
Il y a quelques années, Rob Hoogland, un facteur de Vancouver, a découvert avec horreur que le prénom de sa fille de 12 ans avait été remplacé par un prénom masculin dans les documents scolaires.
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Sa fille (il a aussi un fils aîné) avait des problèmes à l’école et Hoogland et sa femme séparée (dont il a divorcé en 2015) ont décidé qu’il serait peut-être bon pour elle de voir un conseiller scolaire.
L’enfant a continué à voir des conseillers scolaires pendant plusieurs années, quand un jour elle a soudainement coupé ses cheveux très courts. À la fin de l’année scolaire, Mme Hoogland a constaté qu’elle figurait dans son annuaire sous un nom masculin. Il s’est avéré que l’école avait nourri son idéologie transgenre et qu’elle avait déjà commencé sa « transition sociale » vers une identité masculine sous la direction d’un psychologue, Wallace Wong, qui l’encourageait à « prendre de la testostérone ». À cette fin, Wong l’a orientée vers un endocrinologue de la Gender Clinic and Children’s Hospital de Vancouver.
Malgré les objections du père, qui soutient que sa fille est instable et souffre de dépression depuis la séparation de ses parents, la justice a estimé qu’à 13 ans, avec l’accord de sa mère, l’adolescente peut commencer un traitement hormonal.
Et la justice a jeté le père en prison
- En mars 2021, Robert Hoogland a été arrêté à la Cour suprême de la Colombie-Britannique à Vancouver pour s’être prononcé contre les injections de testostérone ordonnées par le tribunal pour sa fille.
- Hoogland s’est vu refuser sa demande de mise en liberté sous caution, et le juge Michael Tammen a rendu une décision très dure, et a jeté Hoogland en prison jusqu’à ce que son affaire soit jugée le 12 avril 2021 (1).
- Puis le 16 avril, c’est un juge hostile qui rejeta l’accord de plaidoyer de Rob Hoogland et condamna Rob à six mois de prison et 30 000 dollars d’amende !
- Après son incarcération, les amis et la famille de Rob ont contacté l’un des meilleurs jeunes avocats spécialisés dans les appels en matière pénale de Colombie-Britannique, l’avocat Vincent Larochelle, qui a pris l’affaire en main.
Larochelle a déposé avec succès un appel, en faisant valoir que ses droits avaient été clairement violés en vertu de la Charte des droits du Canada. - Le 30 avril, la Cour d’appel de la Colombie-Britannique acceptait que Rob soit libéré sous caution de 1 000 dollars jusqu’à son audience en appel, qui a été fixée au 1er novembre 2021 (2).
Plus ils militent pour le changement de sexe, plus de jeunes veulent changer de sexe
Il était autrefois entendu que la dysphorie de genre était extrêmement rare, qu’elle touchait généralement les garçons et qu’elle commençait presque toujours à se manifester lorsque l’enfant était extrêmement jeune.
Ces dernières années, cependant, tout a changé, merci aux médias qui protègent et encouragent la propagande LGBT selon laquelle il n’y a plus de sexe, aux écoles qui font du lavage de cerveau sur les plus jeunes, parce que malléables, et à tout ce beau monde progressiste qui donne à croire aux ados, lorsqu’ils traversent leur crise d’adolescence, que la cause de leur mal être est leur « genre »…
Les activistes ont encouragé dans de nombreux pays occidentaux l’épidémie de filles plus âgées qui prétendent soudainement se trouver dans le mauvais corps. Cette « dysphorie de genre à apparition rapide », comme l’affirme Abigail Shrier dans son livre, « Irreversible Damage : The Transgender Craze Seducing Our Daughters » (Dommages irréversibles : La folie transgenre qui séduit nos filles), est une mode enracinée dans un certain nombre de facteurs sociaux contemporains véhiculés sur les réseaux sociaux par des adultes maléfiques.
Une justice socialiste et partisane
« Je sais, mais ils m’ont dit de dire ça. »
Les avocats trans-activistes de la fillette ont affirmé qu’elle était un cas urgent parce qu’elle était suicidaire, et qu’elle avait déjà tenté de se suicider à cause de sa dysphorie de genre.
En fait, son endocrinologue a déclaré qu’elle ne présentait aucun signe suicidaire, ce dont le juge n’a pas tenu compte.
Hoogland avait connaissance d’une tentative de suicide de sa fille : elle avait ingéré « une bouteille de quelque chose », et lui et son ex-femme l’avaient emmenée d’urgence à l’hôpital, où elle avait dit aux médecins qu’elle avait fait cette tentative pour une affaire de cœur : elle avait été rejetée par son professeur de gymnastique.
Selon Hoogland, sa fille lui a dit : « Si tu ne me laisses pas prendre de la testostérone, je vais me tuer ». Quand il a répondu : « Non, tu sais que tu ne le feras pas », elle a dit : « Je sais, mais ils m’ont dit de dire ça. »
Au lieu de reconnaître que très peu de jeunes de 14 ans, voire aucun, sont en mesure de comprendre les graves implications d’une thérapie de changement de sexe, le juge, Gregory Bowden, a statué que la jeune fille était un « mineur mature » et que son consentement, en soi, était donc « suffisant pour que le traitement puisse avoir lieu. »
Et au lieu d’être guidé par la prudence – ce qui aurait été sage dans une affaire impliquant des mesures aussi radicales – Bowden a pleinement adhéré à la ligne trans-activiste selon laquelle tout retard supplémentaire dans le traitement de l’adolescente lui serait préjudiciable.
Il est également significatif que Bowden ait refusé à l’avocat de Hoogland un ajournement relativement routinier de 40 jours pour se préparer.
« Je ne peux pas regarder mon enfant en parfaite santé être détruit ! », s’est insurgé le père, qui a fini par briser la confidentialité imposée par le juge en livrant son histoire à la presse.
« Son ADN ne changera pas, malgré toutes ces expériences qu’ils lui font ! »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://thefederalist.com/2021/03/26/canadian-father-jailed-for-talking-about-court-ordered-transgendering-of-his-teenage-daughter/
- https://www.massresistance.org/docs/gen4/21b/Rob-Hoogland-freed-from-prison/index.html
Pourquoi cet article n’a t-il pas été mis dans la rubrique des dingos « Au secours, ils sont fous.. » ?
Parce que c’est tellement fou qu’on ne peut même pas y trouver un côté comique ?
J’ai beaucoup de colère contre tous ces adultes qui détruisent ces enfants, volontairement ou en ne bougeant pas.
Luc 17 : 1-2
Jésus dit à ses disciples : » Il est inévitable qu’il y ait des pièges, mais malheur à celui qui en est responsable !
Il vaudrait mieux pour lui qu’on attache à son cou une meule de moulin et qu’on le jette à la mer, plutôt qu’il ne fasse trébucher un seul de ces petits. »
Endoctriner les enfants, c’est le propre des idéologies totalitaires. Communistes, nazies, progressistes….
Ça commence par la volonté d’égalité sociale, puis ça glisse vers le désir d’abolir toutes les différences, façon Procuste. Le réel fantasme de ces totalitaires est de piloter une armée de clones. Si les gens ont une personnalité, un caractère, des opinions affirmées, c’est plus difficile d’imposer des idéologies.
Ca dépasse l’entendement mais cette horreur progresse aussi en France!
Une socialiste, toujours sénatrice svp, laurence rossignol avait fait la déclaration suivante: « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents etc……… » Ceci avait fait un tollé! Mais comme d’habitude elle l’a dit mais pas comme ça! On a rien compris etc………..Ceci date de 2014, prémices de la théorie du genre et autres sa..peries mis en avant par la sinistre de l’éducation nationale belkacem!
Voyez aujourd’hui, belkacem en avait rêvé, blanquer l’a fait en publiant une note à l’attention des directeurs d’écoles, « l’éducation transsexuelle ». Décidément le sexe de nos enfants devient une préoccupation gouvernementale et médicale avec des médecins qui sont des sorciers!
Quelques enfants ont sans doute des problèmes d’identité mais quant à en faire une presque généralité, donner des médicaments et pourquoi pas aussi les opérer!
Ca me révolte, on ne respecte pas les personnes âgées ou très âgées et aujourd’hui comme ça ne suffit pas, on s’attaque aux enfants.
Décidement, nos sociétés sont sur le déclin et ce n’est pas l’imposture climatique qui va nous faire disparaître.
Même moi je suis horrifiée par une telle histoire. J’imagine si j’avais une fille et que cela arrivait. Dans le sens femme vers homme pour moi c’est insupportable. Étant donné mon contexte personnel je suis obligée d’accepter que pour certaines personnes c’est comme cela, mais pas à 13 ans, et pas au moindre signe de dysphorie de genre. L’apparition d’une dysphorie de genre à un moment donné est à tord considérée comme une preuve qu’il y a transidentité, que c’est prénatal, etc. Mais pourquoi les dysphories de genre peuvent passer, pourquoi certaines personnes transgenres regrettent plus tard leur transition ? En faisant transitionner des enfants, on se dirige vers une énorme vague de regrets. Je crains aussi que les féministes causent beaucoup de dégâts en faisant croire aux filles que la vie en tant que femme, c’est horrible. J’aurais beaucoup de choses à dire sur le sujet, j’ai « vécu des deux côtés », même si mon expérience en tant que femme n’est pas strictement identique à ce que vivent les femmes biologiques.
C’est un défaut actuel de la médecine …. l’amplification, la pérennisation et même la création de traumatismes !
La Vie est une succession de traumatismes que nous sommes obligés d’encaisser, de surmonter …. pour tout simplement …. continuer à vivre !
( la naissance ( = fin du paradis maternel ) , le passage à l’âge adulte, la maladie, les agressions inhérentes la vie en société ( confrontations sociales, agressions, violences verbales ) mais aussi la vie naturelle confrontation aux prédateurs naturels, confrontations aux climats !
Aujourd’hui » soigner » … c’est vouloir absolument éviter ces traumatismes …. c’est considérer qu’ils ne sont pas naturels et inhérents à la Vie !
Un exemple … après la guerre 40-45 …. quasi 100% des femmes allemandes ont été violées par la soldatesque soviétique …. qu’arriva-t-il par la suite ?
La réponse : la résilience .. et. le peuple allemand a retroussé ses manches … pour reconstruire une nation !
Heureusement qu’il n’y avait PAS de psy pour amplifier les traumatismes !
Bon évidemment … si on supprime le fond de commerce des psy …. alors c’est pas juste !
C’est pas un endocrinologue qu’elle a vu, mais un endoctrinologue!
ce papa pourra dormir la conscience tranquille
les politiques et les juges ??? mais ont ils une conscience ?
C’est monstrueux, je plains ce pauvre père et surtout cette gamine:
là ! on atteint on a atteint les hautes sphères de l’absurde !!!! combien de ces personnes l’ont regretté ????quelques unes plusieurs même qui ce sont fait influencer et le regrettent !! les hormones ont fait leurs dégâts !!
Le Canada est un pays qui est grand, et la plupart des Québécois n’ont absolument aucune idée de ce qui peut se passer à l’autre bout du pays, plus exactement en Colombie-Britannique.
Je dois dire que ce que j’ai lu dans l’article m’a pris par surprise. Je ne savais pas qu’il y avait des gens aussi cons au Canada. Mais la Colombie-Britannique, c’est comme la Californie, très extrême-gauche, mais pas forcément représentatif de ce qui se passe ailleurs.
Si ce que j’avais lu s’était passé au Québec, je m’inquiéterais sérieusement. Mais en Colombie-Britannique ? Personne ici ne se reconnaît en eux.
Wallace Wong et ses complices sont vraisemblablement des adeptes du Docteur Mengele. S’en prendre à des enfants en pleine croissance, en période de puberté pour promouvoir une idéologie destructrice est une circonstance agravante . C’est ce soi-disant psycologue qui devrait être enfermé en prison !