Publié par Guy Millière le 3 novembre 2021

L’administration Biden est, de très loin, la pire administration de l’histoire des Etats-Unis.

Elle est arrivée au pouvoir par le vol d’une élection en bande organisée, ce qui est sans précédent dans l’histoire du pays. Elle repose sur l’assemblage monstrueux de gens incompétents, de gauchistes voulant détruire le pays pour en faire une dictature socialiste, et de personnages totalement corrompus et achetés par la Chine ou par de grandes entreprises planétaires souvent liées à la Chine. Mais elle compte aussi dans ses rangs de véritables monstres.

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Montant libre







L’un d’eux est Richard Levine, devenu Rachel Levine après traitement hormonal et quelques interventions chirurgicales, pédiatre de formation, promoteur de l’idée que les garçons qui se sentent filles et les filles qui se sentent garçons doivent pouvoir demander à changer de sexe sans l’autorisation de leurs parents dès l’âge de la puberté, et doivent pouvoir demander au minimum à se voir administrer des bloqueurs de puberté, sans le consentement de leurs parents, toujours, dès l’âge de 12 ans. Richard devenu Rachel est vice-ministre de la santé de l’administration Biden, et veut que ses idées, à mes yeux ignobles, deviennent une loi. L’administration Biden trouve Richard devenu Rachel si extraordinairement merveilleux qu’elle lui a octroyé le titre d’amiral quatre étoiles au sein de la Navy, et l’a chargé de diffuser au sein de celle-ci “l’idée transsexuelle”. Richard devenu Rachel n’a aucune expérience militaire, bien sûr. Cela fera de la Navy américaine un corps d’armée bien plus efficace, sans aucun doute, et la marine chinoise qui tournoie autour de Taïwan doit trembler. Richard devenu Rachel a dit que les écoles devaient s’ouvrir à la transsexualité, et dans plusieurs comtés c’est le cas : dans le Loudon County, en Virginie, juste au Sud de Washington, DC, le bureau des écoles a demandé que les garçons qui se sentaient filles puissent entrer dans les toilettes des filles. Les conséquences n’ont pas tardé. Dans un lycée, un garçon qui se sentait fille a soudain retrouvé des instincts brutaux et peu féminins et a violé une jeune fille. Le bureau des écoles a dissimulé les faits. Le père de la jeune fille a exigé une réponse et une action. Il a été arrêté par la police à la demande du bureau des écoles. C’est, bien évidemment, lui le coupable : a-t-on idée de vouloir justice pour sa fille qui a été violée ? Le ministre de la justice Merrick Garland a dit que les parents qui critiquaient les bureau des écoles étaient des “terroristes intérieurs” (il défend, par ailleurs, l’enseignement du racisme antiblanc -aussi appelé théorie critique de la race- dans les établissements scolaires, mais c’est normal d’un point de vue démocrate: sa fille et son beau-fils vendent aux écoles et aux lycées des manuels apprenant comment enseigner le racisme antiblanc, et il faut bien que sa fille et son beau-fils gagnent de l’argent, non? Et les parents qui critiquent : hop, terroristes intérieurs !).

Un autre monstre est le docteur Anthony Fauci. Celui-ci est directeur depuis près de quarante ans de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses, et Donald Trump ne pouvait faire autrement que le placer en position de responsable de la lutte contre la pandémie provoquée par le coronavirus chinois. Donald Trump ne savait pas tout des activités du docteur Fauci, et ignorait que le docteur Jekyll Fauci était aussi un mister Hyde démocrate. Pendant des mois, le docteur Fauci n’a cessé de tout faire pour torpiller les actions sanitaires menées par Donald Trump : il a poussé l’inquiétude à un degré maximal quand Trump tentait de rassurer la population américaine et de lui donner du courage. Il a rejeté le recours à l’hydroxychloroquine en niant à celle-ci toute efficacité (alors, des documents le prouvent, qu’il savait qu’elle était efficace). Il a ironisé sur la recherche par Trump de traitements novateurs et a été pour beaucoup dans la façon dont les journalistes de gauche se sont efforcés de tourner en ridicule tout ce que disait Trump. Il a été le premier à dire que l’opération Warp Speed, qui a permis la création des vaccins n’aboutirait pas. Quand Trump a dit que la dissémination du virus venait d’une volonté criminelle de la Chine, il a laissé entendre que c’était une idée inepte, et quand Trump a dit que le coronavirus avait été modifié par intervention humaine, il a dit que le coronavirus était d’origine naturelle.

Quand Trump a dû quitter la Maison Blanche, il a rejoint l’administration Biden et a adopté une attitude très différente, imprégnée de déférence vis -à- vis du sénile et crapuleux Joe Biden, qui l’a maintenu à son poste de responsable de la lutte contre la pandémie. Des mails et des documents mis au jour montrent qu’Anthony Fauci savait que le coronavirus était contagieux bien avant que le gouvernement chinois et l’Organisation de la Santé le disent, mais s’est bien gardé de dire quoi que ce soit publiquement, ce qui aurait permis de prendre des décisions plus rapides, et il est donc complice de la guerre biologique menée par la Chine. Mails et documents montrent aussi qu’il savait que le coronavirus avait été modifié par intervention humaine, ce pour une raison précise : il a financé les recherches menées aux fins de permettre la modification du coronavirus au laboratoire P4 de Wuhan par “gain de fonction”. Il a donc contribué à la mise au point du virus. Et il est donc plus encore complice de la Chine. Il a menti sur ce point lors d’auditions au Congrès, ce qui constitue un parjure et devrait lui valoir un passage devant un juge et une peine de prison d’un minimum de cinq ans. Il est, malgré ce que montrent mails et documents, toujours en place. S’il était républicain, il serait déjà en prison, et traité de criminel complice d’une puissance étrangère.

Il n’est pas en prison, et il parle beaucoup. Sur toutes les chaines. Sur CNN et MSNBC, les deux chaines d’information continue inféodées au parti démocrate. Mais avoir menti et s’être parjuré ne sont pas ses seuls crimes. Des documents viennent de révéler qu’il a financé des “recherches” abominables impliquant des chiens.

Des chiens ont été ligotés et leur tête placée dans un espace où des centaines de mouches des sables (mouches hématophages à la piqure très douloureuse) pouvaient les piquer et sucer leur sang. Ces chiens ont dû subir des piqures et la succion de leur sang jusqu’à ce que la mort s’ensuive. La douleur faisait que les chiens hurlaient, leurs cordes vocales ont été tranchées aux fins de les réduire au silence. L’intérêt de ce type d’expérience est nul : tout scientifique travaillant sur le sujet connait la nocivité des mouches des sables et la douleur qu’elles peuvent provoquer. Ce type d’expérience aurait été interdit aux Etats-Unis, et Fauci les a donc fait pratiquer en Tunisie. Certains diront qu’il ne s’agit que de chiens, pas d’êtres humains. Je ne partage pas leurs positions. Les chiens sont des animaux intelligents et sensibles. Si leur faire subir ce type de traitement présentait un intérêt scientifique, ce serait déjà à même de soulever le cœur. Dès lors que cela n’a aucun intérêt scientifique, cela montre une propension psychopathologique au sadisme. Si Fauci était républicain, il ne serait pas seulement en prison, il serait l’objet d’une vague de répulsion intense et généralisée dont tous les grands médias se feraient l’écho. Et oui : il continue à parler. Beaucoup. Sur toutes les chaines. Sur CNN et MSNBC, les deux chaines d’information continue inféodées au parti démocrate.

Je pourrais citer d’autres noms. Le ministre de la santé de l’administration Biden, donc le supérieur hiérarchique de Richard devenu Rachel, est Xavier Becerra, un politicien californien d’extrême gauche sans aucune expérience médicale, mais grand promoteur de l’avortement jusqu’au neuvième mois de grossesse, qu’il voudrait trouver le moyen d’imposer dans tout le pays. A mes yeux, un avortement au neuvième mois de grossesse est un infanticide. 

La personne qui vient d’être chargée de réformer le système bancaire américain s’appelle Saule Omarova : elle fut citoyenne soviétique, est diplômée d’économie marxiste à l’université de Moscou ou elle a reçu le prix Lénine pour sa thèse de doctorat. Elle a quitté l’Union Soviétique en 1991 et a obtenu l’asile politique aux Etats Unis, où elle a été recrutée par la Cornell University où elle enseigne le droit. Façon soviétique sans doute, car tous les articles qu’elle a publiés sont imprégnés de marxisme et d’éloges pour l’Union Soviétique. Ce n’est pas à proprement parler monstrueux de confier une réforme du système bancaire à une léniniste nostalgique de l’Union Soviétique, c’est néanmoins inquiétant.

Le ministre des transports, Pete Buttigieg, est l’ancien maire d’une petite ville (South Bend, Indiana, 101.000 habitants) qui ne connait strictement rien aux transports, mais a une très grande qualité : il est homosexuel et marie à un autre homme, un instituteur militant LGBTQ. Il y a présentement de grands problèmes de transports de marchandises en raison de l’imposition d’une obligation vaccinale à tous les routiers, et plusieurs ports ne peuvent faire décharger des milliers de conteneurs arrivant par bateau, ce qui oblige les bateaux à attendre au large. Des produits commencent à manquer dans les supermarchés, mais le ministre des transports est en “congé parental” : une mère porteuse lui a livré deux enfants, et il se fait photographier en train de pouponner en compagnie de son mari, qui pouponne et est lui aussi en congé parental.

Le ministre de la sécurité intérieure chargé de la sécurisation des frontières, Alejandro Mayorkas, veille à ce que les immigrants illégaux continuent à renter par milliers par la frontière sud, et il les dissémine dans tout le pays, sans contrôler leur identité ou leur état de santé, et il vient d’avoir une idée de génie: tous les immigrants clandestins expulsés sous Trump et censés avoir été séparés quelques jours de leurs enfants doivent recevoir une prime de 450.000 dollars par personne, payée par les contribuables américains (dont je suis).

La liste pourrait être plus longue et plus accablante encore. En tête de liste, il y a, bien sûr, Joe Biden, chef de bande criminelle, pantin sénile qui accepte de finir sa vie en s’efforçant de ravager son pays et en le ridiculisant sur la scène internationale, comme il vient encore de le faire à Rome (les journalistes démocrates traitent de “complotistes” ceux qui l’appellent “poopy pants Biden”- ne comptez pas sur moi pour traduire) et comme il est en train de le faire à Glasgow.

En janvier 2021, une administration très compétente et très efficace, celle de Donald Trump, a quitté le pouvoir après l’élection volée de novembre 2020, et a laissé la place à un ramassis d’ordures, de crapules et de crétins. Mais bien sûr, l’élection a été impeccable, Trump était un abruti et Biden est la huitième merveille du monde. Lisez votre journal français, et c’est ce qu’on vous expliquera (certains journalistes français sont mécontents de Joe Biden en raison de l’affaire des sous-marins commandés par l’Australie et du contrat qui a échappé à la France, mais c’est le seul sujet pour lequel ils critiquent Joe Biden). En janvier 2021, l’économie américaine était en pleine croissance, le retour au plein emploi était proche,  la frontière Sud du pays était très sûre, les Etats-Unis étaient le premier producteur mondial de gaz et de pétrole et étaient énergétiquement indépendants, la situation en Afghanistan était stable et les Talibans très loin du pouvoir, l’Iran était endigué, aucun groupe terroriste ne songeait à attaquer Israël, la paix régionale était en chemin au Proche-Orient: en dix mois, tout cela a été relégué dans le révolu.

La colère du peuple américain monte. Je ne me rends pas aux compétitions sportives. Je me rends par contre très souvent à des concerts. Tant lors de compétitions sportives que lors de concerts, la foule chante spontanément une phrase qui a largement remplacé “Fuck Joe Biden” : “Let’s go Brandon”. Nombre de Français ne connaissent pas sa signification, et je vais l’expliquer. A la fin d’une course automobile à Talladega, Alabama, une journaliste de NBC interviewait le vainqueur de la course, Brandon Brown, et la foule chantait “Fuck Joe Biden”. Voulant couvrir les cris de la foule, la journaliste a dit que la foule criait “Let’s go Brandon” et s’est couverte de ridicule. Chanter “Let’s go Brandon”, depuis, est tout à la fois souligner un rejet de Joe Biden, et se moquer de la désinformation pratiquée par les grands médias. Des T-shirts “Let’s go Brandon” abondent. Des artistes de rap ont fait des chansons appelées “Let’s go Brandon” et atteignent les sommets des classements, devant tous les artistes consacrés. Et il est intéressant de constater que ce sont des artistes de rap, noirs. Le rejet de Joe Biden et de son administration ne cesse de gagner du terrain dans toutes les catégories de la population.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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