
Cette stratégie va probablement prolonger la phase la plus dangereuse de la pire pandémie depuis 1918 et causera presque certainement plus de mal que de bien – tout en sapant la confiance dans l’ensemble du système de santé publique.
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Quatre hypothèses erronées sous-tendent la stratégie de Biden
1 La première est que la vaccination universelle peut éradiquer le virus et garantir la reprise économique en assurant une immunité collective dans tout le pays et le reste du monde.
Cependant, le virus est désormais si profondément ancré dans la population mondiale que, contrairement à la polio et à la variole, son éradication est irréalisable. Le SRAS-CoV-2 et ses myriades de mutations continueront probablement à circuler, tout comme le rhume et la grippe.
2 La deuxième hypothèse est que les vaccins sont parfaitement efficaces.
Or, les vaccins dont nous disposons actuellement sont perméables. S’ils sont efficaces pour prévenir les maladies graves et la mort, ils ne font que réduire, et non éliminer, le risque d’infection, de réplication et de transmission. Comme l’a révélé le Centre pour le Contrôle des Maladies, même une vaccination à 100 % de la population, combinée à un respect strict des masques, n’empêchera pas le variant Delta de se propager.
3 La troisième hypothèse est que les vaccins sont sûrs.
Pourtant, les scientifiques, les médecins et les responsables de la santé publique reconnaissent aujourd’hui que les risques sont rares mais loin d’être négligeables. Parmi les effets secondaires connus figurent des troubles cardiaques et thrombotiques graves, des perturbations du cycle menstruel, la paralysie de Bell, le syndrome de Guillain Barre et l’anaphylaxie.
Les effets secondaires inconnus que les virologues craignent de voir apparaître comprennent des risques existentiels pour la reproduction de maladies auto-immunes supplémentaires. Ainsi, ces vaccins peuvent rendre les gens plus vulnérables à une réinfection par le SRAS-CoV-2 ou à la réactivation d’infections virales latentes et de maladies associées telles que le zona.
À juste titre, la FDA n’a pas encore approuvé les vaccins actuellement administrés en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence.
4 L’échec de la quatrième hypothèse de durabilité est le plus alarmant et le plus déroutant.
Il apparaît aujourd’hui que nos vaccins actuels n’offriront vraisemblablement qu’une fenêtre de protection de six mois. Cette absence de durabilité est démontrée par des preuves scientifiques en provenance d’Israël ; elle est confirmée par Pfizer, le Department of Health and Human Services et d’autres pays.
On nous avertit déjà de la nécessité de procéder à des injections de rappel à intervalles de six mois dans un avenir prévisible. Le point évident qui milite en faveur du choix individuel de ne pas se faire vacciner est que des vaccinations répétées, chacune présentant un petit risque, peuvent engendrer un gros risque à long terme.
C’est une course aux armements pour contrer le coronavirus
La raison la plus importante pour laquelle une stratégie de vaccination universelle est imprudente tient au risque collectif associé à la façon dont le virus réagit lorsqu’il se réplique chez les individus vaccinés.
La virologie de base et la génétique de l’évolution nous indiquent que le but de tout virus est d’infecter et de se répliquer chez le plus grand nombre possible de personnes. Un virus ne peut pas se propager efficacement si, comme dans le cas d’Ebola, il tue rapidement ses hôtes.
La tendance historique des virus passant d’une espèce à l’autre est d’évoluer d’une manière qui les rende plus infectieux et moins pathogènes au fil du temps. Cependant, une politique de vaccination universelle déployée au milieu d’une pandémie peut transformer ce processus de sélection darwinien en une dangereuse course aux armements vaccinaux.
Cette fuite en avant tient à deux choses
Plus vous vaccinez de personnes, plus le nombre de mutations résistantes aux vaccins risque d’être élevé, et moins les vaccins seront durables.
Des vaccins toujours plus puissants devront être développés et les individus seront exposés à des risques de plus en plus importants. [Le précédent des antibiotiques utilisés à tort et à travers devrait nous faire réfléchir]
La science nous apprend que les vaccins actuels, qui utilisent les nouvelles technologies de thérapie génique, génèrent de puissants antigènes qui dirigent le système immunitaire vers l’attaque de composants spécifiques du virus. Ainsi, lorsque le virus infecte une personne avec une vaccination perméable, la descendance virale sera sélectionnée pour échapper ou résister aux effets du vaccin.
Si toute la population a été entraînée par une stratégie de vaccination universelle à avoir la même réponse immunitaire de base, un mutant se répandra rapidement dans toute la population, qu’elle soit vaccinée ou non. [la propagation du variant Delta comme en Israël, en Islande ou dans l’Etat du Vermont aux Etats-Unis, est une bonne illustration de ce scénario]
Une stratégie optimale consiste à ne vacciner que les personnes les plus vulnérables
Cela permettra de limiter le nombre de mutations résistantes au vaccin et donc de ralentir, voire d’arrêter, la course actuelle aux vaccins.
Heureusement, les personnes les plus vulnérables sont relativement peu nombreuses, et ces cohortes ont déjà atteint des niveaux élevés de vaccination. Il s’agit notamment des personnes âgées, pour lesquelles le risque de maladie grave ou de décès augmente de façon exponentielle avec l’âge, et des personnes souffrant de comorbidités importantes telles que l’obésité, les maladies pulmonaires et cardiaques.
Pour le reste de la population, il n’y a rien d’autre à craindre que la peur du virus lui-même. Cela est d’autant plus vrai que nous disposons d’un arsenal croissant de prophylaxies et de thérapies scientifiquement prouvées.
Par exemple, l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ont suscité de nombreuses controverses. Pourtant, grâce à l’émergence d’un ensemble croissant de preuves scientifiques, nous pouvons être assurés que ces deux médicaments sont sûrs et efficaces en prophylaxie et en traitement précoce lorsqu’ils sont administrés sous la supervision d’un médecin. De nombreux autres traitements utiles vont de la famotidine/célecoxib, la fluvoxamine et l’apixaban à divers stéroïdes anti-inflammatoires, la vitamine D et le zinc.
L’objectif général de ces traitements est de modérer les symptômes et d’éviter la mort pour les personnes non vaccinées
Contrairement aux vaccins, ces traitements ne dépendent pas des mutations virales mais atténuent ou traitent les symptômes inflammatoires de la maladie elle-même. Pfizer commercialise activement son propre traitement antiviral. C’est une admission tacite que son propre vaccin est incapable d’éradiquer le virus.
Nous ne sommes pas anti-vax !
L’un d’entre nous (le professeur Malone) a inventé la technologie de base du messager ARN utilisée par Pfizer et Moderna pour produire leurs vaccins. Il a consacré toute sa carrière professionnelle au développement et à l’avancement de nouvelles technologies vaccinales et à d’autres contre-mesures médicales.
L’autre (Monsieur Navarro) a joué un rôle clé à la Maison-Blanche de Trump pour lancer l’opération Warp Speed et assurer la livraison des vaccins en temps voulu.
Nous disons simplement que ce n’est pas parce que vous disposez d’un gros marteau (vaccin) qu’il est sage de l’utiliser pour tous les clous.
Le peuple américain mérite mieux qu’une stratégie de vaccination universelle sous le couvert d’une mauvaise science appliquée par des mesures autoritaires.
=== commentaire du traducteur ===
Cet article cosigné a été publié par le Washington Times, le 5 août 2021, dans l’indifférence générale des médias alors qu’il y a péril en la demeure avec la vaccination universelle.
Le professeur Robert Malone s’attribue la paternité de la découverte de la transfection d’ARN in-vitro et in-vivo et des vaccins messager ARN (acide ribonucléique) au Salk Institute en 1988. Il manque de modestie car il oublie de mentionner les deux autres chercheurs, Philip Felgner et Inder Verma, qui ont cosigné cette découverte dans un papier du 12 mai 1989 (1).
A l’Institut Méditerranée de Marseille, le professeur Philippe Parola constate qu’il n’y a pour l’instant pas de différence entre les vaccinés et les non-vaccinés au niveau des hospitalisations liées au variant Delta. Il faudra attendre plus de cas pour l’établissement de cohortes et tirer des conclusions. Néanmoins, Parola met en garde que toute personne vaccinée peut être porteuse et contagieuse.
A quoi sert le passe sanitaire, si ce n’est d’ostraciser une partie non négligeable de la population française ? Un conseiller d’un ministre a osé dire pour justifier cette vaccination obligatoire :
» Ca va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés.
Parola rejoint Malone concernant l’utilité de vacciner les personnes âgées ou à risque de comorbidité, et le risque de tout miser sur une vaccination universelle alors qu’il existe des traitements efficaces.
Comme il est impossible de prédire l’avenir, la sagesse voudrait que l’on traite les populations en bonne santé et que l’on vaccine les personnes très âgées, les personnes obèses et les personnes à risque de comorbidité. Ce message peut-il être entendu par un gouvernement français corrompu ?
Il ne pleuvait pas encore quand Noé construisit l’arche commandé par Dieu en réaction à la corruption de la race humaine. Genèse 6.
La transfection est le processus d’introduire délibérément de l’acide ribonucléique purifiée dans des cellules eucaryotes. Les eucaryotes sont des organismes unicellulaires ou pluricellulaires ayant un noyau.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.
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bonjour Mr Maroia et merci pour vos prises de positions courageuses
(et merci à Dreuz de vous publier).
Le Pr Malone rapporte que ce virus passe de l’animal à l’homme et comme le suggère le Dr martin Zizi (,rappelant les infections de chats,chiens,tigre d’un zoo et visons,notamment),il s’agirait donc d’une zoonose à hotes multiples.
La vaccination de la seule population humaine serait donc inefficace.
Le gros marteau de la vaccination semble plutot assommer les populations que le virus jusqu’à présent
//Il ne pleuvait pas encore quand Noé construisit l’arche//
Il y a combien de place dans votre arche non commandée par Dieu ?
je n’ai pas d’arche en construction mais le rappel de cet épisode biblique est un parallèle intéressant à faire en cette période de corruption au plus haut niveau de l’Etat et de passage en force du transhumanisme voulue par les gnomes de Davos.
Davos tient le monde dans ses mains…
Je suis bien d’accord avec vous. Il y a incontestablement un parallèle entre la perversion de la vie aujourd’hui et celle qui prévalait dans la période pré-diluvienne. Mais qui fera ce rapprochement dans le monde où nous vivons. Les eaux se répandirent sur toute la surface de la terre pour exterminer l’humanité, si Noé n’avait pas trouvé grâce aux yeux de… comme le virus d’aujourd’hui, aussi ingérable qu’un Déluge de 40 jours et 40 nuits. Les eaux ont été remplacées par le virus et ses cohortes de variants, parce qu’un nouveau Déluge n’est pas possible. Question de promesse, mais pour le virus, il n’y a pas encore d’arc en ciel.
Effectivement Yvetro, il y a très peu de personnes pouvant faire ce rapprochement car Dieu n’existe plus pour les jeunes générations formatées par la pensée unique. Pourtant, la bible reste la meilleure clé de lecture pour comprendre le monde.
Non seulement ils n’ont plus de Dieu mais aussi de repères historiques (l’histoire n’est plus enseignée car elle est un obstacle à un monde sans frontières) ou géographiques (à quoi bon l’apprendre avec un smartphone et Google Map ?)
L’anomie est le mal du XXI siècle. Je ne vois que de jeunes zombis dans les rues avec des oreillettes et qui textent ou lisent des SMS à tout bout de champ. Comme leur concentration ne dépasse pas sept secondes, adieu la culture
Cher Bernard, n’accusons pas les jeunes : leurs parents sont coupables de ce que vous leur reprochez.
Bonjour , je ne pense pas que tous les parents soient responsable du comportement des jeunes, mais plutôt
la course au « fric » des industriels :
Vous soulevez un point d’éducation intéressant. J’ai respectueusement la faiblesse de penser que les parents courageux imposent des règles et des devoirs, les faibles les droits des enfants. La course au fric des industriels est ce qui fait marcher le monde dans la bonne direction : le recul de la famine, l’augmentation de la durée de vie et de la qualité de la vie, le recul des guerres et des morts. La course au fric est une manière d’appeler la créativité humaine et ses efforts pour apporter le confort et le bien-être à sa famille.
Merci pour le rappel de cet épisode biblique. J’y pense aussi souvent …
Quant au « transhumanisme » voulu par les gnomes de Davos », il ne vise qu’un seul objectif: détruire l’Europe blanche, ses valeurs judéo-chrétiennes et sa culture gréco-latine, dans le but criminel de transformer nos pays européens en ersatz de nations sans âmes, sans foi, sans honneur et diluer ses peuples dans un magma multiculturel, qui n’apportera que malheur, souffrances et destructions. Cela commence déjà! Sous prétexte de « valeurs humanistes », la propagande des mondialistes fonctionne à plein rendement, notamment auprès des jeunes générations, leurs cibles de prédilection.. .
Merci pour ce bon article, qui est un bon contrepoids à la tendance tout vaccin irraisonnée que l’on voit se répandre un peu partout.
Dès septembre, pendant les horaires scolaires des équipes mobiles vont emmener les enfants non-vaccinés dans des centres de vaccination où ils pourront être vaccinés sans l’accord des parents. Le chantage est déjà tout préparé: » Si tu ne te vaccines pas tu risques de tuer papy et maman »
Raoult ne dit pas autre chose, et depuis longtemps.
Je ne suis pas médecin, mais je relève deux points dont la logique m’interroge. D’abord, le virus, si on ne le contrariait pas avec les vaccins, aurait une tendance naturelle à muter vers des formes épargnant ses hôtes, pour survivre lui-même. Or, ce virus est rapide à infecter. Peu lui importe que son hôte décède parce qu’avant, il a eu le temps de contaminer tout son entourage. Deuxième point, la propagation de Delta serait favorisée dans les pays très vaccinés (l’article cité notamment Israël). Je relève quand même que Delta a été repéré en Inde en octobre ou novembre 2020 et a fait ensuite des ravages dans ce pays peu vacciné. A l’époque, on n’avait pas encore commencé les grandes campagnes de vaccination. Je ne suis pas assez calée pour bien évaluer tout l’article, mais ces points ne m’inspirent pas trop.
il faut un sacré courage à ces personnes pour ne pas céder aux injonctions qui ne cèdent en rien aux pires fanatiques néo-bolcheviks et leurs passe-sanitaire ou plutôt passeport intérieur comme en URSS
Il faut que la vraie médecine ( qui a été interdite par ce gouvernement abusif…!) reprenne le dessus et triomphe enfin, celle qui consiste à laisser chaque médecin soigner librement chaque malade selon son cas, en utilisant toutes les ressources disponibles pour sauver des vies (prévention, traitements précoces, etc…) même si elles n’ont pas été testées en double aveugle, avec placebo pendant 3 ans, etc…
La « médecine » qui se met au service de la politique partisane, pour refuser les soins « sur mesure » et pour cautionner l’imposition autoritaire et uniforme d’une vaccination expérimentale ( comme « seule solution »…!) à la totalité de la population ( en considérant les individus non comme des personnes mais comme des numéros…!) est une médecins dévoyée, qui trahit le serment d’Hippocrate.
Les médecins doivent résister aux pressions des politicards et défendre une noble et libre pratique de leur art..!
L’ordre des médecins créé par Vichy doit être dissous!
un chroniqueur de dreuz dit lui même que selon une amie médecin, depuis 1995 les médecins n’ont plus le choix véritable des médicaments
ce qui corrobore le fait qu’ils poussent aux injections
il y aurait un supra conseil de l’ordre pour interdire les médecins se refusant d’être complice des ordres du président en fureur
Le chroniqueur de Dreuz dit que le médecin, lorsqu’il veut prescrire un médicament qu’il juge utile à son malade, doit prescrire un autre recommandé. Le chroniqueur ne dit pas que la Sécurité sociale oblige le médecin à pousser à la vaccination. Si c’est le cas, les médecins lanceurs d’alerte sont assez nombreux pour qu’on l’apprenne très vite.
Si, l’état oblige pratiquement le médecin à pousser à la vaccination. Lorsque vous vous vaccinez, vous signez un papier sur la protection de vos données de vaccination. L’état s’est engagé à ne pas les divulguer. Et 3 mois plus tard, il décide d’envoyer à chaque médecin la liste de ses patients non vaccinés pour qu’il les incitent à se vacciner. Pour ce faire l’état doit passer outre à son engagement de confidentialité : le ministre avait d’ailleurs annoncé : nous obtiendrons l’accord de la CNIL, qui s’est bien sûr pliée à cette requête. Donc oui, l’état pousse les médecins à la vaccination.
Un cas de plus ou l’état trahi ses engagements. L’état fiche toute la population gràce à un engagement de confidentialité, puis il le trahi peut après. C’est typique d’un état totalitaire, et c’est bien le processus qui fut utilisé il y a 80 ans contre certaines catégories de la population.
C’est terrible, et je vous crois. Mais je ne vous comprends pas.
Demokratia, vous nous avertissez d’un grave danger supplémentaire avec la suppression de la confidentialité des données des patients.
La CNIL, dernier rempart de la liberté, aurait donc cédé aux injonctions de la dictature sanitaire du gouvernement. Avez-vous une source pour confirmer vos propos ?
Lors de ma dernière consultation avec mon médecin généraliste en juin, ce dernier a insisté lourdement pour que je me fasse vacciner. J’ai répondu que je voulais être soigné avec l’hydroxy chloroquine. Il n’a pas tenu compte de mon avis et répété que je devrais me faire vacciner. J’en déduis qu’il est tombé sous la férule du gouvernement.
Tout cela nous ramène à la liberté des soins qui n’existe pas en France avec le monopole illégal de la sécurité sociale.
Si d’aventure, vous êtes concerné par cette tournure orwellienne et prévisible, vous pouvez encore ma pétition en ligne pour l’abolition du monopole illégal de la SS selon le traité de l’Acte Unique européen créant un marché unique pour toutes les activités et de la jurisprudence constate de la Cour de Justice de l’Union européenne que le gouvernement français ne respecte pas.
https://www.petitionenligne.com/pour_labolition_du_monopole_de_la_securite_sociale_en_france
Vous racontez n’importe quoi.
Excellent commentaire, avec lequel je suis d’accord à 100%
Bonjour , il y a en France dans chaque département des médecins anti vaccin et qui soignent : D’autre part la mise sur le marché de ces pseudos vaccins ne devait intervenir qu’en 2023
Cherchez l’erreur!
L’erreur c’est vous, ce sont des vrais vaccin, pas de « pseudo », la mise sur le marché devait être avant l’élection de Trump. Elle a été retardée de 9 jours par Pfizer pour ne pas qu’il soit réélu.
Merci beaucoup pour cet article.
Raoult ne dit pas autre chose, et depuis longtemps.
Article difficilement compréhensible et non vérifiable une fois encore….
« Apprendre à mourir »…. et se faire vacciner…. semblent les deux bonnes solutions….et attendre et voir….la troisième obligation…nolens volens.
Le professeur PAROLA aurait démissionné quant au Professeur RAOULT, il aurait « pris sa retraite ». ?