
Auréolé de gloire, après avoir conquis Constantinople en 1453, ce qui provoqua la chute de l’Empire byzantin, le sultan Mehmet II le Conquérant décida de profiter de sa victoire et de la puissance de son armée afin de réaliser son rêve d’étendre son empire à toute l’Europe. (Rêve repris avec ferveur islamique par le « sultan » actuel d’Ankara).
La prise de la forteresse de Belgrade représentait la porte d’entrée du Sultan Mehmet II en Europe. Aujourd’hui, l’adhésion de la Turquie islamiste d’Erdogan à l’UE signifierait l’invasion pacifique de l’UE par les descendants des Ottomans avant sa soumission à l’islam par la force. La Turquie dans l’Europe en ferait un dangereux « cheval de Troie islamique ». Les siècles se succèdent, mais la nature belliqueuse de l’islam conquérant et sa haine viscérale de l’Occident chrétien demeurent bien vivaces.
Au printemps 1456, à la tête d’une armée d’environ cent mille hommes, lourdement armés, le sultan s’élança à la conquête de la ville fortifiée de Belgrade, porte d’entrée de l’Europe occidentale.
Conscients des destructions, des morts, des atrocités, des horreurs que cette puissante armée ottomane en marche allait semer sur son sillage – le souvenir du sac de Constantinople étant encore très vivace dans les esprits – une grande panique s’empara des habitants de la région du Danube.
Seul János (Jean) Hunyadi, le voïvode de Transylvanie, et à ce titre vassal du roi de Hongrie Vladislas Iᵉʳ ou Ladislas V Jagellon, décida de résister aux Ottomans. János Hunyadi était depuis longtemps une épine dans le pied des Turcs.
Tandis que le pleutre roi de Hongrie s’enfuyait à Vienne sous prétexte de partir à la chasse, János Hunyadi lui ne prit pas la fuite, mais se précipita vers la frontière orientale, pas très éloignée de l’armée turque. Il équipa immédiatement à ses frais une armée de 6.000 combattants chevronnés afin de protéger la forteresse. Il implora l’aide de la haute noblesse, mais rares furent les nobles suffisamment courageux pour répondre à son appel désespéré.
(L’attitude des Grands de l’époque face au danger islamique n’est pas sans rappeler celle de nos chers dirigeants islamophiles d’aujourd’hui. Ils ne fuient pas, du moins pour l’instant, mais ils pactisent avec les serpents islamiques, qui attendent le moment propice pour nous piquer à mort.)
Comme Mehmet II menaçait d’envahir l’Occident et promettait d’arborer le croissant de lune dans l’enceinte même de Rome, le Pape Calixte III chargea le frère franciscain Jean de Capistrano de prêcher la croisade. Agé de 70 ans, Jean de Capistrano se rendit dans le sud de la Hongrie pour appeler le peuple à prendre la Croix et à défendre la nation contre l’islam. Son « zèle ardent, son éloquence transperçant l’âme, et son austérité héroïque » enflammèrent des dizaines de milliers de personnes, qui de nos jours seraient traités de « misérables » islamophobes. En peu de temps, quelque 40.000 paysans suivirent Jean de Capistrano dans sa croisade contre les Ottomans.
Étant à trois journées de marche des Turcs, tandis qu’il célébrait la Messe en plein air dans les grandes plaines du Danube, les témoins rapportèrent qu’une flèche partie du ciel, vint, pendant le Saint Sacrifice, se placer sur le corporal. Après la Messe, Jean lut ces mots écrits en lettres d’or sur le bois de la flèche :
« Par le secours de Jésus, Jean de Capistrano remportera la victoire ».
(Le rôle de Jean de Capistrano au service de la réconciliation des peuples d'Europe autant que sa prédication pour conseiller les chefs militaires et ranimer l'espérance des chevaliers lui ont valu d'être choisi comme saint patron des aumôniers militaires.)
Mais où était donc le Roi de France, qui se faisait appeler « le roi chrétien » ? Où étaient les rois d’Angleterre, du Danemark, de Norvège, de Suède… ? Ils brillaient tous par leur royale absence. Seuls des paysans désarmés, des forgerons, des tailleurs de pierre, des commerçants marchèrent courageusement à la rencontre de l’armée ottomane.
Dès le 4 juillet, des bombardements intensifs frappèrent la forteresse de la ville, l’une des plus importantes et des plus puissantes des Balkans.
Le fracas et la puissance de feu des canons pouvaient être entendus à des centaines de kilomètres à la ronde. Douze jours plus tard, le 16 juillet, d’énormes brèches apparurent dans les murs de cette forteresse autrefois imprenable. C’est alors qu’arriva l’armée de János Hunyadi, descendant le Danube sur des navires de fortune. Capistrano et son armée marchaient à leurs côtés par voie terrestre. En apercevant la misérable flotte chrétienne s’approchant de leurs magnifiques galions, dont certains étaient attachés l’un à l’autre afin de constituer un vaste barrage sur le fleuve, les Turcs se moquèrent des chrétiens, tout en se préparant à l’attaque.
Au cri de « Jésus ! Jésus ! » la flotte chrétienne percuta les navires ottomans enchaînés les uns aux autres.
Une terrible bataille fluviale s’ensuivit pendant cinq heures et le Danube se colora de rouge sang. Les lourdes chaînes, qui reliaient les bateaux ottomans finirent par se briser et la flotte chrétienne parvint à franchir le barrage et à renforcer la défense de la ville, en mauvaise posture. Toutefois, ce qui fut une offensive spectaculaire pour l’armée chrétienne ne représenta qu’une simple égratignure pour la puissante armée musulmane. Ce même jour, les canons ottomans, devenus les instruments de la colère et de la vengeance du sultan, firent tomber sur Belgrade une pluie de boulets, qui ébranla la ville jusque dans ses fondements.
Pendant une semaine, les canons continuèrent à tirer sans relâche, jusqu’à ce que la plupart des remparts de la forteresse s’effondrèrent. Puis, à l’aube du 21 juillet, le battement incessant des tambours annonçant l’assaut final se fit entendre à des kilomètres à la ronde. Des foules de mahométans se précipitèrent vers la forteresse en ruine aux cris de guerre « Allah akbar ! Allah akbar ! ». Des milliers d’Ottomans s’entassèrent joyeusement entre les murs en ruine de la citadelle, fiers de leur victoire, mais ils vendirent la peau de l’ours avant de l’avoir tué. En fin stratège, Jean Hunyadi leur avait tendu un piège. Au signal donné par le son perçant des cornes, Jean et ses hommes sortirent en trombe de la citadelle, tandis que l’armée de Croisés de Capistrano, qui étaient demeurés cachés, surgirent au-dessus des murs derrière les Turcs. Les musulmans furent pris entre deux feux.
Une lutte terrible s’ensuivit. Supérieurs en nombre et armés jusqu’aux dents, les Turcs étaient avantagés, comparés à leurs ennemis, inférieurs en nombre et peu armés. Une mêlée au corps à corps se déroula dans les rues. Toutefois, le combat le plus acharné, sous le commandement de Jean Hunyadi en personne, se déroula sur le pont étroit, qui reliait la citadelle à la ville, et sur les bastions, défendus par les Croisés de Capistrano, amenés en toute hâte sur des radeaux par le fleuve.
Très désavantagés en armes et en nombre, les chrétiens, menés par Jean Hunyadi, qui se battait avec ses troupes comme un simple fantassin, tinrent bon et parvinrent à tuer de nombreux Turcs, animés par une farouche envie de vaincre et leur foi en Dieu.
De leur côté, les Ottomans luttèrent « comme des bêtes affamées » selon un chroniqueur ottoman de l’époque, « et versèrent leur sang comme on verse de l’eau sur le lieu de leur mort. D’innombrables héros goûtèrent au miel pur de la mort du martyre et furent accueillis dans les bras parfumés des houris du paradis d’Allah. »
Le 22 juillet, peu avant l’aube, la bataille fit rage pendant un jour et une nuit. Les chrétiens, ayant atteint les limites de la capacité et de l’endurance humaines, furent sur le point de s’effondrer sous le nombre impressionnant de leurs ennemis. Du haut d’une tour de guet, on vit Jean de Capistrano ans brandir la bannière de la Croix et implorer le Ciel :
« Oh Jésus, où sont passées Vos tendres compassions que Vous nous aviez montrées autrefois ? Oh, Jésus venez nous aider, et ne tardez pas. Sauvez, oh Jésus, sauvez vos rachetés, de peur que les païens ne disent : Où est maintenant leur Dieu ? »
Au même moment, les chrétiens, refoulés vers la citadelle et autres endroits élevés, rassemblèrent tout ce qui pouvait brûler, y ajoutèrent de la poix et du souffre, y mirent le feu et tous ensemble, en même temps, déversèrent ce mélange brûlant sur les Ottomans agglutinés dans les fossés, ainsi que sur les plus téméraires escaladant les murs.
Au lever du soleil, plus aucun cri ou hurlement ne se fit entendre. Une fois la fumée dissipée, la lumière du jour révéla un spectacle atroce.
A l’intérieur comme à l’extérieur de la ville, des blessés agonisaient, d’innombrables cadavres de musulmans calcinés gisaient dans les fossés et tout l’espace entre les murs extérieurs et la citadelle était rempli de leurs corps carbonisés. Des milliers d’entre eux avaient péri. La garde du corps du sultan constitué de janissaires était quasiment anéantie.
(Les janissaires étaient des enfants des Balkans de 10-12 ans, nés chrétiens, enlevés à leurs familles, réduits au statut d’esclaves, éduqués à la dure, dans la foi musulmane et l’obéissance au sultan. Le corps des janissaires fut créé en 1334 par Orkhan, le fils d'Osman 1er, qui donna son nom à la dynastie ottomane. Orkhan eut l'idée de recruter ses fantassins parmi les enfants des chrétiens vaincus et soumis par les Turcs. Enrôlés dans l’armée musulmane, ils constituaient les unités d’élite de l’infanterie formant l’armée personnelle et la garde prétorienne du sultan. Le nom de « janissaire » est une déformation du turc Yeniçeri qui signifie « nouvelle milice ». Grâce à ces fantassins disciplinés, voire fanatiques, experts dans le maniement du sabre et du mousquet, reconnaissables à leur bonnet de feutre blanc, les sultans turcs purent s'emparer en quelques décennies de la péninsule des Balkans et quasiment de toute la rive sud de la Méditerranée)
Ainsi, après un combat de vingt heures, l’armée chrétienne put à nouveau respirer librement
Les pertes humaines musulmanes ne représentaient hélas qu’une égratignure pour la gargantuesque armée ottomane, qui encerclait toujours la ville.
Un autre assaut était attendu. Hunyadi ordonna à chacun de rester à son poste, sous peine de mort, « de peur que la gloire du jour ne se transformât en confusion. »
Toutefois, le 22 juillet à midi, une escarmouche non autorisée entre les Croisés et les djihadistes ottomans incita les premiers à sortir de Belgrade et à livrer bataille aux Turcs. Voyant que les dés étaient jetés, Hunyadi et ses hommes se précipitèrent à leur secours. Vers 18 heures, toute l’armée chrétienne se battait à l’extérieur des murs en ruine de Belgrade.
Dans ce chaos, le sultan Mehmet II fut aperçu en train de combattre. Cependant, les Turcs composant son armée, partis au combat avec la certitude d’une victoire facile, étaient démoralisés. Quand les fougueux chrétiens parvinrent à capturer plusieurs canons ottomans et tirèrent à leur tour contre les soldats ennemis, la démoralisation se transforma en panique et les Turcs, par dizaines de milliers, prirent la fuite. Parmi les fuyards se trouvait le sultan Mehmet II, blessé, « l’écume de la rage à la bouche » laissant derrière lui les corps de 50.000 soldats turcs devant les murs en ruine de Belgrade.
Ce fut sans doute la pire défaite subie par Mehmet le Conquérant au cours de sa longue carrière de djihadiste terroriste, tueur de chrétiens.
La victoire de Belgrade eut un grand retentissement en Occident. Pendant le siège, le Pape Callixte III ordonna à toutes les églises chrétiennes de faire sonner les cloches chaque jour à midi, afin d’appeler les fidèles à prier pour les défenseurs de la ville. Toutefois, dans de nombreux pays (comme en Angleterre et en Espagne) la nouvelle de la victoire chrétienne arriva avant l’ordre papal et toutes les cloches des églises sonnèrent joyeusement pour annoncer la bonne nouvelle. Le Pape Callixte III n’annula pas son ordre et depuis les cloches des églises chrétiennes sonnent à midi, afin de commémorer la victoire d’un petit groupe de chrétiens courageux, la foi en Christ chevillée au corps, face à une puissante armée ottomane, déterminée à les anéantir. Cette tradition instaurée par le Pape Calixte III se perpétue encore de nos jours, y compris dans les églises protestantes, même si des chrétiens de toute confession ont oublié ou sont demeurés dans l’ignorance de sa signification.
Malheureusement, la joie des deux héros de cette grande victoire fut de courte durée : Janos Hunyadi décéda le 11 août 1456, et Jean de Capistrano s’éteignit trois mois plus tard, épuisé de fatigue au couvent d’Ujlak, sur la rive du Danube, alors dans le royaume de Hongrie.
Avant d’exhaler son dernier soupir, Jean de Capistrano prononça ces paroles du Nunc dimittis :
« C’est maintenant, Seigneur, que Vous laisserez mourir en paix Votre serviteur. »
Nunc dimittis, également appelé le cantique de Syméon, est un bref chant d’action de grâces, qui exprime la gratitude, la paix et l’espérance.
« Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur
S’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton salut,
Salut que tu as préparé devant tous les peuples,
Lumière pour éclairer les nations,
Et gloire d’Israël, ton peuple. »
Gloire au Père, au Fils et au Saint Esprit
Comme il était au commencement, maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles
Amen. »
(Luc 2:29-32)
«…de même que le soleil se lève pour le monde dans les hauteurs de Dieu, que la lumière du clerc brille devant les hommes afin qu’en voyant ce que font de bien ces serviteurs de Dieu, les hommes rendent gloire au Père qui est aux cieux… »
(Miroir des Clercs – Saint-Jean de Capistrano)
L’un des fils de Jean Hunyadi sera élu roi de Hongrie sous le nom de Matthias Ier Corvin, le 24 janvier 1458. Il poursuivra son œuvre en défendant l’indépendance du pays face aux Ottomans et aux Autrichiens.
La petite armée chrétienne parvint à vaincre la puissante armée ottomane grâce au courage et à la foi en Dieu de János Hunyadi et de Jean de Capistrano, foi et courage qu’ils transmirent à leurs troupes. Cette Foi et ce Courage qui aujourd’hui manquent cruellement à l’Occident chrétien, pourtant confronté au même péril musulman qu’autrefois, même si ce dernier se présente de nos jours, sous la forme d’un loup déguisé en agneau.
« Quand une culture peu sûre d’elle, malléable et relativiste, rencontre une culture ancrée, confiante et renforcée par des doctrines communes et surtout religieuses, c’est généralement la première qui change pour s’adapter à la seconde, car elle a perdu les moyens de réagir. Il n’y que le nationalisme qui pourra vous sauver. »
« Une culture religieuse forte et un système contractuel basé sur la tolérance sont difficiles à concilier parce que, dans une telle rencontre, c’est toujours le côté qui ne veut pas négocier qui a l’avantage. Une religion qui ne doute pas de soi et qui prétend structurer toute l’organisation sociale mondiale, comme l’islam, n’est pas prête à transiger. » extraits du livre de Christopher Caldwell, journaliste américain, intitulé : « Une révolution sous nos yeux. Comment l’islam va transformer la France et l’Europe. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
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Source : « Islamic Jihad and the Church Bells of Noon: The Siege of Belgrade » (récit extrait du livre de Raymond Ibrahim « Sword and Scimitar : Fourteen Centuries. », traduit et commenté par Rosaly)
Louis XI à cette époque était aux prises avec une trahison des bourguignons alliés aux anglais.
Peu de temps auparavant, Jeanne d’Arc avait elle aussi luté contre l’anglais
Le ciel était donc tout aussi inquiétant en cette partie de l’Europe
Aujourd’hui, la situation se reproduit au profit des prébendiers et des africains
Le sujet fait plus ou moins l’actualité
💯 Pour l’Europe c’est trop tard l’Europe est envahie
la guerre sera gagnée par l’islam démographiquement
Quel beau récit . Haletant et plein d’enseignements.
Merci une fois encore chére Rosaly. Je n’ai pas encore lu le livre de Raymond Ibrahime et ne ne connaissait pas l’Histoire du siège de Belgradee et de la victoire des Chrétiens:
Si les Musulmans avaient gagné, MehmetII pouvait marcher sur Vienne et ensuite sur Rome. « Rumiyah » comme ils disent, a toujous été leur cible: Prendre Rome et s’emparer de l’Europe, avant de se lancer à l’assaut du reste de la planète.
S’emparer du monde entier a toujours été le but des chefs de l’Islam: C’est écrit en toutes lettres dans le Coran: Les prédicateurs musulmans ne cessent de le répéter: Le fameux Quaradawi le disait dans ses sermons tékévisés, sans se cacher. Poutant l’Occident aveugle continue de traiter l’Islam comme si c’était une religion comme les autres.
Albert Einstein aurait dit un jour; » L’immensité du Cosmos est la seule chose qui puisse donner une idée de la bêtise humaine » .Pourquoi l’Occident est-il aussi inconscient du danger que représente l’Islam pour notre civilisation judéo-chrétienne? Est-ce de la peur, de la lâcheté, de l’ignorance, un peu de tout cela?
L’Islam a toujours essayé de nous envahir. Jusqu’a aujourd’hui, nous l’avons à chaque fois repoussé: Stoppé à Belgrade, comme vous le décrivez: Stoppé au Siège de Malte en 1565,stoppé encore à la grande bataille navale de Lépante en 1571. Repoussé à trois reprises devant Vienne,, la dernière fois en 1683, grace à la charge héroïque des » Hussards Ailés » du roi de Pologne ( La plus grande charge de cavalerie de l’Histoire)…. Tous ces faits ne sont pas enseignés dans les livres d’Histoire. Pourquoi le cache-t-on?
Le courage et la lucidité de jadis ont disparu.: Aujourd’hui les descendants de ces conquérants islamques sont à nos portes, dans nos murs, et nous nous laissons faire: Le danger est imminent et immense.
J’aimerai tant que l’on relève la tête.l
Merci à vous cher Jacques! Dans mon article «l’islam et le monde musulman rendront service à l’Humanité et feront le nécessaire pour arrêter la progression de l’Occident » j’avais parlé des célèbres hussards ailés polonais: «Animé par le désir brûlant de libérer la ville assiégée par les barbares ottomans, le roi polonais, après avoir prié la Vierge Marie, lança la plus spectaculaires charge de cavalerie de toute l’histoire militaire européenne : les redoutables hussards ailés polonais, fer de lance de cette armée, que les ailes des uniformes faisaient ressembler à une nuée d’anges, déferlèrent sur l’ennemi surpris et mirent en déroute la puissante armée ottomane, pourtant supérieure en nombre et sur le point de mener l’assaut final contre Vienne. Le 12 septembre 1683, les armées chrétiennes, sous le commandement de Jean III Sobieski, Roi de Pologne et de Charles V, Duc de Lorraine mirent fin au siège de Vienne par les Ottomans du Grand Vizir Kara Mustafa.» «Cette victoire éclatante permit de chasser l’ennemi ottoman une fois pour toutes. Sans cette victoire, l’Europe serait devenue musulmane . « Venimus, vidimus, Deus vicit » « Nous sommes venus, nous avons vu, Dieu a vaincu » écrivit alors le souverain polonais dans une missive au pape Innocent XI pour l’informer de la victoire militaire du christianisme sur l’islamisme.» Je déplore aussi que cette magnifique victoire de la Chrétienté (et toutes les autres d’ailleurs) contre l’islam soit de moins en moins enseignée dans les écoles, par crainte de froisser la susceptibilité des « nouveaux Européens» de nom, membres de l’Oumma, qui digèrent mal la défaite de la grande armée ottomane, placée sous la protection d’Allah, par les armées chrétiennes. En Autriche, comme en Allemagne, de plus en plus d’élèves turcs demandent la suppression de cet événement historique du cours d’histoire, car offensant pour les musulmans … Idem en Amérique, où l’on enseigne aux enfants que l’islam, contrairement au christianisme s’est propagé de manière douce, tolérante et pacifique!!! Et de parler des Croisades et de l’Inquisition, mais jamais des millions de morts chrétiens égorgés, décapités, tortures, crucifiés, empalés par les soldats d’Allah lors de leurs invasions des terres occidentales au cours des siècles, sans oublier le plus grand génocide de l’Histoire de l’Humanité perpétré par les mahométans lors de l’invasion islamique de l’Inde et celui plus proche de nous des Arméniens. « L’islam ne commet pas de génocide » avait affirmé le mégalomane d’Ankara.! Il fallait oser le dire! Les mahométans se flattent de leurs victoires, mais ne supportent pas que l’on parle de leurs défaites … car Allah est invincible, dès lors toute défaite doit être refoulée dans les oubliettes de la mémoire, comme la Bataille navale de Lépante, qui se termina le 7 octobre 1571 par la destruction de la flotte du Sultan par la flotte chrétienne. Ou la victoire des rois chrétiens lors de la bataille de La Navas de Tolosa en 1212 qui fut une étape décisive dans la longue Reconquista de la péninsule ibérique par les rois catholiques. Nous les… Lire la suite »
Merci Rosaly… Je suis bien content de voir que vous etes aussi une admiratrice des » Hussards Ailés » de lancienne Pologne… De tels héros nous manquent cruellement aujourd’hui…
Comme le dit si bien dans son commentaire Hélios d’Alexandrie, votre article est « un rappel inspirant propre à réveiller notre esprit de résistance. »
Cher Jacques
J’ai toujours aimé les uniformes … 😀 Ces hussards ailés devaient vraiment ressembler à des anges. Cela laisse rêveur.
Bonne soirée!
Calixte III (en bon berger catholique) a une interprétation de Mat.10.16 qui relève du domaine de la conviction personnelle.
Merci Rosaly.
Dieu est en vous.
Merci Gregory9!
Merci Rosaly pour ce rappel inspirant propre à éveiller notre esprit de résistance.
Nous avons certainement à rougir de notre passivité face à la déferlante islamique.
Le courage et le sacrifice de nos ancêtres sont là pour nous rappeler notre devoir envers notre civilisation et notre foi chrétienne.
L’islam est l’ennemi numéro un de la croix, elle enflamme sa rage meurtrière parce que l’Idée de la souffrance, de la mort et de la résurrection de Dieu incarné, ainsi que du salut qu’il procure, est infiniment plus vivifiante et féconde que la conception que se fait l’islam de la divinité.
Les musulmans rêvent de détruire le christianisme parce qu’ils savent que l’amour inconditionnel de Dieu réduit l’islam à l’insignifiance; il en fait une religion obsolète.
C’est pourquoi la lutte par les armes, nécessaire il y a cinq siècles, devra faire place au combat moral, lequel exige autant de foi, de courage, de ténacité et de sacrifice, qu’en ont fait preuve les défenseurs de Belgrade.
Merci Hélios pour votre appréciation.
Je me trompe peut-être, mais je ne pense pas que le combat moral suffira à vaincre les haïsseurs de la Croix. Ce sera soit la soumission de l’Occident à l’islam par paresse, mollesse, aveuglement, inconscience, insouciance, méconnaissance de cette idéologie mortelle, soit un affrontement sanglant ou guerre civile après une prise de conscience tardive, vu l’accroissement exponentiel du nombre des soldats d’Allah sur nos terres de moins en moins chrétiennes.
Si les nations occidentales tardent à sortir de leur léthargie face à la dangereuse progression de l’islam, elles apprendront à leurs dépens la signification de la loi islamique des nombres et non de la manière douce.
Au fur et à mesure que les populations musulmanes continueront à s’accroître en Occident, les attaques contre les infidèles par décapitation, égorgement et autres horreurs suivront la courbe ascendante.
L’Archimandrite Fr.Daniel Byantoro, un musulman converti au christianisme, déclara, lors d’une discussion sur les ramifications de la lente percée de l’islam dans ce qui fut autrefois une nation non musulmane, aujourd’hui devenue le plus grand pays musulman du monde :
“Pendant des milliers d’années, mon pays, l’Indonésie fut un royaume hindou-bouddhique. Le dernier roi hindou, d’une grande gentillesse, exonéra le premier missionnaire musulman du payement des impôts fonciers, afin de lui permettre de vivre et de prêcher sa religion. Peu à peu, les adeptes de la nouvelle « religion » se multiplièrent et après être devenus majoritaires et très puissants, ils attaquèrent le royaume et ceux qui refusèrent de devenir musulmans durent fuir pour sauver leur vie. Et l’Indonésie, ancien royaume hindou-bouddhique, devint le plus grand pays musulman du monde.
S’il y a une leçon d’histoire que les Américains devraient apprendre, je leur suggère de se pencher sur celle de mon pays. Nous ne sommes pas des fanatiques haineux, mais des gens aimant la démocratie, épris de liberté, respectueux des Droits de l’Homme. Nous souhaitons seulement que cette liberté et cette démocratie ne nous soient pas enlevées, à cause de notre ignorance, d’un politiquement correct erroné et du prétexte de la tolérance. »
Le destin des nations chrétiennes est entre leurs mains, soit l’esclavage et la mort sous le joug féroce de l’islam, soit la liberté et la vie sur leurs terres dans l’amour du Christ.
Amitiés!
Rosaly
Je suis d’accord avec vous . Au point ou nous en sommes , l’islam ne pourra etre vaincu que par la force et les armes .
Mais je pense que pour l’Europe de l’Ouest , il est déjà trop tard . La démographie se chargera de la transformer en enfer islamique .
J’espère que l’Europe de l’Est , les USA , , le Canada pourront etre sauvés .
Pas si sur pour le Canada, avec le multiculturalisme de Trudeau et l’installation d’islamiste algérien et autre,on est mal barré pour l’avenir.
merci pour ce récit que je me permets d’archiver parmi tous les articles de Dreuz sur ce sujet si grave pour notre civilisation européenne aujourd’hui
Les articles importants, à archiver, sont dans la rubrique « Analyse ». Celui-ci vient d’y être ajouté.