Publié par Rosaly le 7 juillet 2021

Le silence de la Chancelière à l’égard de l’attaque terroriste islamiste, perpétrée par un « réfugié » somalien, au cri d’Allah akbar, considéré sans surprise comme un être psychologiquement perturbé, a étonné certains médias.

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Ainsi, samedi dernier, le Bild Zeitung s’interrogeait sur le silence de Merkel 8 jours après l’attentat de Würzburg. Et le même jour, Tag24 demandait à la chancelière : « pourquoi vous ne venez pas à Würzburg, Frau Merkel ? »

Dix jours se sont écoulés depuis cette horreur et la chancelière ne s’est toujours pas exprimée. Ce silence ne nous surprend pas de la part de Mutti. Il en fut de même après l’attentat sur la Breitscheidtplatz, après le réveillon du Nouvel An à Cologne, après l’attaque à la hache à Würzburg, après le meurtre de Mia V. à Kandel ,celui de Susanna F. à Wiesbaden, pour ne citer que quelques exemples de crimes perpétrés par ses « invités » et même les cris répugnants de « Mort aux Juifs » par des Turcs et des Arabes lors de manifestations pro-palestiniennes ne l’ont pas fait sortir de son silence.

Quand ses protégés bien-aimés commettent des atrocités ou des actes répugnants, Mutti se fait rare. Puis elle laisse ses porte-parole débiter les platitudes habituelles. Elle est beaucoup plus prompte à s’exprimer devant les caméras, quand de rares actes de violence sont commis contre des Arabes ou des Turcs par un Allemand de souche. Ainsi, après le meurtre de Hanau par un Allemand souffrant de troubles mentaux, Mutti fut dès le lendemain omniprésente sur les chaînes de télévision pour exprimer ses regrets, sa compassion, son indignation et donner une classification politique claire du crime. Apparemment, elle savait exactement pourquoi l’agresseur avait tiré, alors que l’enquête venait tout juste de commencer.

L’attitude de la Chancelière sur les actes de violence commis dans son Reich suit toujours le même schéma : si l’auteur est Allemand et la victime arabe, turque ou africaine, Mutti s’exprime très rapidement devant les caméras, mais demeure étrangement silencieuse quand les criminels sont ses « invités ». Pourquoi donc ?

Plusieurs explications sont données.

D’une part, il y a une raison politique : Merkel est personnellement responsable de la plus grande invasion massive de personnes en provenance du Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique n’ayant jamais déferlé sur l’Allemagne. La perte du contrôle des frontières en 2015 lui est imputable. Parmi ces « réfugiés » invités par Mutti, nombreux sont traditionnellement hostiles aux Allemands et aux Européens, que ce soit pour des raisons religieuses ou historiques.

Les mots-clés sont : islam, blessures coloniales, des siècles d’agressions et de guerres menées par les Ottomans contre l’Europe chrétienne.

De telles hostilités historiques ou religieuses profondément enracinées dans l’esprit de ces gens ne sont pas tout simplement balayées, quand ils franchissent la frontière, n’en déplaise à nos joyeux naïfs adeptes d’une immigration sans fin. Dès lors, la propension disproportionnée à la violence de ces « réfugiés » envers le peuple allemand n’est guère surprenante.

Dès 2015, toute personne un peu sensée pouvait prévoir qu’une telle arrivée massive de gens en provenance de pays musulmans du Moyen-Orient, d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh et d’Afrique allait engendrer de la violence à l’encontre des Allemands de souche, et ce, malgré l’accueil chaleureux des autochtones à leur égard. Et c’est ce qui s’est exactement passé.

Merkel et sa clique, cependant, ont constamment nié cette hausse de la violence depuis 2015. Ils ont toujours présenté cette colonisation de masse comme une chance pour l’Allemagne, sans aucun risque pour les Allemands de souche. Et bien sûr, rétrospectivement, vous ne pouvez pas, politiquement, reconnaître les conséquences funestes d’une telle décision, encore moins les horreurs de la réalité, alors vous fermez les yeux et prétendez que cela n’existe pas. Vous culpabilisez les Allemands et innocentez les « réfugiés ». Il n’est pas rare d’entendre les responsables politiques affirmer que les autochtones commettent autant de crimes, de délits et de viols que les « réfugiés », si pas plus ! Alors, pourquoi en faire venir d’ailleurs ? Elucubrations identiques de la part d’autres gouvernements européens pro-immigration, notamment le suédois et même du Pape François, toujours prompt à défendre ces « damnés » de la terre, toujours présumés innocents et à mépriser les Italiens.

D’autre part, il y a probablement une autre raison, plus psychologique, à la tendance de Merkel d’esquiver la réalité, surtout quand les auteurs des crimes sont ses protégés de 2015. La présence de ces personnes en Allemagne est directement liée à sa décision personnelle : elle seule a pris cette décision lourde de conséquences dramatiques pour les Allemands et a ensuite fait passer le message, malgré la législation en vigueur : pas d’asile en Allemagne en cas d’entrée dans l’Union européenne. En raison de cette décision arbitraire, Merkel ressent naturellement un lien particulièrement étroit avec ses « invités ». Ces personnes sont, en effet, ses protégés personnels.

Une autre explication est parfois donnée à cette sympathie, à cette indulgence incompréhensible de Merkel à l’égard de ces envahisseurs.

N’ayant jamais eu d’enfants, ce lien personnel très fort suscite en elle une sorte de sentiment maternel : en ces « réfugiés », elle est susceptible de voir dans une certaine mesure une famille de substitution élargie. Dans l’inconscient féminin de madame Merkel, ces personnes sont vues comme ses enfants de substitution, dont elle est la mère et comme toute mère aimante, elle protège instinctivement ses enfants contre toutes les accusations de l’extérieur, peu importe leurs crimes. Après chaque viol, chaque meurtre commis par ses « protégés » Angela Merkel se dérobe à sa responsabilité politique.

Cette attitude est indigne d’une chancelière, voire honteuse, mais ce comportement de Mutti Merkel, une femme qui a vieilli sans enfant, est peut-être compréhensible…

Cette dernière explication semble à mon avis tirée par les cheveux, vu le caractère pragmatique de Merkel. Mais qui sait, avec l’âge, la chancelière s’est peut-être ramollie ? Dommage que cela se soit produit aux dépens de ses propres compatriotes, qui en payent et en payeront encore le prix dans la violence et le sang versé d’innocents.

Si Angela Merkel ne s’est pas encore exprimée, au moment de la rédaction de cet article, en France, un groupe de jeunes femmes du collectif Nemesis.com s’est rassemblé devant l’ambassade d’Allemagne à Paris. Une rose rouge à la main, elles ont mis un genou à terre en hommage aux victimes innocentes d’un « protégé » de Merkel.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Rosaly pour Dreuz.info.

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Merci à Résistance Républicaine et à Boulevard Voltaire pour les vidéos.

https://resistancerepublicaine.com/2021/07/05/nemesis-genou-a-terre-pour-les-3-femmes-assassinees-a-wurzburg-par-un-somalien-ayant-crie-allah-akbar/

Source : « Warum schweigt Merkel schon zehn Tage zu Würzburg? » (PI News) Traduction : Rosaly

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