Nouvelle pièce d’artillerie dans la lutte mondiale contre la pandémie, le fabricant de médicaments Merck a déclaré vendredi que sa pilule expérimentale molnupiravir, destinée aux personnes atteintes du COVID-19, réduisait de moitié les hospitalisations et les décès.
Devenez « lecteur premium », pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Si les autorités réglementaires l’autorisent, il s’agira de la première pilule permettant de traiter le COVID-19, ajoutant ainsi une toute nouvelle arme, facile à utiliser, à l’arsenal disponible. La société a déclaré qu’elle demanderait bientôt aux autorités sanitaires des États-Unis et du monde entier d’autoriser l’utilisation de la pilule.
La décision de la Food and Drug Administration américaine pourrait intervenir dans les semaines qui suivent, et le médicament, s’il obtient le feu vert, pourrait être distribué rapidement peu après.
Tous les autres traitements par COVID-19 actuellement autorisés aux États-Unis nécessitent une perfusion ou une injection. Une pilule, en revanche, allégerait la pression sur les hôpitaux et pourrait également contribuer à endiguer les épidémies dans les régions pauvres et reculées du monde qui n’ont pas accès aux thérapies par perfusion, plus coûteuses.
« Cela nous permettrait de traiter beaucoup plus de personnes, beaucoup plus rapidement et, nous en sommes convaincus, pour beaucoup moins cher », a déclaré le Dr William Schaffner, expert en maladies infectieuses à l’université Vanderbilt, qui n’a pas participé à la recherche.
Une analyse de l’essai de phase 3 du médicament a révélé que :
- L’étude a porté sur 775 adultes atteints de COVID-19 léger à modéré et considérés comme présentant un risque élevé de maladie grave en raison de problèmes de santé tels que l’obésité, le diabète ou les maladies cardiaques.
- 7,3 % des patients traités avec le médicament ont été hospitalisés dans les 29 jours suivant le diagnostic.
- Pour les patients ayant reçu un placebo, ce chiffre est passé à 14,1 %.
- Aucun décès n’a été signalé chez les patients ayant reçu du molnupiravir,
- tandis que 8 décès ont été enregistrés dans le groupe placebo.
- Aucun des patients de l’essai n’était vacciné contre le COVID,
- Chaque participant présentait au moins un facteur sous-jacent qui l’exposait à un risque accru de cas grave.
- Merck et son partenaire Ridgeback Biotherapeutics ont déclaré que les premiers résultats ont montré que les patients qui ont reçu le médicament, le molnupiravir, dans les cinq jours suivant l’apparition des symptômes du COVID-19 avaient un taux d’hospitalisation et de décès environ deux fois moins élevé que ceux qui ont reçu une pilule factice.
- Les résultats n’ont pas été examinés par des experts extérieurs, ce qui est la procédure habituelle d’examen des nouvelles recherches médicales.
- L’essai a été mené dans le monde entier sur plus de 170 sites, dans des pays comme les États-Unis, le Brésil, le Japon, l’Italie, Taïwan et le Guatemala.
Les résultats étaient si probants qu’un groupe indépendant d’experts médicaux chargé de surveiller l’essai, a recommandé d’y mettre fin prématurément.
Les dirigeants de la société ont déclaré qu’ils prévoyaient de soumettre les données à la FDA dans les prochains jours.
Avec la promesse de ce nouveau traitement, les experts ont souligné l’importance des vaccins pour contrôler la pandémie, étant donné qu’ils aident à prévenir la transmission et réduisent également la gravité de la maladie chez ceux qui sont infectés.
« Avec ces résultats convaincants, nous sommes optimistes et pensons que le molnupiravir peut devenir un médicament important dans le cadre des efforts mondiaux de lutte contre la pandémie », a déclaré Robert M. Davis, PDG de Merck.
Le coordinateur de la Maison Blanche pour le coronavirus, Jeff Zients, a déclaré que la vaccination resterait la principale stratégie du gouvernement pour contrôler la pandémie.
« Nous voulons prévenir les infections, et non pas attendre de les traiter lorsqu’elles se produisent », a-t-il déclaré.
Le louvoyant et glauque Dr Anthony Fauci, la principale autorité du gouvernement en matière de maladies infectieuses, a qualifié les résultats de Merck de « très bonnes nouvelles. »
- Merck n’a étudié son médicament que chez des personnes qui n’étaient pas vaccinées.
- Mais les régulateurs de la FDA pourraient envisager de l’autoriser pour une utilisation plus large chez les patients vaccinés qui présentent des symptômes de COVID-19.
Andrew Pekosz, de l’Université Johns Hopkins, a prédit que les vaccins et les médicaments antiviraux seraient finalement utilisés ensemble pour protéger contre les pires effets du COVID-19.
« Ces médicaments ne doivent pas être considérés comme des substituts à la vaccination – les deux doivent être considérés comme deux stratégies qui peuvent être utilisées ensemble pour réduire de manière significative la maladie grave », a déclaré Pekosz, un spécialiste de la virologie.
- Les patients prennent quatre comprimés de molnupiravir deux fois par jour pendant cinq jours.
- Des effets secondaires ont été signalés par les deux groupes dans l’essai de Merck, mais ils étaient légèrement plus fréquents chez ceux qui ont reçu le placebo. La société n’a pas précisé de quels effets secondaires il s’agissait, et c’est regrettable.
Les résultats des études précédentes ont montré que le médicament n’avait pas d’effet bénéfique sur les patients qui étaient déjà hospitalisés dans un état grave. Ce n’est pas surprenant, étant donné que les médicaments antiviraux sont plus efficaces lorsqu’ils sont utilisés avant que le virus ne se propage dans l’organisme.
Il a été démontré que les anticorps réduisent les hospitalisations et les décès d’environ 70 % lorsqu’ils sont administrés à des patients à haut risque, soit environ 20 points de mieux que la pilule de Merck. Mais les experts ont mis en garde contre la comparaison des résultats des deux, étant donné la nature préliminaire des données de Merck.
Le gouvernement américain s’est engagé à acheter suffisamment de pilules pour traiter 1,7 million de personnes, en supposant que la FDA autorise le médicament.
Merck a déclaré pouvoir produire des pilules pour 10 millions de patients d’ici la fin de l’année et a conclu des contrats avec des gouvernements du monde entier. La société n’a pas annoncé de prix.
Plusieurs autres sociétés, dont Pfizer et Roche, étudient des médicaments similaires et pourraient communiquer des résultats dans les semaines et les mois à venir.
Merck avait prévu d’enrôler plus de 1 500 patients dans son essai de stade avancé avant que le comité indépendant ne l’arrête prématurément étant donné les bons résultats. Les résultats publiés vendredi incluent des patients d’Amérique latine, d’Europe et d’Afrique. Les dirigeants ont estimé que 10 % des patients étudiés étaient originaires des États-Unis.
Quel soulagement, si les gens qui refusent le vaccin, disposent enfin d’une solution facile et accessible !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Abonnez-vous sans tarder à notre chaîne Telegram, pour le cas où Dreuz soit censuré, ou son accès coupé. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.
‘Ces médicaments ne doivent pas être considérés comme des substituts à la vaccination – les deux doivent être considérés comme deux stratégies qui peuvent être utilisées ensemble pour réduire de manière significative la maladie grave’ ; je croyais que les vaccins étaient déjà censés éviter les maladies graves:
C’est une excellente nouvelle. J’ai quand même, et même si c’est nécessaire pour la validation des résultats, du mal à supporter ce système de tests avec groupe placebo. Je me souviens de Didier Raoult disant qu’en face d’un malade, on ne fait pas des essais, on soigne avec ce qu’on a, après avoir obtenu l’accord du malade. Je pense à ces pauvres gens qui ont accepté d’être dans l’étude parce qu’ils en étaient au point où ils étaient prêts à tout tenter… Certes, ils n’étaient pas vaccinés et, cher JPG, vous nous diriez que c’était leur libre choix et qu’ils connaissaient les risques, mais tout de même…
« Tous les autres traitements par COVID-19 actuellement autorisés aux États-Unis nécessitent une perfusion ou une injection » :
Cela veut-il dire que l’hydroxy est interdite aux E-U comme en France ? Dans tous les Etats ?
Pas assez rentables, y compris pour l’Ivermectine! Vous oubliez que ces traitements ne marchent pas et que c’est pour cela qu’on les interdit! Pour nous protéger (L’enfer est pavé de bonnes intentions) On marche sur la tête, en Inde et ailleurs en Afrique ça marche très bien mais pas chez nous car le virus est plus intelligent sous nos climats !
Il serait intéressant de connaître la composition de ce médicament. Plusieurs labos ont déposés des brevets ou droits de propriétés sur des médicaments à base d’hydroxychloroquine, ivermectine ,azytromicine ou équivalents.
une étude a aussi été menée pour connaitre la composition des vaccins proposés en Europe et USA, en utilisant des spectromètres , microscopes électroniques et autres : Les résultats ne sont pas forcément rassurants
les experts ont souligné l’importance des vaccins pour contrôler la pandémie, étant donné qu’ils aident à prévenir la transmission et réduisent également la gravité de la maladie chez ceux qui sont infectés.
Les vaccins n’empêchent pas les vaccinés d’être porteurs et d’être plus gravement touchés que les non vaccinés, les hospitalisations sont là pour le démontrer. Notre politique de vaccination sans tests obligatoires est une ineptie car on laisse des gens vaccinés et contagieux contaminer des vaccinés et des non vaccinés! Ces experts sont des ordures payées par les labos ou totalement grillés intellectuellement, les plus grands experts comme Luc Montagnier qui n’a aucun conflit d’intérêt assure qu’on ne vaccine pas en période de pandémie car on créé du variant !
C’est encore une histoire de business, le traitement existe déja depuis le début de la, maladie et a fonctionné à 100% sur 350 malades du Covid dont certains avaient des maladies sous jacentes et graves, tous ont eté soignés avec l’hydrochloroquine + Zinc + Dipromat. La totalité a été guerie dont une homme de 92 ans.
Ce que j’ecris, concerne une video qui a circulé sur le net en novembre 2020 (dont j’ai fait une copie) et qui a été supprimée. Il s’agit du Dr Sela Emmanuelle, elle a organisé une conference à Waschington DC avec tout son staffe autour d’elle dont aucun ne portait de masque, elle se presente, et indique qu’elle travaille dans un hopital à Huston Texas, elle est d’origine africaine, elle précise qu’elle a la responsabilité du departement qui soigne le Covid avec tous les details, et indique egalement que dans son service, personne ne porte de masque et que tous ont un traitement permanent d’entretient à l’hydrochloroquine et que pas un de ses collaborateurs n’a attrappé la maladie. Elle parle avec conviction et n’a pas peur de se faire arreter, ou de se faire tuer .
Cette video est la preuve qu’on nous manipule depuis le début pour nous obliger à nous faire vacciner.
Je tiens cette video à disposition pour ceux qui seraient interessés par telechargement ou autrement??
Ma belle-mère est décédée du Covid.
Sa prise en charge suivant le schéma officiel ne lui laissait aucune chance :
1- aucune info sur les nouveaux symptômes du variant Delta dans les médias
(symptômes ressemblant à une gastro sans fièvre )
2- prise en charge par un médecin de ville :
« retournez chez vous et prenez du Doliprane ! » alors que le test Covid était positif !!!
3- après 3 jours les pompiers l’ont emmenée à l’hôpital.
4- A l »hôpital :
j1 – mise sous appareil respiratoire + bilan
j2- antibiotique de classe n-10 (Augmentin)
j3- mise en coma artificiel
j ??’ corticoïdes + diurétique
j7′ tentative de réveil avortée
j8à j13 son état se détériore encore plus
j14 déces
Pas d’ivermectine, d’hydroxychloroquine, pas d’antibiotique de classe 4 azythtomicine ou autre.
En résumé : on assassine les non-vaccinés dans les hôpitaux avec des médicments inefficaces. Pourquoi interdire les médicaments de type ivermectine , hydroxichloro et azythromicine ?
Certains prétendent qu’ils fonctionnent jusqu’à j+3?
En tout cas c’est certain ce que l’on vous prescrit actuellement ne vous soignera pas !!!
surtout prescrit partiellement à j+5 avec des médoc de classe n-10.
De plus, refus de transfert vers les hôpitaux plus sérieux car ils n’acceptent pas les malades de plus de 70 ans !
Les stats sont complètement truandées. Car on envoie à l’abattoir les non-vaccinés.
Sur le groupe d’infectés du Covid, certains étaient vaccinés avec 2 doses d’autres avec 1 et ma belle-mère non vaccinée. la comparaison entre vaccinés et non vaccinés et en fait une comparaison entre vaccinés et non soignés !
Je suis finalement satisfait que le Pr Raoult quitte la France j’espère qu’il ira dans un pays où il pourra s’exprimer librement et exercer librement.
Oh, bonne nouvelle.
Avez-vous entendu parler, Monsieur Grumberg, d’un vaccin israélien qui serait presque prêt ?
Il ne faut pas s’enthousiasmer trop rapidement.
Ce médicament est un puissant mutagène qui agit en perturbant la réplication du virus (en induisant des erreurs dans les copies qu’il fait de son propre matériel génétique). Exactement ce que reprochait le Pr Raoult au Remdesivir de Gilead, souvenez-vous…
Par ailleurs, il semble qu’il soit capable d’induire des mutations aussi dans des cellules animales (et donc potentiellement chez l’homme, cf https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8136050/).
Attendons la publication des données des études de phase 3.
Cher collegue,
L ivermectine et la combinaison HCQ/azythromycine donnes PRECOCEMENT sont efficaces et surs; je n ai rien a attendre de merck qui a laisse tomber son produit phare (ivermectine) car celui ci est tombe dans le domaine public…..