Un nouveau rapport analysant le statut vaccinal des résidents du sud-ouest de Washington hospitalisés pour le COVID-19 montre que la vaccination est capable de réduire le risque d’hospitalisation jusqu’à 90 %.
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L’analyse a montré que le risque d’être hospitalisé pour le COVID-19 était réduit de 90 % pour les résidents du sud-ouest de l’État de Washington âgés de 65 ans et plus qui étaient complètement vaccinés.
- Les personnes sont considérées comme totalement vaccinées deux semaines après avoir reçu la deuxième dose des vaccins Pfizer ou Moderna, ou deux semaines après avoir reçu la dose unique du vaccin Johnson & Johnson.
- Les personnes sont considérées comme partiellement vaccinées si elles ont reçu au moins une dose mais ne sont pas encore complètement vaccinées.
“Ce rapport montre à quel point les vaccins COVID-19 sont efficaces pour prévenir les maladies graves pouvant entraîner une hospitalisation”, a déclaré le Dr Steven Krager, responsable adjoint de la santé pour les comtés de Cowlitz, Clark, Lewis, Pacific, Skamania et Wahkiakum.
“Compléter la série de vaccinations fournit la plus grande protection, mais même ceux qui ne sont pas encore complètement vaccinés reçoivent une certaine protection du vaccin.”
- Le rapport a également examiné le statut vaccinal des résidents âgés de 45 à 64 ans qui ont été hospitalisés pour le COVID-19. Cependant, moins de 10 résidents entièrement vaccinés de ce groupe d’âge ont été hospitalisés pour le COVID-19, ce qui a rendu impossible le calcul d’une estimation statistiquement stable.
- Les données sur les hospitalisations ont montré que 91 % des résidents hospitalisés âgés de 45 à 64 ans n’étaient pas vaccinés. À titre de comparaison, 49 % de la population de cette tranche d’âge dans la région n’étaient pas vaccinés.
L’analyse a porté sur les résidents des comtés de Cowlitz, Clark, Lewis, Pacific, Skamania et Wahkiakum qui ont été hospitalisés pour le COVID-19 du 22 mars au 27 juin 2021.
“Les vaccins COVID-19 sont très efficaces, mais ils ne sont pas parfaits. Un petit nombre de personnes entièrement vaccinées peuvent encore contracter le COVID-19”, a déclaré le Dr Alan Melnick, responsable de la santé pour les comtés de Cowlitz, Clark, Lewis, Pacific, Skamania et Wahkiakum.
“Mais ces données montrent que ceux qui sont vaccinés sont beaucoup moins susceptibles d’être hospitalisés à la suite de leur maladie. Se faire vacciner constitue la meilleure protection.”
Le rapport a été compilé par les services de santé et les services sociaux du comté de Cowlitz. D’autres services de santé du sud-ouest de l’État de Washington se sont associés au comté de Cowlitz pour ce projet.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Pierre Rehov pour Dreuz.info.
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Le rapport complet est disponible en ligne et peut être consulté ici : https://www.co.cowlitz.wa.us/DocumentCenter/View/23456/7272021-COVID-19-Hospitalization-Rates-in-SW-Washington-by-Age-and-Vaccination-Status?bidId=
Pourriezvous expliquer votre premier paragraphe ? Vous dites que le risque d’hospitalisation est diminué de 90% et la prase suivante est : “Leur risque d’être hospitalisé était réduit de 75 %”. Il y a semble-t-il un problème de rédaction. Pourriez vous expliquer ou corriger, afin que les choses soient compréhensibles ?
Erreur corrigée, merci.
Le problème inhérent à ce genre d’études est qu’elles sont habituellement conçues pour prouver ou dans d’autres cas infirmer une opinion préconçue.
Nous savons par exemple que le taux de vaccination est nettement plus faible chez les afro-américains et les hispaniques, et dans cette tranche de la population qui souffre de consommation excessive d’alcool et de stupéfiants. Or ce sont ces gens qui sont le plus susceptibles d’être infectés et hospitalisés.
Il faut donc analyser cette étude pour savoir si le groupe de vaccinés et celui des non-vaccinés sont homogènes. S’ils ne le sont pas alors les résultats de l’étude doivent être pris avec une petite dose de scepticisme.
Autre point et il est de taille quels sont les pourcentages de personnes dans chaque groupe ayant déjà subi une infection au covid, sachant qu’une telle infection produit une immunité quasi complète.
Autre point et il est également de taille, il concerne l’agent pathogène à savoir virus alpha ou virus delta, sur ce point les deux groupes sont-ils homogènes? À noter que le virus delta s’il est plus contagieux que le virus alpha est en revanche beaucoup moins pathogène.
Il y a également d’autres variables dont cette étude ne semble pas avoir tenu compte, comme par exemple le niveau de vitamine D dans le sang. Des études épidémiologiques effectués au RU ont démontré que les patients ayant un taux normal de vit D avaient moins de chances d’être hospitalisés et de décéder du covid.
Si les groupes étudiés ne sont pas homogènes alors les résultats de l’étude doivent être remis en question.
Malheureusement la science médicale a été outrageusement politisée au point de rendre suspects les recommandations des autorités sanitaires. La politisation de la médecine jette donc une ombre sur les résultats de la recherche médicale.
Le public a raison de se méfier, il saisit instinctivement que la médecine et la recherche médicale sont inféodées à la politique.
Excellent commentaire.
Il faut faire attention aussi à ce que veulent dire les chiffres (s’ils sont exacts). Quand on parle de 90% de réduction du taux d’hospitalisation, on parle bien d’une réduction du risque relatif (90% des gens se seraient retrouvés hospitalisés, èchapent à ce sort grâce au vaccin).
Si le taux d’incidence avant vaccin avait été 100 ou 1000 fois plus fort (1000 fois plus d’hospitalisations), cela n’aurait rien changé à la RRR produite par la vaccination qui serait toujours de 90%.
Compte tenu du risque absolu d’hospitalisation qui reste très faible si l’on considère toute la population, la réduction absolue du risque est en fait très réduite
Bojour ,
que signifie: “RRR produit par la vaccination”?
Cordialement
Reduction du risque relatif
Le risque absolu est très faible …mais suffisant pour engorger les hôpitaux, même si l’on en doublait la capacité (ce qui n’est pas réaliste)
Vous avez raison, d’où la nécessité de traiter précocement les malades. Mettre tous ses œufs dans le panier de la vaccination ne peut faire autrement qu’assurer la perpétuité de la pandémie.
Le coronavirus est un sujet inquiétant pour les gens.
Chez nous aux Etats-Unis, les personnes vaccinées sont furieuses contre les non-vaccinés parce qu’elles craignent de se faire infecter par eux. Ceux qui ne veulent pas se faire vacciner sont furieux des pressions qui sont faites contre eux pour qu’ils se fassent vacciner. Tous ont des raisons légitimes d’être à cran.
Pour un média conservateur comme Dreuz, la voie facile, the easy path, était d’embrasser les thèses des opposés au vaccin parce que les atteintes à la liberté individuelle font partie de notre ADN.
Dreuz a choisi la voie difficile.
Cette voie consiste à s’éloigner des spéculations et de s’en tenir aux faits. C’est notre ligne éditoriale et nous ne voulons pas en changer – et les pressions, les chantages nombreux n’y feront rien. Si nous dérogeons à nos valeurs pour le coronavirus, nous n’avons aucune raison de ne pas les jeter pour l’islam, pour Israël et pour la défense des idées conservatrices.
Nous aimerions que vous nous aidiez, parce que votre statut d’auteur de Dreuz vous confère sur Dreuz une responsabilité supérieure à celle des lecteurs, à éviter d’encourager les spéculations, et non les diffuser.
Vous dites “Mettre tous ses œufs dans le panier de la vaccination ne peut faire autrement qu’assurer la perpétuité de la pandémie.”
C’est une hypothèse. L’autre est que seule la vaccination pourra venir à bout de la pandémie. Chacun a le droit de suivre l’hypothèse de son choix, de baser son opinion sur les données disponibles ou sur tout autre critère abstrait.
De nombreux médias de droite sont avides de ces annonces sensationnelles. Dreuz n’en veut pas.
Cet article a été publié parce que les éléments qu’ils présentent sont fiables et qu’ils viennent de sources réputées et sérieuses.
Merci de votre compréhension.
J’espère que ce commentaire sera publié.
C’est justement parce que je suis un auteur de Dreuz qu’il me faut examiner la situation sous tous ses aspects et d’une façon rationnelle et, sans prétendre posséder la vérité, attirer l’attention des lecteurs sur certains “détails” qui ne font pas la une des journaux.
L’un de ceux-là est la prise en charge et le traitement précoce des infections au covid. Il s’agit là d’un tabou pour les médias en général mais également d’un manquement scandaleux de la part des autorités sanitaires et des corporations médicales.
La gestion rationnelle de la maladie exige une approche globale, les mesures préventives (distanciation, désinfection des mains et des surfaces, port du masque etc.) l’isolement des cas infecté, le dépistage des contacts et surtout le traitement précoce des patients symptomatiques, afin de réduire leur charge virale et prévenir l’hospitalisation.
Le traitement précoce est efficace et il a fait ses preuves, il est promu par des médecins praticiens omnipraticiens et spécialistes de haut niveau, il a fait l’objet d’une foule d’études cliniques et épidémiologiques de qualité, cependant il n’est pas reconnu par les autorités sanitaires, lesquelles comptent des médecins qui n’ont aucun contact avec le terrain.
Il ne s’agit pas là d’une hypothèse mais de traitements produisant des résultats cliniques probants et reproductibles. Le refus des autorités sanitaires de les reconnaître est incompréhensible, qui plus est elles ont autorisé l’utilisation du Remdesivir alors que cette molécule est toxique, peu efficace et coûte très cher.
Je choisis de ne pas m’avancer sur les raisons pour lesquelles les autorités sanitaires rejettent le traitement précoce des malades, ce que je sais c’est qu’elles n’ont rien à voir avec une saine pratique médicale, laquelle se traduit par l’obligation de moyens. En effet le médecin a une obligation de moyens, il doit traiter son patient avec tous les moyens mis à sa disposition, ce que font volontiers les médecins, à condition qu’on ne leur lie pas les mains derrière le dos.
Pour ce qui est des vaccins la conduite des autorités sanitaires soulève nombre de questions:
Toutes ces questions et bien d’autres ne trouvent pas de réponses en grande partie à cause de l’opacité des autorités sanitaires. Si on ajoute à cela les avis contradictoires et les contre-vérités qu’elles ont diffusées à temps et à contretemps, on peut comprendre pourquoi le public ne leur fait plus confiance.
C’est la politisation de la pandémie qui est responsable de ce gâchis; quelque soient les opinions exprimées, une chose est sûre: sans immixtion de la politique, cette pandémie était évitable et elle aurait pu être arrêtée à temps.
Bonjour Helios,
Robert Mallone, l’inventeur de la technolologie à base d’ARN messager utilisée dans les vaccin pfizer abonde totalement dans votre sens:
https://m.washingtontimes.com/news/2021/aug/5/biden-teams-misguided-and-deadly-covid-19-vaccine-/
petite précision, il est lui même vacciné.
Bonjour Hélios
Je me pose aussi toutes ces questions et les défilés d’experts sur les plateaux de télévision ( à croire pour certains, qu’ils y ont élus domicile) embrouillent par leurs discours plus qu’ils ne rassurent, tant leurs opinions sont contradictoires et varient au fil du temps. Wait and see, c’est ma devise.
Rosaly
Pas Une Raison Pour Faire courir ce genre de risques à des gamins de 12 ans
https://youtu.be/JLuF3XzJHhE
Il est indéniable que nous n’avons pas assez de recul. Il ne suffit pas d’avoir un échantillon suffisant en nombre encore faut-il disposer de la durée.
La politisation de la médecine, l’incompétence notoire de la “presse” (et pas que sur ce sujet), voir sa complicité vont occulter au grand public encore pendant longtemps tout résultat sérieux. Merci pour votre commentaire.
Cordialement
la durée de vie de l’arn est de quelques jours.
personne n’a de recul sur le virus non plus, et on sait que ses effets sont bien plus importants.
Le bénéfice d’une bonne méthodologie est précisément d’avoir des résultats qui garantissent, par construction, des résultats fiables.
Sans méthodologie garantissant l’homogénéité des groupes, il est facile de raconter n’importe quoi, intentionnellement ou pas.
c’est pour cela que l’on ne peut à la fois se déclarer « contre le methodologisme », comparer des choix et des carottes, et vouloir que ses études soient prises au sérieux.
La qualité d’une étude est la seule garantie d’une non politisation.
Puissiez-vous guérir vite et laisser derrière vous ce mauvais souvenir.
Je ne comprends pas tout ce pataquès fait autours de ce vaccin ! Les gens qui se sont fait vacciner ne tombent pas comme des mouches que je sache ! Il est clair que ce vaccin fait reculer la maladie et certainement les hospitalisations. Du reste, les vaccins ont fait reculer, et même complètement éradiquer certaines maladies redoutables, et certains vaccins sont obligatoires.
Je suis commentateur et pas journaliste, mais j’ai bonne mémoire, au début du Covid on nous montrait en boucle des gens qui tombaient au sol du Covid ?? Qui étaient ces gens et qu’est-ce qui les faisait tomber au sol réellement ? Jamais de réponse.
Vous parlez des images de Chine ? Avec le recul, elles ne me paraissent pas étonnantes. La détresse respiratoire peut être d’apparition rapide dans le Covid. Il ne faut pas oublier qu’à Wuhan ils avaient tout fermé, y compris les transports en commun. Les ambulances étaient débordées et les gens devaient se rendre à l’hôpital à pied. Certains tombaient donc du manque d’oxygène avant d’arriver.
Merci, au moins une réponse !
Merci ! Holà
Et si on se demandait comment font les gens non vaccinés qui n’ont toujours pas attrapé le covid ?
A mon avis, c’est comme les gens qui n’attrapent jamais la grippe ou des gastro-entérites : il y a des gens plus sensibles que d’autres. C’est mon cas – je touche du bois – raison pour laquelle je fais la sourde oreille au vaccin contre la grippe.
Quand je regarde les chiffres, je vois que 10% de la population mondiale a attrapé le coronavirus. Parmi eux, il y a bien entendu les enfants et adolescents – infiniment peu concernés ; tous ceux qui l’ont attrapé mais ne le savent pas parce qu’il n’y a pas de docteurs à moins de plusieurs heures de chez eux ; tous ceux qui l’ont attrapé mais n’ont pas de symptômes donc ne se sont pas fait tester et ne l’ont pas su ; les gens qui ont gardé leurs distances et porté le masque en public, et les gens qui vivent loin de tout. Mais malgré ces groupes, ça reste 10% de la population. Je n’ai pas regardé en détail par pays, certains sont peut-être plus touchés.
Ce n’est pas beaucoup 10 %, et on bloque les 90 % restants pour les 0,5 % de 10 % qui en meurent en général après 85 ans, dont une bonne partie seraient morts dans l’année de leurs comorbidités !?
Il existe une corrélation positive entre l’incidence des infections et la densité de la population. L’urbanisation, qu’elle soit planifiée ou sauvage, joue par conséquent un rôle central dans la transmission de la maladie. Voilà pourquoi le confinement en tant que mesure préventive n’a pas fonctionné et s’est avéré être une mesure cruelle pour les citadins. Ces deniers s’ils en ont les moyens s’achètent une maison à la campagne afin de réduire le risque d’attraper le virus et aussi pour être libre de sortir de chez eux. C’est ainsi que la pandémie élargit le fossé qui sépare les riches des moins riches.
ou cela peut être le contraire…
je suis personne (très) à risque , et malade chaque hiver pendant des semaines suite à des séquelles. Voilà 18 mois que je passe au travers du Covid… la chance ?
ou simplement que les personnes fragiles savent se protéger ? (en faisant des réserves, sortant peu etc)
en tout cas je n’ai jamais demandé qu’on masque et confine enfants et bien portants et ruine tant d’entreprises pour ma petite personne !
et combien de malades sacrifiés de leur maladie pour (soi-disant ?) protéger la population d’une autre ?
je suis bien placée pour savoir que les gouvernements successifs se fichent complètement des malades.
L’invocation de la protection des plus faibles pour fonder la politique vaccinale Covid est un mensonge, qu’ils inventent autre chose.
C’est un peu aussi à vous ne nous dire comment vous avez fait, puisque vous y avez échappé 😉 !
Moi aussi jusqu’ici. Comment ? Prudence (télétravail, masque, détour quand je croise une foule,etc) et chance (pas eu d’appendicite m’obligeant à aller affronter l’hôpital, ses soignants antivax et les infections nosocomiales). There but for the grace of god go I. Je suis désormais vaccinée mais, avec le variant delta, je ne fais toujours pas de folie, d’autant plus que je m’occupe de ma mère de 92 ans. Elle n’a pas eu le covid non plus, parce qu’elle a eu la chance de ne pas avoir besoin non plus d’aller à l’hôpital, et qu’elle n’est pas en EHPAD. Maintenant elle est vaccinée (Pfizer).
Ah oui, j’ai fait des auto-tests aussi. Ce n’est peut-être pas aussi fiable que les PCR mais si on est très prudent et pas symptomatique, ça donne une confirmation. Je les ai faits avant chaque vaccination pour m’assurer que je n’allais pas au centre en y apportant le virus.
Se laver les mains très régulièrement et ne pas se toucher le visage. Le lavage des mains c’est quasi un TOC chez moi, habitude qui s’est “aggravée” avec la maternité et le contact des enfants. En plus, je n’ai jamais été tactile (sauf avec mon mari et mes enfants quand même !!), j’ai dû passer trop de temps au Royaume-Uni… Mais j’ai toujours trouvé que mes collègues de bureau ne se lavaient pas suffisamment les mains.
Ponce Pilate se lavait facilement les mains face à un dilemme face à une décision éthique…Cela ne l’a pas empêché d’aggraver son virus de l’antisémitisme, et comme il en faisait trop, Rome l’a finalement dégommé de son poste de procurateur de Judée et l’a rapatrié!
Il aurait dû utiliser une pierre ponce.
Je ne suis pas vaccinée, ma mère de 90 ans non plus, elle est encore totalement autonome, je vais la voir et l’aider 2 ou 3 fois par semaine, nous fréquentons peu de gens, gardons nos distances, faisons attention à nous laver les mains, à laver les légumes, fruits, tout ce qui a été tripoté par d’autres, je ne l’embrasse pas pendant une semaine si j’ai côtoyé des “étrangers” de près, nous sommes très méfiantes vis à vis de ces vaccins encore en phase de tests et qui ne protègent pas totalement puisque les vaccinés peuvent attraper et transmettre le virus, nous préférons attendre le plus longtemps possible avant de nous y résigner : peut-être que d’autres vaccins plus fiables arriveront, et cette épidémie ne durera pas éternellement, ou bien je vais devenir complotiste !
Les recherches sur l’ARn messager ne sont pas des nouveautés. La science les travaille depuis plusieurs décennies. Le “manque de recul” n’est pas un argument crédible.
Oui, j’avais peur de l’ARNm j’ai changé d’avis à ce sujet, comme quoi je ne suis pas bornée, des amis vétérinaires m’ont expliqué que les vaccins à ARNm sont utilisés depuis plus de dix ans sur des animaux, mais je reste méfiante, il y a beaucoup d’articles relatant des effets secondaires graves (myocardites et décès). De plus ces vaccins ne sont pas efficaces puisque les vaccinés continuent à attraper et transmettre le virus, contrairement aux vaccins contre la polio ou la tuberculose par exemple qui protègent quasi totalement et pour la vie.
Sur le vaccin contre la tuberculose, il vous a été répété, x fois par x intervenants, que ce que vous affirmez est faux.
Bravo, M. l’abbé, vous, vous avez une réflexion SCIENTIFIQUE et non pas SCIENTISTE. En effet, la découverte de l’ARn messager a valu le prix Nobel en 1965 à Jacques Monod et F. Jacob !
Lisanthius, vous posez souvent cette question et des gens vous répondent mais vous ne donnez pas vos propres précautions si on vous retourne la question. Alors, la posez-vous vraiment ou s’agit-il d’une question purement rhétorique et d’une affirmation déguisée que le covid n’est pas si menaçant que ça ?
Je ne dis pas que j’ai raison puisque le gouvernement fait tout pour que l’on ne sache pas à qui ni quoi se fier, mais je remarque que 0,5 % de morts en majorité de plus de 85 ans et-ou avec comorbidités, c’est peu par rapport à la peste, 40 % et la grippe espagnole, 5 %.
Je pense qu’au début de l’épidémie, on aurait dû confiner strictement les personnes à risques, les malades (isoler le virus, pas les sujets sains !) et laisser le virus passer dans le reste de la population, dont très peu auraient été très malades, et l’épidémie serait maintenant terminée, sans variants. C’est ce que m’a dit aussi un ami médecin, qui pense aussi que c’est la vaccination qui provoque des variants à n’en plus finir, car elle est inefficace, puisque les vaccinés continuent à attraper et transmettre le virus.
Vous confondez allègrement les causes et les effets. Pourquoi cet acharnement contre les qualités reconnues du vaccin?
Les variants ne sont pas liés au vaccin, mais au virus lui-même. Les virus à ARN mutent énormément.
Vous pouvez d’ailleurs voir que les variants à diffusion mondiale sont apparus avant les vaccins et/ou dans des pays peu vaccinés.
On n’a pas fait tellement de cadeaux aux résidents des EHPAD, et ça n’a pas empêché les contaminations par l’intermédiaire des soignants. Certains, qui sont dévoués, ont essayé de s’enfermer avec les résidents, en se faisant livrer à la porte, et ça marchait, mais je ne sais plus quelle administration est intervenue pour dire que ce n’était pas compatible avec le code du travail. Les soignants antivax qui aujourd’hui s’indignent qu’on les pousse à l’injection alors qu’on les applaudissait au départ, oublient que, s’il est exact qu’on a compté sur leur courage, ils ont contaminé des gens aussi. C’est triste à dire mais le drame de la personne vulnérable, c’est qu’elle a besoin d’aide, et qu’en temps épidémique cette aide peut être fatale.
Désolé pour vous, et puissiez-vous vous rétablir rapidement:
Un de mes amis, il y a quelques années, a également souffert d’une paralysie faciale: Il a tout essayé, en vain: Et puis, un matin, il s’est réveillé et quand il a été se brosser les dents:.. la paralysie était partie: C’est quand même flippant: Je vous souhaite une meilleure santé et merci pour votre témoignage (J’ajoute, cependant, que tout en étant pro vaccins anti COVID, je me suis méfié depuis le premier jour de l’AstraZeneca, développé à Oxford, lui préférant les vaccins ARNm Pfizer et Moderna)