Publié par Guy Millière le 23 mars 2024

Initialement publié le 28 septembre 2021 @ 09:22

Rien ne sera comme avant, a dit Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos, en Janvier 2020. Et vingt mois plus tard, l’affirmation semble se concrétiser. 

La plupart des pays occidentaux ont connu une phase d’enfermement et de contrôle des déplacements des populations quasiment sans précédent, et tétanisées par la peur de la mort, les populations ont accepté. Il y a eu dans plusieurs pays occidentaux, dont la France, des phases de couvre-feu, également acceptées par les populations : la peur de la mort, toujours.

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Désormais, au nom de la santé, est venu le temps du “passeport sanitaire” obligatoire dans plusieurs pays, dont la France, pour se rendre quasiment partout, et, dans de nombreux cas, pour garder son emploi et pouvoir encore gagner sa vie, et le “passeport sanitaire” doit être montré dans les pays concernés, pour se rendre au café, au restaurant, au cinéma et dans de multiples autres lieux, et les contrôles de police sont fréquents. Le “passeport sanitaire” s’obtient en se faisant vacciner, mais dès lors que les vaccins ne fonctionnent pas vraiment comme des vaccins, et n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contagieux, le port du masque est, dans nombre de pays occidentaux, devenu obligatoire dans tous les espaces intérieurs, sauf à son domicile.

Ne pas être vacciné dans les pays où le “passeport sanitaire” existe est être un paria, à qui il reste la possibilité de marcher dans la rue, de se déplacer en voiture ou pour le moment, par les transports en commun, mais pas celle de franchir les frontières, sauf en passant des tests, et encore : il est impossible de se rendre dans de nombreux pays, sauf “motif urgent et impérieux”.

Jamais depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il n’y a eu autant de restrictions à la liberté de voyager. Les formalités qui me seraient imposées si je voulais me rendre en France font que j’y ai renoncé pour le moment, et je suis loin d’être le seul à avoir renoncé à voyager. Ce n’est pas grave pour moi, car j’ai peu de choses en France et les États-Unis sont un vaste pays au sein duquel je peux me déplacer librement, mais je sais que pour d’autres gens, cela pose problème et implique des complications bureaucratiques.

Il faut ajouter que les économies de nombre de pays occidentaux ont elles-mêmes été détériorées et transformées : la phase d’enfermement a été fatale à de nombreux petits commerces et à des centaines de petites entreprises, et très profitable pour de très grosses entreprises telles celles pratiquant le commerce en ligne, des personnes se sont retrouvées sans emploi, et le nombre des chômeurs et des pauvres a nettement augmenté.

Des subterfuges très coûteux ont été utilisés par divers gouvernements occidentaux pour rémunérer les personnes enfermées et pour aider les entreprises condamnées à l’inactivité, et des gouvernements ont emprunté massivement et accru considérablement leur dette, ce qui ne sera pas sans conséquences. Les discours parlant de retour à la croissance dans nombre de pays, dont la France, sont des discours mensongers : le redémarrage d’une économie après une dépression donne une illusion de croissance. Il s’agit seulement d’une remise en marche qui n’efface aucunement les détériorations. 

Le fonctionnement politique lui-même a été détérioré dans plusieurs pays, parfois gravement, et la démocratie a été atteinte. En France et dans d’autres pays, un “état d’urgence sanitaire” a suspendu le fonctionnement des institutions et donné les pleins pouvoirs au Président. Aux États-Unis, le prétexte sanitaire a permis un recours massif au vote par correspondance, qui a conduit à des fraudes elles-mêmes massives sans lesquelles Donald Trump serait encore à la Maison-Blanche et la présidence Biden est la présidence la plus destructrice de l’histoire des États-Unis. Elle vise effectivement à ce que rien ne soit plus comme avant.

L’enclencheur de tout cela a été une pandémie déclenchée par la Chine, qui a, je dois le répéter, mené une opération de guerre biologique en cachant qu’une maladie née à Wuhan d’un virus  modifié sorti d’un laboratoire était contagieuse et en laissant partir des gens de Wuhan vers le reste du monde, ce tout en empêchant les gens de la province de Hubei, où se trouve Wuhan, de se rendre dans le reste du pays, et à la guerre biologique s’est ajoutée la guerre psychologique déclenchée par l’OMS, qui, en publiant des chiffres de létalité délirants au moment où la contagiosité de la maladie a été reconnue, a permis la peur de la mort. Quand les chiffres de létalité réels ont été publiés, la peur de la mort aurait dû s’estomper : mais les chiffres réels n’ont pas été publiés, et les chiffres réels ne sont pour l’essentiel, toujours pas affichés : les chiffres rendus publics continuent à mêler morts du coronavirus chinois et morts avec le coronavirus chinois, et des incitations à déclarer des morts avec le coronavirus chinois comme morts du coronavirus chinois ont été mises en place dans de nombreux pays. Des primes financières ont été accordées aux établissements de soin pour chaque mort du coronavirus chinois, si bien que des morts d’un accident de voiture testés positifs ont été déclarés comme morts du coronavirus chinois (et ce n’est là qu’un exemple parmi d’autres).

Quand il est apparu que des médicaments pouvaient soigner la maladie et la soignent effectivement (hydroxychloroquine, ivermectine), ces médicaments ont été diabolisés aux fins qu’il y ait plus de morts qu’il n’y en aurait eu sans cela (la mort entretient la peur de la mort), et aux fins que la seule issue soit les vaccins, qui mènent aux “passeports sanitaires”. Ces médicaments restent diabolisés dans tout le monde occidental.

Ce qui se passe contient de multiples dimensions troubles et inquiétantes : je ne suis pas seul à penser que le but est la mise en place une nomenklatura mondiale et d’un totalitarisme soft planétaire recomposant la politique, la géopolitique, l’économie et la vie quotidienne.

La prochaine étape sera sans doute la mise en place de contrôles supplémentaires au nom du “réchauffement global”, de la “pollution”, ou d’une autre pandémie.

La vigilance, l’esprit critique et la lucidité devraient rester de mise.  Les exercer est, bien sûr, qualifié de “complotisme”.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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