Dans son dernier discours, Emmanuel Macron parle des migrants pouvant prochainement arriver d’Afghanistan, et il craint que ceux qui empruntent les réseaux pour venir en Europe ne soient victimes de conditions hasardeuses. Mais pas un mot sur les risques encourus par les Européens suite à ces afflux qu’ils devront subir.
La question brûlante des flux migratoires et de la gestion des migrants généreusement appelés « réfugiés » n’est pas en voie de trouver des solutions efficaces. Les discours officiels politiques ou religieux se suivent dans leurs contradictions qui cachent un déni abyssal de la gravité des problèmes. La référence aux droits humains et à la libre circulation des personnes est constamment invoquée selon un langage convenu pour camoufler l’absence de volonté politique des dirigeants face aux flux illégaux de migrants dans les pays européens.
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Trois paramètres essentiels ne sont pas pris en compte face au mouvement migratoire qui va continuer de s’amplifier : le coût astronomique des prises en charge, la réelle menace sécuritaire avec les risques de délinquance et d’attentats, et l’absurdité de la transplantation de jeunes Africains ou Asiatiques hors de leur propre environnement social et culturel. Les débats politiques assortis d’exhortations de tonalité religieuse sont souvent des manœuvres idéologiques d’évitement des vraies questions.
Porter secours aux plus démunis au nom des droits de l’homme ou au nom de principes spirituels est en soi honorable, mais cela ne dispense pas d’une indispensable régulation : mais objectivement, c’est d’abord sur place, en Afrique, en Orient, en Asie, que les pays européens doivent apporter une aide aux potentiels migrants, en octroyant des moyens significatifs de développement, sous contrôle totalement indépendant des pouvoirs locaux souvent corrompus.
De plus en plus, la coexistence dite multiculturelle entre groupes humains d’origines et de civilisations différentes apparaît ingérable dans nos pays occidentaux aux multiples fragilités liées aux insuffisances du système démocratique et aux limites des capacités financières.
La question sensible des « demandeurs d’asile » – dénomination floue recouvrant des cas très divers – devient un sujet controversé qui ne peut plus être abordé sous le seul angle politiquement correct et abstrait des « droits de l’homme », selon un concept extensible à volonté.
Si les consciences humanistes sont à juste titre interpellées par les recommandations des instances internationales reconnaissant la détresse des réfugiés réellement menacés dans leur pays par la guerre, les violences ou la persécution religieuse, il apparaît que le système mis en place par les passeurs et les ONG ne fonctionne pas dans le sens des causes revendiquées, et qu’il ne pourra s’amplifier indéfiniment sans susciter des catastrophes. Les médias jouent quotidiennement la carte de l’émotionnel auprès des opinions en ciblant des photos impliquant des enfants qui sont pourtant très minoritaires dans les embarcations de migrants.
Certes, les obligations éthiques d’accueil d’urgence dans des pays disposant de ressources peuvent être invoquées pour certaines situations, mais avec des critères précis et en tenant compte des budgets nationaux déjà en crise. Rocard l’avait dit en son temps : impossible d’accueillir toute la misère du monde !
De ce fait, lorsque certains discours, (angélisme gauchiste ou ecclésiastique) tendent à globaliser par avance les mécaniques migratoires, et à écarter d’emblée de manière compassionnelle tout discernement dans les problématiques, cela veut dire qu’on abandonne arbitrairement toute maîtrise des flux grandissants. Chacun sait que sous le vocable de réfugiés et d’immigrés se cachent des réalités extrêmement différentes. Peut-on continuer de laisser croire à un accueil inconditionnel et illimité sans analyser ce qui se joue derrière ces transbordements ? S’il est vrai qu’une proportion d’individus et de groupes fuient des conjonctures de guerre et de persécution, d’autres – l’immense majorité – viennent tenter leur chance dans des économies généreuses où les aides sociales sont – encore pour quelque temps – attractives et substantielles.
Ainsi, depuis une quarantaine d’années, des millions d’individus provenant majoritairement de pays musulmans en crise ont migré et se sont installés dans les cités des nations européennes de civilisation judéo-chrétienne. Un tel transfert de population allogène en si peu de temps ne s’était jamais produit sur le vieux continent. Les conséquences de ces colonies massives de peuplement en période de dénatalité occidentale n’ont pas été évaluées par les dirigeants auxquels les citoyens ont confié la défense de leurs personnes et de leurs biens. Un impressionnant transfert de population est en cours sur fond de menaces multiples. Il suffit de constater cette impression d’étrangeté que l’on ressent dans les rues et les marchés des grandes villes d’Europe ainsi que dans les transports en commun.
Il est par ailleurs évident que nos pays occidentaux – en temps de resserrement des budgets – n’ont pas les moyens d’accueillir tous les requérants qui se présenteront légalement ou illégalement. La seule véritable solution d’avenir serait d’investir significativement sur place, dans les pays de départ prêts à se doter de structures productives afin d’assurer un avenir décent à leur jeunesse. Avec évidemment des structures de contrôle fiables dans l’utilisation des fonds et l’avancement des projets pour contourner la corruption omniprésente.
Cela revient à multiplier parallèlement les expériences de commerce équitable, afin de donner de nouvelles opportunités aux ressortissants des pays pauvres concernés et consolider ainsi le développement durable. Des partenariats de solidarité efficaces nord-sud pourraient être développés pour inverser la logique de ces déplacements massifs de populations qui déracinent les individus et déstabilisent les sociétés occidentales atteintes dans leur identité historique.
Il s’agit par conséquent d’exiger des dirigeants européens qu’ils précisent quels paramètres humains, économiques et culturels il faut privilégier pour répondre au défi éthique de « l’accueil de l’étranger » devenu un slogan sacralisé.
Systématiquement, les Eglises se réfèrent à l’Ecriture sainte en faveur d’un « accueil de l’étranger » totalement idéalisé. On fait appel à de grands principes, mais en déconnection avec les réalités concrètes du terrain d’aujourd’hui, au départ comme à l’arrivée. Or, si l’on transforme en slogan idéologique et affectif les principes de solidarité émanant de la Tradition judéo-chrétienne, le risque est grand de signer un chèque en blanc et de dériver vers des lendemains incontrôlés.
Les textes bibliques sont là pour nous nous éclairer, certes, mais à condition de les contextualiser ! Faisons un rapide retour aux sources. Hospitalité, accueil, entraide, les hommes et les femmes de la Bible savent de quoi ils parlent. Dans un tout autre environnement que celui de nos nations modernes, ils ont migré il y a quatre mille ans du Croissant fertile vers les terres de Canaan. Livrées à l’insécurité permanente, ces régions d’Orient n’avaient pas les contours délimités des nations modernes. Ces territoires ont longtemps connu toutes sortes de mouvements de peuples dans de grands espaces où sédentarité et itinérance ne correspondaient en rien à la migration massive d’aujourd’hui. Les concepts modernes de frontières historiques n’existaient pas, mais ce sont uniquement ceux de peuple qui donnaient sens aux déplacements de populations d’une région à l’autre. Ceux qui se sont installés dans les pays du Proche Orient se sont dotés de règles de vie en commun, afin de contrer les abus de la loi du plus fort.
Mais de nos jours, les réalités ont changé, on est dans le cadre d’états-nations référencés par l’ONU, et qui se retrouvent de plus en plus confrontés à des cultures religieuses ou politiques exogènes dont l’intégration en Occident n’est pas avérée.
Dans l’histoire d’Israël, on sait qu’à certaines périodes de vaches maigres, des tribus sont parties travailler en Egypte. Dans l’antiquité, ces mouvements de peuples étaient occasionnels. L’épisode fondateur de l’Exode est issu de cette situation du peuple hébreu aux prises avec les conditions de vie du pays d’accueil devenues captatrices de son avenir. Avec compassion, rapporte l’Ecriture, le Dieu d’Abraham et de Moïse a pris parti pour les Hébreux devenus esclaves, et il les a aidés, non pas à s’assimiler en devenant comme des Egyptiens, mais à conquérir leur propre destin en regagnant librement leur terre, une terre de promesses, dont ils prendraient en mains le développement sur des bases éthiques. A partir d’un pacte, et dans une urgence providentielle, Dieu encourageait ce peuple à s’approprier son histoire et à renforcer son identité spirituelle dans son espace civilisationnel en cours d’élaboration.
C’est donc exactement la démarche inverse de ce qui est préconisé aujourd’hui lorsqu’on intime aux Européens d’accueillir sans conditions tous les migrants qui se présenteront ! Dieu a aidé puissamment son peuple à revenir sur sa terre, et aujourd’hui, on voudrait que Dieu encourage les migrants à investir des territoires avec des civilisations qui leur sont étrangères.
Dans la foi biblique, l’être humain est « image de Dieu », par conséquent le respect de la dignité humaine est à la base même de la charte de l’alliance. On saisit pourquoi la qualité d’accueil de l’immigré en terre d’Israël a été si fortement soulignée dans les Ecritures :
« Tu ne maltraiteras pas l’étranger, et tu ne l’opprimeras pas, car vous avez vous-mêmes été étrangers au pays d’Egypte ». (Ex 22/21)
Et encore :« Cet étranger qui vit chez vous, vous le traiterez comme un natif du pays, comme l’un de vous. Tu l’aimeras comme toi-même ». (Lv 19/33)
Faut-il préciser, pour éclairer les débats d’aujourd’hui, qu’un étranger était accueilli et respecté dans le cadre obligatoire d’une réciprocité qui fait totalement défaut de nos jours. On lit en Ex 12/49 : « La même loi existera pour l’indigène et pour l’étranger en séjour au milieu de vous ! » C’est donc avec un éclairage volontariste qu’il faut comprendre l’appel d’ouverture lancé par Jésus à ses disciples : « J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ! » (Mt 25/35) Sans oublier que ce passage a été rédigé sous cette forme par les évangélistes qui pensaient aux disciples persécutés et obligés de fuir la répression romaine d’un pays à l’autre. L’étranger en question n’était pas un immigrant économique, c’était surtout un frère de conviction pourchassé qu’il faut protéger.
Les étrangers n’arrivaient pas en Israël de manière invasive. Les proportions n’avaient aucun rapport avec celles d’aujourd’hui. Si tout étranger s’attendait à être traité dignement – selon les règles religieuses en vigueur – il devait en retour respecter les lois et coutumes hébraïques du pays d’accueil, c’est-à-dire clairement renoncer à imposer à ses hôtes ses propres coutumes. Les prophètes étaient certainement les premiers à dénoncer l’égoïsme des fils d’Israël quand il le fallait, mais ils refusaient aussi avec vigueur toute importation de coutumes allogènes dangereuses pour la cohésion spirituelle des habitants légitimes du pays. Les multiples croyances issues du paganisme étaient en effet incompatibles avec les valeurs de la Tradition biblique, où sagesse et prophétie refusent que soient idolâtrés le pouvoir, l’argent, le sexe. Ainsi furent interdites toutes formes de magie et superstition, néfastes pour l’être humain, seul le Dieu des pères étant le garant de la justice et de l’harmonie sociale. C’est pour défendre ces valeurs communautaires essentielles que les Maccabîm ont organisé leur résistance face aux agressions du païen Antiochus Epiphane.
Même si des règles de vie en commun instauraient des limites préventives, il n’y avait pas pour autant de xénophobie dans la tradition d’Israël, pensons aux épisodes de Naaman le Syrien ou à l’histoire d’Elie chez la veuve de Sarepta.
On le constate, le recours à l’asile existe déjà dans la Bible : Moïse l’a institué en établissant six cités-refuge afin de permettre par exemple à un homme poursuivi pour un meurtre involontaire d’échapper aux châtiments expéditifs. Il parlait par expérience! Le livre d’Isaïe nous donne également un aperçu de ce droit, lorsqu’il est question d’accueillir les malheureux rescapés des massacres du royaume voisin de Moab. (Is 16/3). Très tôt, après avoir fait l’expérience de féroces persécutions, l’Eglise chrétienne a confirmé et recadré ce recours à l’asile dans son droit canonique et le code de Théodose en garantit les modalités, même si à partir du Concile de Tolède (7ème siècle) de véritables restrictions y sont apportées pour lutter contre les abus.
Concernant l’accueil des étrangers, migrants et réfugiés, au 21ème siècle, l’enseignement de l’Eglise est censé offrir un éclairage utile. Contrairement à certains discours dominants, des textes officiels insistent sur l’obligation de faire coexister les droits et les devoirs, afin d’éviter les dérives à sens unique.
Retenons à ce sujet le § 2241 du catéchisme de l’Eglise catholique :
« Les nations les mieux pourvues sont tenues d’accueillir autant que faire se peut l’étranger en quête de la sécurité et des ressources vitales qu’il ne peut trouver dans son pays d’origine.
Mais n’oublions pas les lignes qui suivent :
Les autorités politiques peuvent, en vue du bien commun, subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’adoption.
L’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil, d’obéir à ses lois et de contribuer à ses charges. »
Dans ce qui subsiste de nos états-providence, une prééminence idéologique s’est emparée du « multiculturel » qui recouvre tout et son contraire. Une telle prédisposition à tout accepter compromet fortement l’avenir des nations du vieux continent. Car si l’identité culturelle et spirituelle du pays d’accueil s’efface peu à peu au profit d’un relativisme flou sous un déferlement de coutumes ingérables, l’idée même d’intégration des étrangers perd tout sens. S’intégrer à quoi ?
Au nom du multiculturel érigé en principe, on efface les mémoires culturelles locales et on fabrique des habitants hors-sol, sans racines et sans références. Elles sont nombreuses les banlieues de France, d’Angleterre, d’Allemagne, d’Italie où ce sont les autochtones qui doivent maintenant se faire « intégrer » par les nouveaux habitants venus d’ailleurs et occupant le terrain sans ménagement. Au nom de bons sentiments dépourvus d’analyse, les Eglises se montrent incapables de formuler une parole commune incitant à la fois à la générosité et au discernement.
Une légitime inquiétude à la fois sécuritaire, identitaire et économique ne fait que s’accélérer au sein des peuples européens. Nous en avons les signes tangibles dans la nouvelle répartition des options au sein de l’Europe et dans les changements de pouvoir en cours. Les autorités politiques et religieuses concernées auraient tort de ne pas en tirer les leçons.
Lors de sa visite à Madagascar, le pape François a encouragé la jeunesse locale à prendre en mains l’avenir du pays, en développant sur place les dynamiques nécessaires. Et en ce qui concerne l’aide internationale pour ce pays parmi les plus pauvres du monde, il a exprimé un souhait qui devrait s’appliquer à l’Europe :
« L’aide ne doit pas entraîner vers une prétendue culture universelle qui méprise, enterre et supprime le patrimoine culturel de chaque peuple ! » Les Occidentaux ne seraient donc pas concernés par cette sage mise en garde d’un pape connu pour ses options personnelles apparemment plus focalisées sur les migrants que sur la défense du patrimoine spirituel judéo-chrétien ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez, prêtre catholique, commission judéo-catholique de la conférence des évêques suisses et de la fédération suisse des communautés israélites, pour Dreuz.info.
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selon un sondage datant de 2013 , 99% des Afghans sont pour la chariah et 85 % pour la lapidation .
Alors que fuit ces jeunes hommes puisqu’ils pensent la meme chose que les talibans ? Ils ne fuient rien . Ils viennent nous envahir .
Avec ces monstres qui arrivent en masse sur notre territoire , ce sont des lendemain qui chantent qui s’annoncent : épidémie de viols , coups de couteau , meurtres , attentats .
Damien Rieu sur Twitter : “https://s.w.org/images/core/emoji/13.1.0/svg/1f534.svg 99% des musulmans afghans sont pour l’application de la Chariah. Parmi eux 85% sont pour la lapidation. https://s.w.org/images/core/emoji/13.1.0/svg/1f449.svg On peut vouloir fuir l’#Afghanistan et être un islamiste. https://s.w.org/images/core/emoji/13.1.0/svg/1f449.svg Il ne faudra pas venir pleurer sur les conséquences si vous en importez des milliers. https://t.co/Zzqs44vlfy” / Twitter
Rien à redire. Je souscris entièrement. Tout est parfait et très clair. Merci beaucoup pour cette mise au point. Attention tout de même à la définition du “bien commun”, notion assez floue et qui est alors évidemment fort mal interprétée par certains qui veulent transformer notre Europe en Afghauchistan.
Magnifique analyse!
Bravo Mr l’Abbé pour votre lucidité et votre article .La grande majorité des humanistes sont surtout des hypocrites qui pratiquent la générosité par délégation avec les moyens des autres .
Esaie 58.7 Partage ton pain …Et fais entrer dans ta maison ..
C’est à chacun dans la mesure de ses propres moyens et non le pays vague formule irresponsable avec l’ argent des générations futures . De plus des populations qui rejettent notre culture et veulent nous imposer la leur .
Le bon exemple sont la Pologne et la Hongrie .Pour la France des temps difficiles nous attendent avec deux peuples opposés sur un meme territoire . .
Bien-sûr, l’intérêt des Européens, leur sécurité et leurs opinions ne sont jamais pris en compte dans les débats et les prises de décisions de la perfide UE ! Ces Afghans fuyards ne fuient pourtant pas l’islam qu’ils vont s’empresser de nous imposer comme les Syriens et toute la cohorte des musulmans qui envahissent nos territoires ! Cela ne peut pas continuer !
“L’immigré est tenu de respecter…..” ! Il faut être bien niais pour croire que ces gens respectent quoi que ce soit chez nous !
ils ont eu 20 années, énormément d’argent , la constitution d’un armée ultra moderne, des écoles, des université et tant d’autre investissements offerts pour s’en sortir. Pourquoi n’ont-ils pas saisi cette opportunité exceptionnelle pour bâtir leur pays.? NON, l’armée vendait ses armes aux rebelles, les civiles vivaient au crochet des occidentaux par habitude espérant encore le faire éternellement et pendant ce temps là, nos hommes se faisaient tuer pour eux.
STOP, ils ont eu la possibilité de s’engager pour leur pays mais ils ne l’ont pas fait alors STOP…! Nous avons assez payé pour eux et à présent il n’est pas question que nous continuions à le faire en les recevant tous chez nous, avec l’argent du contribuable.
Arrêtons de nous pencher sur toutes les misères du monde , nous les prétendus “colonisateurs”, nous les racistes, nous les pays “riches”. Ils ont tous voulu leur indépendance, bravo mais qu’ont-ils fait des leurs pays en 60 ans ?
Ils veulent la charia, qu’ils la garde chez eux et que toute cette population qui aura participé au désastre politique de leur pays la subisse en silence, comme ils l’ont fait depuis l’invasion musulmane, sans broncher.
Seulement aujourd’hui il y a internet, les réseaux sociaux, les ONG et les bonnes âmes pour leur venir en aide mais NON, qu’ils conservent leurs valeurs chez eux et, surtout, chez eux.
La population, par leur refus de combattre, n’a que ce qu’elle mérite, ses propres valeurs.
Même si de tels arguments, par ailleurs remarquables, n’ont pas été formulés de cette manière, tout le monde sait qu’ils ont déjà fait l’objet d’une condamnation totalement soumise à l’idéologie dominante depuis des décennies ! Pas plus Marchais, que Roccard et Le Pen n’ont réussi à convaincre ! Le Socialisme imbécile s’est substitué au Christianisme ! C’est en priorité cette idéologie qu’il est urgent de faire disparaître ….
Très bel article de l’Abbé Alain René Arbez.
Comme il est dit dans cet édifiant article, si l’on veut aider les Africains, il faut créer chez eux des usines clés en main.
Autre réflexion: les étrangers viennent en France parce que c’est …la France. Lorsque ce ne sera plus la France, ils ne viendront plus.
Oui, ce qu’ils viennent chercher ici, c’est nous, notre argent, notre habitude de travailler. Quand nous ne pourrons plus payer…
l’afflux d’extraeuropéens a provoqué des meurtres, viols, tabassages , égorgements de plus en plus visibles
Macron a été pourtant été critiqué pour ses déclarations par les gôchistes, notamment EELV. Ca prouve leur état de déchéance morale.
A noter que en France, en Suisse et ailleurs, des responsables de la gauche et des verts exigent que le pays accueille le maximum d’Afghans. Selon eux, tout Afghan opposé aux talibans doit être accueilli en Europe, ce qui est un non sens!
Ils arrivent sans masques et vaccins ou pass sanitaire ! Le fast checkeur nous dira que c’est dans l’urgence et c’est justifié ???
Mais le Français se verra rejeté des hôpitaux sans ce Pass !! Alors qu’il n’est pas bien et que c’est justifié —
Ils nous prennent pour des billes !
Ces gens qui exigent l’accueil d’Afghans ne sont pas à un paradoxe près, car au nom des droits de l’homme, les réfugiés sont à plus de 90% des hommes!!!!!
C’est le deuxième avion qui arrive avec des travailleurs Afghans de l’ambassade???Je ne savais pas qu’il pouvait y avoir autant de travailleurs ! Cette fois les premières à débarquer : mamans avec un petit dans les bras, mamans voilées bien sûr, car dans les services consulaires, donc notre administration laïque qui interdit le port du voile dans ses bureaux, on ne porte pas ni voile ni burqa !
Le fast Checker nous dira que c’était pour fuir ! Le Debunker dira qu’elles avaient le temps durant le long voyage d’enlever leurs rideaux !
Donc on paie des employées voilées?
On nous prend surtout pour des c..s !
Et voir le langage des médias s’adapter : des travailleuses et des travailleurs ? Des employées et des employés rapatriés! Avant hier c’était des travailleurs, aujourd’hui on met le féminin en premier pour nous embrouiller et faire croire que l’on rapatrie massivement des femmes-
Pourquoi les enfants sont à peu près du même âge ?
On est mal barré: le gouvernement sait qu’il fait le mal, mais il le fait quand même car rien à faire de protéger le peuple Français.
Ce que Macron appelle “collaborateurs” des instances françaises présentes en Afghanistan est très élastique: l’homme qui balaie la cour peut donc venir avec sa nombreuse famille. Idem pour celui qui regroupe les poubelles de l’ambassade. Ou pour l’aide cuisinière et ses enfants. Les coursiers également. Et beaucoup d’autres.
Ahahaha, il faudra arrêter de nombreux autres avions, car après tous ces travailleurs, les nouveaux arrivants demander avec l’aide d’associations à bénéficier de regroupement familial, 1 000 à 2 000 arrivés et avec le regroupement familial 30 000 dans quelques mois.
Affréter
Le grand problème de cette nouvelle vague d’immigration c’est qu’elle est encore musulmane comme les précédentes. Personne sur Dreuz ne peut douter que l’islam est incompatible, à cause du coran, qui est la loi des musulmans (et de tous les musulmans) avec notre civilisation judéo-chrétienne qui est intégralement en opposition avec notre pensée;;;;;;;;;;;; Tous ceux qui ont lu le coran le savent
Afghanistant et Pakistan constitue l’entité islamique la plus radicale.