Les météorologues prévoient un hiver extrêmement froid et neigeux. La quantité de neige dans l’hémisphère nord-est déjà supérieure de plusieurs centaines de gigatonnes à la normale pour la saison.
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Il s’agit d’une nouvelle climatique étonnante que les médias ont choisi d’ignorer complètement. Il y a de plus en plus d’indications que la Terre est confrontée à un climat plus froid. La température moyenne mondiale a baissé au cours des cinq dernières années et la tendance des précipitations sous forme de neige est à la hausse.
La crise énergétique qui a durement frappé l’Europe et une grande partie du monde risque d’être sérieusement exacerbée par un hiver exceptionnellement froid.
- Le 4 octobre, Phobos, l’un des principaux instituts météorologiques russes, a prévenu que des conditions météorologiques extrêmes avec du froid et de grandes quantités de neige allaient frapper l’hémisphère nord cet hiver.
- Les météorologues prévoient des conditions météorologiques sévères en Russie, notamment au début du mois de janvier. Plusieurs endroits risquent d’être très durement touchés, notamment la capitale Moscou. On y attend des quantités de neige nettement supérieures à la normale et, pire encore, les météorologues russes pensent que ce sera en Sibérie, où leurs prévisions indiquent deux fois plus de neige. C’est de mauvais augure, car la Russie transcontinentale a connu l’an dernier l’hiver et le printemps les plus froids de son histoire.
- Plusieurs stations de ski européennes dans les Alpes ont déjà signalé des chutes de neige de plusieurs décimètres. Stelvio est l’un des huit domaines glaciaires d’Autriche, d’Italie et de Suisse qui ont déjà ouvert leurs pistes pour la saison de ski et quatre autres avaient annoncé qu’ils ouvriraient le week-end du 9-10 octobre, ainsi que Levi et Ruka en Finlande.
- La neige dans les Alpes et en haute altitude n’a rien d’étrange en soi à cette époque, mais ce qui diffère, c’est que la ligne de neige se situe déjà en dessous de 1000 mètres et que les chutes de neige de cette année suivent un schéma reconnaissable depuis le début des hivers historiquement très froids en Europe. Par exemple, les Balkans connaissent déjà des températures nocturnes négatives et les températures y sont inférieures de pas moins de 16 degrés Celsius à la température normale, ce qui est extrêmement élevé dans ces contextes.
Un climat de plus en plus froid au cours des cinq dernières années
Une tendance claire a préfiguré le refroidissement du climat qui commence maintenant à se faire sentir sérieusement.
Aujourd’hui encore, la masse totale de neige dans l’hémisphère nord est bien supérieure à la normale. Selon les données de l’Institut météorologique finlandais, ce total est supérieur de près de 200 gigatonnes à la moyenne des années 1982-2012 (GlobSnow SWE v1.3), régions de montagne non incluses.
D’autres estiment l’excédent de neige à 250 gigatonnes.
Plus tôt cette année, en février-mars, la masse totale de neige était de 400-500 gigatonnes au-dessus de la même moyenne, ce qui est bien supérieur à la fourchette normale (min-max).
Aucun média du système, dans aucun pays, n’a mentionné ce fait historique dans un seul titre. En outre, la température moyenne mondiale a baissé depuis 2016.
Réchauffement anthropique, refroidissement naturel, ou l’inverse ?
De plus en plus de chercheurs indépendants pensent que le réchauffement se produit parce que le soleil est entré dans le Grand Minimum Solaire (GSM) à la fin de 2019, et non en raison des émissions de dioxyde de carbone produites par l’homme, que les activistes veulent faire arrêter à tout prix, sauf en Chine, “parce que le niveau de pollution par habitant n’est pas si élevé”. Sauf que la pollution est une donnée brute, et non relative à la population, et si la Chine représente 30 de la totalité de la pollution à elle toute seule, peu importe combien cela fait par habitant !
- La Chine a construit plus de trois fois plus de nouvelles usines de production d’électricité au charbon que tous les autres pays du monde réunis.
- Ca équivaut à “plus d’une grande centrale au charbon par semaine”, selon le Centre de recherche sur l’énergie et l’air pur en Finlande.
Les Verts affirment que le dioxyde de carbone, l’oxygène contenu dans les plantes qui fournissent de la verdure et de la nourriture aux animaux et aux humains, ainsi que le soleil et la chaleur constituent une menace mortelle – à tel point qu’ils sont prêts non seulement à remodeler notre monde entier pour réduire le dioxyde de carbone dans l’atmosphère, mais même à pulvériser des produits chimiques dans l’atmosphère et à lancer d’autres projets pour tenter de réfléchir ou même de bloquer le soleil.
Al Gore et alarmistes united
Jusqu’à récemment, les alarmistes n’ont cessé d’avertir que les températures mondiales allaient augmenter. Ils disaient que le pôle Nord n’aurait plus de glace. Voire même que “la neige appartenait au passé”. Les mêmes qui affirmaient que Londres serait sous l’eau avant la fin du 20e siècle exigent qu’on croie leurs nouvelles prédictions sans émettre aucun doute.
Al Gore, en 2008, a averti que “toute la couverture de glace du pôle Nord pourrait avoir complètement disparu dans cinq ans”, c’est-à-dire en 2013.
En 2009, il a prévenu que les superordinateurs avaient calculé qu'”il y avait 75 % de chances que l’ensemble du pôle Nord, pendant certains mois d’été, soit complètement libéré de la glace dans les cinq à sept prochaines années”, soit plus tard que 2016.
Il a ajouté que “seuls des fous impitoyables pourraient ignorer” ses avertissements.
Conclusion
En raison du refroidissement, les alarmistes affirment désormais qu’une baisse de température de cinq ans est si courte qu’elle ne peut être comptabilisée dans une tendance plus longue qui, selon eux, montrera qu’ils ont toujours raison. Ils ajoutent que “seuls des fous impitoyables pourraient ignorer” leurs avertissements.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Sans compter avec le nouveau record de froid dans l’antarctique cet été
J’allais l’écrire, avant de voir que vous m’aviez devancé.
Je confirme néanmoins, et en profite pour indiquer cet excellent blog.
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2021/10/14/ce-record-de-temperature-dont-on-ne-vous-a-pas-parle/comment-page-1/
Il y a une vingtaine d’années, un géographe m’avait raconté que nous allions probablement entrer dans une période plus froide. J’imagine que si c’était vrai, les verts en feraient tout un plat aussi, et que s’il n’y avait aucune variation, ils trouveraient ça également inquiétant.
On peut toujours survivre avec un réchauffement climatique, c’est beaucoup beaucoup plus dur avec un refroidissement. .
çà dépend de ou l on vit ,,,pour le sael africain une augmentation de température de plus et c est la mort des troupeaux et des populations
Bonjour Monsieur Grumberg,
Si on veut rester prudent, on pourrait dire qu’il ne faut pas confondre la météo et le climat. Les estimations climatiques sont basées sur des données empiriques et l’extrapolation se fait à l’aide de modèles informatiques.
Disposons nous de données suffisamment étalées dans le temps et dans l’espace qui nous permettent une extrapolation suffisamment fiable?
Ensuite on peut faire dire n’importe quoi à un modèle qui comporte trop de paramètres. C’est le principal défaut que les climatologues passent soigneusement sous silence.
Il reste aussi les nombreuses difficultés liées à un domaine scientifique qui nécessite des connaissances multidisciplinaires, qui les maitrise suffisamment?
Il y a aussi l’influence du milieu scientifique. Imaginons que vous êtes un jeune chercheur qui à besoin d’un budget pour tenter de démonter que l’hypothèse du “réchauffement climatique” n’est pas d’origine anthropique.
Quel directeur de thèse va vous accorder un crédit pour votre cherche?
Il reste la fourchette d’erreur et fort probablement les “journalistes” ainsi que les défenseurs de l’hypothèse anthropique, pour des rayons différentes, vont opter pour l’hypothèse la plus catastrophique afin alerter la population.
Je suis désolé d’avoir été aussi long.
Cordialement
Bonjour,
Je ne suis pas M. Grumberg, mais étant météorologue de foration, je pense être d’apporter quelques réponses à tous les points que vous soulevez, si vous me le permettez.
Tout d’abord concernant la distinction entre climat et météorologie, bien que cela soit vrai en principe, ce n’est absolument pas vrai en pratique, notamment parce que ce que vous nommez pudiquement des “modèles informatiques” sont précisément les modèles météorologiques, fonctionnant sur des échelles spatiales et temporelles beaucoup plus larges, sans être forcés par les données mesurées comme ils le seraient en contexte de prévision météorologique. Dans ce contexte, les défauts (par exemple la Terre perdrait son eau) de ces modèles sont exacerbés.
Il faudrait s’entendre sur ce que vous appelez suffisamment. Cependant, les simulations sont relancées toutes les trois heures, et plusieurs modèles sont considérés y compris sur leurs itérations passées à la recherche du scénario le plus crédible dans ce large éventail d’extrapolations.
Au passage, puisque vous parlez de données, je serai assez curieux de voir la source sur laquelle se base M. Grumberg pour affirmer que la température moyenne mondiale a baissé depuis 2016. Je n’ai pas connaissance d’outils qui permettraient d’estimer une telle donnée de manière certaine et indiscutable.
Je ne comprends pas ce lien que vous faites entre nombre de paramètre et faire dire tout et n’importe quoi, ce dernier étant la raison d’être des études statistiques, des mots même de mon enseignant à l’époque. Je peux vous assurer que le nombre de paramètres est loin d’être le principal défaut de ces modèles, à supposer même que cela en soit un.
Personne,à ma connaissance. Sous réserve de ce que vous entendez par suffisamment, bien sûr.
Cette influence existe à tous les niveaux, elle ne limite absolument pas aux cas des étudiants de thèse.
Marges d’erreurs qui explosent d’un rapport du GIEC au suivant, soit dit au passage…
Je m’excuse à mon tour d’avoir été aussi long, malgré un petit effort sur la fin 🙂
Cordialement
j’étais Adept de science vie depuis son premier numéro…en 1983 les scientifiques de la météo terrestre annonçaient fermement que si nous
continuons à émettre du co2 à outrance nous allions nous retrouvés sous 27 mètres d’eau en l’an 2000…depuis j’ai arrêté de lire ce torchon de menteur…C’est comme la médecine…Ne dites pas que c’est de la science… les livres ont de la mémoire…
J’ajouterai qu’il ne faut jamais oublier que la vérité n’est absolument pas la préoccupation (première) des météorologues. L’illustration la plus célèbre est le nuage de Tchernobyl, mais cela se vérifie quotidiennement. La gestion des crues de 2016 était je pense le cas le plus marquant lorsque j’étais encore étudiant.
Pôvre Greta ! Elle est pitoyable et les alarmistes des idiots utiles à quelques individus malfaisants, dans le style Lyssenko mais en plus pernicieux.
A mon humble avis, elle aurait plutôt eu besoin d’une bonne paire de calottes de temps en temps lorsqu’elle était encore en âge d’en recevoir.
une variante de la chronique des dingos
Question stupide: qui a fabriqué cette pauvre folle, qui a profité de son autisme?
Apparemment ses parents qui l’on laissé faire sa propagande de débile mentale !!!
Enfermez là tout de suite qu’elle nous fiche la paix
CQFD
Attention tout de même au type de neige.
Il y a la neige fraîche qui, comme son nom l’indique, rafraîchit, mais pas autant que la neige carbonique, dérivée du CO2.
Donc plus on a de CO2, plus il va faire froid. Ce qui veut dire que plus on aura d’écolos, plus il fera chaud.
Je postule aussi pour aller au GIEC.
z etes tous des petits “”” einstains””en herbe !!!
en, bref et pr faire simple plus il fera chaud plus il fera froid ;;;;; demerdez vs avec çà !!!
le GIEC et la Greta sont tous givrés !!!
Les réchauffistes “givrés” ! Excellent ! Et peut-être bientôt gelés:.. pour de bon !
Des modèles mathématiques qui donnaient pour la 1ère vague de Covid plus de 400 000 morts rien qu’en France.
Plus récemment après la première explosion du Volcan de La Palma Canaries le modèle mathématique donnait un retour à la normale ; depuis le volcan ne cesse d’exploser et de se fracturer de tous bords.. Même effet que pour le Covid, les volcanologues s’insultants et se déchirants devant une population médusée par ces scientifiques qui disent aujourd’hui le contraire de ce qu’ils ont dit hier !!!
C’est la même chose avec le climat !
Quels drôles d’oiseaux ces Canaries d’avoir la palme du CO2.
Mais que fait Greta, l’autre montagne qui tonne ?
attention M.GRUMBERG ! Vous faite baisser le mercure ce n’est pas tendance ! Je pense que vous n’allez pas recevoir le Prix Nobel !…
A noter que pendant l’optimum climatique de l’éocène, entre 54 et 49 millions d’années avant notre ère, la température moyenne était de 12 ° supérieure à la nôtre, et les forêts tropicales remontaient jusqu’au 50ème parallèle nord.
Pendant le bref maximum thermique du passage paléocène-éocène, il y a 56 millions d’années, l’excès de température était de 14 degrés par rapport à la moyenne actuelle…
N’oublions pas que nous sommes dans une période interglaciaire, et si le réchauffement actuel permet d’éviter au nord de la France et de l’Europe de se trouver sous des dizaines de mètres de glace lors de la prochaine période glaciaire, ce ne sera pas forcément un mal…
Evidemment on serait bien en peine de trouver des fossiles de centrales à charbon au paléocène ét à l’éocène…
Brillant ! Mais vous devriez viser l’Académie des Sciences plutôt. Le GIEC n’en est pas encore au point de considérer autre chose que des constantes pour décrire la Terre ou le Soleil.
Bla. bla bla… Depuis un certain temps, le monde moderne a perdu la foi en ses politiciens, ces représentants d’un peuple dont on sait désormais qu’ils se moquent éperdument. Ce fut ensuite le tour des hommes de science, apparemment persuadés en dépit des faits qu’ils savent tout de la planète, de l’univers et de leur fonctionnement ; et plus récemment des médecins, qui viennent de nous prouver abondamment qu’ils sont tout aussi faillibles.
Que nous reste-t-il des idoles créées par le siècle des lumières?