La France va nous offrir en cadeau de Noël, avec 15 ans d’avance, les archives secrètes sur les enquêtes judiciaires de la guerre d’Algérie.
Que peuvent-elles nous apprendre ces archives que nous ne sachions déjà ?
A nous pas grand-chose, puisque nous l’avons vécu mais à une très grande majorité de Françaises et de Français ce que l’on voudra bien leur faire savoir mais pas davantage.
Au cours de la guerre d’Algérie, l’armée française, des Français, ont torturé, exécuté, assassiné même, au nom de la France, mais mille fois moins que le FLN et l’ALN, et que les Arabes, au nom de l’indépendance.
Devenez « lecteur premium », pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Tous les pays sans exception et toutes les armées du monde ont torturé, torturent et torturerons.
On a torturé, exécuté, assassiné, sur les 5 continents de notre planète et cela continu et ne s’arrêtera jamais.
On torture, on exécute, on assassine, aujourd’hui, demain et après, en Afrique, aux Amériques, en Asie et même en Europe, partout, pas loin de chez nous (Turquie, Iran, Libye, Liban, Afghanistan, Yémen, Syrie et j’en passe des dizaines d’autres pays comme la Chine, la Corée, la Malaisie, etc.) et pour des objectifs bien moins humanistes que ceux de sauver des vies innocentes.
Comme il est facile de s’écrier que la torture est une barbarie et qu’elle doit être absolument condamnée ! Ceux qui crient le plus fort seraient les premiers à en solliciter l’emploi si l’un des leurs et surtout si leurs enfants ou leurs parents se trouvaient en danger de mort à cause d’un terroriste.
Si demain il est porté à notre connaissance qu’une bombe est placée dans une école maternelle et que le terroriste a été appréhendé avant l’explosion : aura-t-on le temps de lui demander, et surtout d’attendre son bon vouloir, de dévoiler le lieu et l’heure de l’explosion qui pourrait envoyer quelques dizaines de nos bambins vers un monde ‘’dit-on meilleur’’ ? Où doit-on le ‘’bousculer’’ sans hésitation pour sauver la vie de ces enfants innocents ?
La torture est nécessaire, quand il n’y a pas d’autres moyens et en cas d’urgence, quand elle est utilisée pour sauver des vies.
J’espère que ceux qui condamnent aujourd’hui la torture ne se trouveront jamais devant une hypothèse de ce genre ! Tous ceux qui sont encore vivants, qui ont eu la vie sauve, grâce à elle, savent de quoi je parle.
J’ai été personnellement témoin de l’une de ces explosions, celle du casino de la Corniche, à Alger. Une bombe posée sous l’estrade qui a déchiqueté tout l’orchestre dirigé par Lucien Séror (Lucky Starway). 7 morts et plus de cinquante blessés parmi les jeunes danseurs, dont dix-huit très gravement (dix ont dû être amputés).
Si torturer un terroriste avait pu empêcher ce massacre, je n’aurai pas hésité une seule seconde.
- Oui, des officiers français ont torturé en Algérie et ils devaient le faire, c’était leur devoir. Ils ont torturé des terroristes du FLN et des traîtres «métropolitains» qui les aidaient en fabriquant ou en leur fournissant des bombes, des armes et des finances. Mais ainsi ils ont sauvé des centaines, des milliers de vies innocentes, des enfants, des femmes, des vieillards et nombre de jeunes «appelés», vos enfants mères de France métropolitaine !
L’hésitation n’est pas permise entre la vie d’un innocent et la torture d’un terroriste
Puisqu’il est question de la torture alors, parlons-en.
La torture contre les terroristes du FLN et leurs complices français bien entendu, parce que le contraire, la torture de «vrais» Français par le FLN et l’ALN ainsi que les sbires à la solde du pouvoir gaulliste n’a jamais soulevé la moindre indignation en métropole.
Quelle armée au monde, quel régime, n’a pas torturé ? Tous sans exception avec la médaille d’or à l’ex-URSS qui peut présenter un palmarès de 50 années de tortures, d’exécutions, de crimes, par millions, et non pas pour sauver des vies humaines loin s’en faut.
Que l’on n’éprouve aucun plaisir à torturer cela se conçoit aisément dans le cas contraire ce serait du sadisme. On en a connu cependant quelques exemples dans les services du colonel de gendarmerie Debrosse, notamment sur des sympathisants de l’Algérie Française.
Il a fallu torturer des terroristes du FLN et des Français qui fabriquaient des bombes afin que ne viennent pas s’ajouter à une liste déjà trop longue des centaines d’autres morts innocents et des soldats appelés du contingent qui étaient vos fils Français de France.
C’était le devoir des officiers de le faire et si certains ne l’approuvaient pas, comme le général de La Bollardière par exemple, alors cela voulait dire qu’ils s’étaient trompés de métier.
Lors d’une émission télévisée, M. Alain Bauer a eu cette phrase étonnante : «La torture n’a jamais donné de résultats».
C’est faux, M. Bauer, la torture a donné, et donnera, toujours des résultats. Elle a aidé et aidera toujours à sauver des vies, quand elle est utilisée à bon escient !
Il n’est pas question de l’institutionnaliser ni de l’autoriser officiellement mais, dans certaines circonstances, elle est une solution immédiate à la condition qu’elle soit appliquée intelligemment et avec psychologie.
La «Bataille d’Alger» n’aurait pas pu être gagné aussi rapidement, et des centaines de vies innocentes n’auraient pas pu être sauvées, sans la torture.
Lorsque j’étais journaliste à «La Dépêche d’Algérie», en 1957, j’ai eu l’occasion de le constater.
Lors d’un contrôle militaire, une voiture a été visitée. Elle transportait à l’origine quatre bombes prêtes à l’emploi. L’emplacement de l’une d’elles était vide et il était évident qu’elle avait été déposée quelque part et allait commettre un massacre, mais où ? Le conducteur, un nommé Mustapha B., emmené auprès des services de renseignements, a parlé dans les cinq minutes qui ont suivi, sous la torture bien évidemment. La bombe, placée au stade de Saint-Eugène, près d’Alger, aurait pu tuer des dizaines de spectateurs du match de foot ASSE/RUA, et a pu être désamorcée à temps.
La bombe qui a tué au stade municipal d’Alger, celles du Casino de la Corniche, de l’Otomatic, du Milk-Bar et des dizaines d’autres, si elles avaient pu être évitées, grâce à la torture, des centaines de vies innocentes auraient été sauvées.
Souvenez-vous que la France, sous le gouvernement du général de Gaulle, a torturé même des Français, qui se battaient uniquement pour rester Français, et que le responsable de ces tortures, le colonel de gendarmerie Debrosse a été décoré pour services rendus à la France ! (Il serait étonnant que les archives proposées en témoignent !)
Si un terroriste avait été appréhendé, avant le massacre du «Bataclan», le 13 novembre 2015, et si «sa torture» avait pu sauver ces dizaines de vies, n’aurait-il pas fallu le faire ?
Une analyse de Philippe Bilger, sur «Boulevard Voltaire», concernant la torture est intéressante. Il se pose la question de savoir quelle serait sa décision s’il se trouvait devant la situation d’appliquer la torture pour sauver des vies humaines ? Toutes réflexions faites, dans son confortable fauteuil, il pense qu’il s’abstiendrait.
Même si votre petite fille ou votre mère se trouvaient en danger, M. Bilger ?
Et bien non, cher Philippe, à partir du moment où vous vous posez la question c’est que mis en présence d’une telle situation critique : sauver une ou plusieurs vies menacées dans les heures qui suivent par un terroriste que vous tenez entre vos mains, vous prendriez la seule décision qui s’imposerait : le faire parler.
EN Algérie, Le FLN et l’ALN ont torturé des militaires, des civils innocents aussi bien Français qu’Arabes. Qui en parle ?
Logiquement, les services autorisés à torturer exercent «leurs talents» contre leurs ennemis, c’est légitime, mais n’est-ce pas plus honteux, indigne, révoltant et impardonnable, quand des militaires reçoivent l’ordre de leur gouvernement (à l’époque de Gaulle) de torturer des Français dont le seul objectif était de conserver une partie de son territoire à la France ?
Nous connaissons le nom de ce tortionnaire, il s’agissait du Colonel de gendarmerie DEBROSSE.
Nous avons également les noms de tous ces Français torturés et assassinés dans ses locaux, la caserne des TAGARINS à Alger.
- Est-ce que les médias métropolitains en ont parlé à l’époque ? NON.
- En ont-ils parlé quand il est mort ? NON.
- En parlent-ils aujourd’hui ? NON.
- En parleront-ils demain ? Non plus.
L’ouverture des archives apportera-t-elle les preuves de ces «tortures» et «assassinats» organisés par la République Française contre des «patriotes» Français ? Certes pas.
Le colonel DEBROSSE a torturé et il a été décoré puis est devenu général… pour services rendus !
**Il est difficile d’admettre la torture, ni en temps de guerre et ni en temps de paix, elle est immorale et pourtant elle se pratique constamment, secrètement.
En général ce sont ceux qui ne l’ont pas subie, qui en ont eu peur, qui en parlent le mieux, n’est-ce pas Yacef Saadi ? (Source : EL WATAN du 28 novembre 2012)
«L’armée coloniale a été d’une cruauté inégalable. Elle nous arrachait les ongles, nous faisait subir les pires atrocités.»
Yacef Saadi n’a jamais eu à la subir.
Toutes ses révélations il les avait faites devant le colonel Godard et le capitaine de la Bourdonnaye, lors de son arrestation et cela sans avoir été le moins du monde molesté. Des déclarations détaillées de plus de cent pages. La liste de tous les messalistes de la Casbah, rivaux du FLN, ils seront en très grand nombre arrêtés et certains exécutés.
Saadi fournira tous les organigrammes, tous les noms, tous les projets de réorganisation. Il permettra la destruction de tous les réseaux et, au général Massu, de gagner la bataille d’Alger.
Était-il obligé de parler, de balancer bien plus qu’on ne lui en demandait ?
Djamila Bouhireb, arrêtée et subissant un interrogatoire musclé, n’avait pas révélé la cache de Yacef Saadi (il avait si peu confiance dans son courage qu’il avait essayé de la tuer d’une rafale de mitraillette, ne réussissant qu’à la blesser grièvement, afin qu’elle ne parle pas).
Ali la Pointe, Ben Hamida, Hassiba, Mahmoud et Petit Omar, ne se sont pas rendus et ont trouvé la mort dans leur cache de la rue des Abderames, quartier de la Porte Neuve, le 8 octobre 1957, quelques jours après l’interrogatoire de Yacef Saadi (le 24 septembre 57) !
Yacef Saadi a préféré sauver sa vie et tout déballer en conservant «ses ongles» et en ne subissant aucune des «pires atrocités» de l’armée coloniale.
Yacef Saadi, tout comme ses protecteurs FLN qui ont gouverné l’Algérie depuis le 5 juillet 1962, avait plus de sang algérien sur les mains que les paras ou des membres de l’OAS car, et que cela plaise ou non, les messalistes, les Kabyles et bien d’autres résistants de différents partis, qui ont été ««donnés, puis éliminés et exécutés, luttaient également pour l’indépendance de l’Algérie.
Toutes les guerres sont sales, inhumaines, barbares ! Mais quand on les entreprend, c’est pour les gagner, par tous les moyens, et non pour les perdre !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

Depuis 70 ans, on devrait avoir des centaines et des centaines de thèses universitaires sur ce sujet.
J’ai une crainte quand même : quand on voit à quel point les gouvernants s’acharnent à méthodiquement falsifier l’histoire, ils risquent de retourner les choses contre nous, encore.
À un jeune étudiant en Histoire qui me disait un jour être en recherche d’un sujet de thèse d’Histoire contemporaine, j’ai suggéré de proposer à son directeur de thèse potentiel le sujet suivant :
« Analyse de l’évolution de la présentation des causes et des conséquences du débarquement des troupes françaises le 14 juin 1830 à Sidi Ferruch, à travers les manuels scolaires d’Histoire de 1871 à nos jours. »
Sa réponse a été nette : « Avec un sujet comme ça, je suis déjà sûr de me faire jeter ! »
J’aimerais lire un jour ce qu’écrirait sur ce sujet un véritable Historien, qui ne briguerait aucun titre universitaire !
Je pense que ça doit pouvoir se trouver.
Face à une barbarie planifiée, organisée et déterminée, … pour sa survie, … une civilisation a le devoir de se renier afin de protéger les plus faibles d’entre les siens !
Mon propos choque ? … je ne m’en étonne pas ! …
Je m’étonne simplement du fait que ceux qui s’en étonnent ne m’ont jamais fourni d’arguments de nature à me démontrer concrètement pourquoi j’avais tort de penser cela !
Effectivement, et la protection passe forcément par la contre attaque.
Terrible dilemme.
Torturer est inhumain mais ne pas torturer, dans certains cas, l’est aussi.
Il me semble que tout est dans la raison de l’emploi de cette méthode:
Punir ou se venger > condamnable
Penser sauver des personnes > malheureusement, acceptable
Qui est inhumain, celui qui à contrecœur en accepte l’emploi ou celui qui, pour garder une haute estime de sa personne, le refuse quitte à sacrifier des personnes qui ne sont pas de ses proches.
Je crois, j’espère que la grande majorité de ceux qui ont employé cette méthode l’ont fait pressée par le temps et par l’importance des aveux ainsi obtenus.
Pour en terminer reconnaissons qu’il est bien plus facile de prendre une bonne décision lorsque l’on est pas confronté au problème qui la réclame.
Vous avez parfaitement résumé !
Je crains que la méthode ne soit pas efficace: Un type que l’on torture vous dira n’importe quoi.
Les archives du FLN seront-elles aussi ouvertes? Parlera-t-on des « appelés » tombés dans en embuscade et retrouvés égorgés,le ventre ouvert, le sexe coupé et enfoncé dans la bouche?La France est gouvernée par une bande de crétins dans tous les domaines:
On peut aussi faire le procès parallèle de ceux qui au FLN torturaient systématiquement les prisonniers et mutilaient les morts, non pour avoir des renseignements, mais par haine et par goût.
Tout à fait exact.Refuser de voir qu’il y a deux genres de tortures, celle qui sauve et celle qui est purement sadique, c’est la spécialité des bienpensants qui nous font la morale.
Je connais des militaires Français, aujourd’hui disparus, qui avaient capturé un FLN connaissant les lieux d’embuscades prévus contre les troupes Françaises dans les 2 jours qui suivaient. Si leurs camarades tombaient dans ces embuscades, les FLN leur auraient coupé les couilles. Alors ils ont cogné… et ils ont pu sauver leurs camarades. Je n’ai rien à y redire. En ce qui concernent la torture, nécessité fait loi. Mais c’est la loi du terrain, ça ne peut pas être la loi écrite.
Je tiens à préciser qu’au lycée on ne m’ a jamais parlé du génocide antiblanc qui s’est produit en Algérie .
Selon ma prof d’histoire géo gauchiste c’est la France qui a commis un crime contre l’humanité .
Alors grace à vos articles monsieur Gomez j’ai appris la vérité , et je vous en remercie .
Merci Manuel ! En 1954 je n’avais que 7 ans, mais en 1962 j’en avais déjà 15. J’ai vécu les évènements ont vous parlez. J’habitais près du stade de St Eugène. Je me rappelle de l’attentat du casino de la corniche dans lequel deux de mes belles voisines ont perdu une jambe… Et bien sûr, face à des terroristes sanguinaires, la torture est non seulement nécessaire, mais elle doit s’imposer de manière tout à fait naturelle. Les collabos qui s’excitent contre la torture, quand elle est pratiquée par notre camp, sont les pires tortionnaires dès qu’ils en ont l’occasion.
Bonne nouvelle ? Pas si sûr. Je suis convaincu que seuls les documents à charge contre la France seront divulgués. Le système va bien trouver des Stora ou des Mélanchon pour faire le tri.
Ca, c’est à peu près sûr
Vous avez raison et la Bachelot n’est pas la dernière pour se faire mousser auprès de la gauche sanglante.
Comme toujours c’est biaisé d’avance: Il n’ y aura rien sur les actions du FLN ou de l’ALN:
J’ai souvenir d’un officier français, qui racontait que pris dans une embuscade, il avait fait 2 prisonniers FLN, mais qu’un de ses hommes était porté manquant. On savait tous les « joyeusetés » qui attendaient le soldat (parties coupées et fourrées dans la bouche, pour attendre la mort en se vidant de son sang, par exemple). L’officier a fait parler les deux fells… Il a récupéré son homme encore intact.
C’est simple comme bonjour: Répugnant à faire, mais c’est à faire sans hésitation dans un cas pareil
Et les tortures et meurtres en tout genre du FLN aussi ?
100% d’accord avec vous.
Sauver une vie, c’est sauver l’humanité, même au prix de la torture.
De toutes façons, les autres ne torturaient pas, ils violaient et tuaient de façon barbare.
Comme d’habitude, rien à ajouter. Merci Monsieur GOMEZ.
Cas d’école : Si les militaires avaient pris les terroristes du Bataclan en connaissant leur projet comme le faisaient les militaires de 1957, auraient ils eu la bien pensance avec eux pour leur demander de mettre fin à l’attentat ? Et par quel moyen ?
Bonjour,
Je suis né en métropole, mais à l’époque 57/60 j’avais des membres de ma famille qui rentrer d’Algérie, mais parallèlement un cousin qui partait se battre en Algérie.Quatre ans plus tard, j’étais incorporer dans un régiment qui rentrer d’Algérie (3èRima) après avoir eu mes galons de sergent, dans les discutions avec les anciens: mes formateurs, les interrogations musclés étaient dans nos discutions, il se trouve que certains n’étaient pas des enfants de coeurs (OAS), ce n’était jamais prononcer, mais un regard appuyer nous faisait comprendre qui ils étaient.A vingt ans, mais encore aujourd’hui je serais aussi pour un interrogatoire musclé, seule façon de sauver ce qui doit l’être.
vae victis, malheur aux vaincus; cet adage romain est toujours d’actualité!
mais ce qu’il y a de plus révoltant c’est que la charge est toujours du même coté, et le nombre de « français » qui adorent « suicider » les leurs est toujours stupéfiant! je préfère l’attitude des britanniques, right or wrong, it’s my country,
enfin les vendéens ont du attendre trois cents ans pour que le génocide des révolutionnaires soit reconnu….c’est navrant !
Reconnu par qui???, un certain Daniel Rabourdin a fait un reportage sur le genocide vendéen et il rapporte, qu’il a proposé aux sénateurs de visionner son reportage, tres peu ont accepté et meme souhaitaient que l’on oublie cette époque de l’histoire de France. il faut savoir que l’ordre d’assassiner les vendeens et venu du meme senat qu’aujourd’hui.
https://www.youtube.com/watch?v=geQOvK14TPA
https://www.youtube.com/watch?v=dU4oblpeFZo
je suis d’accord avec cet article, ne pas être un tortionnaire , mais juste faire le nécessaire pour savoir la vérité en cas de danger mortel afin d’agir rapidement .
Eternelle conclusion, la guerre est une ignoble saloperie !
In memoriam,
Lieutenant Roger Degueldre,
Colonel Bastien-Thiry,
Sergent Albert Dovecar,
Monsieur Claude Piegts,
Qu ils reposent en paix!
SOUVENIRS d’ALGERIE FRANCAISE
Mon voisin, un pied-noir d’Algérie, me racontait comment une partie de son régiment fût massacré.
Son capitaine prévint ses hommes qu’ils étaient tous conviés à un méchoui par les villageois. Mon voisin refusa de cette invitation ce qui déclencha la colère du capitaine :
– A. si vous ne venez pas à ce repas, vous serez aux arrêts pendant 3 jours !
– Sauf votre respect mon capitaine, je préfère être en prison pour 3 jours.
Le capitaine se rendit avec ses hommes à la généreuse invitation des gentils villageois. Ils ne revinrent jamais.
On les retrouva tous morts, enterrés dans le sable, seule leur têtes dépassant avec leurs parties dans la bouche.
Il me raconta aussi comment, plus tard, des fellagas tentèrent de le bloquer sur la corniche, alors qu’il conduisait sa voiture. Après l’expérience précédente, il ne se posa aucune question :
Il accéléra à fond et 2 fellagas furent projetés dans le vide.
Un autre me raconta : Prenant le bus à Alger, fût accosté par un fellaga qui sortit son revolver lui appliqua sur la tempe et tira. Par bonheur le revolver s’enraya. De frayeur il perdit tous ses cheveux. Plus tard il rejoignit l’OAS dont il devint le trésorier.
Le Général de Gaulle a été un despote incompétent:
Sur l’Algérie, il aurait du procéder une autonomie progressive style « Accord de Nouméa » en prenant soin de divisée l’Algérie créée par la France en multiples provinces autonomes les une des autres dont une (ou plusieurs kabylies):
Si le processus avait abouti, il aurait pu se faire dans la paix , ce dont je doute fort. Et peut-être, ces provinces auraient passé leur temps à se guerroyer entre elles, plutôt qu’une Algérie unie en guerre contre la France: