
Une nouvelle étude a trouvé peu d’avantages associés aux médicaments hydroxychloroquine ou Remdesivir, chez les patients atteints de COVID-19 sévère.
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Ni le Remdesivir ni l’hydroxychloroquine n’améliorent le rétablissement des patients hospitalisés pour le COVID-19, selon les conclusions d’un essai clinique mené par l’Organisation mondiale de la santé et publié lundi par les Annals of Internal Medicine.
- Près de 8 % des patients traités à l’hydroxychloroquine et un peu plus de 7 % de ceux ayant reçu du Remdesivir sont décédés à l’hôpital, selon les données.
- En comparaison, entre 4 et 7 % des patients ayant reçu des “soins standards” – généralement un traitement à base de stéroïdes et d’autres médicaments pour réduire l’inflammation et gérer les symptômes respiratoires – sont décédés pendant leur séjour à l’hôpital, ont indiqué les chercheurs.
- De même, 10 % des personnes ayant reçu du Remdesivir et 15 % de celles ayant reçu de l’hydroxychloroquine ont eu besoin d’une ventilation mécanique pour respirer, contre 7 % à 11 % des personnes traitées avec les soins standards, ont-ils précisé.
“Malgré l’émergence précoce de rapports indiquant que le Remdesivir et l’hydroxychloroquine exerçaient effectivement de fortes activités antivirales contre [le coronavirus]… nos résultats ne montrent aucun effet antiviral de ces médicaments chez les patients hospitalisés“, ont écrit les chercheurs norvégiens.
“Nos résultats remettent en question le potentiel antiviral de ces médicaments chez les patients hospitalisés atteints du COVID-19“, ont-ils ajouté.
En octobre, la Food and Drug Administration américaine a approuvé l’utilisation du Remdesivir, un médicament antiviral initialement développé pour traiter le virus Ebola, chez les personnes hospitalisées en raison de COVID-19 grave.
Depuis lors, cependant, le médicament a donné des résultats mitigés lors des essais cliniques, et l’OMS a recommandé en novembre de ne pas l’utiliser.
L’agence a émis cette recommandation après que les résultats initiaux de son étude “Solidarité” menée dans 30 pays aient montré que son utilisation n’avait pas d’impact significatif sur la mortalité, la durée du séjour à l’hôpital ou le besoin de ventilation chez les patients hospitalisés.
L’hydroxychloroquine a été présenté comme un remède potentiel contre le COVID-19 par le professeur Raoult, le Président Trump et d’autres au début de la pandémie, malgré l’absence de données d’essais cliniques suggérant qu’il fusse plus efficace qu’un placebo pour favoriser la guérison.
Pour cette étude, des chercheurs de l’hôpital universitaire d’Oslo en Norvège et de 22 autres établissements ont assigné de manière aléatoire 181 patients hospitalisés à recevoir du Remdesivir, de l’hydroxychloroquine ou des soins standards.
Les participants à l’étude représentaient près d’un quart de toutes les personnes hospitalisées en raison du virus en Norvège entre le 28 mars et le 4 octobre de l’année dernière.
Les données ont montré qu’il n’y avait pas de différences significatives entre les groupes de traitement en termes de taux de décès pendant l’hospitalisation.
Le remdesivir et l’hydroxychloroquine n’ont pas eu d’incidence sur le degré d’insuffisance respiratoire ou d’inflammation chez les patients ayant reçu ces médicaments, par rapport à ceux ayant reçu les soins standard, ont indiqué les chercheurs.
En outre, les patients des trois groupes ont présenté des diminutions similaires de la charge virale, ou des niveaux de virus, dans le nez et la gorge au cours de la première semaine de traitement ainsi qu’après 10 jours.
Selon les chercheurs, l’absence d’effet antiviral du remdesivir et de l’hydroxychloroquine est restée la même chez les patients d’âges différents, ainsi que chez ceux dont la durée des symptômes, la charge virale et le taux d’anticorps, ou cellules produites par le système immunitaire pour combattre les virus, étaient distincts.
“L’absence générale d’effet du Remdesivir et de l’hydroxychloroquine sur l’évolution clinique des patients hospitalisés pour le COVID-19 s’est accompagnée d’une absence d’effet sur la clairance virale dans le nez et la gorge“, ont-ils écrit.
(Note de Pierre Rehov : le professeur Raoult a insisté sur le fait que l’hydroxychloroquine ne donnait de résultat positif qu’administré dès l’apparition des premiers symptômes. Cette étude, néanmoins intéressante, n’a pas porté sur l’administration de ces deux médicaments au tout début de la maladie, mais sur des patients déjà hospitalisés.)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Pierre Rehov pour Dreuz.info.
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Le professeur Didier Raoult a bien précisé que l’hydroxychloroquine n’a d’effet sur le Covid19 qu’au début de la maladie et non sur les patients déjà hospitalisés.
Pourquoi les études ne sont-elles faites que sur des patients hospitalisés ou sous respirateur ? Pour espérer arriver au résultat prévisible contre l’hydroxychloroquine ?
Hydroxychloroquine + Azytromicine : les deux, jamais HCQ seule???
Bien sûr. Il faut disqualifier l’HCQ à tout prix.
J’ai lu un certain nombre d’articles sur les études pharmacologiques publiées dans les revues, elles concluent que ces études ne sont pas fiables, car hautement trafiquées par les laboratoires, qui sont à la fois les producteurs, ceux qui financent les études et ceux qui financent les revues.
Des analystes comme Ioannidis ont montré qu’elles étaient biaisées, en particuleir par la méthode dite du cherry-picking : seules les études, déjà calibrées pour donner le “bon” résultat, et qui sont favorables, sont publiées.
Les travaux défavorables ou non concluants (montrant que le traitement n’a aucun effet, ce qui arrive souvent) ne sont bien sûr jamais proposés, ils passent à la poubelle.
Même les études scientifiques dans les autres domaines sont déjà biaisées par cette sélection : celles qui ne donnent rien ne sont pas publiées, alors que le fait de ne rien trouver est souvent aussi une information
(par exemple, si dans une étude sociologique on ne trouve aucune corrélation entre couleur de peau et discrimination au logement [ou le fait de ne pas négliger que les personnes d’origine immigrée sont plus pauvres du fait qu’ils – ou leurs parents – sont arrivés très pauvres, et que c’est leurs moyens financiers insuffisants qui les écartent de l’accès au logement]).
Ne parlons pas des études financées par des organismes tendancieux style SOS-Racisme (sauvons le racisme) : par exemple, les études sur les discriminations raciales ne sont claironnées que quand elles montrent que les “racisés” sont brimés, jamais quand ils sont favorisés. Ainsi des fameux “testing” sur les CV, dont plusieurs ont montré que le taux de réussite était supérieur avec le nom étranger que quand anonymisées.
Encore pire : les fameuses études randomisées en double aveugle ont été promues par les labos et présentées comme l’alpha et l’oméga du fait qu’elles sont aisément trafiquables, et les méta-analyses épistémologiques montrent que les études observationnelles sont bien plus fiables.
Ce qui nous ramène à votre commentaire : oui, c’est pour trouver ce qu’on souhaite trouver.
Vous avez raison, on nous ressort toujours cette soi-disant “étude” faite sur des patients en fin de vie, ils ne reprendront pas leur respiration. Ils avaient suivi les directives :”confinez-vous” et ne se sont soignés que trop tard. L’hydroxychloroquine doit être donnée dès le début de la maladie.
Il ne fallait pas de traitement pour cette maladie pour que les états puissent financer les recherches de vaccins, il a suffi d’interdire la quinine dès le 23 mars 2020, et même janvier selon des renseignements plus récents ….
Parce que rien n’indique qu’on est infecté avant les premiers symptômes graves: Les rhinites, trachéites et autres bronchites avec légère fièvre sont des phénoménes banals, en hiver ! D’où l’intérêt des tests: les antivax vont en bouffer, dans les prochaines semaines ! Et payants, en plus !
Tout à fait. On le sait depuis plus d’un an, l’hydrochloroquine n’est efficace qu’en prévention ou traitement en début de symptômes. Rien de nouveau.
Rien de nouveau sous le soleil.
Les études montrant que le Remdesivir était inapproprié – voire préjudiciable et dangereux – sont parues depuis un certain temps déjà et ne sont pas contestés ni plus contestable.
Pour l’hydroxychloroquine, les dernières études montraient très clairement que cette substance prise dans les premiers temps de l’infection apportait un bénéfice non négligeable, voire important ! Une fois hospitalisé, dans les traitement de COVID sévère, cette substance n’a plus guère d’intérêt, ni lieu d’être. Pourquoi l’OMS – partie prenante dans la pandémie chinoise – remet se problème – en principe réglé – sur le tapis aujourd’hui ? Et en comparant les deux termes (les médicaments) de ce qui faisait polémique il y a un an ? Si elle entendait brûler un de ses vaisseaux à l’époque pour mieux détruire l’autre, elle ne s’y prendrait pas autrement. Si elle entend rajouter de la confusion a celle qui fut lors de la polémique, elles semble y parvenir ! Foin de ces combats d’arrière garde !
Particulièrement dérangeant dans cette ‘étude’ : elle met sur le même plan le Remdesivir (dangereux et toujours inefficace) et l’hydroxychloroquine (pas dangereuse et efficace avant l’hospitalisation).
Est-ce un contre-feu pour détourner l’attention ? Il se répète que l’UE a acheté pour 1 milliard de Remdesivir la veille du jour où l’OMS rejetait ce néo médicament…
Le ministère de la santé avait pour projet d’envoyer son stock de Remdesivir en Inde.???
ils ont dû tourner leur langue 7 fois dans leur bouche et voir la boulette d’envoyer un médicament dangereux dans un pays en voie de développement.
qui a payé ? vous et moi ……… il faudra payer pour détruire ces stock dangereux ….
Outre le stade de la maladie, comme souligné par Pierre Rehov en conclusion, il y a également une différence entre certaines études et le protocole du professeur Raoult : la dose administrée. Il l’a signalé dans une vidéo.
L’autre différence, c’est que le professeur Raoult n’a pas mené d’étude clinique. Il a administré l’HCQ à certains patients et en a tiré des conclusions, c’est tout.
un grand nombre de patients, bien plus que la population de cette étude.
“C’est tout” ? Que fait-on de plus dans un essai clinique que de traiter des malades avec un médicament et comparer les résultats avec ceux des malades non traités ?
Le tribunal Constitutionnel Espagnol a jugé que les décisions de confinement du président Espagnol P. Sanchez étaient illégales et ordonne la restitution des centaines de milliers d’amendes perçues illégalement.
bravo, et bientôt en France ? ……………..
Le Remdesivir, on sait depuis un an que ça ne marche pas et que c’est une m… qui n’a trouvé droit de cité que par la recommandation de médecins stipendiés par Gilead genre Karine L.
L’étude sur l’HCQ, faut voir dans quelles conditions : jusqu’ici, dans toutes les études “négatives”, elle était administrée à des patients en phase terminale…
Si vous administrez le vaccin contre la rage après trois semaines, vous aurez aussi un taux de réussite de 0.
le professeur raoult a pourtant soigné des milliers de patients quand ils étaient pris à temps
l’institut pasteur vient de faire paraitre une étude concluant à l’efficacité de l’ivermectine
mais il est vrai que le vaccin a créé des milliardaires parmi les dirigeants des labos, ils ne protègent pas complètement puisque des vaccinés attrapent le variant delta …
Ah, l’étude Pasteur, tout le monde en parle, mais visiblement personne ne l’a lu…
1: étude sur 18 hamsters, waouw, c’est vachement concluant sur l’effet de l’ivermectine dans le traitement de la covid chez un homme…
2, le plus important, écrit noir sur blanc dans le communiqué de presse de l’institut Pasteur :
Toujours aussi contagieux, toujours autant en danger de développer des Covid longs (plus la charge virale est élevée, plus les risques le sont) : en gros, se satisfaire d’un traitement symptomatique mais laisser la maladie continuer à détruire d’innombrables vies…
Et arrête avec ton hochet “attrape le variant Delta”, tout le monde s’en fout de savoir qu’une personne vaccinée a été testée positives ou a fait un covid quasi asymptomatique. Est-ce que, oui ou non, les vaccinés attrapent-ils nettement moins la maladie que les non vaccinés, et est ce que oui ou non les vaccinés ont nettement moins de chances de se retrouver hospitalisés que les non vaccinés ? La réponse étant oui dans les 2 cas, et dans des proportions énormes, arrête de répéter comme un perroquet les éléments de langage que des vrais malsains t’ont demander de colporter…
Si je comprends bien les articles à propos de l’Institut Pasteur de Lille , leur essais sur animaux sont concluants , ils ont demandé le feu vert pour essai humain . J’ai dans l’idée que Veran et consorts ne vont pas se bousculer !!!
Et dire que partout où ils l’utilisent (c’est à dire hors des pays occidentaux) ça marche bien !
Une étude de qui? Financée par qui? Tout est dit, le reste et son contraire dans cette pitoyable affaire.
Et si épidémie il y a c’est surtout de corruption !
ne perdez plus votre temps à suivre le flot ininterrompu d’informations biaisées sur l’hydroxy chloroquine.
Regardez la conférence d’une durée de 54 minutes de l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel à l’Institut de Marseille le 21 mai 2021
https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0&t=186s
A voir absolument !
C’est ce que l’on appelle une étude biaisée: le professeur Raoult a souvent précisé que l’hydroxychloroquine devait être administrée dès l’apparition des premiers symptômes, car, une fois hospitalisé, l’hydroxychloroquine ne faisait plus l’effet escompté sur le malade: encore une fake news publiée par l’Organisation mondiale de la santé!
https://nocamels.com/2021/06/migvax-oral-vaccine-covid-preclinical-migal/
Bonjour M. Rehov, ce qui est intéressant aussi à suivre, c’est la start-up Migvax, émanation de l’institut Migal de Galilée. C’était un des premiers espoirs de vaccin au début de la pandémie et ça n’a pas marché aussi vite qu’ils l’espéraient, mais on dirait que finalement, malgré la prééminence de Pfizer, ils ne renoncent pas. L’intérêt c’est que ce serait un vaccin oral, donc facile à administrer, ce qui peut intéresser des pays moins bien équipés, rassurer quelques antivax, venir en appui des autres vaccins chez les immunodéprimés, etc. Ceci dit, ils semblent encore assez loin de la mise sur le marché, mais affaire à suivre:
Bien sûr, mais dès le début, il a été dit qu’il fallait traiter précocement avec l’HCQ:
cette étude est de l’argent fichu en l’ai:
L’OMS, vaste panier de crabes, enfonce bien-sûr le clou à l’avantage des milliardaires des labos:..
Combien de fois a-t-il été précisé que l’hydroxychloroquine devait être administrée aux premiers symptômes et non sur des patients déjà hospitalisés ! L’OMS a des symptômes de surdité très avancés !
Décidément, ce n’est plus du journalisme, c’est du parti pris. Pourquoi n’avez vous pas évoqué auparavant toutes les études en faveur de l’hydroxycloroquine, de l’ivermectine, des antihistamiqniques… Si l’OMS avalise n’importe quel traitement c’est la fin des AMM (autorisation de mise sur le marché) pour tous les “vaccins” (thérapies géniques) défendues par Bill Gates, patron de l’OMS.
Ces deux médicaments n’ont d’utilité qu’en début d’atteinte..en traitement précoce du covid..inutile d’en donner en phase d’aggravation..c’est comme tout, il faut prendre les choses dès les premiers signes…
Vous dites en dernier paragraphe, …
“Note de Pierre Rehov : le professeur Raoult a insisté sur le fait que l’hydroxychloroquine ne donnait de résultat positif qu’administré dès l’apparition des premiers symptômes. Cette étude, néanmoins intéressante, n’a pas porté sur l’administration de ces deux médicaments au tout début de la maladie, mais sur des patients déjà hospitalisés.”
Alors pourquoi avoir posté cette étude qui est complétement faussée ?
De plus le Professeur Didier Raoult a déclaré que le Remdevisir était à l’origine de nouvelles souches de Covid-19
Ce qui fait le Remdevisir bien plus nocif que l’Hydroxychloroquine.
Alors pourquoi avoir posté cette étude qui est complétement faussée ?
C’est ce que l’on appelle de l’information honnête: L’étude n’est pas faussée, elle porte sur une certaine situation, de ce fait elle est intéressante mais je me devais d’apporter cette précision:
Dès qu’un article va dans votre sens de pensée, vous l’acclamez, même s’il contient des fausses données: Je ne fonctionne pas de cette manière et fais passer les faits avant l’idéologie: Vous le verrez d’ailleurs dans un prochain article:
Sans la remarque à la fin de l’article on se demandait des choses !
Heureusement. Mais la question demeure. Pourquoi ces ‘chercheurs’ n’appliquent-ils pas les recommandations du Pr. Raoult et font-ils des choses contre le bon sens ?
Raoult est un personnage intéressant, mais ce n’est pas Dieu, même s’il en est convaincu !
Il n est pas Dieu mais avec lui comme ministre de la santé, la France ne serait pas dans le triste état actuel!
Le prof. Raoult n’a cessé de préciser que l’Hdroxychloroquine est vraiment efficace en traitement précoce (dès les premiers symptomes) et les détracteurs de l’Hdroxychloroquine (ceux qui veulent imposer le “vaccin” comme “seule solution”) n’ont cessé de l’administrer à des gens gravement malades et hospitalisés, lorsque que c’est manifestement trop tard, pour pouvoir nier ensuite son pouvoir de soigner. C’est de la mauvaise foi caractérisée!
Les labos achètent tous ces gens corrompus avec leurs milliards, pour pouvoir imposer la vaccination, source de profits extravagants.
Notre époque étouffe sous la corruption généralisée, véritable maladie mortelle.
https://www.jpost.com/health-science/israeli-scientist-says-covid-19-could-be-treated-for-under-1day-675612