Le Karma est vengeur. A vouloir être inclusif pour céder aux pressions de l’extrême gauche, fasciste par nature, The Lancet est maintenant accusé de manquer de respect envers les femmes, et « d’annuler leur corps ».
Devenez « lecteur premium », pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
« Ah ma p’tite dame, c’est dur d’être Woke. M’en parlez pas Germaine, un rien, et vous êtes canceled ! » La revue médicale The Lancet est accusée de sexisme après avoir décrit les femmes comme des « corps avec des vagins » sur la couverture de sa dernière édition.
Johnny Depp a parfaitement cerné la menace. Lors du festival du film de San Sebastian, il s’est élevé contre la cancel culture, dont il fait les frais, et a mis en garde le milieu artistique, particulièrement actif en ce domaine alors qu’on l’imaginait plus généreux :
« C’est tellement hors de contrôle, je peux vous promettre que plus personne n’est en sécurité. Pas un seul d’entre vous. »
Un tweet partageant la première page du Lancet a déclenché une vague de critiques et d’indignations. Des universitaires ont annulé leur abonnement, d’autres ont démissionné en tant que correcteurs, et des médecins ont critiqué la phrase comme « déshumanisante » envers les femmes. A l’inverse, des activistes ont suggéré que le terme vagin est « inutile » pour des débats sur l’inclusivité.
La couverture du Lancet de septembre fait référence à un article, intitulé « les menstruations en spectacle » qui passe en revue une exposition sur l’histoire des menstruations au Vagina Museum de Londres. Dans l’article, l’auteur écrit quatre fois le mot « femme », et une fois l’expression « corps avec vagin ».
C’est cette expression « inclusive » que la rédaction du Lancet a choisi en première page. « Historiquement, l’anatomie et la physiologie des corps dotés de vagins ont été négligées », peut-on lire.
Oui, ces abrutis n’ont pas compris qu’en voulant être inclusif, on exclut forcément quelqu’un. On ne peut pas faire d’un bourrin un cheval de course, et les idéologues sont aveugles du cerveau.
La tentative « Woke » a donc suscité des réactions de « Cancel »
« Je viens d’écrire au Lancet pour leur dire de me retirer de leur liste de réviseurs statistiques, d’annuler mon abonnement et de ne plus jamais me contacter pour quoi que ce soit », a écrit sur Twitter le professeur David Curtis, psychiatre à la retraite et professeur honoraire de génétique à l’University College de Londres.
« C’est un langage absolument inexcusable pour désigner les femmes et les filles », a-t-il ajouté.
J’imagine bien que ce Curtis va subir lui aussi les conséquences pour avoir osé employer les mots femmes et filles.
Le Dr Madeleine Ní Dhálaigh, médecin généraliste :
« On peut être inclusif sans être insultant et injurieux. Comment osez-vous nous déshumaniser avec une déclaration comme celle-ci ? »
Le groupe d’activistes Women Make Glasgow a déclaré qu’il avait déposé une plainte officielle « à propos de la couverture déshumanisante et carrément sexiste », tandis que la féministe Claire Heuchan a déclaré que le terme était « tout à fait honteux et totalement régressif ».
« Ce cadrage fait passer pour une coïncidence le fait que les ‘corps avec vagin’ aient été négligés par la médecine, comme si ce n’était pas le produit d’une discrimination et d’une oppression spécifiques au sexe féminin », a-t-elle déclaré, encore plus extrémiste, sur Twitter.
« La misogynie médicale… existe – et le refus de reconnaître les femmes la perpétue. Tant que [le Lancet ne commencera pas] à écrire sur les ‘corps avec pénis’, à déshumaniser et à négliger les recherches spécifiques aux hommes, je vais appeler cette cancel culture pour ce qu’elle est : du sexisme. »
Car plusieurs personnes ont suggéré que le journal avait deux poids, deux mesures, signalant un post du 20 septembre qui faisait référence aux 10 millions d' »hommes » vivant avec le cancer de la prostate et suggérant qu’ils n’avaient jamais vu le terme « corps avec pénis ».
La tentative d’inclusion est épuisante, ridicule et tyrannique
« Il y a absolument une conversation à avoir sur un langage inclusif pour les trans… mais ‘les corps avec des vagins’ n’est pas celui-là, et ne rend pas service aux femmes, aux hommes trans ou aux personnes non binaires [assignées femme/mâle à la naissance] », a déclaré Sarah Graham, une journaliste indépendante spécialisée dans la santé qui couvre les préjugés médicaux.
« [Nous] devons être précis et spécifiques sur qui et de quoi nous parlons. Si nous parlons de menstruation, le vagin n’est même PAS la caractéristique pertinente, ce que l’on s’attendrait à ce que @TheLancet sache », a-t-elle écrit sur Twitter.
« Honnêtement, j’ai l’impression que ces tentatives bien intentionnées mais inutiles d’être inclusives ne font qu’ajouter de l’huile sur le feu. Il est possible d’être inclusif ET précis ET de reconnaître la misogynie médicale (et la transphobie) tout à la fois, sans réduire personne à son anatomie. »
« Ah ma p’tite dame, c’est dur d’être Woke. M’en parlez pas Germaine, un rien, et vous êtes canceled ! »
Voilà pourquoi je considère qu’il est de notre devoir de résister, de ne pas se soumettre, de lutter avec les mots contre les mots, et d’employer le magnifique argot, les mots durs comme PD, gouine, tapette, ou travelo, pour leur graver dans la cervelle que le respect dû aux homosexuels et aux transsexuels est essentiel, mais qu’il ne passe pas par la soumission et la terreur.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.
La question est de savoir (hormis le corps mortel dans lequel nous naviguons sur cette terre à la manière d’une chenille avant de devenir papillon) à qui nous appartenons en esprit et en vérité ?
Le corps retourne à la terre et l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné.
La focalisation sur le corps n’est pas de Dieu. Cela ne mène à rien.
Toutes ces imbécilités ne sont que des obstacles et perte de temps à celui qui cherche à recevoir l’Esprit-Saint de Dieu !
Délivre nous du mal dit la prière proposée par Jésus.
Cherchez, frappez, demandez.
Jésus répond et ne déçoit jamais celui celle qui met sa confiance en Lui.
De plus dans le royaume qu’il propose, il n’y a plus ni homme ni femme.
Ouf amen
Plus ni homme ni femme ? Qu’est-ce qu’on doit s’embêter 😉 !
je conseille d’aller visiter le paradis ou le royaume d’Allah, il n y a que des vierges.
Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. (Galates 3.28)
Pas sur qu’on s’embête à la venue du messie !
Déjà que vous devrez vous faire à l’idée que vous êtes devenue un ange…😉
Ok faut beaucoup d’imagination…
Quelle aliénation. Et on ne parvient pas à arrêter ce train fou.
Parce qu’on est passif, nous donnons la priorité à notre vie et nos proches, face à des activistes qui n’ont que ça à penser : détruire, changer, modeler la société.
Je me demande par qui est financé le Lancet.
C’est une preuve de plus que ce qui est woke est de la merde
D’autre part, ce très très petit monde ne représente que lui-même.
J’ai aussi constaté que la banque allemande N26 est woke. C’est plus fort qu’eux. Il y a peu, ils n’ont pas pu s’empêcher de changer l’icône de leur app pour montrer qu’ils célèbrent le mois des « fiertés ».
Lorsque des gens se plaignent (sur twitter) de sa dérive idéologique, le service client woke leur dit que s’il ne sont pas contents,ils peuvent fermer leur compte..
Cette petite clique de réveillés ne vit que pour son idéologie mortifère.
Je suppose que tous ceux qui ne sont pas d’accord doivent être « déconstruits ».
après avoir publié une étude bidonnée sur hydroxichloroquine voilà que se révèle le vrai visage de cette publication !
elle se déqualifie comme le fait le journal français le monde qui n’est plus qu’un organisme de propagande
jpg j’adore vos articles sur les dingos
Je vous pense trop sévère. Elle reste la revue de référence, dont il faudra désormais douter, mais pas au point de l’exclure.
En tant que Neurochirurgien et Anesthésiologiste, il y a longtemps que je ne consulte plus The Lancet car ses éditoriaux sont très à gauche et si je soumettais ses articles à mes tests de validité, quasiment aucun ne passait. Donc pas de temps à perdre !
Ils sont tous devenus hystériques !
(« Le mot hystérie est apparu en français au début du XVIIIe siècle, dérivé régressif d’après l’adjectif hystérique. Il est issu du mot grec ὑστέρα hyster ou hustéra, apparenté au latin hystera, pouvant signifier la matrice, les entrailles ou l’utérus »).
Au train où ça va, il faudra vraiment en avoir, des…., euh du courage, pour oser écrire quelque chose !
En somme les LGBTQ sont des PGTIS (PD , Gouines,Travelos et Indécis du Slip) 😂
Il me vient à l’esprit une réplique du film « le prénom » :
« Alors là je sais plus quoi te dire tellement c’est n’importe quoi ! »
On dirait que certains, à force de parler de corps avec vagin ou pénis ont oublié qu’ils sont des corps avec cerveau, et surtout de s’en servir.
Ce qui se passe c’est qu’il y a d’un côté des activistes trans qui veulent absolument ce langage inclusif, de l’autre une branche du féminisme (les TERF) qui ne pardonne pas qu’on l’utilise et qui est opposée au mouvement transgenre. D’après mon expérience, les TERF sont souvent avant tout sexistes anti-hommes, et elles ne supportent pas que des hommes biologiques échappent ainsi au statut de « privilégié », ou encore puissent bénéficier des mesures de « discrimination positive » en faveur des femmes. En même temps, les activistes trans ont une part de responsabilité, en réclamant par exemple la participation des sportives transgenres dans la catégorie femme, ou encore l’accès des femmes transgenres dans les lieux réservés aux femmes (WC, chambres d’hôpitaux, vestiaires, etc.) Les femmes transgenres sont en fait divisées sur ces sujets (voir la républicaine Caitlyn Jenner, opposée à ce que les femmes trans jouent dans la catégorie femme) et au vu des discussions que j’ai dans certains groupes il semble que pour le sport ce soit environ 50-50. Après, utiliser certaines de ces expressions ne veut pas forcément dire qu’on est woke. Moi je dis par exemple « personnes qui aiment les femmes » et je ne suis pas du tout woke. J’ai été horrifiée par la manière dont a été traité l’auteur athée Richard Dawkins, après qu’il ait fait remarquer sur Twitter l’incohérence de la pensée politiquement correcte qui avait diabolisé une personne blanche au départ s’identifiant africaine, mais qui diabolisait ceux qui ne sont pas d’accord avec l’idée selon laquelle les personnes qui s’identifient de l’autre genre appartiennent réellement à ce genre.
Il est quand-même stupéfiant que dans nos sociétés européennes et états-uniennes se voulant de plus en plus laïques, coupant avec acharnement et méthodiquement leurs racines judéo-chrétiennes, le Religieux revienne au grand galop, foisonnant de «catéchismes alternatifs» qu’il s’agit d’ânonner servilement et avec ferveur sous peine d’exclusion ou de mise au bûcher ! LGBTQIetc, Climat, politique migratoire, politique familiale, COVID, nouvelles spiritualités, Agenda 2030…
S’aligner dans les rangs et marcher au pas de l’oie ou être aligné dos au mur face aux divers pelotons d’exécution !
La Politpsychiatrie frémit d’excitation à l’aube d’un si beau et long nouveau jour…
Et les trous du cul dépourvu de cerveau qui écrivent ce genre de conneries, ils sont dans quelle catégorie?
Qu’écriront les Historiens du futur quand ils relateront la période commencée en mai 1968 à .?. ? Pour autant qu’il y ait encore des intellectuels dans un siècle , voire moins longtemps … Médiocrité oblige .