Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 novembre 2021

2017, la ministre Marlène Schiappa parle de créer un groupe de travail pour pénaliser le harcèlement de rue (1).

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« Le risque, c’est que ce soit toujours des hommes non blancs qui soient stigmatisés » déclarait alors Elsa Cardona, une jeune femme blanche et membre de Stop harcèlement de rue à Rue89, ce média d’extrême gauche heureusement défunt, qui a trop longtemps pollué l’information de sa propagande nauséabonde.

Comme tout lapsus, les propos étaient un aveu d’une réalité que la gauche tente de cacher : le harcèlement, il est essentiellement d’origine immigrée, et il se manifeste plutôt dans certains quartiers.

D’ailleurs, les photos des femmes harcelées publiées par cette association présentent une extraordinaire prédominance de … blanches. Il est difficile de rester politiquement correct lorsqu’on veut décrire la réalité, et l’absence de diversité parmi les victimes en dit déjà long.

Malheureusement pour vous, en France, en Belgique et sauf erreur également en Suisse, vous n’avez pas de statistiques ethniques et religieuses comme nous aux Etats-Unis : vos gouvernements ont décidé que vous n’avez pas le droit de savoir, que vous n’avez pas la maturité nécessaire pour absorber et tirer parti de ce genre d’informations. Mais vos yeux et vos expériences sont bien réels, eux.

La réalité, c’est bien que c’est une certaine catégorie de la population, d’origine immigrée, qui est majoritaire que ce soit concernant les actes de terrorisme, de délinquance, et ici de harcèlement de rue », témoigne Justine, qui poursuit ainsi :

« bien sûr, il y’a des gros lourds bien blancs. Mais si on évoque aujourd’hui de plus en plus ce problème, c’est à cause de l’immigration. Quand ils viennent des pays arabes ou d’Afrique, ils n’ont pas la même vision de la femme que nous. Ils ne nous respectent pas, c’est un fait. Il faudrait que ces nanas soient envoyées toute une journée dans certaines rues de Paris ou certains quartiers, sans aucune protection, on verrait si elles tiendraient encore ce genre de discours stupide ».

https://www.breizh-info.com/2017/09/26/78084/harcelement-de-rue-risque-cest-soient-toujours-hommes-non-blancs-soient-stigmatises/

Mesdames qui me lisent, êtes-vous harcelées dans la rue par des hommes blancs ?

Faute de statistique, avez-vous constaté que les jeunes hommes blancs sont également responsables de la petite délinquance ?

Poser la question n’est pas bien vu. C’est pourquoi je la pose.

Pour nous empêcher de poser des questions, on nous traite de fachos. Mais ceux qui nous traitent de fachos sont des fascistes, les « petits enfants ignorants de Staline » comme dit Zemmour, des sympathisants socialistes ou communistes qui veulent empêcher de penser, de parler, de réfléchir. Ils veulent qu’on accepte leur dogme sans discuter. Les « fachos » que nous sommes accusés d’être veulent en revanche mieux comprendre notre environnement, éviter les amalgames, ce qui permet, comme aux Etats-Unis, de diminuer le racisme et les clichés qui l’entourent, et réduire les divisions.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

  1. http://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/marlene-schiappa-veut-verbaliser-le-harcelement-de-rue-et-annonce-la-creation-d-un-groupe-de-travail_2376433.html
  2. http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/nos-vies-intimes/20170919.OBS4852/penaliser-le-harcelement-de-rue-hmm-pas-si-vite.html

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