Publié par Magali Marc le 20 décembre 2021

Comme il l’a dit à Maria Bartiromo lors d’une interview pour l’émission Sunday Morning Futures de Fox News, Donald Trump ne connaissait pas les administrateurs du «marécage» de Washington lors de son premier mandat à la Maison Blanche. Il a tenu la plupart de ses promesses de campagne, à l’exception de celle de drainer le marécage. La liste de ses réalisations est d’autant plus impressionnante qu’il a fait face à l’obstruction de l’État profond politiquement retranché pendant toute la durée de sa présidence. Il a appris à la dure à qui il pouvait réellement faire confiance. S’il est réélu en 2024, il saura à quoi s’en tenir.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Richard Chang, paru sur le blogue d’American Thinker, le 19 décembre.

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En attendant le retour de l’ère Trump

Il est utile de considérer que Donald Trump est un homme né pour lutter contre la marche progressive du Parti Démocrate vers un contrôle totalitaire de notre pays. Né pour lutter? Pourquoi ?

Donald Trump a été un bâtisseur efficace sur l’île de Manhattan à New York.

Réussir en tant que bâtisseur de gratte-ciel à New York est-il un exploit facile à réaliser ? Y a-t-il des centaines de bâtisseurs qui ont réussi parmi les millions de personnes qui vivent à New York ? Bien sûr que non. Il y a de nombreuses barrières qui existent pour empêcher les prétendants de participer à la construction de grands immeubles.

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On dit que New York est une ville dirigée par l’autorité portuaire, l’entité qui contrôle les transports à l’intérieur, autour et en dehors. Je suis californien, et même moi je sais que c’est vrai.

Les syndicats contrôlent ce qui se passe à New York, qui peut jouer dans cette ligue, et ils décident si vous aurez du mal à réussir. La corruption, les pots-de-vin et les cadeaux politiques y sont choses courantes. L’éthique de Boss Tweed* n’a jamais complètement quitté la ville.

Si nous comprenons que Donald Trump a réussi dans les bas-fonds marécageux de la politique new-yorkaise, du contrôle syndical et de la gouvernance de la ville, c’est parce qu’il a appris à faire avancer les choses en dépit des barrages érigés sur le chemin de quiconque souhaite jouer dans cette ligue.

Son expérience d’avoir obtenu le contrat de reconstruction de la patinoire Wollman de Central Park est une leçon qui montre pourquoi il est exceptionnellement doué pour concourir à l’élection présidentielle de 2024.

Comme l’expliquait le New York Times en mai 1986, les Démocrates dirigeaient New York, et ils ont gaspillé six ans et 13 millions de dollars dans une fausse tentative de reconstruction de l’icône hivernale de Central Park, appréciée par des multitudes de New-Yorkais depuis des décennies.

Donald Trump a proposé au maire Ed Koch de reprendre le projet, en assurant la construction et l’exploitation de la patinoire, sans aucun profit pour lui-même, et a promis l’achèvement du projet en moins de six mois. Il a annoncé au Times qu’il allait le faire, et il l’a fait.

Il a terminé le projet en quatre mois et à 25% en dessous du budget de 3 millions de dollars.

Cela vous dit quelque chose ?

Il a annoncé ses promesses de campagne lors de la primaire républicaine de 2015 et a tenu toutes ses promesses, à l’exception de celle de drainer le marécage – une liste impressionnante de réalisations, compte tenu de l’obstruction de l’État profond politiquement retranché pendant toute la durée de sa présidence, soit quatre ans.

Il croyait naïvement qu’il y avait des patriotes à Washington désireux de rendre l’Amérique grande à nouveau.

Maintenant, il sait à quoi s’en tenir.

L’État profond mène déjà une bataille pour l’empêcher de participer aux élections de 2024. Il a échoué dans deux efforts d’impeachment misérablement construits, et il est en train de rater son effort concernant la prétendue insurrection du 6 janvier qu’il a orchestré.

Donald Trump a été mis au défi de manière unique, a été formé et a connu le succès dans le creuset du développement immobilier de New York ce qui lui donne l’expérience requise afin de contester la prochaine élection.
Les obstacles à la construction de la Trump Tower n’étaient qu’un réchauffement en vue de l’élection générale de 2024.

J’attends avec impatience un combat loyal.

Il reste du travail à faire dans la préparation de l’élection générale, mais l’un des principaux obstacles semble être réglé.

La perte des plateformes Twitter et de Facebook a été évitée par la construction de Donald Trump de ses propres plateformes de médias sociaux, dont le dirigeant exécutif est le fidèle Devin Nunes.

Il a identifié les Républicains qui ont besoin d’être remplacés par des élections primaires en représailles de leur vote en faveur de sa destitution.

Il a rendu la politique présidentielle divertissante lorsqu’il s’est présenté pour la première fois.

Il a été officiellement déclaré fini par la gauche à de multiples reprises pendant les primaires, l’élection générale et ses quatre années de présidence. Il n’a pas écouté ses détracteurs.

Sarah Palin a subi le salissage de sa réputation par la gauche en 2008, mais elle était gentille et a respecté les règles acceptées par les Républicains : faire preuve de civilité.

Donald Trump, lui, a choisi l’exagération et les réponses caustiques et sarcastiques via Twitter et les médias sociaux, et il a réussi là où John McCain et Mitt Romney avaient été mis en pièces par les médias de masse.

Ils l’ont détesté de ne pas avoir succombé comme ces perdants.

Les Démocrates, en général, et Obama, en particulier, l’ont incité à se présenter, et ils ont créé le personnage de Donald Trump qui ne peut pas être démoli par la gauche.

C’est leur comportement qui a donné le jour au Donald Trump que nous connaissons et aimons.

Il est l’un des nôtres, et nous ne faisons qu’un avec lui.

Beaucoup d’entre nous sont impatients de voir les élections de mi-mandat de 2022, où les RINOs se verront montrer la porte, et de 2024, où nous regarderons l’élection avec impatience, vigilance, et le contrôle du vote que nous garantit notre Constitution.

Les Démocrates sont-ils déjà en pleine panique ?

Cela ne fait que commencer.

Restez à l’écoute pour plus de divertissement !

*William «Boss» Tweed, était un homme politique corrompu qui contrôlait la machine politique du Parti Démocrate dans la ville et de l’État de New York au XIXe siècle.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

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