L’extrémisme des Démocrates gauchistes a pris le dessus. Ils font exactement les mêmes erreurs que sous l’ère Obama. Tant qu’ils continueront à défendre la Théorie Critique des Races, à prétendre que le retrait d’Afghanistan (avec l’abandon de nombreux Américains), constitue un succès retentissant, à promouvoir un agenda de dépenses massives, à utiliser une rhétorique anti-police, ils inciteront les Américains à souhaiter le retour de Donald Trump, le seul capable de mettre fin à cette folie gauchiste.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Brandon Morse, paru sur le site de RedState, le 9 septembre.
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Les gauchistes sous-estiment grandement les chances de Trump lors des futures élections
La gauche est à peu près certaine d’avoir vaincu le Président Donald Trump lors de l’élection de 2020, mais en observant la façon dont elle continue de l’attaquer, que ce soit par voie légale ou dans les médias sociaux, on ne peut qu’en conclure qu’elle le considère toujours comme une menace.
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Dernièrement, leur méthode d’attaque a consisté à minimiser son impact sur le Parti Républicain et à estimer qu’il y aura un enthousiasme décroissant des électeurs à tirer la manette pour lui lorsque le moment sera venu.
Un article, en particulier, provenant du journal The Hill, avance l’argument selon lequel M. Trump s’efforce de rester pertinent :
« L’ex-Président Trump tente de maintenir sa pertinence politique – et cette bataille pourrait être difficile. Personne ne conteste le fait que Donald Trump est actuellement la figure centrale du Parti Républicain. Mais son principal ennemi à l’heure actuelle est le temps. Près de huit mois après le début de l’Administration du président Biden, M. Trump ne peut plus attirer l’attention aussi facilement qu’avant. Et s’il a vraiment l’ambition d’être le premier président depuis Grover Cleveland à exercer deux mandats non consécutifs, il devra rester au centre du paysage politique jusqu’en 2024, tout en n’exerçant aucune fonction.»
Pour être juste, The Hill indique clairement que Donald Trump conserve sa position dans l’opinion publique malgré son interdiction des principales plateformes de médias sociaux, mais que ses commentaires autrefois virulents se sont adoucis à cause de cela. Ils n’ont pas tort, mais je leur conseille de ne pas oublier l’histoire.
L’ascension de Donald Trump vers la gloire s’est faite très soudainement. Sa célèbre descente de l’escalier roulant de la Trump Tower a été le moment où beaucoup d’Américains ont commencé à le considérer comme une personnalité politique. Pourtant, même à ce moment-là, beaucoup d’Américains l’ont ignoré et ont ri à l’idée que le type qui n’avait pas réussi à vendre des steaks aux Américains puisse accéder à la Maison Blanche.
Après cela, sa personnalité et ses proclamations grandioses sur ce qu’il ferait une fois élu l’ont porté loin, mais ce n’était qu’une des pièces du casse-tête.
Les gens ont oublié que l’Administration Trump n’était pas une création du Parti Républicain. Des membres du GOP se sont opposés à lui à plusieurs reprises. Son élection a été le résultat obtenu par un Parti Démocrate qui s’était convaincu que l’Amérique était due pour une restructuration fondamentale mettant de l’avant des idéologies extrêmes pour tout gérer, de la politique économique au divertissement.
Les élitistes des deux côtes ( NdT: les côtes est et ouest: principalement New-York et la Californie) étaient devenus si arrogants qu’ils méprisaient ouvertement les Américains moyens et leur orgueil démesuré faisait ressortir leur ineptie.
L’élection de Donald Trump était, à parts égales, due à une action des Démocrates et à une réaction américaine.
Il aurait pu rester silencieux pendant un an et revenir le moment venu en étant tout aussi populaire, car la gauche, avec son extrémisme croissant, ne fait que pousser de plus en plus d’Américains vers quelqu’un comme lui.
En fait, ils font exactement les mêmes erreurs que sous l’ère Obama, sauf qu’ils en font encore plus.
Tant qu’ils continueront leur injections clandestines de TCR (Théorie Critique des Races) dans les écoles, l’abandon des Américains en Afghanistan, leur promotion de projets de loi de dépenses massives, le fait d’accorder plus d’importance à la justice sociale qu’à la justice réelle, leur appui des communistes (BLM, Antifa) et l’utilisation d’une rhétorique anti-police, ils inciteront les Américains à penser: « ne serait-ce pas formidable d’avoir un leader qui n’est pas comme ça ? ».
Seulement maintenant, les Américains vont penser : « nous l’avons déjà fait et peut-être que nous devrions le faire revenir ».
Le retour de Donald Trump, à moins d’un revers majeur de sa santé ou de son image, est très, très probable et les gauchistes ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes ….
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Redstate
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En ce siècle d’inversion des valeurs l’Administration la plus bénéfique aux américains est celle qui a été la plus décriée et celle qui détruit l’Amérique est celle la plus chouchoutée.
Orwell doit exploser de rire là haut.
Chère Magali,
ils ne changeront pas parce qu’il est impossible qu’il en soit autrement. A leur façon ce sont des croyants intégristes et cette croyance est d’autant plus enracinée qu’elle s’accompagne du confort matériel.
Le seul bémol que je mettrais, c’ est l’âge de Trump. Il aura lui aussi 78 ans quand il sera officiellement candidat et il ne pourra mener qu’un seul mandat. Il faudra qu’il choisisse avec soin son vice-président. Dans le camp républicain les personnalités talentueuses ne manquent heureusement pas.
Le bonjour vous va.
Cordialement
Il a déjà été réélu en 2020 , il ne faut pas l’oublier. Le président Trump est tout à fait capable de battre les voyous démocrates une troisième fois , je n’en doute pas une seconde.
Tout à fait ,l’ élection a été truquée et les juges menacés ,même les avocats de Trump , aucun état n’a ouvert un procès pour constituer un jugement ,comme cela , le sénile a été placé à la présidence et à travers lui Obama effectue son troisième mandat ,et l’on sait qu’il est musulman ; même un frère musulman qui effectue la destruction des Etats-Unis par personne interposée ,il faut le retour des républicains à l’élection mi-mandat , et le retour de Trump pour sauver les Etats-Unis et Israël ;et aussi pour le monde ; pour sauver la démocratie et la constitution américaine ; pour autant qu’elle ne soit pas détruite avant ; Gardons l’ espoir .
Obama n’est pas musulman.
je confirme, Obama n’est pas musulman, d’ailleurs la grande presse et les politiciens montrent qu’il n’y a pas besoin d’être musulman pour être islamophile et lui permettre d’avancer.
Vous avez parfaitement raison.
Si Donald avait gagné les élections il serait aujourd’hui en poste à la Maison Blanche.
La fraude électorale ça vous dit quelque chose ?
Celle qui n’a jamais été prouvée devant les tribunaux ?
Reste à espérer que Trump ne sur-estime pas les siennes.
Bonjour. Qui vole une élection se sent pousser des ailes…
Et, même si Trump est élu en 2024 ce sera pour 4 ans. Lorsque d’autres dirigeants le sont presque à vie, leur laissant le temps d’avancer leurs pions ou de laisser passer la tempête (la tempête Trumpicale étant la plus redoutée des météorologues, ces vrp du « global warming »).
4 ans: le temps de nettoyer les montagnes de caca accumulées par les fouteurs de merde démocrato-progressistes? Ses 78 balais lui suffiront-ils? Pas sûr. En même temps, ça ne pourra être pire que son sénile corrompu lécheur de boules, de prédécesseur.
Est-ce suffisant pour rétablir (voire inventer) un système de défense idéologique?
On le constate avec l’idéologie conquérante de l’islam, les armes ne sont d’aucune utilité dans un monde aux frontières poreuses dont les populations à conquérir se désagrègent petit à petit, générations après générations. La configuration démographique actuelle de l’occident implique ce paradoxe: plus une arme est puissante moins elle est utile! A cause des dommages collatéraux. De fait, nous sommes devenus des boucliers humains!
Pareil avec le communisme (l’URSS n’est plus, la doctrine demeure): aucun procès de Nuremberg pour les rouges. En occident, le nazisme est devenu archétype du mal. Tandis que le communisme bénéficie d’une bienveillance des médias qui cachent à peine leurs préférences (sincères ou pas…intéressées ou non…). De même sont traitées les racailles musulmanes, ces « laissés pour compte » qui manifestent au quotidien leur haine viscérale à notre encontre pour, au final, susciter des marches impeccablement blanches et muettes, des larmes de crocodiles en public puis faire chauffer à blanc la corne d’abondance d’un état nourricier dont les marmots qui titillent la corde sensible sont devenus les dictateurs.
Exemple, lorsque par la plus grande des « injustices sociales » quelques pauv’ petits néo-nazis discriminés règlent leur compte à coup de kalach et que l’un d’eux reste sur le carreau. Voici le symptôme d’un vrai génocide (comme celui vécu dans l’état sioniste par leurs coreligionnaires, n’est ce pas?). Imaginez tous ces pauv petiots au fond du trou finissant inexorablement proxénètes, réduits à voler, violer, hurler telle une sublime révolte « sales blancs!!! » tabasser en meutes (et en plus gratuitement!) car privés de l’outil linguistique pour se défendre. Pensez à tous ces jeunes émouvants qui auraient pu devenir nos futurs Mozart, Pasteur ou Einstein. Quel gachis!
Idem le progressisme, wokisme et cie dont on peut se demander si l’objectif en arrière plan n’est pas d’abattre nos ultimes lignes de défense (religion/cellule familiale…).
Comment combattre sans motivation? D’aucuns préfèrent la soumission, dans un premier temps confortable solution, à un affrontement qui fera perdre des plumes au risque d’un crash fatal.
Trump a ce talent qui nous donne envie de le suivre, de le défendre. Il inspire l’admiration parce qu’il a ce qui manque au plus grand nombre d’entre nous: le courage!
On a envie de le suivre comme quelqu’un qui vous aime, vous donne de l’espoir et dont on devine qu’il ira jusqu’au don de soi, quoi qu’il lui en coûte.
Chut ! Il ne faut surtout pas leur expliquer qu’ils se plantent, au contraire il faut bien les laisser s’enfoncer dans leurs erreurs.
Que Dieu fasse que Donald John Trump revienne au pouvoir !
Avec les augmentations des prix de beaucoup de choses ; et les dépenses folles de ce gouvernement ; et l’ immigration voulue ,l’abandon de ses citoyens en Afghanistan tout cela pour détruire les finances et le reste des Etats-Unis
les réalistes se doutent bien que la fraude continuera !