La déclaration Balfour et le mandat de Palestine
Le lobbying de l’immigrant juif russe Chaim Weizmann et la crainte que les Juifs américains n’encouragent les États-Unis à soutenir l’Allemagne dans la guerre contre la Russie communiste ont abouti à la Déclaration Balfour de 1917 du gouvernement britannique.
Elle approuvait la création d’une patrie juive en Palestine, comme suit :
Le gouvernement de Sa Majesté voit d’un œil favorable l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et fera tout son possible pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte aux droits civils et religieux des communautés non juives existant en Palestine, ou aux droits et au statut politique dont jouissent les Juifs dans tout autre pays.
Au cours de la Conférence de paix de Paris de 1919, une Commission interalliée est envoyée en région de « Palestine » pour évaluer les opinions de la population locale ; le rapport résume les arguments reçus des pétitionnaires pour et contre le sionisme.
En 1922, la Société des Nations adopte la déclaration et accorde à la Grande-Bretagne le mandat de Palestine :
Le mandat garantira l’établissement du foyer national juif … et le développement d’institutions autonomes, et sauvegardera également les droits civils et religieux de tous les habitants de la Palestine, indépendamment de leur race et de leur religion.
Le rôle de Weizmann dans l’obtention de la Déclaration Balfour a conduit à son élection à la tête du mouvement sioniste. Il est resté dans ce rôle jusqu’en 1948, puis a été élu premier président d’Israël après l’indépendance de la nation.
Un certain nombre de représentants de haut niveau de la communauté internationale des femmes juives ont participé au premier congrès mondial des femmes juives, qui s’est tenu à Vienne, en Autriche, en mai 1923. L’une des principales résolutions était la suivante : « Il apparaît… comme le devoir de tous les Juifs de coopérer à la reconstruction socio-économique de la Palestine et d’aider à l’installation des Juifs dans ce pays ».
La migration juive et l’achat généralisé de terres par les Juifs à des propriétaires féodaux ont contribué à la privation de terres chez les occupants Arabes palestiniens, pour la plupart des metayers ou des Bédouins itinérant, sans aucune connection religieuse, historique ni émotionnelle avec une terre sur laquelle ils étaient illégalement installés, au regard du droit international, alimentant ainsi l’agitation. Des émeutes ont éclaté en Palestine en 1920, 1921 et 1929, au cours desquelles des Juifs ont été massacrés et quelques Arabes tués ne représaille. La Grande-Bretagne était responsable du mandat palestinien et, après la déclaration Balfour, elle a soutenu l’immigration juive en principe, mais pas dans les faits. En réponse aux événements violents mentionnés ci-dessus, la Commission Peel publie un rapport proposant de nouvelles dispositions et restrictions de l’immigration juive sur sa terre d’origine.
En 1927, le Juif ukrainien Yitzhak Lamdan écrit un poème épique intitulé Masada pour refléter la situation critique des Juifs, appelant à un « dernier combat ». En 1941, Theodore Newman Kaufman publie Germany Must Perish ! qui soutient que seul le démembrement de l’Allemagne conduira à la paix mondiale. Des articles anti-allemands, tels que le Daily Express appelant à un « boycott antinazi », en réponse à l’antisémitisme allemand, ont également été publiés pendant l’ascension d’Adolf Hitler. Cela a donné naissance à la théorie de la conspiration selon laquelle les Juifs auraient déclenché l’holocauste, ce qui est l’une des pires infamies de l’histoire.
L’ascension d’Hitler
En 1933, Hitler arrive au pouvoir en Allemagne et, en 1935, les lois de Nuremberg font des Juifs allemands (et plus tard des Juifs autrichiens et tchèques) des réfugiés apatrides. Des règles similaires sont appliquées par les nombreux alliés des nazis en Europe. La croissance subséquente de la migration juive et l’impact de la propagande nazie visant le monde arabe, notamment par l’intermédiaire du premier nationaliste « Palestinien », le criminel nazi Hadj Amine Al Husseini, ont conduit à la révolte arabe de 1936-1939 en Palestine.
La Grande-Bretagne crée la Commission Peel pour enquêter sur la situation. La commission préconise une solution à deux États et un transfert obligatoire des populations.

La Grande-Bretagne rejette cette solution et met plutôt en œuvre le Livre blanc de 1939. Celui-ci prévoyait de mettre fin à l’immigration juive d’ici 1944 et de ne pas autoriser plus de 75 000 migrants juifs supplémentaires, tandis que les envahisseurs (émigrants) musulmans n’étaient pas limités en nombre. Cette situation conduit à l’arrivée de centaines de milliers d’arabes, venus profiter de la modernisation de la région par le sionisme et des opportunités d’emplois que cela représentait. Une grande partie de ces immigrants constitue le « peuple palestinien » inventé en 1964 par le président Egyptien Nasser, le terroriste Yasser Arafat et le KGB.
A la fin de la période de cinq ans en 1944, seuls 51 000 des 75 000 certificats d’immigration prévus avaient été utilisés, et les Britanniques ont proposé de permettre la poursuite de l’immigration au-delà de la date butoir de 1944, à raison de 1500 par mois, jusqu’à ce que le quota restant soit rempli.
Les Britanniques ont maintenu les politiques du Livre blanc de 1939 jusqu’à la fin du mandat, participant ainsi indirectement à la Shoah, car des millions de vies juives auraient pu être sauvées, si les Juifs avaient eu le droit de retourner massivement sur leur terre d’origine, occupée cette fois par les Britanniques, complices des envahisseurs arabes pour des raisons d’ordre politique.
La croissance de la communauté juive en Eretz Israël et la dévastation de la vie juive européenne ont mis de côté l’Organisation sioniste mondiale. L’Agence juive pour la Palestine, sous la direction de David Ben-Gourion, dicte de plus en plus sa politique avec le soutien des sionistes américains qui fournissent des fonds et exercent une influence à Washington, D.C., notamment par le biais du très efficace American Palestine Committee.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que les horreurs de l’Holocauste sont connues, les dirigeants sionistes formulent le Plan d’un million, une réduction par rapport à l’objectif précédent de Ben-Gurion de deux millions d’immigrants. Après la fin de la guerre, une vague massive de Juifs apatrides, principalement des survivants de l’Holocauste, a commencé à migrer vers la « Palestine » dans de petits bateaux, au mépris des règles britanniques. L’Holocauste a uni une grande partie du reste de la communauté juive mondiale derrière le projet sioniste. Les Britanniques ont emprisonné ces Juifs à Chypre ou les ont envoyés dans les zones d’occupation alliées contrôlées par les Britanniques en Allemagne.
Les Britanniques, après avoir fait face à la révolte arabe de 1936-1939 contre le retour des Juifs sur leur terre d’origine, étaient maintenant confrontés à l’opposition des groupes sionistes pour des restrictions ultérieures.
En janvier 1946, l’Anglo-American Committee of Inquiry était un comité conjoint britannique et américain créé pour examiner les conditions politiques, économiques et sociales en « Palestine », pour consulter des représentants des Arabes et des Juifs, et pour faire d’autres recommandations « si nécessaire » pour un traitement provisoire de ces problèmes ainsi que pour leur solution éventuelle. Après l’échec de la Conférence de Londres sur la Palestine de 1946-47, au cours de laquelle les États-Unis ont refusé de soutenir les Britanniques, ce qui a entraîné le rejet par toutes les parties du plan Morrison-Grady et du plan Bevin, les Britanniques ont décidé de soumettre la question à l’ONU le 14 février 1947
Avec l’invasion de l’URSS par l’Allemagne en 1941, Staline revient sur son opposition de longue date au sionisme et tente de mobiliser le soutien juif mondial pour l’effort de guerre soviétique. Un comité juif antifasciste est créé à Moscou. Plusieurs milliers de réfugiés juifs ont fui les nazis et sont entrés en Union soviétique pendant la guerre, où ils ont redynamisé les activités religieuses juives et ouvert de nouvelles synagogues. En mai 1947, le vice-ministre soviétique des affaires étrangères Andrei Gromyko a déclaré aux Nations unies que l’URSS soutenait la partition de la Palestine en un État juif et un État arabe. L’URSS a officiellement voté en ce sens aux Nations unies en novembre 1947. Cependant, une fois Israël établi, Staline a changé de position, a favorisé les Arabes, a arrêté les dirigeants du Comité antifasciste juif et a lancé des attaques contre les Juifs en URSS.
Tentative arabe d’exterminer les juifs de « Palestine »

En 1947, le Comité spécial des Nations Unies sur la Palestine a recommandé que la Palestine occidentale soit divisée en un État juif, un État arabe et un territoire contrôlé par les Nations Unies, Corpus separatum, autour de Jérusalem. Ce plan de partage a été adopté le 29 novembre 1947, avec la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations Unies, par 33 voix pour, 13 contre et 10 abstentions.
Le vote a entraîné des célébrations dans les communautés juives et des protestations dans les communautés d’envahisseurs arabes. La violence dans tout le pays, qui était auparavant une insurrection juive contre les Britanniques, avec quelques combats sporadiques entre Juifs et Arabes, a dégénéré en guerre Israelo-Arabe de 1947-1949.
Le conflit a conduit à l’exode d’environ 600 000 Arabes palestiniens, connu en arabe sous le nom d’al-Nakba (« la Catastrophe »). Plus d’un quart d’entre eux avaient déjà fui avant la déclaration de l’État d’Israël. Par la suite, compte tenu de leur traitrise et de leur volonté de se joindre aux forces arabes extérieures dans le but d’exterminer la population juive et de voler les terres israéliennes, une série de lois adoptées par le premier gouvernement israélien a empêché les descendants d’envahisseurs arabes de retourner dans leurs foyers ou de réclamer leurs biens. Dans le même temps, près d’un million de Juifs vivant en terre d’Islam ont été spoliés et chassés, perdant sans doute cent fois plus que les quelques biens prétendument perdus par les Arabes.
Alors que l’universitaire britannique Efraim Karsh affirme que la plupart des Arabes qui ont fui sont partis de leur propre chef ou ont été poussés à partir par leurs compatriotes, malgré les tentatives israéliennes de les convaincre de rester, quelques historiens rejettent cette affirmation malgré de nombreuses preuves.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.
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Suite à venir : 4ème partie – Les différents types de sionisme
Lien vers la 2ème partie : Marx-herzl-rothschild-et-les-autres-papa-cest-quoi-le-sionisme
Dieu n’intervient pas dans le destin des hommes: S’il intervenait, ce serait un sacré sadique, étant donné les abominations qui guètent l’humanité et le monde animalier; //
Le sadisme de la corruption mondiale des dirigeants (on peu toujours essayer de trouver des exceptions) va conduire le monde où !?
Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l’abîme et une grande chaîne dans sa main.
Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan
Merci pour tout ce récapitulatif épique à garder sous le coude quand nous sommes confrontés au manque de connaissance du public français. Je me souviens d’une connaissance qui se demandait pourquoi diable les Juifs avaient tenu à s’installer justement là. « C’est quoi, un Juif ? » ai-je demandé quand je suis revenue de ma surprise. Un « ange est passé » dans la conversation. Il a fallu expliquer qu’ils viennent de Judée. Un abîme avec votre érudition.
Toujours excellent, Monsieur Rehov. J’ai hâte de lire votre 4ème partie. Sur la dernière photo, je ne peux m’empêcher de penser que le grand oncle de Yasser Arafat ressemble très fort à l’humoriste français Elie Seimoun. De plus, j’ai regardé l’une de vos vidéos où vous répondiez, comme disait Gerra, aux « questions à la con – questions Ardicon » chez Thierry Ardisson. Vous déclarez que prétendre que le terrorisme islamiste n’a rien à voir avec l’islam, c’est comme prétendre que les Croisades et l’Inquisition n’ont rien à voir avec le christianisme. Les Croisades n’ont certainement rien à voir avec l’Inquisition, ça c’est sûr. Quant à l’Inquisition, celle-ci n’a rien à voir avec le Message et les Enseignements du Christ relayés par les Evangiles dont elles sont les témoins. Vous faites du christianisme une caricature et établissez des parallèles avec l’islam qui sont injustifiés et infondés. Alors, si j’admire votre travail concernant Israël, Jérusalem, la judéité et le sionisme, je trouve vos connaissances religieuses très fragmentaires et très lacunaires en matière de christianisme. C’est carrément indigne de votre part. Il fallait vous le dire aussi. Maintenant que c’est fait, je suis très heureux et me sens privilégié de connaître votre travail aussi méticuleux que courageux. C’est même un honneur.
Bonjour John: Il faut comprendre et remettre les choses dans leur contexte: Il faut également savoir que les émissions prétendument « en direct » sont enregistrées et montées:
Je n’ai aucune antipathie, bien au contraire, pour le christianisme actuel et je me réfère toujours au judéo-christianisme quand j’évoque la France ou les USA: En revanche, face à un public pas forcément très informé, il faut parfois donner des exemples simples que tout le monde peut comprendre et qui ne sont pas forcément une attaque, même s’ils vous dérangent personnellement:
Oui, l’Inquisition était chrétienne, ainsi que les Croisades, ( et j’ajouterai le Ghetto italien et les pogroms russes et polonais ) même si ces dernières ont eu un but défensif car la route empruntée par les pèlerins qui se rendaient à Jérusalem étaient attaqués et ces derniers dépouillés par les envahisseurs musulmans de la région:
Vous confondez le message de Jésus et des Évangiles, qui sont tout à fait recommandables, et ce qu’a pu en faire l’église à certaines époques: Vous avez raison de dire que les terrorises musulmans ne font qu’appliquer le Coran – pour l’essentiel un plagiat de la bible plus une bonne dose de haine et d’appel à la Djihad – tandis que les massacres commis par les Chrétiens, notamment contre les Juifs, pendant 2000 ans, n’avaient aucune justification dans leurs textes fondateurs:
Ils ont pourtant existé, et les massacreurs se revendiquaient du christianisme: De ce fait, mon analogie n’est pas forcément fausse:
Si vous parlez anglais, vous apprécierez sans doute l’un des documentaires que j’ai réalisés pour soutenir les Chrétiens du Proche Orient et dont voici le lien: Par le passé, j’en ai réalisé 2 autres « Terre Sainte Chrétiens en Péril » et « D’abord vient Samedi, ensuite vient Dimanche »:
THE SUNDAY PEOPLE https://vimeo.com/352980874
Je connais d’autant mieux le christianisme que ma première épouse était catholique et que son père avait été élevé chez les Jésuites: Un homme exceptionnel, un héros de guerre, presque un Saint tant il était généreux et tolérant et dont je pleure la disparition bien que je sois divorcé depuis 23 ans!
Merci Pierre pour votre réponse. J’ai très bien compris surtout que votre exemple très simplement simplifié par une simple simplification va faire que ces gens mal informés le seront encore plus. Ils mettront islam et christianisme sur un même pied d’égalité genre « tous les mêmes » alors que le coran est très explicite envers tout ce qui n’est pas islamique. Mais imaginez un instant que l’on tue en votre nom, vous qui êtes, je le crois sincèrement, un homme de paix, de bien et de tolérance. Et c’est exactement ça car les Evangiles prêchent en réalité tout le contraire du coran. Et se revendiquer de l’Eglise et de ses décisions ou de ses actes n’est pas le christianisme, càd. le Message et les Enseignements du Christ. Alors vous me dites que vous connaissez le christianisme par votre ex-beau-père dont je ne conteste pas la droiture dont vous parlez avec fierté. Mais c’est comme dire que je connais très bien l’Afrique parce que mon épouse est africaine ou Israël parce que mon épouse est israélienne. C’est quand même très-très lacunaire tout ça.
Cher John: Très lacunaire en effet, mais je n’ai jamais prétendu être un expert en théologie, ni en quoi que ce soit d’ailleurs: Vous avez raison de dire que la simplification extrême n’est pas la meilleure formulation:
En revanche, vous ne faites que vous référer aux évangiles et à la parole de Jésus, ce qui est tout en votre honneur, mais vous ne pouvez pas pour autant effacer d’un coup d’éponge les abominations commises par l’Eglise:
Ce faisant, vous tombez dans l’autre extrême qui consiste, pour certains, à dire : pas d’amalgame: Certes, l’Eglise n’est pas le christianisme: Mais alors Staline et Mao n’étaient pas le communisme: Daesh n’est pas l’Islam; etc:.. On n’en finit pas:
La différence fondamentale entre le christianisme et l’Islam est que le premier prône l’amour, la paix et la tolérance, tandis que le second prêche la Djihad, et considère massacrer son prochain comme une façon d’honorer Dieu: Je vous suis complètement sur ce point: Mais on ne peut pas totalement séparer les dogmes de leur application quand il s’agit de religion:
Catholiques et Protestants se sont massacrés entre eux presque autant qu’ils ont massacré les Juifs: Pour vous, le Christianisme est la religion que vous pratiquez en vous référant aux textes ( de même que mon ex beau-père ) et ces textes, que j’ai lus, sont magnifiques (même si je me suis davantage fait plaisir avec une compilation des apocryphes publiée par la Pléiade ) Mais l’Histoire reste l’Histoire et il faut l’accepter:
Dès lors qu’une religion est prosélyte, elle ne peut faire l’économie des massacres commis en son nom:
Papa c’est quoi le sionisme ?
Monsieur Rehov
Etes-vous sioniste ?
Evidemment je suis sioniste: De plus, je suis israélien:
Quelle question ?!
Merci de votre courte réponse.
Si je dois répondre de manière «très courte» à la question :
C’est quoi le sionisme ? (papa c’est quoi le sionisme?)
Que me proposez-vous ?
D’avance merci
Le sionisme n’est ni plus ni moins que l’application politique de la volonté de retour de la Nation Juive sur sa terre d’origine pour y recréer un pays indépendant à majorité juive: C’est fait: Le sionisme n’a donc plus de vraie raison d’être puisqu’il est parvenu à son but: Mais dès lors qu’Israël n’est pas encore reconnue par l’intégralité des Nations, il y a encore du travail: Le sionisme cessera d’exister lorsque les Musulmans et les Gauchistes mettront fin à leurs attaques permanentes contre Israël:
Ce n’est pas demain la veille:
Ok mais on va dire que cette détermination politique a été appuyée par le côté sioniste de Dieu.
L’avenir d’Israël :
Jérémie 31
Messieurs, votre discussion est aussi passionnante que l’article.
Je me permets d’ajouter que ce n’est pas qu’une question de religion. Nous autres européens avons certainement tous des ancêtres qui ont fait du mal aux juifs, que ces ancêtres soit catholiques, protestants ou athées. Je ne l’excuse pas mais je l’assume, c’est de l’Histoire et on ne peut rien y changer. Ce qui compte c’est de se souvenir.
Personnellement, j’ai, à priori, les 2 dans mon arbre généalogique, des oppresseurs et des opprimés. Une branche cachée qu’on n’a jamais pu remonter semble démarrer avec un juif arrivé d’Europe centrale, mais tout semble avoir été fait pour que cette branche reste cachée. Les anciens de la famille qui auraient pu nous renseigner (décédés depuis) n’ont jamais accepté d’aborder le sujet qui était tabou pour eux, ce qui tendrait à confirmer la chose. L’antisémitisme est tellement ancré en Europe qu’il était honteux pour ces générations d’avoir une ascendance juive.
Bon, j’arrête de vous raconter ma vie et je m’en vais lire la 4eme partie.
jamais les juifs n’ont oublié jérusalem, ils y sont revenus pour toujours, les arabes croient leur r^ves