Les Juifs ne pratiquent aucune chasse : ils ne peuvent consommer de viande que de bêtes abattues rituellement, c’est à dire sans souffrance.
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Contrairement à une désinformation courante (et malveillante), les règles de l’abattage rituel juif, la Chehita, évitent toute souffrance à l’animal destiné à la boucherie, car une incision très précise de la carotide, avec une lame très affutée, incision qui ne procure aucune douleur, provoque un saignement abondant, indolore, qui mène à une perte totale et irréversible de conscience. L’animal est donc abattu sans douleur.
Par contre, lorsque les animaux sont assommés par une frappe brutale, ils en ressentent une douleur massive : de plus, cet assommement n’est pas irréversible et il arrive souvent que des bêtes se réveillent alors qu’on est en train de les découper, ce qui est proprement atroce.
Le Talmud est une école de vie, ou l’on apprend à éviter d’infliger toute souffrance ou offense, que ce soit à des êtres humains ou même à des animaux, ce qui est le fondement de toute croissance spirituelle et sociétale.
La Chehita est très différente de l’abattage rituel musulman (Halal) qui ne vise pas, lui, à éviter la souffrance animale.
Manifestation virtuelle pour l’abolition de toutes les chasses traditionnelles :
© Jean-Loup Mordekhaï Msika pour Dreuz.info
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La CHEHITA ou l’abattage d’animaux sans douleur : je ne connaissais pas , merci pour l’information .
eh bien, moi non plus ! alors est-ce cela qu’on appelle casher ? Pardonnez mon ignorance mais j’aimerais beaucoup que la question soit traitée définitivement
La viande cachère doit être procurée par un abattage sans souffrance animale. Certains animaux aussi ne peuvent absolument pas être consommés.
Toute alimentation végétarienne (sans viande) est cachère, y compris avec laitages, oeufs, poisson, etc…
Or, l’alimentation végétarienne se généralise, pour des raisons diététiques, environnementales, etc…
attention aux poissons , ils ne sont pas tous cacher
Les homards, les huitres, les crevettes, les fruits de mer en général ne sont pas casher non plus. J’ai un copain qui mange casher “sauf le homard” 😂
Pas tout à fait. La nourriture casher est une nourriture considérée comme saine.
Saine selon les connaissances et les techniques d’il y a 3.000 ans.
Par exemple, il n’y avait pas de réfrigérateur, donc certaines nourritures se gâtaient très vite, par exemple, les fruits de mer.
Pour le porc c’était autre chose, il se nourrissait de détritus donc sa viande ne pouvait pas être saine.
C’est un peu (beaucoup ?) plus compliqué que ça mais ce résumé largement incomplet peut vous éclairer.
Concernant la manière de tuer un animal, c’est un tout autre problème.
Si un animal souffre, il secrète un produit nocif qui le rend impropre à la consommation, sa viande n’est donc plus saine (renvoi à mon explication de la première ligne).
C’est pour ça qu’il est mensonger de dire qu’un animal tué selon le rite juif souffre.
Si c’était le cas un juif ne pourrait pas le manger.
D’autre part, la viande ne doit plus avoir la moindre goutte de sang, c’est pourquoi elle doit être plongée dans du sel pour la purger de son sang.
C’est pourquoi un musulman peut acheter sa viande chez un boucher casher et un juif ne peut pas acheter sa viande chez un boucher hallal.
Merci beaucoup, ce n’est pas pour autant que je vais renoncer à mon dégoût de la viande rouge en priorité (ça date de l’enfance qu’on m’obligeait à en avaler”, la blanche passe tout juste dès lors qu’elle est archi cuite. J’ai l’impression tout de même qu’un animal souffre quel que soit le rite selon lequel il est mis à mort : j’ai vu et entendu des animaux qui,, dans un abattoir, avançaient à la queue leu leu dans le “couloir de la mort” : je suis persuadée qu’ils souffraient moralement et donc physiquement car ils savaient ce qui allait se passer et secrétaient ce produit nocif rendant sa viande impropre à la consommation.
Interprétation hygiéniste et il me semble erronée de la cachroute.
Pourquoi alors, sur une même carcasse une partie est consommable, et l’autre, située quelques centimètres plus loin ne l’est pas ?
La viande doit non seulement être vidée de son sang lors de l’abattage de l’animal, mais également être dépourvue de sang résiduel. Pour cela, la viande de l’animal est conservée dans du sel. De plus, après avoir coupé la carcasse, toutes les fibres nerveuses sont retirées de la viande. Après un traitement complet, une telle viande est appelée casher et une telle viande est assez chère.
Peut-être aurait-il dû écrire, sans souffrance, afin de leur infliger une mort certaine et rapide, contrairement au coup de massue frontal
“L’étourdissement” préalable (en fait un fracassage du crâne de l’animal, suivi de l’intrusion d’une épaisse tige dans son cerveau au moyen d’un marteau pneumatique qui stoppe instantanément ses capacités motrices, mais ne stoppe pas forcément ses capacités sensitives et cognitives) que l’UE de Bruxelles a tenté d’imposer partout est une innommable atrocité infligée à l’animal.
désolée mais j’ai vu des reportages faits par des associations de protection des animaux qui montraient, hélas, que les animaux souffraient aussi, ces animaux étaient suspendus par une patte et cela ne “semblait pas être du tout sans douleur”: Donc pour moi, c’est pratiquement identique au halal !
Vous n’avez pas vu DES reportages, vous avez vu les multiples déclinaisons d’UN reportage, fait dans un abattoir américain. Mais si vous étiez juste, vous diriez également que ledit reportage a fait scandale en premier dans la communauté juive et que ledit abattoir a perdu sa licence “casher” le temps qu’il prouve être revenu à des pratiques normales.
La shehita, c’est ça : https://www.dreuz.info/wp-content/uploads/2021/09/Abattage-rituel-Juif.pdf
Lorsqu’on se coupe accidentellement avec un bistouri, on ne s’en rend compte qu’en voyant le sang.
Le rabbin utilise donc des instruments très bien aiguisés.
Il n’a droit qu’à un seul passage qui doit dans un même temps trancher tous les vaisseaux du cou, la lame doit donc être longue (près de 90cm pour un bovin).
La perte de connaissance est certainement instantanée,
( en médecine humaine, il existe des malaises dits “à l’emporte-pièce” qui surviennent lors de troubles du rythme cardiaque : le patient perd conscience brutalement, pour se réveiller quelques instants plus tard, sans comprendre ce qu’il s’est passé: son cerveau a cessé pendant quelques secondes d’être approvisionné en oxygène.
Pour l’animal abattu, la mort survient alors qu’il est inconscient.
A titre de comparaison, quelqu’un qui a vécu “à la ferme, m’a raconté comment il y a vu tuer les porcs :
L’animal était suspendu (au plafond, comme le dit la chanson) par les pattes arrières. Il fallait pour cette opération quatres costauds, car l’animal n’était pas d’accord.
Une fois suspendu, le boucher lui entaillait les veines du cou, surtout pas les atères, une mort rapide n’étant pas recherchée.
Le sang était précieusement recueuilli dans une bassine, pour être consommé à part.
La mort survenait par hémorragie, quand la plus grande partie du sang était dans la bassine.
“La bête hurlait pendant un bon quart d’heure”
Ahahaha ! Avez-vous vécu dans la campagne Française ?? Quels salopards nos paysans !! Sincèrement !!
Contrairement à ce que beaucoup pensent, la chasse, bien pratiquée peut permettre de tuer un animal sans douleur.
Pour cela le chasseur doit être bien entrainé et doit tirer l’animal de chasse dans de bonnes conditions.
Ainsi, le dernier chevreuil que j’ai tiré, au saut de l’allée, est mort quasi instantanément parce que tiré avec du plomb numéro 2 à une distance d’environ 8 mètres.
Le dernier sanglier que j’ai tiré, à la sortie du bois, est mort instantanément d’une balle Brenneke, tirée au défaut de l’épaule. Distance de tir, environ 5 mètres.
Pour ces deux animaux, j’ai utilisé un fusil de chasse à canons lisses.
Les chasseurs qui disposent d’une carabine rayée peuvent se permettre des tirs à plus longue distance, mais là encore, en respectant les distances de tir préconisées et en s’entrainant régulièrement afin d’être précis.
Malheureusement, certains chasseurs tirent à des distances beaucoup trop grandes et blessent les animaux qui sont parfois retrouvés morts quelques jours plus tard. C’est inexcusable.
J ‘ apprend quelque chose,je ne savais pas qu ‘ il y avait une telle différence. On m ” a toujours dit que l ‘ abattage halal et la chechita étaient semblables.
L’abattage Cacher (= Che’hita) ne peut être réalisé que par des personnes spécialement formées pendant de longs mois : non seulement à la technique, mais également au repérage des bêtes malades qui seront écartées.
Apprendre à aiguiser le couteau (qui sont fait dans des aciers spéciaux) prend à lui seul plusieurs mois, afin que le tranchant soit parfait.
Ce que dit cet article est bien.
Dommage qu’il conclut à “l’abolition de toutes les chasses”.
Cela, c’est du totalitarisme.
Hélas, le foie gras est permis par les autorités rabbiniques, ce qui est en totale contradiction avec le commandement de la Torah de ne pas faire souffrir une créature (tsa’ar ba’alei ‘hayim).
Les oies et canards sont gavés dans des conditions par nature répugnantes – première souffrance – et d’autre part amener le foie d’un animal à un état de stéatose (excès de graisses dans le foie), donc de santé dégradée, est à mes yeux une seconde souffrance infligée.
C’est d’autant plus triste que le foie gras est un luxe dont on peut largement se passer.
Enfin, réalisés en masse avec une odeur de sang omniprésente, je pense que les conditions d’abattage cachère des ovins et bovins pourraient être grandement améliorées. Certainement, les animaux voient, entendent ou “ressentent” ce qui est en train de se passer, et cela aussi est une souffrance.
On sait engraisser les canards et les oies depuis la Grèce antique et l’époque romaine, période où on avait déjà observé que les canards se gavaient afin d’avoir suffisamment de graisse pour passer l’hiver, et ce met était très fin et savoureux.
Un canard bien engraissé, retrouve après une période de jeûne un foie normal, qui n’a aucune séquelle !
Vos arguments ne tiennent pas :
1) Rien à voir entre un canard qui se nourrit davantage (et non “se gave”) avant l’hiver – mais avec modération pour rester en mesure de voler, et un canard qu’on gave jusqu’à l’écoeurement. Allez consulter quelques vidéos sur le gavage pour vous en convaincre, c’est éprouvant, en particulier de voir ces pauvres bêtes tenter désespérément d’échapper aux mains du gaveur !
2) Allons, vous en connaissez beaucoup, des oies ou canards qu’on gave pour mieux les faire jeûner après ? Bien que la stéatose soit une pathologie réversible du foie, tous ces volatiles sont amenés à la limite de la cirrhose dans une grande souffrance, puis abattus !
Ca n’est pas une vie, et ils n’auront connu qu’une existence de souffrance, pour un plaisir du palais parfaitement superflu.
Tout à fait d’accord!
Le foie gras n’est pas cacher!