Publié par Magali Marc le 10 décembre 2021

Hillary Clinton a montré à quelle point elle est arrogante et égocentrique lors d’une interview réalisée pour l’émission Sunday Today de NBC. Elle a fait part de sa décision de lire, pour un séminaire en ligne, le «discours de victoire» qu’elle avait préparé en 2016, tellement elle était sûre de battre Donald Trump lors de l’élection présidentielle. Un extrait de sa lecture du discours a fait la une des journaux car elle s’est mise à pleurer lorsqu’elle est arrivée à la partie du discours où elle s’imaginait annonçant à sa mère décédée, qu’elle était la première femme présidente des États-Unis.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le blogue d’American Thinker, le 9 décembre.

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Hillary Clinton nous rappelle quel horrible président elle aurait été

Certes, Joe Biden est de loin le pire président de l’histoire des États-Unis. Cependant, l’intermède Donald Trump de quatre ans entre MM. Obama et Biden a donné aux États-Unis au moins un peu de force afin de tenir le coup pendant l’Administration gauchiste radicale de Joe Biden.

Imaginez à quel point les choses auraient été pires si Hillary avait succédé à Barack Obama. Les États-Unis n’auraient eu aucune chance de s’en remettre.

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Au cas où vous auriez oublié quel horrible être humain est Hillary, elle vient de nous le rappeler en parlant avec Willie Geist, le présentateur de Sunday Today de la chaîne NBC, de sa décision de lire son «discours de victoire» ( NdT : discours préparé pour l’élection de 2016 qu’elle a perdue) à haute voix pour un séminaire en ligne.

Un extrait de sa lecture du discours a fait la une des journaux car Hillary s’est mise à pleurer lorsqu’elle est arrivée à la partie du discours où elle s’imaginait dire à sa mère, décédée depuis longtemps, qu’elle était la première femme présidente des États-Unis.

Ironiquement, cette crise émotionnelle s’est produite lors d’un séminaire en ligne dont le thème portait sur « le pouvoir de la résilience ».

Une femme qui a passé les cinq dernières années à gémir parce qu’elle a perdu les élections et qui pleure maintenant parce qu’elle n’a pas pu, en imagination, dire à sa maman qu’elle a gagné, n’est pas résiliente.

Pourtant, tout étudiant qui s’inscrit à un séminaire donné par Hillary Clinton a déjà bu le Kool-Aid des Démocrates et aura déjà pris le parti d’une femme qui a suivi les traces de son mari aussi loin qu’elles pouvaient la mener, et s’est cassé la figure, par sa propre faute.

Un candidat à la présidence qui qualifie de «déplorable» une bonne moitié de l’électorat américain est un imbécile et mérite de perdre.

Il y a aussi le petit problème de l’incroyable corruption d’Hillary (en cela elle est semblable à Joe Biden). Bien sûr, il y a aussi le fait que le serveur non sécurisé d’Hillary a porté atteinte à la sécurité nationale d’une manière qui aurait valu à une personne ordinaire, sans aucun lien politique, de passer le reste de sa vie en prison – ce qui, par coïncidence, devrait être le sort de Papa Joe pour avoir utilisé son débauché de fils, Hunter, comme collecteur de fonds pendant des décennies de corruption.

Pourtant, même en considérant toutes ces mauvaises choses à propos d’Hillary, il y a quelque chose de pire : il était clair qu’elle se présentait aux élections, non pas pour les Américains, mais pour elle-même.

Bien sûr, elle voulait faire basculer le pays aussi loin à gauche que Joe Biden, mais, tout comme lui, elle était là surtout pour satisfaire son ego.

Joe Biden, cependant, étant un politicien plus avisé (cela me fait mal de le dire), a caché son énorme égocentrisme un peu mieux que ne l’a fait Hillary.

Cela nous amène au discours de «victoire» préparé par Hillary. Vous pouvez écouter la partie où elle pleure parce que c’est la partie qui mérite d’être signalée (https://www.youtube.com/watch?v=w40xEhhDAHo ), mais j’ai trouvé plus intéressant ce qu’elle a dit à Willie Geist sur ce qu’elle pensait en écrivant ce discours, heureusement inutilisé (c’est moi qui souligne) :

« J’ai travaillé sur un discours qui parlait vraiment de mon parcours et qui mettait l’accent sur la vie et le parcours de ma mère pour, vous savez, faire comprendre que, oui, je serais la première femme présidente mais que, comme tout le monde, je me tenais sur les épaules et vivais les vies et les expériences de ceux qui nous ont précédés. »

Notez ce qui manquait dans sa pensée lorsqu’elle a écrit ce discours inutile : Les États-Unis et le peuple américain.
Sa victoire était liée à ses propres besoins émotionnels.

Elle est une gauchiste convaincue, mais uniquement parce que, dans les années 1960 et 1970, elle a perçu le gauchisme, qui avait une emprise sur le féminisme, comme pouvant être le véhicule de son ascension politique.

Pendant des décennies, Hillary a dû s’irriter de voir le charme politique facile de Bill et sa réussite, alors que, dans son esprit, c’est elle qui aurait dû avoir la place prépondérante.

Il existe des théories contradictoires sur l’avenir d’Hillary.

  • Wayne Allyn Root ( NdT: un présentateur conservateur de la chaîne Fox) pense que les Démocrates essaient de la mettre en position d’être à nouveau présidente, non pas par le biais d’une élection, mais en évinçant Kamala et en prenant sa place.
  • Pendant ce temps, le très perspicace Roger Luchs ( NdT: un collaborateur d’American Thinker) estime qu’« il n’y a pas d’explication raisonnable pour qu’Hillary fasse cela maintenant – fausses larmes et tout le reste – si ce n’est que “Scrooge”, alias (le procureur) John Durham, s’apprête à déposer un morceau de charbon brûlant dans son bas de Noël , ou du moins c’est la rumeur qu’elle a entendu ».

Comme je ne suis pas une experte en lecture de boule de cristal, je dirai seulement que la vidéo est juste un petit rappel que, aussi mauvais que soit Joe Biden, Hillary aurait été encore pire.

En tout cas, elle n’aurait pas fait mieux.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

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