Publié par Guy Millière le 14 décembre 2021

Un mois encore, et l’année 2022 commencera. Cela fera alors deux ans que la pandémie née du coronavirus chinois se sera enclenchée, et il est désormais très clair qu’elle ne sera pas considérée comme terminée par les gouvernements occidentaux. 

Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !

En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.

Montant libre






Les restrictions de liberté persisteront pendant des mois encore, les contrôles aussi. Restrictions et contrôles pourraient même, si l’on regarde ce qui se passe en Allemagne, en Autriche et en Australie, se renforcer. On parle déjà en Europe de la sixième vague qui va succéder à la cinquième vague et de la quatrième dose qui va venir après la troisième (aux Etats-Unis, ces notions sont pour le moment absentes). On parle aussi de la traque aux faux passeports sanitaires, et de peines de prison pour les utilisateurs de ces faux. De grands criminels sans aucun doute…

Constatant que l’essentiel, malgré ce que j’ai déjà écrit sur le sujet, continue à être laissé de côté, j’entends enfoncer le clou sur certains points.

Il s’agit de bien davantage qu’une pandémie ou plus exactement, il s’agit d’autre chose.

Il y a déjà eu des épidémies dans l’histoire de l’humanité. Il y a déjà eu des pandémies. Aucune épidémie et aucune pandémie n’a été gérée de cette façon.

  • Bien qu’il soit avéré que la pandémie est née en Chine d’un coronavirus échappé d’un laboratoire et de mensonges chinois sur de multiples points, qui ont permis qu’une épidémie locale se transforme en pandémie planétaire, quasiment, plus personne n’incrimine la Chine. Donald Trump a été le seul chef d’Etat à le faire. Il a été immédiatement traité de «raciste».
  • Bien qu’il soit avéré que l’OMS a prolongé les mensonges chinois et créé une panique mondiale en diffusant des chiffres de létalité démesurés, et bien qu’il soit avéré que l’OMS est financée en une très large proportion par la Chine, et, outre la Chine, par la fondation Bill et Melinda Gates, quasiment plus personne n’incrimine l’OMS, quasiment plus personne ne parle des liens entre l’OMS et la Chine, et quasiment plus personne ne regarde de près les actions et déclarations (douteuses et inquiétantes) de Bill Gates depuis des années. Donald Trump a été, là encore, le seul chef d’Etat à incriminer l’OMS. Il a été, là encore, immédiatement traité de «complotiste».
  • Bien qu’il ait été établi rapidement qu’il existait un traitement efficace contre la maladie, ce traitement a été diabolisé, et interdit dans la plupart des pays occidentaux. C’est la première fois dans l’histoire de la médecine moderne qu’un traitement efficace est traité de cette façon, et c’est la première fois dans l’histoire de la médecine moderne que des millions de personnes sont privées de traitement par décision politique, condamnées à attendre que leur état s’aggrave pour se rendre à l’hôpital et, pour nombre d’entre elles, y mourir. Il existe aujourd’hui trois traitements efficaces (hydroxychloroquine, ivermectine, anticorps monoclonaux). On ne parle de tous côtés que de vaccins, d’hospitalisations, de morts. C’est la première fois qu’on condamne des millions de personnes à une privation de soin et, trop souvent à mort, et c’est un crime de masse.

    Jamais depuis le Moyen Age il n’a été envisagé d’enfermer toute une population pour juguler une épidémie ou une pandémie : il est connu depuis longtemps que l’enfermement de masse est une méthode totalement inefficace. La Chine a enfermé sa population : c’est logique, c’est un pays communiste où les dirigeants méprisent la liberté et la vie humaine. La plupart des pays occidentaux ont employé une méthode inefficace, moyenâgeuse, communiste et totalement inefficace. C’est sans précédent. Cela a été une décision politique arbitraire et un passage vers un fonctionnement dictatorial sous prétexte sanitaire.
  • Une immense campagne de peur a été lancée à coups de statistiques et de chiffres largement faux (ils restent largement faux jusqu’à présent). Une panique a été délibérément provoquée qui a mentalement contaminé des millions de personnes devenues incapables de réfléchir rationnellement. Quiconque connaît la psychologie et la manipulation de masse sait que semer la peur et créer la panique est une méthode de type totalitaire. Des gens que j’ai connus attachés à la liberté ont cédé à peur et à la panique et ont glissé vers l’acceptation de la soumission. La campagne de peur menant à la panique a conduit des populations entières à accepter l’inacceptable et le passage au fonctionnement dictatorial sous prétexte sanitaire.
  • Des professeurs de médecine rémunérés par des grands laboratoires ont contribué à la campagne de peur, travaillé avec les gouvernements, participé à la mise en place de la dictature sous prétexte sanitaire. Il n’y a pas de précédents à tout cela, sinon dans les régimes autoritaires ou totalitaires, et cela n’est dit nulle part. Le seul précédent qu’on puisse trouver dans le monde démocratique se situe hors du secteur médical : dans le domaine de l’écologisme, qui fonctionne comme un dispositif néo-communiste. Tant d’éléments de désinformation ont circulé que des médecins de bonne foi en perdent leurs repères. Des campagnes ont été menées faisant que les plus grands épidémiologues contemporains ont été marginalisés, diabolisés, insultés, tandis que des professeurs corrompus ont servi de propagandistes au service du fonctionnement dictatorial : des gens tels que Anthony Fauci aux Etats-Unis ou Jean-François Delfraissy en France sont à la médecine contemporaine dans le monde occidental ce que Trofim Lyssenko était à la biologie en URSS sous Joseph Staline. Il n’y a pas de précédents à tout cela, là encore, et ce n’est dit nulle part, là encore.
  • Des vaccins qui ne correspondent à aucune définition donnée des vaccins jusque voici un an (un vaccin protège contre une maladie dans la durée, et empêche d’être contaminé et contagieux en cas de contamination) sont peu à peu devenus obligatoires ou presque. Ils ne peuvent être dissociés des passeports sanitaires qui deviennent indispensables pour voyager, aller au restaurant, au cinéma, au spectacle, et les passeports sanitaires semblent être le but, et destinés à mettre en place un contrôle social omniprésent derrière lequel on peut voir s’installer des méthodes de type chinois encore, et des populations qui s’imaginent vivre encore en démocratie acceptent de glisser peu à peu vers un mode de vie communiste. Les réfractaires sont pointés du doigt, désignés comme les ennemis, et dans certains pays ils commencent à être envoyés vers des camps d’internement. Au départ, les vaccins (je préfère, pour ce qui me concerne, l’expression de Christian Perronne : «substance thérapeutique expérimentale”) étaient censés protéger dans la durée. Désormais, il est avéré qu’ils ne protègent pas (il est dit qu’ils empêchent les formes graves, mais les médicaments qui soignent neutralisent la maladie en deux à trois jours), et qu’il faut une troisième dose au bout de cinq mois. Et la quatrième dose sera pour bientôt, en attendant la cinquième, et à chaque fois, le passeport sanitaire doit être mis à jour. Les restaurateurs, les tenanciers de cafés, cinémas, salles de spectacle doivent se faire contrôleurs au service du fonctionnement dictatorial. Des policiers peuvent venir contrôler des gens déjà contrôlés. Voyager d’un pays à un autre est un parcours du combattant destiné à dissuader les gens de voyager, et parfois, voyager est simplement impossible. Auparavant les seuls pays dont il était difficile de sortir étaient les pays communistes, maintenant le monde entier est couvert de pays fonctionnant sur un mode communiste.

Les chiffres de létalité étaient largement faux dans les premiers mois de la pandémie, c’est un fait. Ils restent faux aujourd’hui, je l’ai noté plus haut. Ils mêlent des gens qui ne sont pas du tout morts du coronavirus chinois et des gens morts du coronavirus chinois et qui, pour la plupart d’entre eux ne seraient pas morts s’ils n’avaient été délibérément privés par décision politique des médicaments qui soignent. J’insiste sur ce point. Les chiffres de «cas» sont faux eux aussi, car l’accroissement des obligations de se tester accroît le nombre de cas positifs. Quatre-vingts pour cent des positifs sont asymptomatiques, et ne sont pas malades. Et s’ils sont contagieux, ils ne le sont pas davantage que nombre de vaccinés. Ceux qui ont été malades et ont guéri ont une immunité naturelle et dans nombre de pays, on les oblige quand même à se vacciner. Les enfants ne sont touchés que s’ils ont des comorbidités lourdes, et on oblige quand même les enfants à être vaccinés. Les chiffres indiquant les effets secondaires des vaccins et les morts d’effets secondaires des vaccins sont occultés, ce qui ne s’est jamais produit depuis que des vaccins existent. Ceux qui donnent les chiffres sont traités de «complotistes» (comme Trump), le mot n’était utilisé jusque là que pour cacher la vérité et éliminer ceux qui disaient la vérité dans les régimes totalitaires. On appellera sans doute bientôt les «complotistes» «ennemis du peuple», l’expression employée sous Staline et Mao.

Le code de Nuremberg, établi après la Deuxième Guerre mondiale pour interdire l’emploi de substances expérimentales sans le consentement éclairé des personnes et qui a servi jusqu’à présent à interdire l’obligation vaccinale (interdite aussi par une règle stipulant que lorsque des médicaments permettent de soigner efficacement une maladie, une obligation vaccinale ne peut être imposée) se trouve contourné pour la première fois depuis la Deuxième Guerre mondiale, et l’Union Européenne veut l’abroger. Les vaccins sont toujours au stade expérimental : l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer est accompagnée de nombre de points montrant que c’est une autorisation conditionnée à une urgence, et soulignant que le produit est toujours expérimental. Les vaccinés ne sont pas informés de cela, et ne sont pas informés non plus de ce que les laboratoires et les gouvernements s’exonèrent de toute responsabilité en cas d’effets secondaires : le consentement éclairé est absent. Et je le répète, des médicaments permettant de soigner efficacement existent : ils ont deux défauts. Ils ne coûtent pas cher. Et s’ils étaient largement disponibles, les abolitions de liberté n’auraient plus de justifications.

Une transformation économique et politique du monde est en train de se mettre en place, et elle a de très nettes ressemblances avec la grande réinitialisation (great reset), qui est un projet néo-communiste supprimant toutes les libertés, la propriété privée, le droit de disposer de ses biens et de soi-même, et instaurant une surveillance et un contrôle généralisés sous l’égide d’une nomenklatura mondiale («gouvernance») censée se charger du «bonheur» de tous, et assurer un avenir radieux, comme disait Lénine.

Cette transformation implique la soumission, sans laquelle la suppression susdite, la surveillance et le contrôle généralisés, le pouvoir donné à une nomenklatura mondiale ne pourraient se mettre en place, et la soumission est en marche. La soumission est aussi nécessaire pour faire accepter la baisse du niveau de vie qui fait partie de la transformation (baisse qui sera imposée aussi au nom de la lutte contre le «dérèglement climatique» qui va bientôt raréfier le recours à la voiture et à l’avion, ainsi que la possibilité de vivre dans une maison familiale). La soumission est nécessaire enfin pour faire accepter le pouvoir d’une nomenklatura mondiale en gestation (celle-ci utilise le prétexte sanitaire pour s’imposer, et pour dire qu’elle préserve la santé et la vie, et c’est un argument fallacieux, mais très efficace : vous vous demandons soumission, c’est pour vous sauver la vie… La nomenklatura en gestation, en réalité, tue !).

Si la transformation se poursuit, la domination économique du monde par de très grandes entreprises liées aux autorités politiques et sanitaires prendra pleinement place, et la nomenklatura mondiale prendra place aussi.

Que de très grandes entreprises puissent contribuer à des fins totalitaires et agir pour tuer la libre entreprise et le libre marché semble difficile à comprendre pour nombre d’analystes qui n’ont pas révisé leurs fiches depuis longtemps.

Que la politisation de la science soit en marche depuis des décennies reste imperceptible pour la plupart des gens, intoxiqués, à l’évidence, par les grands médias qui jouent de plus en plus le rôle de Big Brother, sans même que les journalistes qui y travaillent se rendent toujours compte de ce qu’ils font (ils ont été formatés à cette fin).

Que des dirigeants politiques qui se disent attachés à la «démocratie» servent des buts totalitaires reste tout aussi imperceptible pour les mêmes personnes. La page du totalitarisme hard est tournée depuis trente ans. Nous sommes à l’ère du totalitarisme soft.

La liberté de penser, d’aller et venir, d’entreprendre, de choisir, de disposer de soi-même, de savoir a mis des siècles à s’imposer, partiellement, mais ne s’est jamais imposée totalement (l’histoire du totalitarisme commence avec la Politeia de Platon, et se poursuit au Moyen Age lorsque l’économie de marché émerge à nouveau, et qu’apparaissent des théologiens comme comme Joachim de Flore et Amalric de Bène, et des mouvements tels que le catharisme, et elle se poursuit jusqu’à ce jour).

La liberté de penser, d’aller et venir, d’entreprendre, de choisir, de disposer de soi-même, de savoir, a été un idéal et cet idéal a été au cœur de ce que la civilisation occidentale a produit de meilleur et de plus fécond.

Un assaut massif est mené aujourd’hui contre cet idéal. Si cet assaut n’est pas arrêté, ce que la civilisation occidentale a produit de meilleur et de plus fécond sera très menacé et nous entrerons dans des temps obscurs et douloureux.

Imaginez une vie sans liberté, en état de soumission, sous surveillance et contrôle constants…

J’ai cité Donald Trump en commençant ce texte. Donald Trump n’a cessé d’avoir conscience de ce qui se passe et de ce qui est en jeu. C’est pour cela qu’il est devenu l’homme à abattre.

Donald Trump ne critique pas les vaccins parce qu’il a financé leur mise au point. Mais s’il entend revenir au pouvoir, il serait bon pour lui qu’il dise plus clairement non à la dictature sous prétexte sanitaire dont les démocrates sont les adeptes, ou, pour le moins qu’il évite de parler des vaccins (il n’y a des remous dans les réunions qu’il tient que lorsqu’il parle positivement des vaccins). Lorsqu’il a financé la mise au point des vaccins, il l’a fait parce qu’il n’a pu disséminer le recours aux médicaments qui soignent.

Les laboratoires ont dit disposer des vaccins lorsque la «victoire» de Joe Biden a été proclamée et que le passage au fonctionnement dictatorial sous prétexte sanitaire sanitaire a pu se profiler, et que les démocrates ont pu penser pouvoir l’imposer. Les Etats-Unis étant cinquante Etats, le passage n’a pu être imposé partout dans le pays. Malgré Biden, malgré Fauci, les Etats-Unis ne sont pas un pays européen, et restent un pays de liberté. Les médias américains qui désinforment sont en train de sombrer, la présidence de l’imposteur Biden est en train de sombrer aussi.

Les républicains vont sans doute remporter les élections de novembre 2022 par un raz-de-marée électoral. Donald Trump, le cas échéant, devrait, sauf accident imprévisible, revenir triomphalement en 2024. Il reste l’obstacle majeur à la transformation économique et politique du monde en train de se mettre en place. Tout sera fait pour l’éliminer.

Des manifestations ont lieu dans divers pays du monde par des gens qui résistent, mais que peuvent des manifestants, minoritaires, face à l’immense masse des gens soumis et face aux détenteurs du pouvoir ? 

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

Les cadeaux parfaits pour commencer l’année en beauté :
les Goodies Dreuz.info

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading