
Le 18 décembre dernier, le président Donald J. Trump s’est entretenu avec Bill O’Reilly à Houston, Texas, devant un stade bourré à craquer, sur son mandat de 45e président des États-Unis, lors d’une série de quatre conférences baptisées « The History Tour ».
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Bill O’Reilly est le plus grand journaliste américain. Considéré comme conservateur, il n’est pas membre du parti Républicain, mais enregistré comme indépendant. Son émission d’information « The O’Reilly Factor » sur Fox News, a été le programme politique le plus regardé par les Américains pendant 16 ans consécutifs. Il atteignait plus de deux fois l’audience du programme qui arrivait à la seconde place sur les autres chaînes d’information.
On le sait moins, O’Reilly est également historien. Ses livres historiques « Killing » sont la série non-fiction la plus vendue de tous les temps, avec plus de 18 millions de livres imprimés. « Killing », le livre d’histoire le plus vendu au monde, n’est pas disponible en français.
Après 4 ans d’une présidence exceptionnelle, hors normes, tant par l’ampleur de ses succès au service des Américains, ses exploits économiques, l’achèvement de l’indépendance énergétique, que pour sa brillante politique étrangère, la seule fois où Trump a été hué par ses fans lors d’un événement public, c’était sur le vaccin !
Lui qui est si fier d’avoir été capable de mettre sur le marché un vaccin en quelques mois quand les Démocrates crachaient sur le vaccin (aujourd’hui, ce sont les Républicains), et lui disaient qu’il ne serait pas capable de produire un vaccin avant plusieurs années, que Biden et Kamala Harris disaient ne pas vouloir du vaccin tant que Trump serait président, il a été surpris.
Surpris mais pas vaincu.
Voici ce qu’il a déclaré lors du History Tour au stadium du Toyota Center de Houston, ce 18 décembre :
- Trump :
J’ai sauvé des centaines de milliers de vies en faisant ce vaccin, des millions et des millions de vies [sauvées] à travers le monde. Quand vous regardez ce que nous avons fait sur le plan thérapeutique et avec le vaccin – je le répète encore une fois, il ne doit pas être obligatoire – le vaccin a sauvé des dizaines de millions de personnes dans le monde. Et nous [Américains] devrions tous être très fiers de cela. Nous avons fait quelque chose, nous [Américains], pas moi. Nous avons fait quelque chose en neuf mois, nous l’avons fait. Au nom du monde entier.
- O’Oreilly :
Vous avez négocié avec l’industrie pharmaceutique. OK. Parlez-nous de cette négociation. Vous leur avez promis des milliards de dollars s’ils trouvaient un vaccin, n’est-ce pas ?
- Trump :
J’ai commandé des milliards de dollars avant que nous sachions si ça fonctionnerait. Et c’était la clé [du succès], parce qu’il faut des années pour le fabriquer. Si nous n’avions pas fait cela, les personnes qui ont pris le vaccin, des millions, des dizaines de millions, dans le monde entier – je veux dire le monde entier – nous avons sauvé des millions et des millions [de vies].
En 1917, nous avons eu la grippe espagnole. On dit que jusqu’à cent millions de personnes sont morts – je ne sais pas si vous avez déjà entendu cette histoire. Je pense que nous aurions eu quelque chose de similaire.
Si nous n’avions pas mis au point ce [vaccin]. Et vous savez, une chose que je dois répéter, je l’ai fait faire en neuf mois au lieu de cinq à douze ans. Et il marche. Nous devons nous en attribuer le mérite. Pas d’obligation – les [restrictions et l’obligation du vaccin] tuent l’économie d’ailleurs.
- O’Reilly :
Si vous étiez président maintenant, est-ce que vous encourageriez tout le monde à se faire vacciner ?
Trump :
La réponse est que ça ne doit pas être obligatoire parce que certaines personnes ont des raisons religieuses, d’autres ont leurs raisons, des raisons psychologiques, et ils ne veulent pas [du vaccin]. Et vous savez quoi ? C’est très bien comme ça.
Et souvenez-vous de ceci, ils ne comptent pas les personnes qui avaient le COVID – ou [nous devrions plutôt l’appeler] le virus chinois. On devrait garder ce nom parce que c’est de là qu’il vient. Il vient de Wuhan. Vous vous souvenez quand j’ai dit que ça venait du laboratoire [de Wuhan] ? Il y a eu comme une tempête de critiques. « Comment ose-t-il dire ça ? » Maintenant, tout le monde est d’accord pour dire que ça vient du labo de Wuhan.
- S’adressant au public, Donald Trump ajoute :
Premièrement, vous devriez être très fier de ce que nous avons tous fait avec le vaccin. Attribuez-vous en le bénéfice [auprès du monde entier]. Ne soyez pas idiots : appropriez-vous le mérite. Tout le monde n’est pas obligé de se faire vacciner », mais le mérite nous revient.
Lorsque Donald Trump explique aux Américains présents dans la salle, dont une partie importante est antivax : « ne laissez pas le reste du monde vous voler le mérite du vaccin, qui a sauvé des millions de vies humaines dans le monde entier ». Le public a applaudi et l’acclamé.
Conclusion
Donald Trump est un génie. Il a, pour la première fois depuis que le vaccin existe, tourné les projecteurs sur la dimension patriotique, sur la fierté nationale que tout Américain fier de l’être devrait ressentir du fait que l’Amérique, avec le vaccin, a encore une fois sauvé des millions de vie à travers le monde.
Trump a mis l’accent sur la dimension emblématique de la grandeur de l’Amérique que représente ce vaccin.
Je suis un des très rares conservateurs qui a le courage de résister aux pressions du politiquement correct de droite – et vous n’imaginez pas combien de personnes m’en veulent d’oser avoir une opinion à moi, et combien je suis moqué par certains qui hier disaient être mes amis.
Parce que je suis – c’est mon caractère – très ouvert d’esprit, j’ai entendu des centaines d’arguments et lu des milliers de pages de personnes qui critiquent le vaccin. Je suis heureux que ces centaines d’arguments et ces milliers de pages existent, soient écrits et soient disponibles pour tous, car j’aime la liberté d’expression, et je n’aime pas la façon stupide, dégueulasse, dont des gouvernements d’imbéciles arrogants poussent les gens qui ne le veulent pas, à se faire vacciner.
J’ai entendu des centaines d’arguments, lu des milliers de pages de personnes qui dénoncent le vaccin, et aucun ne m’a jamais convaincu. Un seul argument en faveur du vaccin a suffi à me convaincre d’aller consulter mon médecin, alors que je ne voulais pas me faire vacciner car j’ai peur des piqûres.
J’applaudis mot pour mot ces formidables propos sur le vaccin de l’immense président Donald Trump.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

pour ce qui est de la grippe qui ne venait absolument pas d’Espagne, Bayer recommandait selon les documents d’époque entre dix et trente grammes par jour d’aspirine.
Ce fait semble très bien établi.
Que les dreuziens fassent cette expérimentation suicidaire et on verra les résultats.
Les enfants, cette expérimentation n’est absolument pas à reproduire chez vous.
La production
Cher JPG, 👏👏👏 !
🙏
Toujours la même confusion et la même approximation (volontairement à charge et malveillante le plus souvent) dans l’utilisation du terme « antivax »,
En effet, les « antivax » pour de très nombreux d’entre eux ne sont pas contre les vaccins, ni la vaccination. Ils sont contre la vaccination généralisée, et bien sûr, contre la vaccination obligatoire, qui nous est imposée dans la plupart des pays, par la loi parfois, par les contraintes souvent, par la diabolisation toujours). Et je me répète sils sont nombreux a avoir fait le chois personnel de se faire vacciner, car ils sont estimé que le bénéfice-risque leur était personnellement favorable.
A par ça Trump a raison. Le vaccin a sauvé la vie à d’innombrables personnes en particulier celles immunodéprimées, celles affaiblies par l’âge ou des « comorbidités ».
Mais les vaccins à ARN n’ont pas répondus aux attentes placés en eux, ni aux promesses faites à leur sujet. Ils n’ont en effet ni empêché de contracter le virus, ni, moins encore, bloquer l’épidémie !
Les totalitaires provax – en particulier parmi la caste politicienne et dans les media – sont comme le GIEC, ils ne veulent voir que ce ce que leur idéologie leur commande de voir (et de dire).
Heureusement, pour moi, il y a H16 dont les articles sont toujours roboratifs et parfaitement documenté ! Et j’en sais gré à Dreuz.info pour cette couverture large et ouverte de cette pandémie où les vérités du jour ne sont pas toujours les vérités du lendemain ! L’histoire du virus, de ses traitements et de ses vaccins s’écrit tous les jours et nous n’avons pas encore le mot de la fin.
Wait and see.
barakat, je fais partie des rares qui depuis longtemps refusent toute dictature de la pensée qui vise à interdire l’emploi de certains termes et expressions.
Je ne vais pas commencer aujourd’hui à m’auto censurer sur le mot antivax.
Selon moi, vous faites la même erreur que ceux qui dénoncent l’emploi de l’expression « LES arabes » au lieu « DES arabes » car selon eux, c’est faire un amalgame. Ou ceux qui me disent qu’antisémite ne veut rien dire car les Arabes sont des sémites.
Toute personne qui prend un peu de recul sur cette question sensible sait que le mot antivax est devenu d’un emploi courant en 2021, et qu’il désigne désormais, et exclusivement, les gens qui ne veulent pas du vaccin contre le coronavirus, tout comme le mot antisémite désigne les gens qui n’aiment pas les juifs.
Si confusion il y a, désolé de vous dire qu’elle n’est pas chez moi : j’ai de nombreux défauts, mais je suis tout sauf confus, et j’appelle un chat un chat. Les antivax de 2021 ne sont pas des gens hostiles au vaccin contre la grippe.
Vous avez le droit à tous vos arguments contre le vaccin COVID, je les respecte, je respecte les antivax.
Mais cette confusion que je dénonce n’a rien à voir avec vous ; elle est bien ce que vous dites, le terme « antivax » est celui utilisé de façon générale dans tous les media pour désigner ceux qui refusent le vaccin pour eux (ou pour leurs enfants).
Mais c’est – de mon avis – une désignation peu claire, et qu’il ne faudrait pas adopter ! C’est un constat et non pas de la censure ou de la dictature de la pensée, car cette désignation est pour moi fallacieuse.
Considérant que ceux qui ne veulent pas se faire vacciner prennent cette décision non parce qu’ils sont par principe (ou par peur) contre les vaccins, mais parce qu’ils estiment ne pas en avoir besoin, se trouvant suffisamment « forts » pour faire face au virus, car jeune ou en excellente santé. Et ils le prendrait probablement s’ils s’estimaient à risques.
D’autres personnes sont vaccinées pour des tas de maladie (fièvre jaune, rougeole, oreillons, tuberculose, poliomyélite, grippe, etc.) mais ne se précipitent pas sur le « vaccin » (terme générique) dit à ARN messager faute de recul suffisant sur (d’hypothétiques) effets secondaires. Ce ne serait pas, en effet, la première fois qu’un traitement nouveau débouche sur une interdiction ou une limitation de prise après quelques années de mise sur le marché. Certains précédents ont été tragiques.
Accessoirement, je remarque – et je m’en amuse – de voir que les mêmes qui ont hurlés sur Monsanto refusant mordicus d’avaler maïs, soja ou blé transgénique s’en prennent aujourd’hui aux « antivax » lors qu’une ingestion n’a rien à voir avec une inoculation ! Ce sont les mêmes qui ont agités le misérable « principe de précaution » contre l’utilisation du Roundup… aussi terriblement dangereux que la charcuterie et la viande rouge !
Comme trump rappelle que les vaccins sont son oeuvre, on peut s attendre a ce que les democrates, macronistes, mondialistes et autre s eloignent des vaccins par rejet anti Trump. On va peut etre enfin pouvoir respirer
Il se trouve que j’ai étudié le sujet d’une manière chronologique. J’y ai passé des jours, et j’ai constaté que jusqu’à l’élection de Joe Biden, les médias de gauche dans leur quasi totalité menaient la charge contre le vaccin de Trump, tandis que les médias de droite étaient silencieux. Lorsque Biden a été élu, en l’espace de 15 jours les médias de gauche sont devenus provax et les médias de droite se sont déchaînés contre le vaccin.
L’exemple le plus extraordinaire est probablement cet article de CNN – qui est ce que l’on fait de mieux en matière de militantisme déguisé en journalisme, et qui mot à mot utilisait en juin 2020 exactement les mêmes arguments que maintenant les antivax de droite, à savoir qu’il ne fallait pas faire confiance dans un vaccin développé en si peu de temps.
Très intéressante réponse ! Si j’ai bien compris, le choix d’un parti ne tient aucun compte de la vérité observable, c’est une question d’opinion qui peut changer du tout au tout. Pas rassurant.
Vous n’aviez pas remarqué que n’importe quelle idée venant d’un parti est accueillie en face par des critiques ? Et réciproquement ?
Si, bien sûr, mais le retournement de veste pro puis anti-vaccin est spectaculaire.
Cher JPG,
J’apprécie de vous lire car, comme vous, je dois me battre régulièrement (y compris sur ce site) avec des discours dont l’irrationalité me stupéfie venant parfois d’esprits éclairés.
D.Trump nous a montré la voie en ne fermant aucune porte alors que les connaissances sur le virus chinois étaient embryonnaires. Il s’est montré visionnaire en expérimentant sur lui-même les anticorps monoclonaux plutôt que la chloroquine qu’il avait soutenue puis sagement abandonnée comme la quasi totalité des scientifiques.
Je rage de lire des articles de conservateurs qui font le jeu des gauchistes en prétendant que de Trump aux autorités israéliennes, ceux qui défendent le vaccin avec force seraient de malfaisants corrompus.
J’approuve, une fois encore, l’intégralité de vos propos.