2017, la ministre Marlène Schiappa parle de créer un groupe de travail pour pénaliser le harcèlement de rue (1).
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« Le risque, c’est que ce soit toujours des hommes non blancs qui soient stigmatisés » déclarait alors Elsa Cardona, une jeune femme blanche et membre de Stop harcèlement de rue à Rue89, ce média d’extrême gauche heureusement défunt, qui a trop longtemps pollué l’information de sa propagande nauséabonde.
Comme tout lapsus, les propos étaient un aveu d’une réalité que la gauche tente de cacher : le harcèlement, il est essentiellement d’origine immigrée, et il se manifeste plutôt dans certains quartiers.
D’ailleurs, les photos des femmes harcelées publiées par cette association présentent une extraordinaire prédominance de … blanches. Il est difficile de rester politiquement correct lorsqu’on veut décrire la réalité, et l’absence de diversité parmi les victimes en dit déjà long.
Malheureusement pour vous, en France, en Belgique et sauf erreur également en Suisse, vous n’avez pas de statistiques ethniques et religieuses comme nous aux Etats-Unis : vos gouvernements ont décidé que vous n’avez pas le droit de savoir, que vous n’avez pas la maturité nécessaire pour absorber et tirer parti de ce genre d’informations. Mais vos yeux et vos expériences sont bien réels, eux.
La réalité, c’est bien que c’est une certaine catégorie de la population, d’origine immigrée, qui est majoritaire que ce soit concernant les actes de terrorisme, de délinquance, et ici de harcèlement de rue », témoigne Justine, qui poursuit ainsi :
« bien sûr, il y’a des gros lourds bien blancs. Mais si on évoque aujourd’hui de plus en plus ce problème, c’est à cause de l’immigration. Quand ils viennent des pays arabes ou d’Afrique, ils n’ont pas la même vision de la femme que nous. Ils ne nous respectent pas, c’est un fait. Il faudrait que ces nanas soient envoyées toute une journée dans certaines rues de Paris ou certains quartiers, sans aucune protection, on verrait si elles tiendraient encore ce genre de discours stupide ».
https://www.breizh-info.com/2017/09/26/78084/harcelement-de-rue-risque-cest-soient-toujours-hommes-non-blancs-soient-stigmatises/
Mesdames qui me lisent, êtes-vous harcelées dans la rue par des hommes blancs ?
Faute de statistique, avez-vous constaté que les jeunes hommes blancs sont également responsables de la petite délinquance ?
Poser la question n’est pas bien vu. C’est pourquoi je la pose.
Pour nous empêcher de poser des questions, on nous traite de fachos. Mais ceux qui nous traitent de fachos sont des fascistes, les « petits enfants ignorants de Staline » comme dit Zemmour, des sympathisants socialistes ou communistes qui veulent empêcher de penser, de parler, de réfléchir. Ils veulent qu’on accepte leur dogme sans discuter. Les « fachos » que nous sommes accusés d’être veulent en revanche mieux comprendre notre environnement, éviter les amalgames, ce qui permet, comme aux Etats-Unis, de diminuer le racisme et les clichés qui l’entourent, et réduire les divisions.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
- http://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/marlene-schiappa-veut-verbaliser-le-harcelement-de-rue-et-annonce-la-creation-d-un-groupe-de-travail_2376433.html
- http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/nos-vies-intimes/20170919.OBS4852/penaliser-le-harcelement-de-rue-hmm-pas-si-vite.html
Houlalalal ! Cher Jean-Patrick Grumberg, pourquoi cet article ? Estimez-vous que vous avez trop d’argent et qu’une bonne amende de quelques dizaines de milliers d’euros vous ferait du bien ? Ou peut-être êtes-vous fatigué et pensez-vous qu’un séjour en prison de quelques mois vous ferait du bien ?
Car enfin, avez-vous oublié que Z a été définitivement condamné parce qu’il avait dit (je cite, hein, ce n’est pas moi, c’est l’horrible Zemmour qui a osé dire ça) « La majorité des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes. »
Certains inconscients prétendent que c’est la vérité, mais peu importe. Où irions-nous si tout un chacun pouvait exprimer la vérité librement ?
Bref, ce que vous dites est peut-être la vérité (je ne suis pas assez téméraire pour me prononcer) , mais retirez vite cet article si vous ne voulez pas avoir de graves ennuis avec la justice, les médias, les associations, etc…
🙂
J’ai vécu à Paris très longtemps et les siffets, les « ma jolie », les afficionados de la drague dans le métro et autre ne m’ont jamais impressionné, que sont devenue les femmes d’aujourd’hui qu’il faille que les hommes ne les apprécient plus, ne fassent plus attention à leur toilettes, à leur visage, ne leur fassent plus de compliments. Cela devient lourd. De toute façon, à voir de la façon dont elles s’habillent et se chaussent, on comprend vite qu’elles sont plus « camionneurs » que danseuses
Les « petits enfants ignorants de Staline », j’adore cette expression de Zemmour.
C’est tellement ça!
Question pas si simple que ça…
De ma propre expérience, voici 3 constats :
– les quelques fois où j’ai dû me hasarder dans certains quartiers de Paris, il m’est arrivé de subir des regards lourds et des propos qui m’ont fait passer d’être humain à objet (sexuel). Et les auteurs, tous de race non blanche.
– lorsque je travaillais en entreprise, dans une grande multinationale (j’ai commencé à 21 ans), je me suis retrouvée dans un environnement très masculin, paternaliste où on ne s’y prend pas par quatre chemins pour vous faire des avances insistantes et lourdingues. Ajoutez les séminaires et autres joyeusetés où vous êtes en vase clos pendant 3 jours avec vos collègues, avec alcool et pression professionnelle, et vous réalisez bien vite qu’il faut être vigilante à tout instant. Et je ne parle même pas de coucher pour obtenir une promotion, qui n’existe pas que dans les films. Les auteurs : 100% blancs et souvent mariés, pères de famille.
– Quand je dois prendre certaines lignes de métro parisiennes très métissées, ceux qui cèdent leurs places aux femmes sont… des non blancs, le plus souvent.
Bref, tout ça pour dire que la promiscuité homme/femme est telle depuis 40 ans, avec une surenchère médiatique pour le sexe immédiat et gratifiant, sans entrave, que toutes les catégories d’hommes sont aujourd’hui touchées, différemment et à des degrés divers, par la marchandisation du corps féminin. Et en disant cela, je n’ignore pas que la femme aussi a sa part de responsabilité dans cette évolution.
« ceux qui cèdent leurs places aux femmes sont… des non blancs, le plus souvent. »
au fond il reste quelques hommes non déconstruits !!!
Dure question, JPG. Quand je sortais de l’école dans ma prime jeunesse, les garçons de l’école d’à côté (peu d’écoles mixtes à l’époque) me tiraient les nattes. Ils avaient tous un teint de porcelaine. Plus tard, j’ai eu droit à des mains baladeuses dans le métro. J’ai même croisé quelques exhibitionnistes. Heureusement (ou pas) coquette, je ne portais pas mes lunettes mais je crois que l’albâtre était toujours de mise. Au travail, ce n’était pas aussi mouvementé que pour Fleur de Lys : les collègues étaient irréprochables. Et plus le temps passe, moins j’ai de problèmes. Alors, devinette (rayer les options inutiles) : est-ce que je suis d’une génération où l’immigration était moins courante ? est-ce que je suis moche ? est-ce que je n’intéresse plus les messieurs ? est-ce que j’habite les beaux quartiers ? est-ce que je suis nunuche et que je ne remarque jamais rien ?
Pour moi dans la rue c’est plutôt les insultes de la part de cette catégorie de la population (qui, par contre, fantasme beaucoup sur moi en privée). C’est dans les lieux où il est considéré comme « normal » de me toucher que le harcèlement prend un caractère sexuel : un incident tous les 1/4 d’heure en discothèque (et je vois à chaque fois les femmes biologiques me défendre). En partie par moquerie, en partie parce que « c’est chiant, les féministes ont tout verrouillé ! Mais là c’est pas une femme, c’est un travelo, là tu peux ! »
l’homme blanc doit être éradiqué!
Merci pour votre article.
Mais je pense qu’il y a deux aspects: celui de la drague que ces mesdames féministes ne semblent pas supporter (sans doute par dégoût d’elles mêmes) et voudraient supprimer. La question, c’est quand les mecs pourront-ils nous draguer maintenant? Et est-ce que les mecs voudront toujours nous draguer?
Et celui de la relation homme-femme véhiculée par certaines cultures.
On pourrait peut-être ajouter le problème soulevé par Fleur de Lys, les divers abus de pouvoir en entreprise. Mais le sexe comme l’argent sont des armes comme les autres ….
Sur le premier point que vous soulevez, la drague, il est notable que beaucoup de jeunes filles ados pensent qu’il faut coucher rapidement. Cela vient à la fois du sentiment véhiculé que les femmes doivent se conduire comme des hommes dans ce domaine et également de l’inutilité de tout ce qui touche aux sentiments et aux préliminaires parce que la pression (du groupe, médiatique, porno…) raisonne en termes de performance et de prouesse.
Oui, vous avez raison concernant cette clarification sémantique.
« comme aux Etats-Unis, de diminuer le racisme et les clichés qui l’entourent, et réduire les divisions »
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Voilà la seule partie que je trouve entièrement fausse dans votre texte.