Publié par Manuel Gomez le 19 octobre 2021

Pour la totalité de l’année 1961, 308 cadavres de « N.A. » sont passés par l’IML, la plupart exécutés par le FLN dans sa guerre contre les Messalistes. 

Sur la totalité de ces 308 cadavres de « N.A. » dénombrés au cours de toute l’année 1961 34 retrouvés dans la Seine ou la Marne notamment étaient des harkis, des partisans de la France, ou des membres du MNA, une des méthodes d’assassinat du FLN consistant à noyer ses opposants.  

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Tous les chiffres cités, de 200 à 300 cadavres et plus de 2000 blessés, sont totalement faux, et cela est prouvé. Même les chiffres proposés par Eric Zemmour ou les analyses offertes sur « Le Figaro » (une quarantaine de morts). 

Les milliers de participants à cette manifestation interdite du 17 octobre 1961 n’étaient pas des extraterrestres, des fantômes, des invisibles, ils vivaient et travaillaient en France et même finançaient le FLN, de gré ou de force ; alors que l’on établisse la liste de ces morts (qui n’ont été découverts nulle part) que l’on les nomme, que leurs noms soient affichés quelque part, ils avaient une identité, une famille, ils ont une descendance. Qui sont-ils ? 

Depuis des années, et encore ces derniers jours, j’ai témoigné sur Riposte Laïque, Dreuz.Infos, L’Aurore.overblog et sur les réseaux sociaux, sur ce « mensonge d’Etat » qui était célébré les 17 octobre sur le soi-disant massacre de 1961. 

J’ai affiché les conclusions du « Rapport officiel de la commission d’enquête » réclamée par Lionel Jospin et le ministre de l’Intérieur, Jean-Pierre Chevènement, remis en 1998. 

Je me suis permis d’adresser ces articles directement au président de la République, à l’Elysée, comme je l’avais également fait pour François Hollande. 

Nous avons nos morts, les milliers d’européens, français et arabes, massacrés à El Alia, à Melouza, avant et après le 18 mars 1962, à Oran, le 5 juillet et les dizaines de milliers de harkis. Tous ont une identité, leurs noms sont gravés dans le marbre ou sur les tombes. 

Nous avons les noms des millions de morts des deux guerres (14/18 et 39/45), à part celui du soldat inconnu « qui dort sous l’arche immense ». 

Pourquoi la liste de ces 200 à 300 morts n’existe pas ou n’a jamais existé ? Ne serait-elle pas la preuve officielle de ce « massacre » ? Bien entendu la raison est connue : il serait trop facile d’établir les dates exactes de tous ces morts et constater qu’ils n’ont pas été « massacrés » par la police ce 17 octobre 1961. 

Il y a toujours un arabe de service qui traverse l’un des ponts de Paris pour déclarer, devant les micros des télévisions, avec des sanglots dans la voix « Mon pauvre père est mort, assassiné ici-même par des policiers et son cadavre jeté dans la Seine ». 

Son « pauvre père » est mort certes, trois mois avant ou six mois après ce 17 octobre, et probablement enterré quelque part dans le « bled » en Algérie. 

Certaines « absurdités » prononcées sur LCI samedi soir par un Roland Cayrol qui a vu des Arabes jetés vivants dans le fleuve par la police alors qu’il était l’un des responsables d’un mouvement d’étudiants de gauche et qui de plus était en contact avec le FLN notre ennemi en temps de guerre. Cela ne s’apparente- t-il pas à de la trahison ? 

J’avais espéré que le président Macron puisse être sensible à mon témoignage, et à celui des diverses commissions d’enquêtes. Qu’il aurait pu, pour le moins, à défaut des autres Présidents de la République Française, faire entreprendre des recherches dans les archives à sa disposition. 

 Mais non, une fois encore (après les « crimes contre l’humanité de la colonisation), il a choisi « d’humilier » la France, d’accuser la « République » et affirmer ainsi que la police de notre pays, de son pays, avait commis « des crimes inexcusables ». 

Aimez-vous la France, Emmanuel Macron ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

PS : Voici le lien concernant le rapport (53 pages) réclamé par le premier ministre Lionel Jospin (socialiste) sur le “massacre” du 17 octobre 1961 et la preuve qu’il s’agit bien d’un mensonge d’Etat. https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/984000823.pdf

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