Lors d’une scène très particulière dans l’ancienne Jérusalem commençant et se finissant sur une tentative de lapidation, on peut voir, dans la première partie du chapitre, les scribes et pharisiens placer le Christ face à une situation embarrassante : une femme « surprise en situation d’adultère ».
Jésus démontre alors les préjugés des accusateurs à l’encontre de la femme, lesquels se croient moralement supèrieurs à elle alors qu’ils manquent d’empathie et de cette capacité à s’imaginer eux-memes dans une sitution similaire pour mieux juger (par ailleurs,il n’est pas certain que cette accusation ne soit pas inventée).
« Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre », leur lancera Jésus.
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Par ce propos désarçonnant, Il obtient la miséricorde en faveur de la femme.
Il rappelle donc à ceux qui la jugent qu’ils ne sont pas plus innocents qu’elle, et ce, faisant, qu’ils appartiennent à la même humanité même si leurs titres leurs donnent une position supérieure à d’autres citoyens dans la cité. Le dialogue entre Jésus et ses adversaires, est ce qui va permettre l’acquittement de la femme en obligeant les juges à reconnaître qu’ils doivent eux-mêmes d’abord reconnaître la vérité (ils sont eux-mêmes imparfaits ou en langage religieux et dans ce contexte « pêcheurs ») pour être des hommes libres (ici au sens similaire du mot employé dans la Grèce ancienne, au sens de « responsables ») et être ainsi aptes à porter un jugement lui-même libre, fondé sur des faits constatés, vérifiés (rappel: 2 témoins sont obligatoires selon la loi juive d’alors, et ce, dès l’époque de la réception de la Tora) et des principes justes, non pas sur des pré-jugés ou des logiques sacrificielles par lesquelles un groupe cherche à se sentir plus uni en excluant ou condamnant la figure la plus faible du groupe (ici, la femme). Sur ce dernier point, des logiques sacrificielles et leur fonctionnement, on relira avec intérêt « La violence et le sacré » du fameux anthropologue René Girard.
En disant « Si vous demeurez dans ma parole, vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libre ! » (Jean 8 à écouter), Jésus les interpelle sur ce qui les maintient enchaînés (il peut s’agir pour les uns, de leur a-priori et éducation, pour les autres, des biais d’interprétation du réel qui découlent de leur passé/leur histoire, pour d’autres encore, de possibles obsessions ou traumas etc.).
Cela comprend ce que l’on croit au sujet de soi-même et de la pression du groupe à laquelle l’on se soumet souvent trop naturellement.
L’idée forte du passage est qu’en partageant ce qu’est la vérité, cela éclairera chacun sur la manière dont il se ment à lui-même ; cette mauvaise foi nous empêche d’accéder à l’expérience de vie que constitue la parole de Dieu.
Ce faisant, on observe un déplacement sémantique concernant le sens du mot « péché »: ce n’est plus simplement mal faire et/ou faire mal.
C’est rater ce pour quoi l’on a été créé ; la vocation ou mission particulière à laquelle Dieu nous appelle.
Opposé à la notion de « destin » qui nous enferme dans nos limites en les faisant apparaître comme évidentes et définies (et par-là, définitives), la Bible nous invite au contraire à une mise en dialogue – et même un débat, comme on le voit avec Jésus dans les jardins de Ghestemane ou Job se plaignant à Dieu – de l’humanité qui nous habite avec l’inconnu de Dieu qui constitue la quête du croyant.
Et l’objectif en est la transformation de soi vers la vertu et l’amélioration qui en découle pour la société.
Chaque fois que l’on refuse de prendre cette distance avec soi-même pour y laisser exister le droit au questionnement entre soi et la société d’une part, entre soi et Dieu d’autre part, on se retrouve comme psychologiquement « blessé », car l’on se contente de suivre le discours dominant de la société dont l’objectif est plus de réagir que d’agir (préventivement et dans une perspective de bienveillance, cette dernière n’existant par a-priori que dans peu de sociétés) ; et dans tous les cas, d’assigner chaque individu à une simple fonction socio-économique et non pas d’aider la personne à se transformer en accédant à une vie riche en sens par la construction de sa personnalité, en s’inspirant tout justement de ces valeurs de l’Évangile.
Pour finir ; il est important de faire savoir que Jésus se démarque ici de deux autres démarches sur la question de la valeur première, c’est-à-dire celle dont puisse découler naturellement toutes les autres vertus ou qualités possibles.
Pour Aristote, c’est le courage, pour Einstein, c’est l’imagination.
Ces deux perspectives sont très intéressantes aussi.
Mais pourquoi Jésus a-t-il choisi la Vérité comme valeur première ?
Nous pensons pouvoir répondre que seul un rapport premier authentique à la vérité – à son accueil et acceptation – est en mesure de contenir ces deux vertus du courage et de l’imagination qui ouvrent à leurs tours tous les possibles, alors que l’inverse n’est pas si évident. En effet, on peut avoir du courage, mais si par ailleurs, on est hors de la vérité ou si l’on se ment à soi-même pour une raison quelconque, on a peu de chances de construire une vie réussie.
Si par ailleurs, l’on a l’imagination fertile au point de faire passer au second plan – voir de perdre contact avec – le rapport premier à la vérité, on est aussi en danger.
Ainsi donc, le rapport premier au monde, s’il est perçu à travers le prisme de la vérité, peut ensuite laisser la personnalité se développer vers toutes les valeurs et dispositions de l’esprit plus complexes que sont le courage, l’imagination et d’autres encore.
Daniel Frédéric Gandus
Philosophe de la religion et du politique, Ancien Chercheur à La Sorbonne et Conférencier international
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merci pour tous ces articles spirituels qui me confortent dans ma foi . Il faut rappeler que dreuz est un site Chrétien .
Certains gauchistes sur le site qui font croire qu’ils sont de droite ( ils se reconnaitront ) cherchent à détourner les Chrétiens de leur foi et de leur amour pour Dieu .
Ils sont l’équivalent du serpent qui a détourné Eve : nous tromper et nous manipuler pour nous détourner du Christianisme .
En ce qui me concerne , ils sont certains d’échouer . J’aurai la foi jusqu’à mon dernier souffle .
Pour en revenir au sujet de l’article , le sujet est d’autant plus important que nous vivons une période ou la vérité est en danger , ou la vérité est devenue le mensonge , nous sommes dans l’inversion des valeurs .
Il est donc important de continuer à se battre pour la vérité meme en subissant la pression de la gauche qui voudrait en finir définitivement avec la vérité dont découle la liberté .
Vous avez bien compris la raison de ce texte. La vérité, aujourd’hui, n’a plus de valeur, puisqu’il suffit de créer la campagne de marketing adaptée à un message quelqu’il soit, pour qu’il soit entendu. Et cela a mené au renversement des valeurs où les derniers sont les premiers et les premiers les derniers, prophétie des Evangiles, ce que l’on voit tous les jours en politique et maintenant avec les coups fourrés de Big pharma (voir l’avancée de l’enquête sur Pfizer et Fauci aux USA, en plus du texte où Grumberg détaille la liste des attaques en justice contre ce groupe qui n’en n’est pas à son premier coups). Fatigué de devoir parler de ces choses là, j’ai préféré aller directement à l’essentiel avec ce commentaire, car, bien que de nature pessimiste, je suis conscient qu’il est plus important de reconstruire l’espoir plutôt que s’attarder sur nos blessures.
Je n’aurais pas pensé que cette réflexion évangélique comportait des arrière-pensées antivax…Pour ma part, je viens de recevoir la 3ème dose Pfizer, et je crois que dans mon cas c’est le choix le plus raisonnable, pour moi-même et pour ceux que je côtoie.
Et oui, « qu’est-ce que la vérité » ? Comme le disait Ponce Pilate, qui préconisait aussi le lavage des mains.
Le sujet était déjà viral à l’époque !
Les arrières-pensées en question concernent de nombreux problèmes liés à la post-modernité et sont nettement plus larges qu’antivax. Mais comme vous l’avez bien compris, celles-ci y sont incluses. Je comprends que l’on puisse souhaiter se faire vacciner et chacun doit être libre de ses choix.Il est possible aussi que pour certains et leurs pb de santé, ce soit un choix a-priori positif (Je reste très inquiet en découvrant ce que nous aurions dû savoir dès le début: la composition détaillée du contenu des vaccins.Cela ne nous est parvenu que très tardivement et nos amis de Résistance Républicaine ont traduit une analyse très détaillée d’un Dr américain indépendant à ce sujet). Pour ne retenir que les moins inquiétants des composants, on y trouve de la silicone, de l’oxyde de graphène (normalement utilisé pour la prochaine génération des cartes-mères d’après un informaticien avec qui je travaille) etc…et on ne voit pas en quoi ces matériaux devraient être présent dans le corps humain.Mais pour revenir à l’essentiel de ce qui nous occupe, prenons l’exemple de ce qui s’est passé aux USA récemment: un Chrétien a posé la question à un prêtre sur la possibilité de lire à travers les interdictions liées à un pass sanitaire généralisé quelque chose qui ressembleraient déjà à « la marque de la Bête » par laquelle l’on ne pourra plus vendre ou acheter si l’on ne s’y soumet pas. Bien qu’on n’en soit pas encore tout à fait là (mais pas loin non plus), personne ne peut honnêtement nier le bon sens de la question venue de ce « simple croyant » face à l’expert des textes. Et savez-vous ce que lui a répondu le prêtre? Qu’il ne croyait qu’en la version historiographique de la Bible!
L’historiographie est certes capitale pour pouvoir resituer le contexte avant un commentaire. Et moi-même, j’ai préféré faire de la philosophie de la religion plutôt que de la theologie car l’esprit critique y est bcp plus autorisé.Mais une chose est sûre: ce prêtre américain est inconsciemment un post-moderne radical qui rejoint sans s’en rendre compte les deconstructionnistes de la civilisation occidentale judéo-chrétienne car il a oublié que son rôle est d’offrir l’accès au symbolique, en dialogue -mais sans complicité ni soumission – à l’historiographie. Aujourd’hui coupée des enjeux de sens et symboliques qui font vivre les hommes, l’historiographie favorise malgré elle la primauté de la forme sur le fond, et se renforce du relativisme total. S’y ajoute le fait qu’en archeologie, les thèses n’arrêtent pas de changer en fonction des nouveaux de cadavres déterrés. C’est normal mais c’est le contexte du texte que cela change, pas la valeur de son message qui, lui, traverse le temps et dont on attend un commentaries qui donne à penser et à agir au présent de la part des prêtres, rabbins, philosophes etc.).
Quant à se passioner pour les cadavres eux-mêmes au lieu du message dont ils frente porteurs, laissons les morts enterrer les morts.;)
Or, le relativisme total – qui n’a plus rien à voir avec l’apport souvent libérateur de la modernité – et rejoint la post-modernité, a contaminé une grande part du monde, autant chez les religieux que dans les milieux oú s’élaborent les vaccins.Les grandes perdantes du relativisme totales, ce sont les valeurs elles-même ainsi que la possibilité même d’éduquer à celles-ci. On aurait plutôt aimé, sur ce point, que les représentants religieux, quelqu’ils soient, nous rappellent que – et questionnent ce fait et sa signification historique et symbolique – c’est la première fois dans l’Histoire qu’est lancé un projet de « thérapie génique » (plus exact que « vaccin »), encore en phase de test selon le peocessus imposé normalement aux vaccins, de 10 à 15 ans, et à l’échelle mondiale, sans droit au consentement éclairé et à l’information indépendante à laquelle chacun devrait avoir acces alors que le contrat imposé aux Etats-Nations par Pfizer est bourré de lignes barrées à l’encre noire (par ailleurs, comme vient de le révéler une ancienne employée de chez Pfizer reprise par des médecins de haut niveau anglais), le sous-traitant en etudes clinique de Pfizer a tres mal fait son travail de tests sur humains (Je ne parle même pas des tests sur animaux qui d’après les questions de la commission enquêtant sur les dire du Dr. Fauci, seraient presque tous morts). Même en Israël, où l’on ne cesse de vanter la HiTech (notre nouveau veau d’or?), les médias mainstream commencent à en parler et les « décideurs » ont (comme disent les jeunes), » « les boules ». Pour finir sur une note positive et ne pas désespérer les lecteurs,j avoue, cher Abbé Arbez, que j’aime beaucoup vos textes et que j’invite à les lire. Bien Cordialement.
Merci.
En tout cas j’ai apprécié moi aussi votre démarche dans cet article pour recentrer le débat sur l’essentiel, qui comme vous le dites ne se réduit pas à une technique de compréhension du texte, mais amène chacun à faire personnellement le pas vers la Vérité vivante, exprimée symboliquement et mystiquement à travers des mots certes humains mais inspirés d’En Haut.
J’espère que vous allez bien et que vous supportez bien cette dose comme les deux autres. Je vais le faire aussi, dans deux mois quand je serai éligible.
Bonjour Gandus, j’ai apprécié votre texte qui fait suite au titre (Jean 8:32). Il est vrai que choisir la vérité peut rendre impopulaire, mais auprès de qui ? Jésus ne l’était pas aux yeux des législateurs et chefs religieux.
Et j’ai fortement apprécié votre réponse à I love the USA. Sans vouloir prendre parti pro-vax ou non-vax, nous sommes abreuvés de mensonges anxiogènes, bien élaborés il est vrai par les pharmas et les médias qui sont devenus les dispensateurs de la peur.
Si, au moins nos concitoyens avaient le réflexe salutaire de regarder vers Celui qui est la Vérité et s’appuyer sur les promesses de notre Dieu, ils retrouveraient l’amour de la vérité et la certitude d’être libres.
Merci encore
Jean D. Vallotton, pasteur
petite correction à mon commentaire
Je voulais dire: Il est vrai que choisir la vérité peut rendre impopulaire, mais auprès de qui ? Jésus ne l’était-il pas aux yeux des législateurs et chefs religieux ?
Exact
Merci.Effectivement, il faut d abord aimer la vérité pour la chercher.Et ce n est pas pour rien que les modeles en cela ont svt ete des Justes souffrants et pas des specialistes en art de manipuler, fonction aujourd’hui majeure pour gagner des parts de marchés en contexte ultra-competitif
Merci. Oui, il faut avoir l amour de l verite pour la chercher. Aussi est ce sans doute pour cela qu elle vient plutot des justes souffrants que des specialistes en etudes du comportement dont le seúl objectif est de nous vendre la derniere junk-food à la mode.
Meilleure comme faire jamais lu sur l’avortement et ces « politiques de planning familial ». Un ancien Dr a ortega aux USA a cesse sa pratique après avoir vu au scanner un foetus ouvrir la bouche et « pousser comme un cri silencieux »face à l’instrument venu le détruire.
Diabolisé par ses pairs, il a abandonné son métier.
merci et votre commentaire est parfait . Il reflète totalement ce que je pense .
L’avortement est un meurtre , cette pratique barbare ainsi que le féminisme dans son ensemble ont détruit notre civilisation .
Le fait de sauver l’Occident passera par le fait de renouer avec les valeurs conservatrices .
C’est d’ailleurs ce qui a sauvé les pays d’Europe de l’Est après l’effondrement du communisme . Ces peuples avaient soif de spiritualité .
Que Dieu vous protège et continue de vous donner de la force dans la foi .
Oui. Il est intéressant aussi de voir qu en Afrique comme en Chine, bcp voient en le christianisme une force de resistance à l’oppression.Leur combat sera difficile et la question est de savoir si l’Occident reprendra courage pour les soutenir ou si cela va finir comme avec l’Islam.Si ces deux nouveaux poles chretiens sont renforcés, l’Occident pourra faire face aux ideologies qui n ont pas renuncies à le détruire.
Meilleur commentaire sur l avortement. Connaissez-vous l’histoire de l avorteur qui a dû s enfuir après avoir renuncia à sa pratique depuis qu il a vu au scanner le cri silencieux du foetus aporté?
« Le mot Dieu n’est pour moi rien d’autre que l’expression et le produit des faiblesses humaines, et la Bible un recueil de légendes vénérables mais malgré tout assez primitives . » « L’idée d’un dieu personnel m’est totalement étrangère et semble même naïve ». Einstein.
Einstein croyait en une intelligence suprême créatrice mais pas à un dieu auquel on puisse s’adresser et qui se préoccupe des humains.
+1000
Ah mais moi je n’ai rien dit, j’ai simplement cité Einstein.
Oui, mais il a dit aussi d’autres choses ambigües sur la question. Je pense que c’est un moyen de ne pas mêler scienxe et religion. Ce qui se comprend parfaitement. Il n en reste pas moins qu’il a participé à l’idée d' »intelligent design » ds son domaine, manière de dire sans dire qu’il y a qq chose comme un esprit derrière les mathématiques de la nature
Oui, peut-être, mais ça ne change rien au fait qu’il ne croyait pas à un dieu qui se préoccupe des êtres humains.
Disons surtout que vous choisissez volontairement les citations d’Einstein qui vous arrangent, as usual. Celle ci, par exemple, ne va pas du tout dans le sens que vous souhaitez :
« Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito. »
Une illustration de plus de vos comportements, à tout vouloir rentrer en force dans des petites boites qui vous arrangent et vous rassurent… Ajoutons la cuistrerie de venir provoquer sur un site chrétien, à venir y cracher sur les croyances desdits chrétiens, mais bon, là aussi, rien d’étonnant vous connaissant…
Bien envoyé Gally .
Et quand quelqu’un tente d’apporter des arguments contraire à son athéisme , elle vous souhaite simplement d’échouer dans vos projets et de finir dans la misère comme à moi hier .
J’avoue qu’on m’avait rarement dit quelque chose d’aussi blessant et ce d’autant que c’est de ma réussite futur que dépend ma famille et notamment ma mère qui vit avec une petite retraite de 900 euros .
Elle jubile sans doute à l’idée que ma mère puisse finir dans la misère .
Ceux qui onr une vie intèrieure (qu’il s’agisse de spirituality, d’art ou de pensée) intense sont très souvent haïs, car ceux qui n’en n’ont pas sentent bien qu’ils en sont dépourvus et ressentent que ce vide ne se comble pas facilement mais requiert un long travail que rien des choses materiales ne peut acheter ou leur apportet. C’est un peu le genre de sentiment décrit par la Bible concernant Caïn juste avant le meurtre d’Abel.Il faut faire attention à qui vous entoure car, comme le disait notre regretté ami Dantec, il semble bien que « seuls les paranos survivront ».
Très juste, d’où la tyrannie de la transparence, les confessions impudiques, les « coming out », prônée par les nihilistes que rien n’habite : n’avoir rien à cacher, c’est n’avoir rien à montrer…
Exact
Bon sens de la replique. Les trxtes d’Einstein sur Dieu sont ambivalente et je pense que c est voluntariedad pour qu’on ne sache rien de ce qu il en pense
Il existe plusieurs formulations de Dieu (le terme n’est pas dans la Bible!) avec des sens divers…Ne mettez pas tout dans le même sac, ne serait-ce que par respect pour ceux et celles qui connaissent d’expérience ce qui est derrière ce terme certes un peu passe-partout. Présenter la foi ou la religion comme le symptôme de gens arriérés ou décalés est une vision des penseurs antireligieux du 19ème s.
Si vous ne croyez pas en Dieu, « Dieu » croit en vous!
Si vous ne croyez pas en Dieu, « Dieu » croit en vous !
Quelle paroles merveilleuses, MERCI Abbé Alain René Arbez c’est tellement juste 🙏
Taïga
j’adore ce jésus qui aime les sans grades, les sansdents, les petits
quelle différence avec allah akbar
…et que dit Jésus
le véritable ?Jean 14.2-3
Oui, ce « plusieurs demeures » renvoie à la liberté et donc la multiplicité des interprétations.
Ce qui ne change rien au fait que la relation première au texte comme au monde doit relever de la vérité comme correspondance entre ce que l’on observe et ce que l’on dit.Il n’y a aucune opposition mais suite logique entre ces 2 points.
Mais il n’y a qu’une seule maison, il ne peut y avoir d’interprétations contradictoires.
L’unicité du texte sert sa coherence. La multiplicité des interpretations sert notre liberté.Ensuite, tout est question de sérieux, de mesure et de responsabilité.
Vous vous répétez, vous ne clarifiez pas. Que l’on puisse retenir des aspects multiples et complémentaires n’implique pas qu’elles puissent être contradictoires. Le Christ est beaucoup plus exigeant, il a mis la barre très haut :« le chemin est étroit, et peu y parviennent » .
Lorsqu’il parle du chemin du salut et de celui de la perdition.
mais Jésus dit aussi qu’il a des brebis qui sont d’autres bergeries et qu’il souhaite pouvoir les rassembler…
Exact. Pat ne sble pas comprendre cela
Bien sur que si, évidemment qu’il en a dans d’autres bergeries. Jésus parle des Israelites et des paiens des Nations parmi lesquels il aura effectivement des brebis, puisqu’il est venu pour le Juif en priorité, puis le non Juif etc… Pour autant qu’elles répondent à certains standards…
« …qui ne sont pas de cette bergerie », pour être plus précis.
Il y a longtemps (donc malheureusement j’ai oublié qui est l’auteur) j’ai lu une nouvelle qui m’avait beaucoup plu. Plutôt humoristique, elle racontait l’histoire de quelqu’un qui va au paradis mais ne reconnaît pas Saint-Pierre ni rien de ce qu’il pensait y trouver. En fait, suite à une erreur d’aiguillage, il est arrivé au paradis d’une section extra-terrestre. Il se rend compte qu’il y a une multitude de paradis adaptés à des populations de différentes planètes. Quelqu’un connaît cette nouvelle ?
:« le chemin est étroit, et peu y parviennent » ne s8gnifie pas que je dois suivre votre interpretation du verset bien qu’ici, il y ait peu à interpreter. Ce m’est pas moi qui me répète, c’est vous qui vous obstinez pour aue l’on se soumet à vos dires.Voici un exemple de.votre bêtise: supposons que quelqu’un soit en deuil et interprètr un verset d’une manière qui ne vous convienne pas à vous mais qui, elle, la soulage. Vous Allen aussi lui faire des remontrances? Moi, non, car je comprends que son interpretation partixulière puisse lauder à vivre même si elle n’est pas la mienne. Si vous n’avez pas de compassion dans l’ordre de l’interprétation, convertissez-vous à l’Islam
Vous démontrez par l’absurde. Sans avoir été un guide avant l’épreuve, vous auriez fait un piètre consolateur.
Vous n’en savez rien et ne connaissez pas ma vie. Au lieu de vous empresser à juger les autres, allez résoudre votre psycho-rigidité sans spirituality.
Vous me citiez un exemple et vous en tiriez l’hypothèse que je pourrais ne pas avoir de compassion, ce à quoi je vous renvoie une hypothèse conditionnelle : sans relation, vous ne pourriez pas être consolateur.
Je me suis gardé de vous rabaisser, ce que vous ne faites pas, c’est une histoire entre vous et vous.
Oui et déjà la femme adultère a été renvoyée à la liberté.
Idem pour la samaritaine.
Intéressant le « je vais de Jésus et je reviendrai »