Le variant Delta qui fait des ravages ; le retrait catastrophique de l’Afghanistan avec des civils qui sont toujours bloqués là-bas ; l’arrivée de dizaine de milliers d’Haïtiens qui aggrave la crise frontalière au Sud des États-Unis ; les Démocrates qui ne s’entendent pas concernant le Projet de loi de « réconciliation » qui va coûter au moins 3 500 milliards ; le prix de l’essence qui continue d’augmenter ; tout cela a un effet cumulé désastreux sur la popularité de Joe Biden. La bonne nouvelle, c’est que les Démocrates ont un an pour redresser la barre avant de prendre une raclée lors des élections de mi-mandat de novembre 2022.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Erick Erickson, paru sur le site de Townhall, le 8 octobre.
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Bonne nouvelle pour Joe Biden
- Plus d’Américains sont morts du coronavirus sous l’Administration Biden que sous l’Administration Trump. Ce n’est pas ça la bonne nouvelle pour le président Joe Biden. L’ex-président Donald Trump a lancé l’opération Warp Speed. Les leaders démocrates mettaient en doute l’efficacité d’un vaccin précipité. Nous avons finalement obtenu le vaccin à la fin de l’Administration Trump. Dès que Joe Biden est devenu président, les électeurs de Donald Trump ont émis des doutes au sujet du vaccin et les Démocrates ont cherché à intimider les sceptiques. Des gens sont quand même morts. Le variant Delta a bouleversé des vies et emporté des êtres chers ; il augmenté chez les gauchistes la crainte d’un microbe et a accru leur dégoût pour leurs semblables. Le commandement d’« aimer son prochain », qui n’est assorti d’aucune réserve, exclusion ou exception dans les Écritures, est désormais assorti d’un avertissement « sauf concernant les non-vaccinés » pour les gauchistes.
- Des Américains sont toujours bloqués en Afghanistan. Ce n’est pas ça non plus la bonne nouvelle pour Joe Biden. Les responsables du district scolaire de San Juan, en Californie, ont annoncé que 41 élèves du district étaient toujours bloqués en Afghanistan.
Josh Youssef, de Help The Persecuted, une organisation chrétienne à but non lucratif d’Atlanta, a indiqué que 600 réfugiés chrétiens tentaient de fuir Kaboul. Son organisation a affrété des avions et rédigé une lettre aux Talibans affirmant la capacité de son organisation mettre en œuvre l’évacuation, mais l’Administration Biden continue de faire obstacle. - Quinze mille réfugiés haïtiens sont entrés aux États-Unis à Del Rio, au Texas. La plupart d’entre eux ont été autorisés à rester, dans l’attente de leur procès. Nombreux sont ceux qui ont le coronavirus et ne sont pas vaccinés. Le gouvernement a déjà perdu la trace de beaucoup d’entre eux. Maintenant, plus de 30 000 autres réfugiés traversent le Mexique en direction du nord.
Le ministre des affaires étrangères de Panama est arrivé aux États-Unis pour les sensibiliser à la crise humanitaire à venir. Ses avertissements sont tombés dans l’oreille d’un sourd. Ce n’est pas ça non plus la bonne nouvelle pour Joe Biden. - Tout cela survient alors que les Démocrates se chamaillent sur le coût d’un projet de loi dit de «réconciliation» au Congrès. Certains éléments du projet de loi sont censés bénéficier de l’appui de l’opinion publique, mais le public, n’est pas vraiment informé et ne comprend pas ce que le Congrès propose.
La population s’inquiète des coûts, de l’inflation, des prix du carburant et des factures d’épicerie. - Le prix de l’essence continue d’augmenter. L’Administration Biden a pris le pouvoir en janvier 2021 et a commencé à faire du tort aux producteurs de pétrole. Elle a refusé les pipelines, réduit l’accès aux terres fédérales et rendu les forages plus difficiles. Tout cela avait pour but de faire grimper le prix des carburants et de forcer les Américains à consommer moins ou à opter pour des solutions de rechange au nom du changement climatique.
Comme ces mesures ont eu les conséquences parfaitement prévisibles de faire grimper les prix de l’essence et, par conséquent, les prix de tout le reste, l’Administration Biden a supplié l’OPEP de sauver le président de ses politiques. L’OPEP a refusé.
Aucune de ces choses n’est une bonne nouvelle pour Joe Biden.
Leur effet cumulé est de faire baisser les appuis de Joe Biden dans les sondages.
Ainsi, le sondage de la firme Quinnipiac qui vient d’être publié est désastreux pour lui.
Historiquement, Quinnipiac a un léger biais en faveur des Démocrates. Même avec ce biais, l’approbation du président est à 38%. Seulement 23 % du public soutient sa gestion de la question frontalière. Trente-quatre pour cent approuvent sa gestion de la politique étrangère. Trente-sept pour cent approuvent sa gestion des impôts. Trente-neuf pour cent approuvent sa gestion de l’économie. Plus accablant encore, 55% disent que « l’Administration Biden n’a pas la compétence nécessaire pour gérer le gouvernement », tandis que 56% disent que Biden n’a pas « de bonnes compétences de leadership ». Tim Malloy, analyste des sondages de Quinnipiac, a noté que « le président Biden est critiqué de toutes parts alors que sa cote de popularité continue sa descente vers un nombre jamais vu depuis l’examen minutieux de l’Administration Trump. »
Alors, quelle est la bonne nouvelle pour l’Administration Biden ?
La bonne nouvelle est que nous sommes en octobre 2021 et non en octobre 2022. Les choses peuvent changer.
Malheureusement, même si les gros titres des journaux sont moins défavorables, les sondages concernant Joe Biden ne s’améliorent pas.
De même, la course au poste de gouverneur de Virginie, qui était censée être une victoire dans un fauteuil pour les Démocrates, est en train de se terminer en catastrophe.
Tout cela suggère que les électeurs commencent à réagir et qu’il va y avoir un retour de flamme en 2022.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Townhall
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Chère Magali,
“Ne sous-estimez pas la capacité de Joe à tout foirer.” Saint Obama (gloire à lui au plus haut des cieux). Le bonjour à al Belle Province.
Cordialement
Par prudence et pour éviter la déconvenue de 2020 j’attendrais le résultat des élections.
Oui , malheureusement, apparemment la dignité n
est pas pour tous!, mais j
ose croire que cela ne sera pas comme la réélection de Trudeau PATHÉTIQUE ET PITOYABLE….LA GRANDE HONTE!!c.i.a.
Il semblerait que l’on a les dirigeants que l’on mérite.le parti libéral du canada est le plus corrompu de tous et l’,argent coule a flot avec des immigrants qui donne pas moins de 500$ a ce parti par année fiscale.
Ca sent quelque chose de pas très bon aux USA d’ici les mid term, il est bien possible qu’il y aie des dérapages dans la population et je ne vois pas très bien le problèmes de l’émigration au sud de la frontiere américaine a moins que trudeau et robinette se mette d’accord pour creer un couloir et faire entrer dans le pays de justin toute cette fine fleur du vivre ensemble pour un canada encore plus mélangé.
Redresser la barre ? Encore faudrait-il qu’ils en aient l’intention ! Leur seule intention est de détruire le pays et tout ce que Trump a fait, ce qui revient au même d’ailleurs.
Ils savent qu’ils vont prendre une claque l’an prochain, sinon avant, alors ils font le maximum de dégâts tant qu’ils peuvent.
En effet, on peut le voir comme çà, les nazis tentaient de tout détruire en 1945 pour qu’il ne reste rien: Inquiétant, et je songe à la France qui sombre avec son gouvernement qui en rajoute dans la destruction:
Que les « démocrates » reçoivent une raclée en novembre 2022?
Bien sur, elle serait bien méritée, mais encore faudrait il qu’ils (les « démocrates ») ne puissent pas mettre en oeuvre une fraude massive comme celle qui a déjà volé sa victoire à Trump en novembre 2020!
Ils sont prêts à toutes les vilenies pour garder le pouvoir à tout prix, et continuer à détruire les USA, au service d’Obama et de son projet « Change »!
Obama est un modéré, comparé aux Américains marxistes, des progressistes et du Squad. Il a même récemment dénoncé la politique frontières ouvertes de Biden.
Bonjour Monsieur Grumberg,
Saint Obama (gloire à lui au plus haut de cieux) est un exemple typique de cette gauche de salon. Ils sont tellement convaincus d’incarner le Bien qu’il ne réfléchissent pratiquement jamais aux conséquences que pourraient avoir leurs décisions ou leurs choix.
Ils sont les premiers surpris de constater qu’il y a des effets pervers à leurs bonnes intentions et pire ils refusent d’en assumer les conséquences. Alors ils vont s’inventer des excuses, des prétextes comme le « devoiement de leur « pensée » ou une mauvaise interprétation de leurs paroles.
En tout cas jamais, j’ai bien dit « jamais », ils ne vont remettre leur idéologie en question afin de ne pas perturber leur confort moral ouaté dans lequel ils se sont très confortablement installés.
Cordialement
Il existe deux écoles de pensée, chez les conservateurs, concernant Obama. Ceux qui pensent qu’il aime l’Amérique mais voulait et veut la transformer en l’abaissant parce qu’il l’a trouve arrogante vis à vis du tiers monde – ses actions le confirment. Et ceux qui pensent qu’il déteste l’Amérique capitaliste et gagnante, et voulait et veut la détruire pour la remplacer par un régime socialiste.
JP, on ne veut pas profondement transformer quelqu’un que l’on aime.
O.