulé en Russie??!!
Toujours pareil , que ce soit pour Poutine (un vrai vampire) ou pour Trump (un vrai crétin) les media occidentaux mainstream n’ont plus rien à voir avec l’information .
D’après ce que je lis , un sondage récent montre même que la majorité des Américains les considèrent comme des ennemis du peuple . Chez nous on en est encore loin , tout au plus on dit qu’ils racontent des c… mais on est scotché devant BFM tous les soirs !!!
Navalny , “rival” de Poutine fabriqué de toutes pièces pour les opinions publiques occidentales , ceux qui connaissent la Russie sont unanimes : il ne pèse rien !
Ce n’est pas l’un ou l’autre (Poutine ou Navalny) mais aucun des deux. A lire l’article, il me semble que l’auteur de ce livre a le mérite d’avoir compris quelque chose à la Russie. Ce n’est pas trop tôt. Evidemment que la diabolisation n’est pas une politique et sert bien entendu d’excuse aux Occidentaux afin de ne pas avoir de politique envers la Russie de Poutine, celle-ci méritant pourtant très sévère châtiment pour ses nombreux crimes. Je suis souvent surpris mais toujours déçu de lire le soutien que ce Poutine inspire chez certains alors qu’ils ne connaissent absolument pas la nature de ce régime faible mais nuisible. On me rétorquera que Poutine n’est pas un ami de l’Occident à cause de la décadence occidentale. D’abord, comme si la Russie elle-même n’était pas un pays décadent et ce n’est rien de le dire. Ensuite, cette décadence n’est elle-même qu’une excuse justifiant la diabolisation de l’Occident. La Russie a perdu la Guerre froide et beaucoup de ses atours avec cette défaite. La Russie pensait qu’elle serait accueillie en Occident comme le pays libéré du joug soviétique, càd. d’elle-même et de personne d’autre. Cela s’appelle prendre les gens pour des cons. Et Gorbatchov d’en rajouter une couche avec la “maison commune européenne”. La maison quoi? En même temps, la Russie pensait qu’elle allait pouvoir rejoindre l’OTAN et l’UE par la grande porte, mais pas comme état-membre. Il lui fallait un statut spécial, celui de maître et d’égal des Etats-Unis. La sauce n’a pas pris, heureusement. Les Russes sont de culture européenne (qu’ils ont bien copiée, merci la France et merci l’Allemagne) mais ne sont pas des Occidentaux. Ils sont en retard non pas de deux guerres mais de tout un processus civilisationnel. La Russie a peu de choses en commun avec l’Occident et ses étapes de développement: Antiquité, Moyen-Âge, Renaissance, Lumières, Droits de l’Homme, Gouvernance, Révolution Industrielle, Libertés. Ca fera mal à certains et pourtant c’est comme ça. Alors soutenir Navalny contre Poutine ou l’inverse, ce n’est pas la question. C’est nul parce que c’est du pareil au même: stérile.
Euh…
Cet auteur prétend contester, je cite,
“que l’État islamique cherche à créer une guerre civile en France ;
que le président syrien Bachar Al-Assad a utilisé des armes chimiques ;
que le terrorisme a frappé la France, non pas pour ce qu’elle fait, mais pour ce qu’elle est”
…
et “que l’Iran appelle à la destruction d’Israël”.
Euh…
tout un article pour un insignifiant