Publié par Rosaly le 17 juillet 2021

La gauche adore diaboliser les parents conservateurs, les accuser d’abuser de leurs enfants, de leur faire subir un lavage de cerveau avec une vision du monde, qu’ils abhorrent, car elle inclut des idées dangereuses comme la foi en Dieu, la famille, l’amour de la patrie, mais les vrais voleurs de l’innocence de l’enfance sont les marxistes culturels, qui endoctrinent de jeunes enfants aux déviances sexuelles.

Le Washington Post, dont la devise est pourtant « La démocratie meurt dans l’obscurité » a récemment jugé bon de promouvoir un article appelant à exposer davantage les jeunes enfants aux déviances sexuelles.

Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !

En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.

Montant libre







Dans cet article, intitulé « Oui, le Kink a toute sa place au défilé de la Gay Pride et je veux que mes enfants y assistent. », la journaliste indépendante Lauren Rowello s’est déclarée favorable à la présence de « kinksters » – les amateurs de fétichismes sexuels – pendant le « mois des fiertés » (les 30 jours par an officiellement consacrés à la célébration obligatoire du narcissisme LGBT). Plus précisément, elle a lancé cet appel afin d’exposer les enfants, dès leur plus jeune âge, (y compris les bébés) « à la vitalité et au rayonnement de la vie des homosexuels ».

Lauren Rowello, qui se définit comme une personne «gendervague» mariée à une femme transgenre,décrit dans cet article la participation du couple à une Gay Pride à Philadelphie il y a cinq ans. (le terme gendervague désigne une expérience spécifiquement neurodivergente de l’identité transgenre)

« A un moment au cours du défilé, notre petite fille pointa du doigt en direction des chars et sourcilla en voyant un homme torse nu, portant des lunettes noires, dont les bretelles étaient attachées à une lanière de cuir. L’homme fit une pause pour recevoir une fessée ludique de la part d’un partenaire muni d’un fouet. « Que font-ils » demanda ma curieuse petite fille, tandis que notre bambin les encourageait. »

« Son bambin les encourageait » ! A une époque où le monde était plus sensé, jamais les parents n’auraient permis à des adultes de s’adonner de façon « ludique » à une pratique sadomasochiste à 150 m de leurs enfants. Aujourd’hui, des générations de parents fanatiquement « woke » (éveillés…) exposent intentionnellement leurs petits enfants à un tel spectacle répugnant, soi disant dans le but de leur inculquer dès leur plus jeune âge une conscience sexuelle …

« Ce couple était le premier d’une dizaine de kinksters qui dansaient dans la rue, riant ensemble en faisant tournoyer leurs fouets et leurs bâtons, certains tenant leurs compagnons en laisse. » poursuivit Lauren Rowello.

Quelle sorte de mère sensée en arrive à penser, qu’il est approprié d’exposer ses enfants à la vue d’êtres humains qui se dégradent mutuellement avec des laisses ?

« À l’époque, mes enfants étaient trop jeunes pour comprendre la nuance de la situation, mais je leur ai dit la vérité » explique Rowello. « Que ces gens étaient des membres de notre communauté: ils célébraient ce qu’ils étaient et ce qu’ils aimaient faire. »

Elle aurait pu dire autre chose à ses enfants, comme par exemple : « tous les êtres humains sont des enfants de Dieu, qui méritent d’être traités avec dignité. » Les faire parader comme des animaux est moralement répréhensible. Mais, peut-être est-ce trop de «nuance» pour Lauren Rowello ?

Elle admit, toutefois, qu’il existait un débat, même au sein de la communauté LGBT sur la question de savoir si les « kinksters » avaient leur place dans les défilés de la Fierté, notamment à cause de la présence d’enfants. Mais elle fit valoir que la « visibilité du kink rappelle que toute personne peut et doit explorer sans honte tout ce qui lui apporte joie et excitation. »

« Nous ne parlons pas assez à nos enfants de la recherche du sexe pour satisfaire les besoins charnels qui nous ravissent et nous captivent sur le moment. »

Les pédophiles et les idéologues néomarxistes ciblent les esprits impressionnables et les âmes vulnérables, dans l’intention de les armer contre le statu quo « cis-normatif ».

« Si nous avons peur de parler des kinksters avec nos enfants, nous privilégions le statu-quo en aseptisant et en censurant leur accès à l’information sur l’expression appropriée et normale de soi », a déclaré Lauren Rowello.

Désolé, mais le « kink » est par définition une expression de soi anormale, et il n’est absolument pas approprié que les enfants en soient témoins. Assainir et censurer ce à quoi les enfants sont exposés jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment développés psychologiquement pour absorber cette information, cela s’appelle être un bon parent.

L’article intentionnellement provocateur de Lauren Rowello a, comme on pouvait s’y attendre, suscité l’indignation sur les médias sociaux de la part de personnes, dotée d’un véritable sens moral et qui éprouvent une répulsion justifiée à l’idée que des parents préparent leurs propres enfants à faire partie d’une sous-culture pathétique de fétichistes.

Matt Walsh, du Daily Wire, a par exemple tweeté à Lauren Rowello : « Vous devriez être en prison. »

Matt Walsh a également partagé sur les médias sociaux un tweet de Lauren Rowello incluant une photo récente de son bambin âgé aujourd’hui de 8 ans, auquel Lauren Rowello se réfère comme « ils » portant du maquillage.

« Mon fils s’est maquillé pour la première fois ce soir », a-t-elle tweeté en mai. « Ils ont essayé un tutoriel d’ombres à paupières pour faire des nuages, quelques fleurs (non montrées), et beaucoup et beaucoup et beaucoup et beaucoup d’eye-liners.. En haussant les épaules, ils ont dit : « peut-être que je participerai à l’émission the drag queen Drag Race] quand je serai plus grand. »

Aucun enfant de 8 ans, ni aucun adulte d’ailleurs, ne devrait jamais savoir qu’une émission aussi infantile que Drag Race existe, et encore moins aspirer à y apparaître. Mais l’agressif lobby LGBT a fait du transgendérisme et de la culture drag queens le fer de lance de son objectif : briser « l’oppression hétéronormative de la famille nucléaire ». Les drag queens sont désormais partout où l’on trouve des enfants : elles les ciblent pendant « L’heure du Conte » offert aux enfants à la bibliothèque locale, les endoctrinent dans les programmes télévisés pour enfants, et les incitent même à devenir des petites drag queens.

Breitbart News a récemment dressé une liste de plus d’une douzaine d’autres programmes et personnages destinés à l’endoctrinement sexuel ludique des enfants. L’un de ces vecteurs de propagande est « Blue’s Clues », une émission prétendument éducative pour les enfants d’âge préscolaire, qui met en scène des personnages animaliers. Son épisode le plus récent montre la drag queen “Nina West” dans un clip animé de trois minutes et demie faisant l’éloge des familles composées d’une grande variété de parents célébrant des aberrations telles que la pansexualité, la polyamorie ou pluliamour et le transgenre.

« Toutes les familles sont faites différemment, elles s’aiment si fièrement », chante West, ajoutant : « L’amour est l’amour vous voyez, et tout le monde devrait aimer fièrement. »

Sauf les hétérosexuels, apparemment, qui ne sont pas mentionnés dans la vidéo. Il n’y a pas de place pour eux dans notre brave nouveau monde inclusif ; après tout, « l’hétéronormativité » et la monogamie sont anti-woke et oppressantes. Mais si l’amour est l’amour, et que tout le monde devrait aimer fièrement, cela inclut-il les pédophiles ? Bien sûr que oui. Le mouvement pour l’acceptation de la pédophilie est déjà bien engagé. Et l’inceste ? Si tout amour est également valable, où est la limite ?

Les personnes comme Lauren Rowello exercent une pression pour imposer leur idéologie dans le but de normaliser la perversion et de sexualiser les enfants, y compris leurs propres enfants. Ils ignorent une vérité pourtant indéniable : les enfants ne sont tout simplement pas suffisamment matures pour appréhender le mystère et le pouvoir de la sexualité adulte, ni sa transcendance spirituelle, ni ses sombres impulsions. Il ne faut pas non plus exposer les enfants à un défilé de “kinksters” se donnant la fessée, encore moins à la pornographie hétérosexuelle. L’un comme l’autre est assuré de déformer leur compréhension du but et de la sphère appropriée de la sexualité humaine. C’était autrefois une question de bon sens ; aujourd’hui, des organes de propagande comme le Washington Post diffusent le message selon lequel ce qui était autrefois une question de bon sens est devenu intolérant et sectaire.

Les enfants ne sont pas émotionnellement ou moralement préparés à exercer une quelconque maîtrise sur leur propre corps (d’ailleurs, de nombreux adultes ne le sont pas non plus). Il ne faut pas leur apprendre que l’indulgence à l’égard des « besoins charnels qui nous ravissent et nous captivent » est un bien personnel ou sociétal. Ils ne devraient surtout pas être amenés à croire que leur sexualité est la partie la plus authentique de leur personne. Si votre sexualité – hétéro, homo ou autre – définit qui vous êtes, vous êtes une personne tragiquement superficielle.

Ce n’est sans doute pas un point de vue très « bienveillant » ou « inclusif » du sujet, mais si votre manière préférée d’exprimer vos idées ou vos sentiments personnels consiste à vous déguiser en une parodie démoniaque et clownesque de femme et à la normaliser pour les enfants, ou à vous laisser mener en laisse en public par un homme en string de cuir, alors vous devez faire un sérieux examen de conscience et consulter un professionnel. Ce n’est pas quelque chose qui doit être célébré mais psychanalysé. C’est la vérité que Lauren Rowello n’a pas dite à ses enfants.

Et en parlant de « Fierté » : si votre plus grande fierté, en tant que parent, est de réussir à initier votre enfant au même type de dysfonctionnement sexuel que vous et votre partenaire avez transformé en insignes vertueux de non-conformité, alors vous devez immédiatement demander de l’aide et redéfinir les priorités de votre vie afin de déconstruire les dommages, que vous lui avez causés (et non pas « Ils »).

En réponse à l’article de Rowello paru dans le WaPo, Jesse Kelly, l’animateur de l’émission « I’m Right », a notamment tweeté :

« Si « vos principes » vous empêchent de chasser cette maladie de votre pays, « vos principes » son alors des ordures. Les nations ne restent pas des nations stables et saines si ce comportement devient acceptable. »

« Les nations ne restent pas des nations stables et saines si ce comportement devient acceptable. »

Il a tout à fait raison. Aucune culture qui trouve son authenticité dans une idolâtrie de la chair et la dégradation de l’esprit humain ne peut survivre. Une civilisation qui élève ses enfants pour qu’ils se délectent du vide spirituel et de la décadence sexuelle est une une civilisation condamnée à disparaître…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: «WaPo Promotes the Sexual Grooming of Children» by MarkTapson (FrontPage Mag) Traduit par Rosaly

Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous