Publié par Rosaly le 16 août 2021

Le rêve d’une Société multiculturelle heureuse, épanouie et harmonieuse semble s’évanouir au doux pays de Mutti Merkel.

Avant de gaspiller des millions d’Euros pour financer des projets de recherche sur les raisons de l’augmentation de ces phénomènes inquiétants, le gouvernement allemand ne devrait-il pas d’abord se poser la question suivante :

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pourquoi des Palestiniens et des Turcs en Allemagne, des Palestiniens et des Marocains aux Pays-Bas, des Palestiniens et des Egyptiens en Italie, des Palestiniens et des Pakistanais en Grande Bretagne, des Palestiniens et des Nord-Africains en France, tous de « pieux et gentils » immigrés musulmans ressentent-ils autant de haine pour les Juifs et l’Etat juif ?

« Le gouvernement allemand va dépenser 41 millions de dollars (environ 35 millions d’Euros) pour financer des projets de recherche sur les causes de l’antisémitisme, de la haine et du racisme, dans le cadre d’un effort plus large de lutte contre ces phénomènes en hausse » a annoncé mercredi le Ministère fédéral de l’Education et de la Recherche.

« Il est plus que honteux que les Juifs d’Allemagne se sentent menacés », a déclaré la ministre allemande de l’ Education et de la Recherch, Anja Karliczek.

« L’antisémitisme et le racisme n’ont pas leur place en Allemagne. Ils sont un poison et une grande menace pour la cohésion sociale. Nous devons combattre ce poison avec toute notre détermination. Mais nous ne pouvons combattre que ce que nous comprenons. » (Un conseil: commencez par lire le coran et la lumière jaillira.)

Un certain nombre de chercheurs universitaires sur le sujet de l’antisémitisme recevront un financement total de 14 millions de dollars (environ 12 millions d’Euros) sur une période de quatre ans. Un financement supplémentaire de 27 millions de dollars (environ 23 millions d’Euros) sera accordé à des projets de lutte contre l’extrémisme de droite et le racisme.

« Nous voulons élargir notre base de connaissances, afin de combattre efficacement le racisme et l’antisémitisme », poursuivit Frau Karliczek. « Les projets de recherche que nous finançons contribueront à cette compréhension et aideront à développer des mesures appropriées pour prévenir et combattre l’antisémitisme dans l’éducation, la société civile et la politique. » (Bonne chance avec les nouveaux Allemands !)

Elle a ajouté que les groupes de recherche se pencheront sur des questions telles que la manière dont l’antisémitisme atteint les enfants dans les écoles, et ce que le public peut faire pour se prémunir contre les discours de haine en ligne. (Dans les classes où les enfants musulmans sont désormais majoritaires, la tâche sera ardue, voire quasiment impossible.)

L’initiative examinera les dynamiques et les facettes de l’antisémitisme à partir de différentes perspectives disciplinaires et inclura des experts universitaires en théologie, éducation, sciences politiques et droit. Les projets sélectionnés vont de « l’antisémitisme dans les médias en ligne » à « l’antisémitisme dans le cadre du système judiciaire », en passant par « les signatures chrétiennes de l’antisémitisme » et « la prévention de l’antisémitisme dans l’éducation. Les points de vue juifs seront systématiquement inclus » a déclaré le gouvernement.

« Pour construire la base de nos actions, une connaissance fiable des manifestations actuelles de l’antisémitisme, de l’extrémisme de droite et du racisme est indispensable », a déclaré Felix Klein, commissaire fédéral allemand chargé de la lutte contre l’antisémitisme et de la promotion de la vie juive.

« Les lignes directrices actuelles sur le financement de la recherche sur l’antisémitisme soutient un large éventail de projets de recherche. Avec la directive de financement sur l’extrémisme de l’extrême-droite et le racisme, cela nous donne une image plus claire de ces phénomènes et de leurs liens », a-t-il déclaré.

Rosaly :

Pas un mot sur l’antisémitisme musulman, l’extrémisme islamique, le racisme musulman, le racisme islamique, qui gangrènent la nouvelle Société allemande, si chère à la future ex-Chancelière. La vérité doit être tue, car Il ne faut surtout pas choquer les « nouveaux » Allemands avec ces accusations fallacieuses. Comment dès lors croire en l’objectivité de telles recherches ?

En Allemagne, plus de 70 ans après la chute du troisième Reich, les membres de la communauté juive voient leur intégrité physique et leur vie menacées.

En 2016, le Conseil juif d’Allemagne avait aussi pointé du doigt la responsabilité de la communauté musulmane dans la montée d’un sentiment antisémite et avait appelé les services de renseignements intérieurs à « neutraliser les prêcheurs de haine ». Mais c’est sans doute Moshe Kantor, le président du Congrès juif européen, qui eut les mots les plus durs, accusant l’Europe tout entière de ne pas avoir tiré les leçons de la tuerie de Toulouse :

« Ce drame aurait dû provoquer un électrochoc, obligeant les responsables politiques à prendre conscience de la gravité et l’enracinement de la haine des Juifs dans certaines parties de la population », avait-il expliqué.

« Malheureusement, la vie continue comme si rien ne s’était passé. Mais pour les juifs, la réalité a changé. Ces meurtres ont créé un isolement psychologique qui s’accroît à chaque nouvelle agression. »

Vu la recrudescence de l’antisémitisme en Allemagne et ailleurs en Europe, cette initiative serait noble si elle n’occultait pas la dérangeante réalité de l’Allemagne d’aujourd’hui. Comme vous l’aurez sans doute remarqué, ces projets ne font aucunement référence à la source principale de la résurgence violente de l’antisémitisme au pays de Goethe. Et pourtant, que de millions d’Euros seraient économisés si le gouvernement allemand avait le courage d’identifier publiquement la véritable cause du réveil accéléré de l’antisémitisme en Allemagne: la présence de millions de musulmans, dont le livre sacré a inspiré en quelque sorte le « Mein Kampf » du diabolique Adolph Hitler.

Dans « Mein Kampf » l’antisémitisme transpire quasiment de toutes les pages. La croyance en une race supérieure, la race aryenne, a créé le concept de « l’Untermensch », ce qui justifierait son extermination pure et simple, selon les délires du Führer.

Le coran, lui, est la parole incréée, éternelle et inaltérée d’Allah et justifie l’extermination des non musulmans, des Juifs et des Chrétiens, s’ils refusent de se soumettre à Allah, ainsi que la façon explicite de procéder.

Les recherches sur les causes de l’antisémitisme, du racisme et de la haine devraient avant tout se focaliser sur les quelques 6.300 versets des 114 sourates du coran, dont 300 « invitent » les fidèles à « combattre » ou à « tuer » les non musulmans, les Juifs et les Chrétiens. A ces derniers, plus « chanceux», on leur propose d’abord généreusement le choix entre la conversion et le statut de dhimmi ou la mort. A noter que le statut de dhimmi n’empêchait pas les Juifs d’être victimes de pogroms, au gré de l’humeur des califes, des sultans, ou des membres de la meilleure communauté qui soit, comme ce fut le cas à Grenade le 31 décembre 1066. Dans cette. ville sous domination musulmane, à l’époque du mythique Age d’Or al Andalus, célébré par nos islamophiles comme une période de merveilleuse coexistence pacifique, cinq mille Juifs furent massacrés en une nuit par une foule musulmane, un carnage sans précédent sur la terre d’Espagne.

Comme l’écrivit Gérard de Cortanze,dans son livre : « L’An prochain à Grenade » : Une ligne de sang réunit la nuit de Grenade à l’attentat devant une école juive à Paris …» « N’oubliez jamais ! »

Mais pour le gouvernement islamophile allemand, sans doute terrorisé par cette présence de plus en plus massive de fidèles d’Allah, il est moins dangereux d’accuser l’extrême-droite, quelques dizaines de skinheads, des néo-nazis ou des paléo-gothiques que les centaines de milliers de soldats du djihad sacré, en dormance sur son sol « légèrement» plus susceptibles, colériques et belliqueux, prêts à égorger les infidèles pour une simple critique de l’islam.

Les responsables politique occidentaux devraient comprendre un point fondamental sur l’islam.

L’islam ne partage pas avec l’Occident les principes de justice, de tolérance, de progrès, encore moins le respect de la dignité de tout être humain. L’affirmer, c’est se tirer une balle dans les pieds, car l’islam enseigne une dichotomie stricte entre les musulmans, appelés « les meilleures personnes qui soient » et les incroyants, désignés comme « les plus méprisables des êtres créés. » (Ce qui ne les empêche pas de chercher refuge chez ces « êtres méprisables » par millions au lieu de s’adresser à leurs richissimes frères en Allah, d’Arabie saoudite et autres monarchies du Golfe, ces êtres supérieurs … si généreux et accueillants, adorateurs du même dieu.)

Comment Frau Merkel pensait-elle lutter contre la résurgence violente de l’antisémitisme dans son pays, en persistant à y accueillir des centaines de milliers de « migrants » musulmans, en provenance de pays où la haine d’Israël et de son peuple est profondément ancrée dans les cœurs et les esprits de ses habitants ?

Les atrocités commises par les nazis à l’encontre des Juifs hantent toujours les esprits et la conscience d’une partie de la population allemande. Afin de faire amende honorable, Angela Merkel, atteinte d’une sympathie quasi maladive envers les « musulmans en souffrance, fuyant la guerre et la misère» espérait, par sa généreuse politique migratoire « portes ouvertes » faire oublier le passé peu glorieux de son pays.

Toutefois, en sublimant sa politique expiatoire par l’accueil illimité de réfugiés et migrants musulmans, elle a fait entrer en Allemagne les nouveaux nazis du XXIe siècle, des musulmans qui ressuscitent de manière violente l’antisémitisme partout en Europe, de Malmö à Madrid.

En 2010, la chancelière Merkel reconnaissait que les tentatives du gouvernement allemand de créer une société multiculturelle avaient échoué ? Que s’est-il passé depuis ? Pourquoi a-t-elle changé d’avis ?

Comment interpréter sa volonté quasi obsessionnelle de faire entrer des millions de musulmans, animés par la « furor islamicus » dans son pays et en Europe, si ce n’est par une sorte de folie ?

La démographie en berne et l’excuse d’une main d’œuvre abondante, « super qualifiée » et bon marché n’expliquent pas tout. D’autant plus, que la déception fut grande, car ces « richesses ou Goldstück », invités par Mutti Merkel, dont l’Allemagne avait terriblement besoin, étaient pour la plupart quasiment analphabètes et très peu ou pas du tout qualifiés. Par contre, ils brillaient par leur fanatisme religieux La grande illusion était en marche.

Comment pouvait-elle espérer redorer l’image de l’Allemagne, demander pardon aux Juifs morts dans les camps de l’horreur nazie, tout en invitant des millions de gens, ayant la haine d’Israël et des Juifs chevillée au corps dès l’enfance et souhaitant terminer le travail d’Hitler ?

Toutes ces questions, je ne suis pas la seule à me les poser.

Des millions de réfugiés importent en Allemagne leur antisémitisme virulent. De nombreux demandeurs d’asile sont originaires de pays où l’hostilité et la haine à l’encontre d’Israël et des Juifs sont endémiques. Il faudra plusieurs générations avant de pouvoir intégrer ces gens à la société allemande, et encore rien n’est moins sûr. Leur culture, leurs valeurs, leurs traditions sont totalement opposées aux nôtres.

La haine des migrants arabo-musulmans et africano-musulmans – actuellement présents sur le sol allemand – envers les Juifs crée déjà de nombreux problèmes. Avec des millions de réfugiés en provenance de pays où l’antisémitisme est quasiment érigé en une doctrine d’état, menaces, hostilité et violence vont revêtir une nouvelle dimension. Combien de centaines de milliers d’Afghans hostiles vont bientôt déferler en Europe, rejoindre la cohorte des soldats d’Allah, suite à l’avancée des talibans, ces fanatiques d’un islam pur et dur ? Ne devraient-ils pas rester dans leur pays et combattre l’ennemi, comme nos aïeux le firent avec héroïsme? Pourquoi l’Europe doit-elle accueillir tous les musulmans de la planète et non les riches pays arabes, leurs frères en Allah ?

Selon l’historien et sociologue américain Daniel Goldhagen, les Allemands ont la haine des Juifs inscrite dans leurs gênes. Un « code » programmé les a conduit à commettre l’Holocauste. Si cette thèse brutale de Goldhagen est qualifiée de grave et raciste par des scientifiques réputés, il est indéniable que l’antisémitisme musulman menace concrètement la population juive européenne.

Reconnaissance et bonté devraient inonder le cœur de ces « migrants », et non ce sentiment répugnant qu’est la haine des Juif et de leur pays d’accueil. Mais sont-ils réellement des migrants ou des «conquérants» en devenir de l’Occident ?

La haine des Juifs est solidement ancrée dans leur coeur dès l’enfance et entretenue par la propagande télévisée, les discours des responsables politiques et les prêches d’imams haineux.

De nombreux demandeurs d’asile sont originaires de pays où l’hostilité et la haine à l’encontre d’Israël et des juifs sont endémiques. Il faudra plusieurs générations avant de pouvoir intégrer ces gens à la société allemande, et encore rien n’est moins sûr, car selon un constat alarmant : ce sont les troisièmes générations, nées en Occident, qui se radicalisent le plus dans nos pays.

L’antisémitisme en Allemagne et ailleurs en Europe ira en croissant et imaginer le contraire serait illusoire. Ces recherches financées par le gouvernements ne se focaliseront pas sur la véritable cause de la montée de l’antisémitisme en Allemagne, car ce dernier par crainte et lâcheté refuse de voir la réalité en face et préfère enfouir sa tête dans le sable pour ne pas affronter la dure et terrible vérité sur cette «religion» hypocritement parée de toutes les vertus.

L’islam c’est l’amour, la tolérance et la paix, nous serinent imams, experts en taqiya, et islamophiles de tous bords politiques, n’ayant jamais ouvert une page du coran, mais on n’oublie de préciser: la paix oui, mais dans la soumission totale à Allah, sinon, c’est la paix dans la mort, la tolérance bien sûr, mais selon la loi d’Allah, la charia, un modèle d’intolérance suprême, l’amour sans doute, mais celui de la haine de l’Autre, le kouffar, le mécréant, l’infidèle, le Juif et le Chrétien.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : «German Governement to spend $41 Million on Researching what Fuels Antisemitism and Racism.» (The Algemeiner) (traduit et commenté par Rosaly)

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