Le degré de corruption des Clinton et de la Fondation Clinton, les mensonges de Bill Clinton, Hillary les porte sur le visage, et les Américains ne s’y sont pas trompés en rejetant cette candidate présidentielle.
Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Pendant des mois, Donald Trump a répété : “où est le rapport Durham ?”, pensant, comme beaucoup d’Américains modérés, qu’il avait été enterré par l’administration Biden. Apparemment non. Et le dernier acte d’accusation déposé par l’avocat spécial John Durham expose une ampleur et une dépravation de la corruption de Washington, ce que Trump appelle le “marécage”, le Deep State, qui est honteuse et dangereuse même pour les Clinton.
- Le premier acte de Durham a été la condamnation de l’ex-avocat du FBI Kevin Clinesmith. Le pays a alors mieux compris que tous les contrôles que notre gouvernement fédéral a essayé d’imposer à l’État profond ne fonctionnent tout simplement pas parce que les contrôleurs font partie de la corruption, ils font partie du problème, du Deep State. C’est comme demander au gouvernement mexicain de lutter contre les cartels qui les financent, les font élire, les protègent, et les assassinent s’ils dévient.
- Durham a prouvé que Clinesmith avait truqué des demandes de mandat auprès de la Foreign Intelligence Surveillance Court ou FISA, sur la base du faux dossier Steele, pour obtenir la permission d’espionner la campagne de Donald Trump – la même affaire que le Watergate en plus grave (enfin, plus grave si l’espionné avait été démocrate). D’autres étaient coupables, y compris le directeur du FBI de l’époque, licencié par Trump.
- Carter Page, l’un des conseillers en politique étrangère du président Donald Trump a donc été mis sur écoute pendant que les médias hurlaient qu’il ne fallait pas employer le mot “espionner” parce que c’était conspirationniste. Ce qu’ils voulaient dire surtout, c’est que des Démocrates ne peuvent rien faire de mal, et que s’ils font tout de même quelque chose de mal, c’est accidentellement, sans intention maligne, et qu’il faut les excuser et les comprendre.
Cet abus manifeste a suscité des appels au Congrès pour réformer la loi sur la surveillance du renseignement étranger – qui n’a pas eu lieu, de la même manière que le Congrès n’a jamais poursuivi les Démocrates et anti-Trump qui ont menti sous serment devant lui.
Le nouvel acte d’accusation de Durham qui vient de tomber concerne un autre bouc-émissaire (les têtes seront épargnées). Il s’agit d’un avocat de premier plan, avocat du Comité national démocrate (DNC), d’une grosse entreprise de BigTech, et tenez-vous bien, de la Fondation Clinton, Michael Sussmann. Ce dernier a fait passer une information inventée de toutes pièces alléguant que les communications informatiques entre un serveur de l’Alfa Bank en Russie et la Trump Tower à New York cachaient un système secret de communication permettant à Trump et Vladimir Poutine de voler l’élection de 2016.
L’affaire
Un client de Sussmann, haut-cadre d’une entreprise de BigTech – nous l’appellerons Monsieur E.S., a approché Sussmann en juillet 2016, affirmant qu’il avait des informations qui pourraient aider à fabriquer un “récit” de collusion de Trump avec la Russie.
Le dirigeant de Bigtech en question est un Démocrate. Dans un email, il a déclaré qu’il souhaitait la victoire d’Hillary Clinton à la présidence parce qu’elle lui donnerait le poste le plus important de la nation en matière de cybersécurité. On est au milieu du marais puant.
Il a ensuite utilisé ses relations pour obtenir, d’une entreprise qui aide le gouvernement fédéral en matière de cybersécurité, des données Internet non publiques concernant Trump et six de ses associés.
Les employés de monsieur E.S. l’ont mis en garde que les fausses données censées relier Trump à une banque russe “ne passeraient pas”, elles étaient trop cousues de fil blanc. Mais Sussmann les a néanmoins transmises à l’avocat général du FBI de l’époque, James Baker, même après que l’équipe d’experts en informatique ait averti que cette théorie était un “faux”, selon l’acte d’accusation. Puis Sussmann a transmis le faux document aux médias pour construire le récit selon lequel Trump était de connivence avec Moscou.
Pour situer le niveau, Sussmann est aussi l’avocat qui a travaillé avec le FBI lors de son enquête sur le soi-disant piratage des serveurs du DNC par les Russes, suite aux fuites d’email très compromettant de John Podesta, le conseiller principal de la campagne d’Hillary Clinton. Souvenez-vous que le DNC n’a jamais autorisé le FBI a inspecter les serveurs en question, et que la preuve que la Russie ait piraté leurs serveurs n’a jamais été apportée – il fallait juste les croire sur parole.
Sussmann a donc déclaré au FBI qu’il disposait des informations montrant un lien entre Trump et une banque russe. Au cours de la réunion, M. Sussmann a menti au FBI et dit “qu’il transmettait ces informations simplement en tant que citoyen inquiet et qu’il ne travaillait pas pour le compte d’un client”. Il a également affirmé que des experts en cybersécurité l’avaient contacté au sujet d’un lien possible entre Trump et une banque russe, mais il n’a jamais mentionné la véritable source des données, Monsieur E.S., ni évidemment précisé que les informations étaient fausses.
Comme nous le savons maintenant – nous l’ignorions à l’époque – le FBI est très corrompu et il a été infiltré par le parti Démocrate et le Deep State. Les “informations” de Sussmann – en réalité des mensonges destinés à faire tomber Trump – sont tombées dans des oreilles bienveillantes.
Pendant tout ce temps, je veux dire, pendant qu’il disait au FBI qu’il ne travaillait pour le compte de personne, Sussmann facturait la campagne d’Hillary Clinton pour ses rendez-vous avec Monsieur E.S., pour ses rendez-vous avec le FBI, et pour fuiter à la presse ces Fake News. Autrement dit, il travaillait pour Hillary. On ne sait pas à ce stade et de façon formelle si elle donnait les ordres, ou si elle était seulement informée de ce qui se passait et validait les étapes. Dans tous les cas, elle y est jusqu’aux oreilles. Mais le marécage la protège parce qu’elle a probablement des montagnes d’informations sales sur tout le monde. Quand on parle du marécage ou du Deep State, ce qu’on dit en réalité c’est que tout le monde étant corrompu, tout le monde tient tout le monde, et tout le monde a intérêt à ce que ça dure. Et Trump est arrivé dans ce puant environnement qui détruit à la classe moyenne américaine.
Si le FBI avait su que Sussmann l’avait contacté au nom de la campagne de Clinton dans le seul but de salir la réputation de son rival politique et le faire échouer aux élections, il n’aurait peut-être jamais ouvert d’enquête. Mais comme Sussmann est un Démocrate, que Trump avait promis de nettoyer le marécage et la corruption de Washington, qu’il représentait un danger certain pour le Deep State, du fait qu’il ne faisait pas partie de l’establishment corrompu, le FBI n’a pas cherché à savoir si Sussmann mentait sur ses motivations, et James Comey, directeur du FBI de l’époque, a ouvert une enquête.
L’inspecteur général du ministère de la Justice conclura en 2019 que le lien entre Trump et les banques russes était une pure fiction, que la collusion entre Trump et la Russie n’avait jamais existé. L’enquêteur spécial Mueller était pourtant très corrompu – il ne fouilla jamais du côté des Démocrates – mais il conclut tout de même que les accusations contre Trump étaient infondées, y compris celles d’obstruction à la Justice.
Mais Sussmann avait bien fait son travail auprès des médias. Avec ses fausses informations, ils ont consciencieusement et soigneusement joué leur rôle dans la création de la collusion de Trump avec la Russie, qui, avec l’enquête Mueller, a plombé la majeure partie de la présidence Trump. Malgré les conclusions des enquêtes, ils continuent d’ailleurs d’accuser Trump.
Ne nous trompons pas : la dynastie Clinton et son influence sur le parti Démocrate a son pendant à droite avec la dynastie Bush. Les deux se sont effritées sous les coups de Donald Trump, mais le parti Démocrate n’a pas “son Trump” engagé dans la lutte contre la corruption de l’appareil politique du DNC et du marécage. Les électeurs Démocrates honnêtes n’ont pas de quoi en être fier.
Durham va inculper d’autres personnes. Pas les têtes. Le rôle de BigTech dans la fabrication du récit de collusion a été assez peu évoqué durant les années Trump et pendant l’enquête de Mueller. Le récit de la collusion russe a été inventé de toutes pièces, et le Congrès ne semble pas du tout prêt à contrôler les informations auxquelles Big Tech a accès ni sa politique de censure de la droite. Si le GOP reprend la majorité aux deux chambres en 2022, je ne suis pas même certain qu’ils agiront dans ce sens : les Républicains, hélas, n’ont aucune colonne vertébrale.
Le représentant Devin Nunes (R-Calif.), qui a joué un rôle essentiel en tant que président de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants dans le démantèlement du faux récit de collusion avec la Russie, a déclaré que l’acte d’accusation de Durham ajoutait une dernière pièce à la machine Clinton qui a élaboré le sale coup.
“L’acte d’accusation est accablant, plein de détails choquants montrent comment les agents et les avocats de la campagne Clinton ont eu recours à des méthodes illégales et immorales pour concocter de fausses allégations contre la campagne Trump et les transmettre au FBI et aux médias”.
Les médias américains sont restés discrets sur les conclusions de l’enquête Durham.
Les médias français, qui ont martelé l’affaire de collusion pendant quatre ans, ne sont absolument pas intéressés à publier des faits, ils n’aiment que les ragots. Ils ont adoré publié les accusations infondées contre Trump, ils détestent publier les résultats factuels des enquêtes qui exposent les coupables, des gens qu’ils aiment. Pourquoi informer les Français, se disent-ils.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.
Source : www.dreuz.info/Durham-report.pdf
Houah !!!
C’est moche , vraiment . Bizarre , la carrière de Bill !!!
Encore une info essentielle .
Merci Monsieur Grumberg
La corruption des élites détruit la vie des gens honnêtes, courageux et simplement humains, en effet, ces dirigeants n’ont plus rien de lié à notre humanité, puisque le crime et le mensonge sont leurs rapports au monde.
Un présentateur de NTD commence à présenter le cas en disant que Hillary Clinton, l’idole des socialistes/globalistes, a beaucoup de morts dans ses placards. Faut imaginez la malice et perversion, qui passent de ces criminels en haut a leurs esclaves/sous-fifres, du bas, cela se sent dans beaucoup de lieux populaires. Comment? Cette raillerie et vulgarité perpetuelles.
En parcourant CNN, ce canal de la propagande, tourne déjà les faits en faisant croire que Durham est juste un pion de Trump. Voilà comment la presse de masse va tourner les faits, pour sauver leur pognon et leur cul aussi, cet unique rapport au monde qui leur est propre ou plutôt très sale.
Excellent article, M.Grumberg, merci pour votre travail.
Bonjour Monsieur Grumberg,
Je me souviens d’une vidéo dans laquelle, au bord de la crise hystérique, Hillary parlait de l’ “affaire” russe et de sa défaite à l’élection. Tandis qu’à l’arrière-plan on pouvait voir Bill silencieux et résigné. C’était un aveux implicite de sa part: Trump avait remporté l’élection parce qu’il avait été le meilleur.
Il y a aussi plusieurs morts “accidentelles” parmi ceux qui enquêtaient sur les Clinton. La corruption ( le « marécage », le Deep State) est honteuse et dangereuse même pour les Clinton. En effet ,celui ou celle qui parlera le premier se sait condamné à mort.
Cordialement
Le système électoral a bien aidé Trump: Hillary avait plus de voix que lui.
Apparemment les étoiles du drapeau américain n’ont aucune signification pour vous
Ce que je dis est erroné ?
Je trolle
Tu trolles
Il trolle
Nous trollons
Vous trollez
Ils trollent.
Mais encore ?
On mène une campagne électorale en fonction du système existant. Après plusieurs dizaines d’années d’expérience, elle ne l”avait toujours pas compris. Par contre Trump…
Vous avez tout à fait raison.
qui venaient de la Californie.
Tout à fait exact.
Nous avons tous sous-estimé la profondeur du marécage, il est immense. Je ne sais si l’Amérique s’en relèvera, je l’espère de tout cœur . Pour nous Français , la situation est désespérée je le crains…
Merci Jean-Patrick Grumberg pour ce résumé clair et percutant de toute cette affaire de “Trump-Russie”.
Pour rappel, après l’effondrement de l’enquête Mueller – cet extraordinaire témoignage du susdit devant le Congrès – que tous les media de gauche appelaient de leur vœux et attendaient comme la mise à mort en direct du 45ème détesté (en particulier la radio suisse romande***) et qui fut un clash monumental et honteux dont les journaux se dépêchèrent de balayer sous le tapis et de l’oublier !
Oui, rappelons donc que le New York Times par son Rédacteur en chef, Dean Baquet, le premier afro-américain rédacteur en chef du New-York Times (vraiment un hasard ?) avait aussitôt réuni son staff d’éditorialistes et journalistes pour leur dire qu’ils avaient fait du bon travail en relayant les accusations de collusion du Donald avec la Russie, mais que maintenant que la bulle avait explosé, ils devaient changer de thème, ils devaient martelé dans leurs articles à longueur de colonnes : “Trump-raciste” !
Ah qu’elle est belle la déontologie de la grande presse américaine ! Mais qu’attendre de militants de gauche, le Camp du Bien par Saint Marx, Saint Alinsky et Obama, le nouveau prophète et ses apôtres Hillary, la tordue, Joe, le corrompu, et John (Kerry), le traître ! Ah la belle brochette de gauchistes encensées par nos média msm, frappés du syndrome de la haine de Trump qui les a percés à jour !
………………………………………………………………………………………………
La RSR avait présenté dans forum (émission politique de 18h00 à 19h00) le témoignage à venir de Mueller devant le Congrès comme l’épilogue qui démasquerait enfin l’abominable président. La radio publique suisse romande, l’avait fait par une de ses journalistes vedettes (Esther Coco ou Tania Zaspinar) qui n’en pouvait plus de se tenir en direct tant le ton adopté était péremptoire, triomphant et hystérique. Comme on dit en Suisse, elle devait en pisser aux culottes !
Après des années de crachats sur le président, lavé de toute accusation, jamais la RSR n’a fait le moindre mea-culpa sur sa désinformation permanente durant toutes ces années. Pire, sa présentation biaisée de la politique américaine sous Donald J Trump est resté d’une hostilité totale et d’un parti pris scandaleux.
“Pourquoi informer les Français ?”
Les big patrons des media qui ont installé Macron à cette place savent très bien que, avant même de s’être déclaré candidat, Macron et Valls ont demandé l’aide de Hillary comme le prouve un télégramme de Podesta dévoilé par wikileaks.
Je pense que nous aurions bien besoin d’un Duhram, ici en France pour assainir notre “Marais” puant.
Les médias main streams en parleront lorsqu’ils n’auront plus le choix. Comme d’hab avec les sujets impropres à leur ligne rédactionnelle unilatérale.
A travers votre travail de “journaliste à l’ancienne” il y a un être humain que l’injustice insupporte.
Or, une des plus grandes injustices n’est-elle pas de travestir la réalité, lui coller un baillon ou en faire une pute, une esclave?
Alors, merci mille fois de RENDRE JUSTICE A LA REALITE! Qu’elle soit belle, moche, irritante ou apaisante. Que cela porte ses fruits ou soit un feu de paille.
Vous le confirmez: notre instinct, ce que nous dicte le salvateur bon sens mais auquel s’oppose une interprétation du réel aux antipodes, telle une injonction faite à notre conscience par des médias que la contradiction menace, ne sont en rien les symptômes d’une folie au nom de quoi on voudrait nous réduire au silence…au mieux.
Du reste, tout ce que disait l’insortable Trump en provoquant, par réflexe pavlovien ou snobisme de confort, une rage de bon ton sinon une risée à la mode, s’avère l’insolente vérité! Quant au vol d’élection nous devrons faire preuve d’une plus grande patience…
Aujourd’hui, l’essentiel c’est le style, l’apparence. Voilà pourquoi ce monde favorise les imposteurs.
Parmi lesquels, les Clinton: faux-gentils, faux-généreux, faux-culs…
Dans la famille Clinton je vous présente l’aigr’Hillary: nonobstant ses entourloupes a gogo, son formidable sens politique, plus tordue tu meurs, la loser en chef ne s’est jamais remise de la cinglante défaite. Surtout, face à un énergumène qui, contrairement à elle, n’aura jamais conduit son existence dans le but d’une accession au pouvoir suprême. A ses yeux l’imposteur c’est lui!
Les médias “détestent publier les résultats factuels des enquêtes qui exposent les coupables, des gens qu’ils aiment”:
Aiment-ils le juif Sussmann ? Il y a dans cette affaire matière à lâcher la bride de leur antisémitisme naturel, surtout si ça doit protéger les vrais coupables.
Merci JPG !
Cela ressemble à un bon début, bien que tardif, trop tardif. La justice américaine est à vitesse extrêmement variable (quand elle fonctionne…).
Puisse Durham continuer sur sa lancée !
C’est pas demain que nous verrons un procès contre Biden pour collusion avec la Chine…
Les fake news n’ont de cesse que d’accuser la Droite Américaine d’être conspirationniste. Or, on décourvre que la Gauche Américaine est tout autant capable de conspiration.
Pas d’accord, la gauche est bien plus conspirationniste que l’autre…
Enfin c’est quoi la question au juste ?
C’est la gadoue, la gadoue, la gadoue, la gadoue ♪♪♪…
Sur le fond ça va changer quoi ?
ces révélations vont changer quoi ?
les têtes seront épargnés !
les Clinton seront épargnés, comme Obama, alors ça sert à quoi ces molles et tardives révélations ?
et comme les merdias censurent , la majorité du peuple américain ne saura rien……………….
Allons Petit Jean pas de défaitisme, non mais !
La vérité a beau être ténue, elle n’en n’est pas moins là…