Bon je sais, le sujet est explosif comme le Lieu auquel il fait référence.
En temps normal, je me serais abstenue d’écrire sur un tel sujet, mais je dirais que le moment est tout à fait propice. En effet, dans quelques jours, nous commémorons, la destruction du Temple de Jérusalem (premier et deuxième Temples).
Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Ce jour-là nous jeûnons et nous lisons le rouleau D’Eicha, ou le Livre des Lamentations qui est un recueil d’élégies traitant de la destruction de la Ville de Jérusalem.
Nous observons également des coutumes qui se rapportent au deuil. Nous sommes littéralement endeuillés de la destruction du Temple et du sentiment de perte qui en découle.
Juste un peu d’histoire : le premier Temple a été détruit en 598 av J.C et le second en 70(de notre ère). Malgré le temps qui a passé, nous sommes en deuil de cette perte.
Si vous êtes à Jérusalem samedi soir (17/07) et dimanche (18/07) allez sur l’esplanade du Kotel (mur de Lamentations), vous verrez le spectacle est magnifique. Des centaines de gens viennent prier, lire ou simplement se retrouver et surtout proclamer leur amour pour ce Lieu.
Comme le savent sûrement certains d’entre vous, nous nous orientons vers ce Mur (qui est l’un des murs d’enceinte du Temple) pour prier.
Le nom du mouvement “Sionisme” vient du nom de la colline sur laquelle était bâti le Temple (colline de Sion).
Et enfin, le plus significatif : en hébreu le Temple se nomme “la Maison” (bait) et on désigne le Temple comme la Première ou la Deuxième Maison (d’un point de vue chronologique).
C’est dire que notre lien n’est pas uniquement spirituel, mais physique, je dirais presque charnel avec le Temple.
Tous ces préambules pour expliquer pourquoi la gestion du mont du Temple, appelé de façon trompeuse “esplanade des Mosquées” par le Waqf est inadmissible.
Quelques faits : à la suite de l’opération Bordure de Protection le ministre jordanien des cultes, a révélé lors d’une de ses interventions au Senat (jordanien) qu’il y avait quelques 850 jordaniens qui “travaillaient ” dans l’enceinte de la Mosquée El Aqsa. Ces hommes sont employés et rémunérés par le ministère jordanien du culte (coût estimé à 56 millions de shequels soit environ13 millions d’euros). A ces dépenses viennent s’ajouter celles qui sont liées à la maintenance de la Mosquée et d’autres lieux de culte à Jérusalem.
Le Roi de Jordanie, appelé aussi : “Gardien des Lieux Saints” tout comme le roi d’Arabie Saoudite qu’on nomme “le gardien des 2 Mosquées Saintes (La Mecque et Médine), reçoit des fonds des pays du Golfe pour s’acquitter de cette tâche. Une opération bien lucrative pour les caisses de Jordanie.
Autre fait troublant : lorsqu’on se promène sur le mont du Temple, on voit bien quelques dizaines de jordaniens qui s’occupent du lieu. On voit aussi des femmes voilées de la tête aux pieds qui invectivent les groupes de juifs encadrés par des policiers israéliens (pour leur protection !) qui ont eu l’audace de s’approcher.
Mais où sont donc les autres 700 ? Qu’est-ce qu’ils font ? Quel est leur rôle ? A quoi le gouvernement jordanien les destine-t-il ?
Est-ce qu’ils constituent une sorte d’arrière-garde qu’on appelle pour créer des émeutes sur le Mont du Temple comme cela s’est produit à différentes reprises par le passé ? Est ce qu’ils servent de” force d’intervention rapide” qui serait capable de réunir suffisamment de jeunes pour mettre en danger le fragile équilibre qu’Israël tente de maintenir ?
Ce qui est sûr c’est qu’à chaque fois qu’il y a une crise, les images de ces jeunes font merveille. Les médias s’en donnent à cœur joie. Rien de plus émouvant que de voir cette foule crier à l’oppression et à la dictature. Du pur Pallywood.
Je n’ai malheureusement pas de réponse à ces questions. Mais il serait temps de se rendre compte qu’il y a quelque chose de pourri au Royaume Hachémite.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Valérie Karsenti pour Dreuz.info.
Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.
Le nom du Temple juif “beit hamiqdash” a été transposé par les envahisseurs musulmans en “bait al maqdis” et de nombreuses familles arabes se sont ensuite appropriées un dérivé, d’où leur nom : maqdici
Bravo abbé Arbez ,mais allons plus loin ,en arabe ,ce lieu ,le mont du temple ,s’appelle AL MAQDIS depuis toujours ,disons al maQ-DiS,en raccourci ,le Q de maQ ,le D de Dis ,et le S terminal ont forme Q-DS soit QoDS,d’où al QoDS,le nom de Jerusalem en arabe .
Sauf que al maQDiS est la prononciation arabe de al MiQDaSH,qui est BEIT HAMIQDASH,le nom du temple de Jérusalem en Hébreu .Donc les Arabes appellent Jérusalem ,temple de Jérusalem des Juifs et en plus ,la Mosquée d’Omar n’est pas une mosquée car il n’y a pas de Minaret .
Donc pas de Mosquee ,sur l’esplanade dite des Mosquées ,car l’autre est en dehors du mont .
Voilà pour la 3 eme ville sainte de l’Islam qui n’est pas cité dans le coran ,Sans parler de la 2 eme Medine ,qui tire son nom d’une ville juive en Israël ,Modiin,en relation avec Hanoucah et qui s’appelait autrement depuis plus de 1000 ans
Comment cela se fait -il
A vos livres d’histoire et bonne lecture sur les origines de l’Islam et de Mahomet
Quelques remarques :
– Le “Kotel” se traduit en français le Mur Occidental (de l’Esplanade du Temple) et non le “Mur des Lamentations”.
– Le premier Temple de Jérusalem construit par le roi Salomon a été détruit en 586 av J.C et non en 598.
– La mosquée du Dôme du Rocher est construite à l’emplacement même des deux Temples de Jérusalem, comme en témoigne le guide touristique publié en 1927 par … le Waqf de Jérusalem.
– La mosquée Al Aqsa, construite également sur l’Esplanade de Temple, n’est pas le “troisième lieu sacré” de l’Islam : elle ne figure pas dans le Coran.
– Sion : ce vocable désigne Jérusalem et le Pays d’Israël.
– Mur des Lamentations, c’est l’expression que l’on employait dans les milieux francophones jusqu’à la fin des années 1990. Je l’ai toujours entendu ainsi dans ma famille. J’aime ce terme.
– J’ai fait des recherches et j’ai trouvé mention de Jérusalem comme troisième lieu sacré de l’Islam dans des livres de 1850.
“Mur des Lamentations” : effectivement, mais par erreur (“Kotel Hamaaravi = Mur Occidental”, avec une connotation négative et méprisante.
-Cette mention ne prouve rien : Jérusalem n’est pas mentionnée une seule fois dans le Coran et la mosquée Al Aqsa est située par les théologiens musulmans dans le désert.
“Cette mention ne prouve rien”, oui et non. Elle contredit une affirmation fausse que je n’ai pas été le dernier à faire, mea culpa, selon laquelle Jerusalem est devenue 3e lieu saint de l’islam en 67 quand elle a été libérée de l’occupation jordanienne par Israël. Je l’ai longtemps affirmé sans vérifier. Quand j’ai vérifié, j’ai vu apparaître cette affirmation en 1850. Ceci veut dire qu’avant tout le gratschké, les Islamistes avaient déjà un regard particulier sur la capitale israélienne. Comme les photos montrent l’esplanade devant la mosquée avec des herbes hautes, cela veut dire qu’entre leur 3e et le second lieu saint se trouve un écart aussi grand qu’entre le premier moteur de recherche et le second : Google numéro 1 avec 92% du marché, Bing, numéro 2, avec 2% du marché…
Question intéressante: y a-t-il des documentations islamiques sur Al Qods 3ème lieu saint de l’islam avant 1850?
“J’ai fait des recherches et j’ai trouvé mention de Jérusalem comme troisième lieu sacré de l’Islam dans des livres de 1850.”
>
Il est cependant exact que le mot “Jérusalem” ne figure pas dans le coran. Nous pouvons donc douter de son caractère sacré pour les musulmans.
Les musulmans s’ oposent à tous qui pourraient nuire à l’ islam ,il faut le faire disparaître ce qui dérange .Quel intérêt de cacher une vérité qui finira tôt ou tard par se manifester au grand jour.Ils peuvent detruire ,falsifier,tuer au nom de allah,… que le Mont du temple est un lieu saint du peuple juif( depuis des millénaires), mais ils ne peuvent pas tromper Dieu,sa parole s’ accomplira et le monde vera qu’ Israël est la terre que Dieu donna au peuple hébreux. LE MENSONGE ISLAMIQUE SERA BIENTÔT RÉVÉLÉ AU GRAND JOUR .Patience !
Juste quelques remarques à propos de vos remarques:
Si vous relisez (ou lisez) mon article, vous verrez que je n’ai pas parlé
de la 3e ville sainte de l’Islam.
J’ai simplement mentionné le titre du roi de Jordanie et celui du roi
d’Arabie Saoudite
Le Mur des Lamentations est une expression communément admise et
intelligible par tous.
Je me rends compte que ça ne correspond pas à l’hébreu.
Mais qui parmi un public plus vaste connait ce terme (sans prendre les gens
qui lisent Dreuz pour des non avertis .Je suis d’ailleurs toujours stupéfaite
de constater l’ampleur de leur culture générale).
La page de Wikipedia en français (je sais ça n’est pas forcément une référence) donne Mur des Lamentations.
Pour ce qui est de la mosquée du dôme du Rocher (ou Kipat Ha Sela en hébreu)
merci de votre précision
Et enfin mes excuses pour la date de la destruction du Premier Temple.
Je suis un peu dyslexique 🙂
En ce qui concerne le mot Sion: le mot hébreu Sion est le nom de la colline sur laquelle Jérusalem fut bâtie, le
noyau originel et plus ancien de la ville (c’est la definition que j’ai trouvée dans plusieurs sites et qui correspond à la tradition ).
Mon but en écrivant cet article était de montrer la légitimité ainsi que la pérennité de notre lien avec le Temple( et plus largement avec Jérusalem et avec Israël dans son ensemble) et de protester contre sa prise de possession.
D’ailleurs, même si la Halaha l’interdit, je pense que les Juifs doivent monter sur l’esplanade des mosquées pour affirmer ce lien indéfectible et ceci même au risque d’ « embraser » la situation qui est déjà bien tendue .
Ici ,il ne s’agit pas de Halaha ,mais d’un acte de résistance.
En tous cas merci pour vos commentaires.
“Mur des Lamentations” : il est nécessaire de l’écrire entre guillemets.et d’utiliser le vocable exact, à savoir “Mur Occidental”. La sémantique est très importante et il ne faut pas utiliser celle des détracteurs d’Israël. Quant à la page de Wikipédia : no comment :). De nouveau : Sion désigne effectivement Jérusalem, mais également dans la tradition des Sages d’Israël le Pays d’Israël. Il n’y a pas “d’esplanade des mosquées”. Vous vous reférez certainement à l’Esplanade du Temple du roi Salomon. De nouveau : sémantique des ennemis d’Israël ! La Halacha juive n’interdit pas de monter sur le Mont du Temple, mais définit de façon précise les endroits qui sont autorisés.
Du tout, Jérusalem est la première ville sainte pour nous autres Chrétiens.
Juste quelques remarques à propos de vos remarques:
Si vous relisez (ou lisez) mon article, vous verrez que je n’ai pas parlé
de la 3e ville sainte de l’Islam.
J’ai simplement mentionné le titre du roi de Jordanie et celui du roi
d’Arabie Saoudite
Le Mur des Lamentations est une expression communément admise et
intelligible par tous.
Je me rends compte que ça ne correspond pas à l’hébreu.
Mais qui parmi un public plus vaste connait ce terme (sans prendre les gens
qui lisent Dreuz pour des non avertis .Je suis d’ailleurs toujours stupéfaite
de constater l’ampleur de leur culture générale).
La page de Wikipédia en français (je sais ça n’est pas forcément une référence) donne Mur des Lamentations.
Pour ce qui est de la mosquée du dôme du Rocher (ou Kipat Ha Sela en hébreu)
merci de votre précision
Mes excuses pour la date de la destruction du Premier Temple.
Je suis un peu dyslexique 🙂
Le mot hébreu Sion est le nom de la colline sur laquelle Jérusalem fut bâtie, le
noyau originel et plus ancien de la ville : c’est ce que j’ai trouvé sur plusieurs sites.
Mon but en écrivant cet article était de montrer la légitimité ainsi que la pérennité de notre lien avec le Temple (et plus largement Jerusalem et Israël) et de protester contre sa prise de possession.
D’ailleurs, même si la Halaha l’interdit, je pense que les juifs doivent monter sur l’esplanade des mosquées pour affirmer ce lien indéfectible et ceci même au risque d’ « embraser » la situation qui est déjà bien tendue .Ici ,il ne s’agit pas de Halaha ,mais d’un acte de résistance.
J’explose toujours lorsque j’entends que Jérusalem est le lieu “le plus saint” de la religion juive.
Ce n’est pas le lieu “le plus saint” mais la SEULE ville sainte. Il y a des lieux saints du genre tombe du patriarche, mais il n’y a qu’une seule ville sainte, un seul lieu cité plusieurs centaines de fois dans la Bible, une seule ville que les juifs nomment au moins une fois par an en disant “l’an prochain à Jérusalem” ou “Jérusalem, si je t’oublie que ma main droite s’oublie” Et ça depuis des milliers d’années.
Alors, dire que Jérusalem est le troisième lieu saint de l’islam, ça fait une belle jambe aux juifs.
De plus, si un musulman fait une prière dans un lieu situé entre Jérusalem et la Mecque, donc tourné vers la Mecque, que montrera-t-il à Jérusalem ?
https://fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/4170249/jewish/Les-quatre-villes-saintes-dIsral-quoi-et-pourquoi.htm
Les termes « quatre villes saintes d’Israël » (ארבע ערי הקודש) ou « quatre terres de vie » (ארבע ארצות החיים) font référence à Jérusalem, Hébron, Safed et Tibériade. Il est donc d’usage d’ajouter l’appellation « la ville sainte » (עיר הקודש) au nom de chacune de ces quatre villes.
L’histoire des quatre villes saintesChacune de ces quatre villes est considérée comme unique et sacrée pour différentes raisons. Cependant, le terme « quatre villes saintes d’Israël » fut inventé au 16ème siècle lorsque ces villes se sont regroupées à des fins charitables sous la direction de Rabbi Moché Alshikh, aux côtés de Rabbi Yossef Caro, Rabbi Its’hak Louria et Rabbi David ibn Zimra (Radbaz).Ces rabbins ont établi que les communautés de toute la diaspora collecteraient des fonds pour soutenir leurs frères en Israël, et que des messagers des quatre villes collecteraient ces fonds et les répartiraient proportionnellement entre les villes.Vers 1660, lors de la lutte des Druzes pour le pouvoir en Galilée, la communauté juive de Tibériade fut complètement détruite et, pendant de nombreuses années, l’argent fut réparti entre Jérusalem, Hébron et Safed. Ces trois villes sont connues sous le nom de « trois villes saintes » ou « villes de Ya’HaTS (יח״ץ) », acronyme de « Yérouchalaïm, ‘Hevron et Tsfat » (ירושלים חברון צפת). Finalement, la communauté juive de Tibériade fut reconstruite et s’associa de nouveau aux trois autres villes.Ces villes étaient également considérées saintes, car les habitants étaient consciencieux dans leur service de D.ieu et prenaient des précautions supplémentaires en matière de pureté. Par exemple, ces villes ont coutume de ne planter aucun arbre dans un cimetière, car les branches feraient en sorte que l’impureté des cadavres s’étendrait à tout ce qui se trouvait sous elles.Il existe également une coutume de longue date selon laquelle les noms de ces quatre villes sont suivis de l’acronyme תובב”א, qui signifie « qu’elle soit construite et établie rapidement et de nos jours, amen » (תיבּנה ותיכּונן במהרה בימינו אמן)….Passionnant a lire
Cette autre version me fait toujours venir les larmes aux yeux : «Si jamais je t’oublie, Jérusalem, que ma main droite se dessèche, que ma langue s’attache à mon palais si je ne me souviens de toi, si je ne te place pas au sommet de ma joie.»
Les photos de l’esplanade et des deux mosquées antérieures aux années 1950 qui révèlent un terrain déserté rempli d’herbes folles et des bâtiments très négligés prouvent que les musulmans se souciaient de leur soi-disant ‘troisième lieu saint” comme d’une guigne.
La soi-disante vénération de ce ‘troisième lieu sacré’ ne les a d’ailleurs pas empêchés d’y perpétrer en 1951 l’assassinat du roi Abdallah de Jordanie sur les marches de la mosquée Al-Aksa.
PS: Joint à tout cela que l’islam n’étant pas une religion, mais une idéologie totalitaire essentiellement matérialiste travestie en religion, ses adeptes trahissent le sens des mots ‘saint’ et ‘sacré’ lorsqu’ils s’en servent pour évoquer maintenant Jérusalem et le Mont du Temple.
L ‘islam est surtout un mensonge.
J’ai toujours pensé que si la SDN avait décidé, en 1922, d’installer le foyer national juif à Madagascar (!), aujourd’hui le ” 3e lieu saint” de l’islam serait Tananarive !!
L’islam voue un culte à un dieu mésopotamien qui avait pour symbole la lune et qui se repaît de sacrifices humains, toujours d’actualité aujourd’hui.
Deux mosquées sur le Mont du Temple : l’abomination des nations.
Que vienne le jour où le Lion de Juda posera enfin ses deux pieds sur le Mont des Oliviers.
Maranatha!
Alors que les arabes avaient promis en juin 1967, en cas de victoire, de jeter les juifs à la mer, ils n’ont eu, lors de leur défaite, qu’une récompense de la part des juifs victorieux. Moshe Dayan leur a remis les clés du waqf et le contrôle de l’esplanade “des mosquées”. Depuis cet acte qui se voulait bonne volonté, et que les arabes ont pris pour un aveu de faiblesse, il n’y a rien d’étonnant à ce que leur propagande mensongère touche de plus en plus de gens, peu sensibles à la controverse.
Un ‘hassid vint un jour demander à Rabbi Dov Ber, le Maguid de Mezeritch : « Rabbi, nos Sages ont enseigné que de la même manière que nous devons bénir D.ieu quand quelque chose de bien nous arrive, nous devons aussi le bénir quand survient un événement négatif. Mais comment est-ce possible ? »
Le Maguid lui répondit : « Rends-toi chez mon élève Reb Zoushé et lui te donnera la réponse. »
Arrivé chez Reb Zoushé, il vit immédiatement à son air émacié et aux guenilles qu’il portait que celui-ci ne mangeait pas à sa faim et qu’il n’avait pas de quoi s’acheter des habits décents. Tout chez lui témoignait d’une grande pauvreté. Pourtant, son visage rayonnait de bonheur. « Voilà certainement quelqu’un qui pourra répondre à ma question », se dit le ‘hassid.
Il dit alors à Reb Zoushé que le Maguid l’avait envoyé chez lui pour qu’il lui explique comment on peut bénir D.ieu face au malheur.
Reb Zoushé le regarda avec surprise : « Je ne sais pas comment répondre à cette question. Tu devrais plutôt l’adresser à quelqu’un qui a souffert. Moi je n’ai jamais connu de malheur dans ma vie. »
Reb Zoushé lui réaffirmait ainsi que tout vient de D.ieu et que tout est régi par la Providence divine. Il savait que D.ieu est entièrement bon, et donc il était évident pour lui tout ce qui arrive est bien. Ainsi, Reb Zoushé n’avait jamais éprouvé de souffrances tout au long de sa vie.
par Shloma Majeski
J’en ai pleuré de rire !
La fiction politique de Jérusalem comme “troisième lieu saint de l’islam”, bien que Jérusalem ne soit pas mentionnée une seule fois dans le Coran (“Jerusalem” l’est 669 fois dans le Tanakh, “Sion” 154 fois) dérive du concept guerrier du Dar ‘As Salam, c’est-à-dire de “l’espace” où l’islam est imposé ou a été imposé historiquement, comme en Espagne, le sud de la France, les Balkans, etc… et le Pays d’Israël, considérés pour l’éternité comme “terre de l’islam”. Cf. articles sur Dreuz, ouvrages de Bat Yeor et d’ Anne-Marie Delcambre.
En effet. Si les musulmans tiennent tellement à revendiquer Jérusalem, ce n’est pas tant en raison de leur pseudo religion, mais essentiellement parce que les mosquées qu’ils ont construites sur l’Esplanade du Temple (et ailleurs) consacrent et glorifient leur conquête de l’ancienne terre des Hébreux et que, selon leur concept, toute terre conquise ‘pour Allah’ l’est à jamais.
Ils ont tenté la même chose il y a 11 ans à New York, lorsqu’ils ont décidé de bâtir, avec la complicité des autorités locales, une mosquée tout près des Twin Towers afin de consacrer leur ‘victoire’ sur l’Amérique – mais ils ont dû y renoncer devant la levée de boucliers suscitée par ce projet scandaleux.
quel général israélien a t-il donné au waqf la garde du mont du temple ?