J’ai décrit d’emblée la pandémie comme une guerre biologique lancée par la Chine, suivie d’une guerre psychologique enclenchée par l’OMS agissant au service de la Chine.
J’ai dit que la plupart des gouvernements occidentaux avaient saisi l’opportunité de la guerre psychologique pour faire peur à leurs populations et pour imposer des mesures très destructrices et dignes de régimes autoritaires. J’avais dit que tout cela avait permis les fraudes massives qui ont permis d’installer l’ignoble et destructrice administration Biden à la Maison Blanche. J’avais ajouté qu’avoir interdit l’utilisation de traitements qui soignent avait condamné des milliers de personnes à la mort, et que les responsables politiques qui avaient fait cela s’étaient conduits en criminels. J’avais ajouté que l’obligation vaccinale (qui ne dit pas son nom) conduisant au passeport sanitaire était une mesure très suspecte pouvant ouvrir la porte à la mise en place d’un contrôle généralisé sur les populations. Il manquait encore quelques éléments pour que j’aille plus loin.
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Les éléments auxquels je songeais commencent à se trouver mis au jour. Avant que l’administration Biden se mette en place et efface les données, au mois de Janvier dernier, des chercheurs du Center for Disease Control avaient signalé que l’essentiel des morts du coronavirus étaient en fait morts avec le Covid et pas morts du Covid, et ils ajoutaient qu’il n’y avait aux Etats-Unis qu’environ six pour cent des morts qui pouvaient être décrits comme morts du Covid, ce qui signifiait que quatre-vingt-quinze pour cent des morts répertoriés étaient mots d’autre chose que le Covid et avaient été testés positifs.
Les services de santé du gouvernement italien ont voici peu publié leurs propres données, et elles font apparaitre des résultats quasiment similaires : en Italie, seulement trois pour cent des morts “du” coronavirus sont effectivement morts du coronavirus, quatre-vingt-dix-sept pour cent sont morts d’autre chose et ont été testés positifs.
Les données pour d’autres pays permettant de distinguer entre morts du coronavirus et morts avec le coronavirus ne sont pas disponibles.
En France, a été publié le décompte des journées d’hospitalisation pour l’année 2020. Il est accablant : les personnes atteintes par le coronavirus ont représenté 11 pour cent des personnes placées en réanimation, 5 pour cent des personnes placées en soins critiques, et deux pour cent des personnes hospitalisées. Cela signifie que le nombre des personnes gravement atteintes par le coronavirus, et le nombre de morts du coronavirus a été bien plus faible que les chiffres officiellement annoncés.
Des gouvernements occidentaux n’ont pas seulement saisi l’opportunité de la guerre psychologique pour faire peur à leurs populations et imposer des mesures très destructrices, dignes de régimes autoritaires : ils ont menti et se sont conduits en acteurs de la guerre psychologique. La peur a été un instrument politique basé sur le mensonge asséné massivement.
Et oui : avoir interdit l’utilisation de traitements qui soignent a condamné des milliers de personnes à la mort, et de nombreux responsables politiques se sont conduits en criminels. On peut même parler de crime de masse.
On sait depuis le commencement que la combinaison hydroxychloroquine plus azithromycine, plus zinc fonctionne, et les autorités des Etats occidentaux n’ont pu l’ignorer. Aux Etats-Unis, les grands médecins qui ont proposé la combinaison (Harvey Risch, Scott Atlas, John Ioannidis, Vladimir Zelenko) ont été ignorés ou ridiculisés : imaginez ! Ils ont dit qu’il était possible de soigner les malades, et ils ont soigné ! A-t-on idée ! En France, deux très grands professeurs de médecine ont utilisé la combinaison pour soigner et ils ont soigné eux aussi. Quel scandale ! Le professeur Perronne a perdu le droit d’exercer, le professeur Raoult a été convoqué par les Diafoirus du Conseil de l’ordre. On sait depuis des mois que l’ivermectine est très efficace. Elle est elle-même diabolisée. Les anticorps monoclonaux sont très efficaces aussi, et gratuits et disponibles en Floride, très peu ailleurs. Dans plusieurs régions de l’Inde, on distribue aux personnes ayant des symptômes ou ayant été testées positives un kit gratuit à base d’ivermectrine appelé Ziverdo. On ne le fait nulle part dans le monde développé. Il est vrai que le kit ne coûte pas cher, qu’il ne peut pas rapporter des milliards aux grands laboratoires, et que sa distribution serait très nuisible pour l’obligation vaccinale (qui ne dit pas son nom) et pour les passeports sanitaires. On passe dans plusieurs pays maintenant à l’enfermement des non vaccinés : à quand les camps d’internement et de rééducation ?
Je pourrais ajouter une fois encore que des personnes atteintes d’autres maladies graves, tel le cancer, n’ont pu être soignées pendant la “crise” du coronavirus et ont vu leur état s’aggraver : des milliers d’entre elles sont mortes fautes de soin.
Je pourrais dire une fois encore que les vaccins ont des effets secondaires et ont entrainé diverses maladies graves, parfois la mort. Même si le nombre de personnes ayant vu se déclencher des maladies graves en raison du vaccin et le nombre de morts du vaccin se chiffrait en milliers et ne représentait pas statistiquement une proportion très importante, ces personnes ne sont pas des cobayes. Dans le passé, des utilisations de vaccins ont été stoppées quand des effets secondaires moins nombreux que ceux constatés pour les vaccins contre le coronavirus chinois ont été constatés. Présentement, rien n’est arrêté, et effets secondaires et morts sont occultés. Ce qui est très suspect. Mais comment pourrait-on imposer l’obligation vaccinale et les passeports si l’occultation n’existait pas ? Désormais, on cherche même à imposer l’obligation vaccinale aux enfants dès l’âge de cinq ans, alors que les enfants de moins de seize ans qui sont tombés malades et qui n’avaient aucune comorbidité sont en nombre infiniment petit !
On peut espérer que, si les sociétés dans lesquelles nous vivons redeviennent démocratiques (elles ne le sont plus) et si la liberté de l’information est rétablie (ce qui impliquerait qu’il existe davantage que deux ou trois journalistes honnêtes et non cérébralement lessivés dans chacun des pays européens (aux Etats Unis il y en a un peu plus), tout sera analysé en détail et fera l’objet d’investigation. J’ai dit, dans une vidéo réalisée pour goldnadel tv, que si tout est mis au jour, cela pourrait être l’un des plus grands scandales de l’histoire du monde occidental.
Je ne peux m’empêcher de penser à ce que Klaus Schwab, grand prêtre de Davos, a dit au début de la pandémie : “C’est une extraordinaire opportunité. Plus rien ne sera comme avant”. Plus rien aujourd’hui n’est comme avant. Une large partie du monde commence à ressembler au monde rêvé par Klaus Schwab, par Bill Gates qui est le deuxième financier de l’OMS, derrière la Chine, et par quelques autres multimilliardaires. C’est un monde qui a des tonalités chinoises : le modèle chinois séduit Klaus Schwab, Bill Gates, d’autres milliardaires. C’est un monde qui ressemble à un cauchemar pour tous les humains épris de liberté.
Je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a eu fabrication de la pandémie à des fins liberticides. Et je suis inquiet pour le futur. Bien plus inquiet que je ne l’ai été depuis longtemps.
Tout ce que j’écris ici est vérifiable. Que ce soit vérifiable n’a aucune importance aujourd’hui. Un océan de désinformation submerge tout, et les désinformateurs utilisent un mot magique : “complotisme”. Ils appliquent le mot à la vérité sur la pandémie, comme à la vérité sur le grand remplacement, sur ce qu’est l’islam, sur le dérèglement climatique, sur la fraude électorale de novembre 2020 qui a installé l’administration Biden au pouvoir aux Etats-Unis.
Build Back Better. Reconstruisons-en mieux, a dit Schwab. Pour reconstruire, il faut qu’il y ait eu destruction au préalable. La destruction est en cours. La reconstruction est enclenchée. Nomenklatura au sommet. Plèbe en dessous.
Une chanson de John Fogerty, écrite dans un autre contexte et à une autre époque, dit : “Long as I remember the rain been comin’ down, Clouds of mystery pourin’ confusion on the ground, Good men through the ages tryin’ to find the sun, And I wonder, still I wonder, who’ll stop the rain ?”.
La question se pose : “who’ll stop the rain ?”.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
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le lessivage des cerveaux me semble irréversible chez beaucoup de personnes qui approuvent la dictature sanitaire mise en place par Klaus Schwab et les gnomes de Davos.
Les GAFA contrôlent tous les flux d’information avec la bénédiction des progressistes.
L’heure est aussi noire qu’en septembre 1939 avec le dépeçage de la Pologne par les deux pays socialistes qu’étaient le Troisième Reich et l’Union Soviétique. Cela n’empêcha pas les Parisiens de jouir de leurs menus plaisirs en occupant les terrasses des cafés. C’est la même chose aujourd’hui avec ces vaccinés droits dans leur bottes qui jouissent du pass sanitaire.
Quand l’histoire se répète, le prix à payer est le double. Mais qui connaît encore l’histoire aujourd’hui ?
Très bonne analyse, monsieur Martoïa .Merci.
« le lessivage des cerveaux me semble irréversible chez beaucoup de personnes qui approuvent la dictature sanitaire mise en place par Klaus Schwab et les gnomes de
Davos. »
C’est tout à fait ça, du moins si je me fie aux gens (parents ou amis) avec lesquels je suis
restée en contact. Ceux qui les connaissent, au moins de nom, ne veulent pas entendre parler de Klaus Schwab et des « gnomes de Davos », mais la plupart ne savent même pas de qui on parle!
Alors « l’histoire qui se répète » …
Vous visez juste en mentionnant qui connaît encore l’histoire aujourd’hui ?
PERSONNE et surtout pas les générations BOOMER et les suivants. Moi a mon Age quelque peu avancé mais non sénile a la BIDEN je peux encore être clairvoyant et me rappeler l’histoire. Heureusement je ne verrai pas la suite d’ici les quelques années qui me reste sur cette terre. Ne me demandez pas si je veux revivre ces années, je ne me vois pas a vingt ans aujourd’hui. La CHINE COMMUNISTE sera le grand leader de ce monde autoritaire appuyé par l’ex URSS qui au fonds est la même avec POUTINE ce merdique personnage de l’ex KGB. Notre civilisation occidentale est en danger de mort.
Merci pour cet article très courageux! Cette pandémie artificielle est simplement le plus grand crime jamais commis en ce monde (on est d’accord c’est pas peu dire), c’est le monde lui-même qui est devenu le camp (même s’il faut en effet s’attendre à voir apparaître de plus en plus de camps dédiés à la mort à l’intérieur du camp global). Seul le Seigneur arrêtera cette pluie, mais s’il ne l’a pas encore fait c’est que nous devons la mériter.
Il ne faut pas être fataliste. Le combat n’est pas achevé.La dictature mondiale n’est pas encore pleinement en place.
Mr Milliere
En effet tout n’est pas encore en place mais ATTENTION
CHINE COMMUNISTE avec XI Jinping associé a L’OMS
RUSSIE ET BIOLORUSSIE qui ont créé un problème a la frontiere polonaise suite
a leur comportements concernant l’union Européenne et l’Ukraine.
Il est peut être tôt pour l’aventure d’une guerre mais attention aux possibles dérapages.
Merci Monsieur Millière. Vos écrits sont émouvants, que sommes-nous devenus? Les criminels destructeurs avancent et divisent nos sociétés.
Merci encore pour nous avertir des dangers auquels nous sommes confrontés.
Merci à vous
Zéro naïveté, une profonde lucidité et un cerveau totalement imperméable au lessivage. Vos mots sont un phare dans la nuit !
Le Covid c’est comme l’immigration en France, il suffit d’une paire d’yeux pour comprendre ce qu’il en est …
Merci infiniment
La destruction est en cours, en effet. Elle a débuté tout doucement il y a plus d’un demi-siècle, elle bat son plein actuellement, mais en même temps la machine à gommer les faits commence à s’essouffler : on en vient à réaliser qu’elle existe bel et bien.
Merci, monsieur Millière, pour cet article lucide et ô combien courageux!
Merci infiniment
Aujourd’hui on retrouve le même esprit d’arrogance qui animait pharaon et les contemporains de Noé.
Dieu par une nuée s’est placé entre Israël et l’armée de Pharaon.
Jésus révélera « bientôt » toute sa puissance.
Résurrection et enlèvement en un éclair.
Notre espérance en Lui n’est pas vaine.
Tenons fermement par la foi.
Les effets “secondaires” des vaccins covid ne sont pas négligeables.
Il y a énormément de thromboses, myocardites….., et plus de 20 000 morts en Europe.
Attention ! Les thromboses et les myocardites ne sont pas arrivées avec le vaccin ! Détenez-vous des statistiques montrant que le nombre de décès par thromboses ou myocardites aurait fortement augmenté en 2021, depuis que le vaccin est largement diffusé ?
L’interview d’un medecin Français qui exerce au Luxembourg et qui a pu soigner ses patients, qui confirme que chez ceux qui ont été vaccinés, beaucoup d’effets secondaires et d’autres bizzareries qui ne s’expliquent pas même avec des analyses approndiess sur ces patients .
https://resistancerepublicaine.com/2021/06/24/le-covid-qui-ren
d-fou-un-an-de-suspension-pour-le-docteur-ochs-qui-a-euloutrecuidance-
de-soigner-ses-malades/
Vous avez absolument raison ! Ce totalitarisme s’applique à tous les domaines pour nous faire avaler la pilule ! Dans notre minuscule Belgique (avec pourtant 9 ministres de la santé !), les plus zélés en la matière sont le PS et les écolos ! Sur un plateau-tv, une seule personne lambda a jeté un pavé dans la marre par ce sms : ” je voyage beaucoup…pourquoi est-ce seulement en Europe de l’Ouest qu’existe cette hystérie collective des autorités face au Covid ???”
En mars 2020 sur Twitter, j’avais évoqué que ce virus avait été délibérément lâché dans la nature par le PCC , je m’étais quasiment fait insulter sur Twitter, à l’époque la bien-pensance nous disait que le pangolin était fautif. Aujourd’hui nous savons que ce virus a été fabriqué dans le laboratoire P4 de Wuhan, et qu’il a probablement été lâché intentionnellement dans la nature . J’ ai quitté la plate-forme totalitaire Twitter le 20 janvier 2021 , date funeste pour les USA.
Professeur Millière, merci pour cet article et pour tous les autres qui nous consolent dans la mesure où cela se peut. Peut-être un jour, les gens intelligents prendront le pas sur les débiles qui nous font marcher sur la tête. A 93 ans, je ne le verrai pas, mais, ainsi que le disait mon Mari, il vaut mieux actuellement être près du tombeau que près du berceau.
Bonjour M Millière,
Si je suis en accord avec vos propos,et c’est là l’essentiel, sur les causes de cette pandémie, je suis bien plus circonspect sur d’autres aspects de votre article.
Ainsi, concernant la surmortalité, celle-ci n’est pas celle que vous décrivez.
Par exemple, selon le bilan de l’Université John Hopkins, le coronavirus a causé une surmortalité aux USA de 16% en 2020 !
En Italie, selon le bureau national de la statistique (ISTAT), la surmortalité s’établit à 15,6%.
En France, on compte 55 500 décès de plus en 2020 que l’année précédente.
Parallèlement, l’Allemagne, moins touchée en 2020 n’a pas connu de surmortalité notable.
En Russie, elle est par contre très importante.
On voit que l’épidémie a bien eu un réel impact, variable selon son intensité dans les pays touchés.
Ensuite, sur les traitements, si j’imagine sans peine le cynisme qui amènerait des gouvernement socialistes à les interdire, je ne puis penser que des Etats comme le Texas se laisseraient corrompre. Idem pour des gouvernements conservateurs et/ou libéraux européens comme l’Autriche ou les Pays-Bas.
Pourtant, ceux-ci n’ont pas interdit l’hydroxychloroquine, l’ont peu prescrit, et paient un lourd tribut au covid.
La Floride que vous citez a connu, traitement ou pas, une vague mortelle comptant jusqu’à 400 morts par jour en septembre. Elle s’en sort péniblement mais compte aussi un taux de vaccination non négligeable.
Tout cela pour dire que, si l’origine du virus chinois est établie, son impact demeure, selon moi, réel et massif et les traitements, n’ayant pas été utilisés à l’échelle d’un Etat, ne me semblent pas convaincants.
Ni l’Hydroxychloroquine ni l’Ivermectine ne sont autorisées par la FDA comme traitement pour le covid19. Les associations médicales refusent par conséquent de les reconnaître. Résultat la plupart des médecins ne les utilisent pas et les hôpitaux refusent de les administrer malgré la demande expresse des patients. Même sur base externe les médecins ne les utilisent pas de peur d’être poursuivis pour faute médicale en cas de problèmes, dans ce cas leur assurance responsabilité professionnelle les laissera tomber. Pourtant ces deux médicaments sont très peu toxiques et ne coûtent presque rien.
LA FDA et Le CDC sont à blâmer pour avoir rejeté ces deux molécules dont l’efficacité est démontrée, et pour avoir accepté le Remdesivir qui est toxique, inefficace et très cher.
C’est un fait que les patients décédés avec le covid sont considérés comme étant décédés du covid. Il s’agit là d’une directive contraignante du CDC, elle a pour résultat de gonfler artificiellement le nombre de victimes du covid. Ajoutez à cela le fait que les hôpitaux reçoivent plus d’argent quand il s’agit d’une infection au covid, ce qui les motive à étiqueter Tous les patients porteurs du covid comme étant malades du covid. Bien entendu cela a pour effet de gonfler les chiffres de morbidité et de mortalité.
Cet avis de la CDC est contraire à l’usage connu, à savoir que la cause du décès est habituellement attribuée à la maladie chronique sous-jacente à condition qu’elle soit sévère. C’est ainsi que les patients dont la cause officielle de décès avant la pandémie était l’emphysème sévère ou l’insuffisance cardiaque, décèdent depuis février 2020 du covid si leur test PCR est positif et ce même si le covid n’a pas contribué à leur décès.
La FDA et le CDC donnent le ton partout en Occident. Les patient décédés réellement du covid n’ont pas bénéficié de traitement sur base externe au début de leur maladie. Il s’agit là d’une faute collective très grave dont tous les intervenants sont responsables y compris les médecins. Ces derniers se sont laissés manipuler et contrôler et ont choisi d’obéir aux ordres des autorités plutôt que de suivre ce que leur conscience leur dictait de faire.
Ce n’est pas agréable d’avoir des dizaines de milliers de morts sur la conscience, mais c’est gérable et pour cela il suffit de serrer les coudes et de jouer le jeu politique. En d’autres termes c’est l’État qui est le véritable médecin. Les médecins, eux ne sont que les exécutants de la politique sanitaire. Pour ne pas apparaître sous leur vrai jour, c’est à dire des lâches, ils se désolidarisent des patients et s’accrochent à la barque de l’État, espérant qu’elle continuera à flotter. Pour l’y aider ils écopent sans relâche.
Pour ce qui est des vaccins je vous suggère de prendre connaissance de mon prochain commentaire.
Monsieur,
Comment peut-on démontrer que l’hydroxychloroquine serait efficace si sa prescription est interdite ?
Pour que cela soit démontré, il faudrait qu’un Etat avec un taux d’infections important possède un taux de létalité faible sans recours à la vaccination et avec une prescription généralisé du protocole Raoult. Il n’y a pas d’exemple de cela On voit, par exemple, le RU avec un nombre important de cas et relativement peu de décès. Mais le RU est vacciné à 75%. M Millière cite la Floride mais cet Etat a un taux de décès de plus de 2800/million d’habs.
Je ne crois pas au complot mondial. Ainsi, vous ne me ferez jamais croire qu’Israël se serait laissé imposer de ne pas utiliser un traitement efficace. Israël joue avec succès le jeu de la vaccination. Cela suffit à me convaincre.
L’obligation vaccinale est-elle justifiée?
Je me suis posé cette question et pour y répondre je me suis astreint à faire des calculs en me basant sur les statistiques du Québec. À noter que les résultats que j’obtiens sont transposables ailleurs en Occident.
Je pars d’une hypothèse favorable aux vaccins en supposant que s’ils étaient disponibles avant la pandémie et que 100% de la population était vaccinée, il n’y aurait pas eu de décès causé par le covid19. Bien entendu cette hypothèse maximaliste ne tient pas compte de la réalité parce que les vaccins sont au mieux efficaces à 90% et au pire à 40% selon l’âge, l’état de santé et le temps écoulé depuis la vaccination.
La question que je me suis posée est celle-ci : combien de personnes faut-il vacciner pour sauver une seule vie?
Sachant que le risque de mourir d’une infection au covid19 augmente avec l’âge et que la tranche de population la plus à risque est celle qui dépasse les 80 ans. J’ai jugé important de répondre à la question en analysant séparément chaque groupe d’âge.
Calculs statistiques
Nombre total de décès du covid19 au Québec depuis le début de la pandémie : 11 433 décès
On dénombre : 417 832 cas confirmés
Taux de décès : 2.736%
Population du Québec : 8,574 571 millions (janvier 2020)
Répartition des décès selon l’âge au Québec :
90 ans et plus……………….. 32.2%………….3681 décès
80-89…………………………… 38.9%…………..4447 décès
70-79…………………………… 19.5%…………..2229 décès
60-69……………………………..6.5%…………….743 décès
50-59………………………………..2%……………..229 décès
<50…………………………………0.9%……………..103 décès
Taux de décès >80 ans …….8128 : 408 444 = 1.99%
Taux de décès 60-79 ans ….2972 : 1 902 165 = 0.156%
Taux de décès < 60 ans ………332 : 6 263 962 = 0.0053%
Si on assume que la vaccination contre le covid19 aurait pu sauver toutes ces vies et que 100% de la population aurait été vaccinée, combien de personnes devrait-on vacciner pour sauver une seule vie.
Tous âges confondus : population du Québec 8.574 571 millions : nombre de décès 11433 = 750 personnes à vacciner pour sauver une seule vie
Par répartition d’âge
80 ans et plus……………… 3681 décès (> 90) + 4447 (80-89) = 8128 décès
Population > 80…………… 408 444 : 8128 = 50 personnes de plus de 80 ans à vacciner pour sauver une seule vie
60-79 ans…………..2229 décès (70-79) + 743 décès (60-69) = 2972 décès
Population 60-79 ans …….1 902 165 : 2972 = 640 personnes de 60 à 79 ans à vacciner pour sauver une seule vie
< 60 ans……………………………229 décès (50-59) + 103 (<50) = 332 décès
Population < 60 ans………….1 780 056 + 2 190 378 + 2 293 528 = 6 263 962: 332 = 18 867 personnes de < 60 ans à vacciner pour sauver une seule vie
Compte tenu du fait que l’efficacité des vaccins est inférieure à 100% les résultats obtenus pour chaque groupe d’âge sous-évaluent le nombre de personnes à vacciner pour sauver une seule vie. Il est à mon avis réaliste d’ajouter 20 à 30% aux résultats pour refléter la réalité.
Pour évaluer l’efficacité réelle des vaccins il faut inclure dans l’équation les décès, les complications et les effets indésirables dus à la vaccination. Il est clair que pour le groupe d’âge inférieur à 60 ans les bénéfices escomptés ne contrebalancent pas les risques.
Les gouvernements le savent et pourtant ils ont décrété l’obligation vaccinale pour tous les gens qui mènent une vie active y compris pour ceux qui ont développé une immunité naturelle suite à une infection au covid19.
Conclusions :
· L’obligation vaccinale pour les personnes âgées de moins de 60 ans n’est pas justifiée. Elle est même contrindiquée compte tenu des risques inhérents à la vaccination.
· Vacciner massivement les jeunes est dérogatoire à l’éthique médicale.
· Les gouvernements qui ont décrété l’obligation vaccinale poursuivent des objectifs qui n’ont rien à voir avec la santé publique.
· Le refus de se faire vacciner est amplement justifié.
Je demeure ouvert à la discussion.
Sans m’astreindre à des calculs aussi savant, j’ai comparé les courbes de mortalité des pays lors des vagues successives, avant et après la vaccination.
On constate que la létalité de ces vagues est 5 fois moins importante dans les pays où la vaccination a été un succès (RU, Espagne, France, Italie, Portugal,…). A contrario, les pays où la vaccination patine connaisse une nouvelle vague délétère (Russie, Hongrie, Autriche,…).
Israël où l’épidémie est maitrisée nous démontre l’utilité de la vaccination et l’efficacité du rappel.
La vaccination est utile pour ceux qui ont dépassé la soixantaine et qui sont porteurs de maladies chroniques. Elle permet statistiquement de réduire la morbidité et marginalement la mortalité. Mais chose certaine elle n’empêche pas la transmission de l’infection. En cela elle crée un faux sentiment de sécurité dont l’effet sur le plan pratique est de contribuer à la propagation de l’infection.
Elle s’avère inutile pour les moins de 60 ans et certainement nuisible. Bien plus nuisible que les gouvernements qui poussent la vaccination ne sont disposés à l’admettre.
Que vaut un vaccin dont l’efficacité s’évapore à moins de six mois? Les injections de rappel ne font qu’augmenter le risque d’effets indésirables, pour un effet préventif symbolique.
Sur le plan épidémiologique l’échec des vaccins est patent. Cet échec les gouvernements aidés en cela par les média font tout pour ne pas en parler. Pour rappel ils étaient supposés créer l’immunité collective qui aurait mis fin à la pandémie. On le voit les “experts” se sont trompés et continueront de se tromper pour la raison qu’il refusent d’admettre les éléments fondamentaux, à savoir que le coronavirus est un virus ARN qui mute constamment, qui est donc instable et pour lequel les vaccins ne constituent pas une solution.
Seuls des agents thérapeutiques viendront à bout de ce virus et ils ne peuvent être que multiples. Un seul médicament ne suffit pas; à l’exemple du SIDA cela prend une association de médicaments administrés dès le début de l’infection pour en venir à bout.
Israël est loin de constituer un exemple à suivre. On confond contrôle de la pandémie avec la fin d’une vague. La vague de l’hiver dernier à peine terminée en juin, a été suivie par la vague Delta en Juillet alors que l’effet du vaccin était encore présent. Et on continue à parler de succès!
La mer est agitée et d’autres vagues s’en viennent. Mais voilà les gouvernements s’obstinent et ne veulent pas admettre que les mauvais choix d’hier n’offrent rien de bon pour demain. Cette obstination c’est le refus d’admettre ouvertement l’échec et surtout les choix désastreux en terme de gestion de la pandémie et ce tant sur le plan préventif que sur le plan thérapeutique.
Un peu d’humilité et d’autocritique de la part des gouvernements ne feraient pas de mal. Notre rôle ne consiste pas à approuver leurs mauvais choix mais à les pousser à en faire de meilleurs. Pour cela nous devons renoncer à la partisannerie et faire usage de notre esprit critique.