Comme il l’a dit à Maria Bartiromo lors d’une interview pour l’émission Sunday Morning Futures de Fox News, Donald Trump ne connaissait pas les administrateurs du «marécage» de Washington lors de son premier mandat à la Maison Blanche. Il a tenu la plupart de ses promesses de campagne, à l’exception de celle de drainer le marécage. La liste de ses réalisations est d’autant plus impressionnante qu’il a fait face à l’obstruction de l’État profond politiquement retranché pendant toute la durée de sa présidence. Il a appris à la dure à qui il pouvait réellement faire confiance. S’il est réélu en 2024, il saura à quoi s’en tenir.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Richard Chang, paru sur le blogue d’American Thinker, le 19 décembre.
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En attendant le retour de l’ère Trump
Il est utile de considérer que Donald Trump est un homme né pour lutter contre la marche progressive du Parti Démocrate vers un contrôle totalitaire de notre pays. Né pour lutter? Pourquoi ?
Donald Trump a été un bâtisseur efficace sur l’île de Manhattan à New York.
Réussir en tant que bâtisseur de gratte-ciel à New York est-il un exploit facile à réaliser ? Y a-t-il des centaines de bâtisseurs qui ont réussi parmi les millions de personnes qui vivent à New York ? Bien sûr que non. Il y a de nombreuses barrières qui existent pour empêcher les prétendants de participer à la construction de grands immeubles.
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On dit que New York est une ville dirigée par l’autorité portuaire, l’entité qui contrôle les transports à l’intérieur, autour et en dehors. Je suis californien, et même moi je sais que c’est vrai.
Les syndicats contrôlent ce qui se passe à New York, qui peut jouer dans cette ligue, et ils décident si vous aurez du mal à réussir. La corruption, les pots-de-vin et les cadeaux politiques y sont choses courantes. L’éthique de Boss Tweed* n’a jamais complètement quitté la ville.
Si nous comprenons que Donald Trump a réussi dans les bas-fonds marécageux de la politique new-yorkaise, du contrôle syndical et de la gouvernance de la ville, c’est parce qu’il a appris à faire avancer les choses en dépit des barrages érigés sur le chemin de quiconque souhaite jouer dans cette ligue.
Son expérience d’avoir obtenu le contrat de reconstruction de la patinoire Wollman de Central Park est une leçon qui montre pourquoi il est exceptionnellement doué pour concourir à l’élection présidentielle de 2024.
Comme l’expliquait le New York Times en mai 1986, les Démocrates dirigeaient New York, et ils ont gaspillé six ans et 13 millions de dollars dans une fausse tentative de reconstruction de l’icône hivernale de Central Park, appréciée par des multitudes de New-Yorkais depuis des décennies.
Donald Trump a proposé au maire Ed Koch de reprendre le projet, en assurant la construction et l’exploitation de la patinoire, sans aucun profit pour lui-même, et a promis l’achèvement du projet en moins de six mois. Il a annoncé au Times qu’il allait le faire, et il l’a fait.
Il a terminé le projet en quatre mois et à 25% en dessous du budget de 3 millions de dollars.
Cela vous dit quelque chose ?
Il a annoncé ses promesses de campagne lors de la primaire républicaine de 2015 et a tenu toutes ses promesses, à l’exception de celle de drainer le marécage – une liste impressionnante de réalisations, compte tenu de l’obstruction de l’État profond politiquement retranché pendant toute la durée de sa présidence, soit quatre ans.
Il croyait naïvement qu’il y avait des patriotes à Washington désireux de rendre l’Amérique grande à nouveau.
Maintenant, il sait à quoi s’en tenir.
L’État profond mène déjà une bataille pour l’empêcher de participer aux élections de 2024. Il a échoué dans deux efforts d’impeachment misérablement construits, et il est en train de rater son effort concernant la prétendue insurrection du 6 janvier qu’il a orchestré.
Donald Trump a été mis au défi de manière unique, a été formé et a connu le succès dans le creuset du développement immobilier de New York ce qui lui donne l’expérience requise afin de contester la prochaine élection.
Les obstacles à la construction de la Trump Tower n’étaient qu’un réchauffement en vue de l’élection générale de 2024.
J’attends avec impatience un combat loyal.
Il reste du travail à faire dans la préparation de l’élection générale, mais l’un des principaux obstacles semble être réglé.
La perte des plateformes Twitter et de Facebook a été évitée par la construction de Donald Trump de ses propres plateformes de médias sociaux, dont le dirigeant exécutif est le fidèle Devin Nunes.
Il a identifié les Républicains qui ont besoin d’être remplacés par des élections primaires en représailles de leur vote en faveur de sa destitution.
Il a rendu la politique présidentielle divertissante lorsqu’il s’est présenté pour la première fois.
Il a été officiellement déclaré fini par la gauche à de multiples reprises pendant les primaires, l’élection générale et ses quatre années de présidence. Il n’a pas écouté ses détracteurs.
Sarah Palin a subi le salissage de sa réputation par la gauche en 2008, mais elle était gentille et a respecté les règles acceptées par les Républicains : faire preuve de civilité.
Donald Trump, lui, a choisi l’exagération et les réponses caustiques et sarcastiques via Twitter et les médias sociaux, et il a réussi là où John McCain et Mitt Romney avaient été mis en pièces par les médias de masse.
Ils l’ont détesté de ne pas avoir succombé comme ces perdants.
Les Démocrates, en général, et Obama, en particulier, l’ont incité à se présenter, et ils ont créé le personnage de Donald Trump qui ne peut pas être démoli par la gauche.
C’est leur comportement qui a donné le jour au Donald Trump que nous connaissons et aimons.
Il est l’un des nôtres, et nous ne faisons qu’un avec lui.
Beaucoup d’entre nous sont impatients de voir les élections de mi-mandat de 2022, où les RINOs se verront montrer la porte, et de 2024, où nous regarderons l’élection avec impatience, vigilance, et le contrôle du vote que nous garantit notre Constitution.
Les Démocrates sont-ils déjà en pleine panique ?
Cela ne fait que commencer.
Restez à l’écoute pour plus de divertissement !
*William «Boss» Tweed, était un homme politique corrompu qui contrôlait la machine politique du Parti Démocrate dans la ville et de l’État de New York au XIXe siècle.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : Americanthinker

»Z » en UE, Trumpy en US, il ne restera que BP à casser …. une paille, nous retrouverions une vie sensée.
Faire mieux la prochaine fois ? Comme si ce qu’il avait accomplit la première n’était pas tout simplement extraordinaire !
S’il est élu démocratiquement, ce que les dems tenteront d’empêcher par tous les moyens même et surtout criminels, reconstruire le pays économiquement risque d’être d’une difficulté monstrueuse vu l’inflation.
Mais passons, si quelqu’un est à la hauteur de la tâche c’est bien D. Trump !
J’adorerais voir Trump président en 2024 et Ron De Santis vice-président…
Mais la priorité sera de détruire sans ménagement le deepstate. Comment ?En dénonçant les traitres amis de la Chine; en détruisant le FBI actuel pour en faire un outil loyal (si c’est possible…), ne pas laisser les dems tel Clinton, Biden, Pelosi , Shiff, Kerry, Garlant, Fauci s’en sortir sans passer par la case prison; idem pour l’abominable Obama !
Bref, avis perso, il faudra que les coupables paient cher le fait d’avoir envoyé des innocents en prison et criminalisé toute une partie de la population. Trump ne pourra pas faire l’économie d’une véritable guerre contre la marécage. Sinon cela risque d’être un nouveau round flamboyant pour rien !
Vous êtes très optimiste, ce qui n’est pas mon cas. Le pouvoir actuel est évidemment illégitime, mais hélas il a pu s’imposer par le trucage du décompte des voix, cela chacun en est bien conscient.
Il n’en reste pas moins que ce pouvoir usurpé sait quelle menace existentielle pèse sur eux et de ce fait il est fort à craindre qu’ils utiliseront tous les moyens pour conserver leurs prérogatives.
Je crains que les USA ne s’acheminent dans une dictature à la mode chinoise, avec des complaisances pour le crony capitalism, le capitalisme de connivence, comme en Chine, justement, avec un réseau d’apparatchiks, version US des commissaires politiques de feu l’URSS. Après tout, quels sont les plus fervents soutiens de cette caricature gauchiste: Soros, Zuckerberg, Bill Gates, et leurs fidèles affidés, de l’hillarente Hilary et son mari, à John Kerry, sans oublier les vedettes d’Hollywood. Cette emprise ne pourra éviter de se renforcer, de pratiquer la fuite en avant à tout prix, quoi qu’il en coûte au contribuable. Après eu le déluge….0
J’essaye de rester optimiste et ne me nourris que modérément de mes propres illusions. Disons que je propose un angle de vue, ce qui me permet d’apprécier les autres points de vue.
D’accord avec vous mais aussi sombre que soit la situation, l’espoir est un luxe dont je n’ai pas l’intention de me priver.
Ne sous estimez pas le président, la fraude lui permet de reprendre des forces pour tout dégommer sur son passage !
Vivement son retour !!!
Trump 2024 !
Vous allez un peu vite en besogne…
Déjà une victoire en 2022, ensuite on verra.
Ne sous estimez pas les ennemis de Trump. Ils sont très nombreux, très puissants et prêts à tout, Ils n’ont pas besoin d’un pouvoir absolu pour être absolument pourris.
Je voudrais pouvoir être aussi optimiste que vous…
Trump 2024
Je n’ai qu’une réponse à vous donner : « the art of the comeback » by Donald J. Trump
Je suis d’accord avec vous pour 2022.
La gauche est néfaste mais il ne faut pas oublier un détail : le président était un démocrate auparavant ! Du coup il sait exactement comment ils se comportent, leurs actions et surtout les coups bas. La seule chose qu’il n’a pas prévu (personne ne peut le lui reprocher) c’est le niveau de trahison à son égard. Mais il sait à present à qui il a à faire. Il faut à présent le laisser reprendre des forces tel rocky pour mettre les gauchos au tapis avec l’aide de Dieu !
J’essaye d’etre optimiste aussi, comme vous je suis horrifié de voir ces démoncrades démolir ce pays que j’aime tant, celui de mes rêves. Mais j’ai foi en Dieu et si il a mis le président une fois au pouvoir et voir le bien que cela fait, c’est pour l’y mettre une deuxième fois
Puisse HM vous entendre.
Pour 2022 c’est quasiment acquis….
encore faudrait-il des élections non truquées…pas de vote par correspondance…donc la fin du cirque coronavirus…on n’en prend pas le chemin. A croire qu’ils font la course pour tout détruire de façon irrémédiable, le plus vite possible.
Le vote par correspondance existe depuis longtemps.
« Les temps difficiles créent des hommes forts. Les hommes forts créent les périodes de paix. Les périodes de paix créent les hommes faibles. Les hommes faibles créent les temps difficiles.»
Le président Trump fait évidemment partie des premiers, « Wacko Joe » et Macron des seconds. Puisse Z devenir le Trump français !
Vive Trump, drain the swamp!