
Un rapport explique en détail comment certains professeurs de médecine nient l’existence du sexe biologique pour éviter d’être traités de transphobes et d’être la cible des activistes de la Cancel culture sur les campus.
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Dans certaines universités, on “enseigne aux étudiants en médecine que les humains ne sont pas, comme les autres mammifères, une espèce comportant deux sexes. La notion de sexe, apprennent-ils, n’est qu’une création de l’homme”, rapporte Katie Herzog, qui a interrogé de nombreux étudiants pour son enquête (1).
Katie Herzog note que tous les professeurs de médecine n’enseignent pas cette notion, mais que beaucoup le font, et que si certains sont de “fervents adeptes”, d’autres ont peur de leurs étudiants.
Son rapport comprend des anecdotes de professeurs critiqués pour avoir utilisé des termes tels que “homme” et “femme”, notamment un professeur de l’université de Californie qui s’est excusé auprès de sa classe pour avoir utilisé le terme “femme enceinte”.
“J’ai dit ‘quand une femme est enceinte’, ce qui implique que seules les femmes peuvent tomber enceintes et je m’excuse très sincèrement auprès de vous tous”, a déclaré le professeur.
Une étudiante en médecine a déclaré à M. Herzog que lorsque “le sexe est reconnu par ses instructeurs, il est parfois dépeint comme une construction sociale, et non comme une réalité biologique… Lors d’un cours sur la santé des transsexuels, un instructeur a déclaré : “Le sexe biologique, l’orientation sexuelle et le genre sont tous des constructions…”.
Le problème n’est pas seulement le politiquement correct – la santé du monde réel est en jeu. Cette hypersensibilité sape la formation médicale. Et beaucoup de ces étudiants ne sont probablement même pas conscients que leur éducation est influencée par l’idéologie. Et le sexe biologique est un facteur extrêmement important pour savoir ce dont souffrent les patients et comment les traiter correctement.
Supprimez le sexe, et vous allez passez à côté de certaines maladies.
“Prenez l’anévrisme de l’aorte abdominale”, explique Lauren (ce n’est pas son vrai prénom, cette étudiante en médecine parle sous couvert d’anonymat pour éviter d’être canceled).
“Ils sont quatre fois plus susceptibles de se produire chez les hommes que chez les femmes, mais cette différence très significative n’est pas soulignée dans les cours. J’ai dû vérifier, et je n’ai pas le temps de vérifier la prédominance du sexe pour les centaines de maladies que je suis censée connaître.
Je ne suis même pas sûr de ce qu’on ne m’apprend pas, et à moins que mes camarades de classe ne soient aussi critiques que moi, ils ne sont probablement pas au courant non plus.”
Parmi les autres pathologies qui se présentent différemment et à des rythmes différents chez les hommes et les femmes, citons les hernies, la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, la sclérose en plaques et l’asthme, entre autres. Les hommes et les femmes ont également des normes différentes pour la fonction rénale, ce qui a une incidence sur le dosage des médicaments. Ils présentent des symptômes différents lors des crises cardiaques : les hommes se plaignent de douleurs thoraciques, tandis que les femmes ressentent de la fatigue, des vertiges et des indigestions.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- https://bariweiss.substack.com/p/med-schools-are-now-denying-biological
Je confirme l’absence de sexe biologique.
Une preuve dans cet article : ces profs de médecine ont de moins en moins de c…
Oui, heu… Jeanne d’Arc n’en avait pas ! Enfin je crois…
Excellent
Je suis très admirative de cette société qui a imaginé des sexes qui n’existent pas. Quelle inventivité, quel talent ! C’est mieux que Skakespeare et ça distrait mieux que la télé-réalité. On devrait leur donner le Nobel. Mais à qui au fait ? D’où donc vient cette idée. C’est pas dans un vieux bouquin qui s’appelle, hum, je crois, voyons voir… la Genèse ? Allez hop, le Goncourt !
Je me rappelle quand j’étais gamin, j’étais surpris par ce verset de Genèse 1 : 27 “Il les créa homme et femme”. Cela me paraissait tellement évident que ce n’était vraiment pas nécessaire de l’écrire.
Et papa et maman sont des termes offensants, à proscrire. Parent 1 et parent 2 seraient plus adaptés, parait il. Pourquoi pas parent 4, en cas d’adoption multiple. On est chez les fous, mais sans être soignés.
je vais être obligé d’acheter un autre cahier de notes de la rubrique des dingos! la réflexion d’une étudiante est inquiétante, on n’ enseigne pas tout “des étudiants ne sont probablement pas au courant non plus. », c’est à la limite criminel
Au départ, il s’agit d’une infime minorité de cinglés qui font du battage. Mais ça devient très inquiétant car la minorité s’élargit à vitesse grand V et avec de tels enseignements, ça va aller de plus en plus vite !!! Et concernant des domaines comme celui de la santé, ça devient clairement criminel !
Scène de la vie courante :
iel est trans. Homme au départ, iel est devenu plutôt féminine.
iel se promène au bras de iel, également trans, femme au départ, devenue plutôt masculine.
iel et iel se font mettre une tête au carré dans la rue, agressé.es par des hétérophobes. Ben oui, les deux ressemblent plutôt à un couple hétéro. L’horreur !
Du coup iel et iel se convertissent à l’islam (autre mode du jour) et ne sortent dans la rue que planqué.es sous un niqab.
Est-ce qu’on a le droit de dire que l’on fait, par choix, bien sûr, coîncider son sexe biologique, son genre, éventuellement déconstruit, son genre social et son orientation sexuelle ? Ce dernier mot m’a toujours fait penser à un missile à tête chercheuse… Sans boussole.
Heureusement, toutes ces salades cuites ne marinent que dans l’esprit d’une minorité, mais ce sont maintenant les minorités qui dominent : soit on refuse cette dictature, soit on patiente jusqu’à ce que le soufflé retombe de lui-même.
L’homme naît poussière retourne à la poussière et je passe l’aspirateur », in:François Silvant et ses messieurs
En classe au lycée il y a trente ans, on nous a parlé de l’albinisme sans dire que certaines populations étaient touchées, et pas d’autres:
Sans entrer dans des détails très techniques, il faut quand même savoir que dans les gènes de chaque être humain est incorporé “son sexe”, qu’il est impossible/on ne sait pas (au moins jusqu’à maintenant et sans doute heureusement jamais) interférer sur ces éléments, qui font le sexe de la personne, pour les changer et encore moins les supprimer car le résultat de ce type de manipulation est la mort. Ceci indique par extension pourquoi par exemple des transgenres ne peuvent réellement être équilibrés car si “dans leur tête” ils sont un autre sexe, génétiquement ils restent le sexe initial. Ceci est la cause d’un certain nombre de suicides de transgenres qui à force ne peuvent vivre et supporter cette opposition “interne” et ils trouvent ainsi dans cette solution ultime le moyen d’y mettre fin. Ce fait amène d’ailleurs depuis peu certains médecins/chirurgiens, qui pratiquent les interventions de changement de sexe, à se poser la question de savoir ce qu’ils doivent faire car si leur intervention conduit à la mort du patient alors qu’ils sont déonthologiquement censer soigner et le garder en vie, ils ont conscience qu’il y a là un problème qui se pose à chacun.
Ceci dit on ne “joue” pas impunément avec les principes du D.ieu Eternel et de sa création, sans retour de bâton !
Plus ils disent d’énormités stupides, plus on parle d’eux. Les asiles d’aliénés devraient être pleins.
En tant que médecin, je suis malheureusement dans l’obligation de constater que la médecine récolte ce qu’elle a semé.
Le corps médical, en décidant de traiter par des hormones et de la chirurgie les dysphories de genre ( encore appelées transsexualisme ) a méconnu dans cette affaire un certain nombre de concepts fondamentaux de la psychiatrie.
Il y a méconnaissance du concept du délire, qui est une croyance pathologique parfaitement décrite par le psychiatre et philosophe Karl Jaspers qui a été le premier à définir trois principaux critères de délires, dans son ouvrage de 1913 intitulé « General Psychopathology ».
Ces critères sont :
le fait d’être sûr de cette croyance tenue avec une conviction absolue ;
le fait que la croyance ne puisse pas être changée par des contre arguments convaincants ou par la preuve du contraire ;
la fausseté ou l’impossibilité de la croyance.
Le transsexualisme, qui est la conviction absolue d’être du sexe opposé à son sexe réel correspond en tous points aux critères cette définition du délire.
Mais, me dira t-on, les transsexuels, mis à part cette conviction pathologique, sont tout à fait normaux par ailleurs, et n’ont aucun autre délire dans aucun autre domaine de leur vie psychique.
Il est vrai que la plupart du temps, les patients délirants ont un fonctionnement psychique envahi par de nombreuses idées bizarres ou absurdes.
La nosologie psychiatrique du dix-neuvième siècle reconnaissaient pourtant des symptômes délirants strictement isolés, chez des gens parfaitement adaptés à la réalité par ailleurs : Jean-Etienne Esquirol appelait cela à l’époque « monomanie » ou « idée fixe » . En dehors de cette idée fixe, les gens qui en sont atteints ont un comportement parfaitement normal. Il est dommage que cet utile concept de monomanie ait été abandonné par le DSM IV…
Le fait d’être persuadé d’être du sexe opposé au sien est l’archétype d’un délire isolé à type d’idée fixe.
Or, depuis fort longtemps, un des principes de base du soin médical dispensé aux malades mentaux est qu’il ne faut jamais entrer dans le délire du malade, mais qu’il faut lui faire accepter la réalité, si c’est possible. En proposant des « traitements » hormonaux ou chirurgicaux pour soigner le symptôme délirant qu’est l’idée d’appartenir au sexe opposé, les psychiatres et chirurgiens ont méconnu cette règle de base et donc se sont fourvoyés dans une impasse conceptuelle. Ils transforment des hommes normaux ayant une idée fixe en pseudo-femmes stériles et frigides ou anorgasmiques dans l’immense majorité ( ou la totalité ) des cas, et des femmes en pseudo-hommes stériles, sans seins, munis d’un pseudo-pénis ou un gros clitoris selon qu’ils ( qu’elles ) sont ou non opéré(e)s. A noter que ces hommes transformés en pseudo-femmes et ces femmes transformées en pseudo-hommes gardent leur idée fixe puisqu’ils restent persuadés d’être des femmes (ou des hommes ) comme les autres ! Il n’ont donc pas été guéris de leur idée fixe par leurs « traitements »
Que deviendrait le monde si, pour les guérir, l’on confiait les rênes du pouvoir à tous les délirants qui se prennent pour Napoléon, ou si l’on faisait entrer à la DGSE tous ceux qui sont persuadés d’ être espionnés par les services secrets nord-coréens ou russes, ou si l’on organisait des campagnes généralisées de dératisation chaque fois que quelqu’un est atteint d’une phobie des souris ?!
Le rôle du psychiatre et du médecin n’est pas de transformer la réalité pour l’adapter au malade, mais de tenter d’adapter le malade à la réalité.
A noter que l’argument souvent invoqué pour justifier les hormonothérapies et chirurgies sur les transsexuel(le)s est le risque de suicide qu’ils encourraient si on ne les transformait pas.
Or, les taux de suicide des transsexuel(le)s opérés et hormonés sont extrêmement élevés, donc cet argument ne tient pas.
Plus généralement, les effets secondaires des “traitements” proposés aux transsexuels sont tellement importants, et leur taux de morbidité-mortalité tellement élevé ( selon un article récemment paru ) qu’il y aurait là matière à un scandale médical du même ordre que celui du sang contaminé ou du Médiator. Il y a cependant fort à parier que ce scandale aura du mal à sortir…
Bravo !
Je confirme le parcours du combattant que vivent ces personnes, et souvent le mauvais état de santé définitif au bout du chemin.
Bonjour Docteur, donc contrairement aux dires de L’OMS, les transsexuels sont bien des malades ?????????????????????
Je ne sais pas quelle est l’opinion de l’OMS concernant la transsexualité, par contre l’OMS définit la santé comme un « un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».
On ne peut pas vraiment dire que les transsexuels ont “un état de complet bien-être physique, mental et social”, que ce soit avant ou après “traitement” . Donc, oui, ils sont malades. Est malade quiconque consulte un médecin parce qu’il n’a pas d’état de complet bien-être, et demande une réponse médicamenteuse ou chirurgicale à ce mal-être.
Il est important pour les marxistes culturels que les médecins perdent leurs repères et cessent d’exercer l’autorité morale; il y va du projet de déconstruction de la société. Les médecins en tant que groupe professionnel attaché à l’objectivité, sont suspects de conservatisme. Affirmer l’évidence revient à faire preuve de comportement non professionnel à l’égard des transsexuels, c’est aussi risquer d’être poursuivi pour “erreur médicale”.
Les médecins doivent donc se protéger et dans le climat actuel cela revient à donner au patient tout ce qu’il veut.
Bonjour Hélios
Pour completer mon commentaire ci-dessus, voici les références de l’article dont je parlais plus haut, dont le lien est ici .
En résumé, les transsexuels ont deux fois plus de risques de mourir jeune que le reste de la population, ce qui constitue pour moi qui suis médecin, mais aussi citoyen, un incroyable scandale sanitaire.
Pour moi, l’erreur médicale et le comportement non-professionnel, ce n’est pas de refuser de participer de quelque façon que ce soit à un prétendu ” traitement ” de “changement de sexe”, mais au contraire, c’est d’y participer au risque de compromettre gravement la survie ou la santé du malade, ce qui est contraire à un des fondements de la médecine depuis Hippocrate, qui est l’aphorisme “primum non nocere” ( avant tout, ne pas nuire ).
En ce qui me concerne, j’ai toujours opposé une fin de non-recevoir très motivée aux très rares personnes qui m’ont consulté pour que je les oriente vers des spécialistes du “changement de sexe” .
Je ne crois pas un seul instant que ce refus me vaudra à l’avenir un quelconque procès, je suis en tous cas prêt à en courir le risque plutôt que de nier ou travestir la réalité.
Prétendre que les transsexuelles opérées et hormonées sont des femmes, et injurier ou menacer de procès ceux qui contestent cette opinion, c’est tout simplement du lyssenkisme, il n’y a pas d’autres mots.
Quant aux médecins qui acceptent de s’écraser devant les revendication délirantes des extrémistes du lobby LGBT, de peur d’être traités de “transphobes”, ils devraient avoir honte de manquer autant de courage. Personne ne devrait avoir à s’excuser sur ses opinions. Que ces médecins prennent exemple sur J.K. Rowling qui, elle, a refusé de s’excuser !
Visiblement, beaucoup d’hommes ne remarquent pas mon sexe, quand on voit l’effet foudroyant que j’ai sur eux. Même avec la voix, il n’est pas rare que cela passe. Récemment, un homme m’a draguée, je lui ai expliqué mon contexte mais il parlait mal le français. Il m’a offert des choses. Plus tard, je lui ai expliqué à nouveau sur Messenger pour être sûre, et il m’a bloquée. Je préférais que les choses se passent ainsi, je n’avais pas dit non par faiblesse de personnalité (quand on a vécu en homme, un homme très peu attractif de surcroît, on n’est pas habituée à cette abondance de partenaires potentiels, surtout que les chromosomes sexuels XY n’aident pas à acquérir la sélectivité nécessaire quand on vit socialement en femme), mais j’avais en tête certains faits divers.
Ovaires + uterus = femme , sexe féminin , production d’ovules.
Testicules + penis = homme , sexe masculin , production de spermatozoïdes.
Ca n’est pas le délire de certains qui y changera quoi que ce soit , c’est la réalité.
Mais la réalité n’a pas de véritable importance pour un esprit de gauche , c’est même sa définition .
Ce qui est préoccupant , c’est que ça puisse entrer dans de jeunes cerveaux .
Rééducation ?
En Belgique, toujours une longueur d’avance avec le mariage homo, l’euthanasie, etc., le “genre” ne sera plus repris sur la carte d’identité. Je mets “genre” entre guillemets, puisqu’il y a déjà confusion entre genre et sexe! Le “genre” n’a jamais été inscrit sur la carte d’identité, c’est juste le sexe biologique qui était mentionné!