Publié par Guy Millière le 4 décembre 2021

La gauche américaine a volé l’élection présidentielle de novembre 2020. Il ne faut pas le dire, je sais.

Toutes les preuves sont là, mais il y a une vérité officielle. Au temps où il y avait une vérité officielle en Union Soviétique, incarnée par la Pravda, le monde démocratique disait que l’Union Sovietique était totalitaire. Aujourd’hui, il n’y a plus d’Union Soviétique, et quasiment toute la presse du monde démocratique dissémine la vérité officielle, ce qui montre que la presse du monde démocratique ressemble désormais à la presse soviétique, qu’il y a dans le monde démocratique de multiples Pravda, et que le monde démocratique a largement cessé d’être ce qu’il est. 

Et si la gauche américaine a volé l’élection présidentielle de novembre 2020, c’est parce qu’elle avait des intentions destructrices et voulait les mettre en pratique.

Elle avait montré qu’elle était prête à tout bien avant l’élection de 2020, en lançant contre Trump des accusations frelatées de «collusion avec la Russie», en menant deux procédures de destitution sans le moindre fondement et aux allures de procès de Moscou contre Donald Trump, puis en utilisant cyniquement la pandémie venue de Chine pour broyer l’économie et tuer des dizaines de milliers de personnes. Elle avait ensuite menti sur la mort par overdose de Fentanyl du petit truand George Floyd, pour lancer une série d’émeutes qui ont conduit à une bacchanale de meurtres, de pillages et d’incendies dans presque toutes les grandes villes américaines pendant l’été 2020. Et le vol de l’élection n’a été que la continuation, et a montré qu’elle avait ébranlé de l’intérieur toutes les institutions du pays : élection au suffrage universel, justice, médias, police.

Elle a, face à la contestation du résultat frelaté de l’élection par des millions d’Américains unis derrière le slogan «Stop the Steal» (Arrêtez le vol), mis en place les événements survenus au Capitole le 6 janvier, et il est désormais de plus en plus clair que ce qui s’est passé le 6 janvier au Capitole a été un coup monté destiné à piéger les soutiens de Trump réunis à Washington (une série d’enquêtes menées à l’instigation de Tucker Carlson et diffusées sur Fox Nation sous le tire Patriot Purge, et un film sorti le 25 novembre appelé Capitol Punishment le montrent, détails à l’appui).

Elle a fait mettre la ville de Washington en état de siège pendant plusieurs mois, et commencé à mener la chasse aux «terroristes intérieurs» (les soutiens de Trump entrés dans le Capitole et par extension, tous les soutiens de Trump) et ils ont été arrêtés comme s’ils étaient effectivement des terroristes responsables de centaines de morts, puis mis au secret dans des lieux de détention où ils ont subi et subissent encore des sévices indignes des Etats-Unis (pas d’accès direct à leur avocat, pas de sortie de leur cellule pour être quelques instants à l’air libre, pas d’eau courante, etc.), ce qui lui a permis d’intimider ceux qui contesteraient encore la légitimité inexistante de l’administration Biden.

Elle a, à la Chambre des représentants, mis en place une «commission d’enquête» sur le 6 janvier qui n’est pas une commission d’enquête, puisqu’elle n’obéit à aucune des règles qui définissent les commissions d’enquête (elle recourt à des faux témoins et est composée de démocrates et de deux républicains exclus du parti républicain, choisis pour leur docilité par Nancy Pelosi, la démocrate gauchiste qui préside la Chambre). Elle convoque à la «commission» en les accusant de complot, des gens qui ont simplement expliqué que l’élection a été volée, et elle viole ainsi le premier amendement de la Constitution, ainsi Steve Bannon et Roger Stone.

En parallèle, comme je l’ai déjà expliqué, elle a en dix mois seulement aboli largement la frontière Sud, fait entrer dans le pays plus d’un million d’immigrants illégaux qu’elle a disséminés dans tout le pays en leur distribuant des sommes importantes (ceux qui ont, un temps, été séparés de leurs enfants vont recevoir 450.000 dollars). Elle laisse entrer dans le pays parmi les immigrants illégaux des membres de gangs et de trafiquants de drogue expulsés sous Trump, ainsi que des drogues et des médicaments contrefaits et le nombre d’overdoses monte en flèche.

Elle a dilapidé des milliers de milliards qui ont été créés ex nihilo et enclenche ainsi un processus inflationniste qui fausse toutes les décisions économiques et frappe très rudement les personnes à faibles revenus, qui voient les prix des produits de première nécessité s’envoler sans que leurs salaires suivent. Elle a détruit la production d’énergie aux Etats-Unis, ce qui a fait passer le pays du statut de premier producteur mondial de gaz et de pétrole au statut de pays devant importer pétrole et gaz, et a provoqué une hausse vertigineuse des prix de l’énergie et a placé les Etats-Unis en position de dépendance de pays ennemis.

Elle a fait exploser la criminalité en diabolisant la police et en la refinançant dans toutes les grandes villes démocrates. Elle a fait nommer des procureurs gauchistes qui s’efforcent de dévoyer la justice, ce qui conduit a l’ignominie du procureur de Kenosha au procès de Kyle Rittenhouse (en d’autres temps, ce procureur serait révoqué), et a la remise en liberté de Darrell Brooks, multirécidiviste raciste antiblanc soutien de Black Lives Matter qui a foncé en voiture sur une parade de Noël, et assassine cinq enfants et une vieille dame, et blesse quarante personnes, essentiellement des enfants (qui avaient aux yeux d’un raciste antiblanc le tort d’être blancs). Ce raciste odieux avait une semaine avant cet assassinat raciste de masse tente de tuer une femme en l’écrasant, et été libéré sous une caution infime, mille dollars, par un juge gauchiste.

Elle a obtenu la nomination à San Francisco et Los Angeles de procureurs eux-mêmes gauchistes qui interdisent toute poursuite en justice dans les villes dont ils ont la charge contre des personnes qui volent pour moins de 950 dollars, ce qui crée une épidémie de vols (une politique du même genre est en place à Chicago), et la fermeture de nombreux magasins : plus de la moitié des pharmacies de San Francisco ont fermé leurs portes, et plusieurs supermarchés de Los Angeles ont réduit leurs heures d’ouverture.

Elle détériore gravement l’armée en y faisant enseigner la «théorie critique de la race», qui présente les blancs comme des criminels racistes et les Etats-Unis comme un pays qui doit sa prospérité a l’esclavagisme. Elle fait diffuser des publicités de recrutement disant que l’armée est ouverte aux transsexuels et aux travestis, et elle a fait nommer amiral un transsexuel sans expérience militaire. Elle a donné à un bateau de guerre voici quelques jours le nom d’un violeur pédophile qui a eu des responsabilités municipales à San Francisco, Harvey Milk.

Ele détériore le système scolaire et si elle y enseignait déjà la haine envers les Etats-Unis, elle y rajoute le racisme anti-blanc et une éducation sexuelle qui incite a l’homosexualité et a la transsexualité en recourant dans certains districts scolaires a l’utilisation de livres pornographiques donne a des enfants de douze ans.

Les parents qui protestent sont désormais définis eux aussi comme «terroristes intérieurs» et risquent la prison.

Elle a fait autoriser par la loi les avortements jusqu’au neuvième mois, donc les infanticides.

Elle tient les grands médias américains qui sont désormais des instruments de falsification et de propagande. Elle tient aussi les grandes maisons d’édition, qui publient des livres de désinformation écrits par des gauchistes sans scrupule, et le contenu de ces livres est, bien sûr, cite abondamment par les grands médias susdits : dernier exemple en date, Betrayal. The Final Act of the Trump Show, par Jonathan Karl, un livre dont je ne voudrais pas, car il souillerait ma bibliothèque (la France n’est pas le seul pays ou les journalistes sont pour la plupart devenus des propagandistes gauchistes, et les journalistes propagandistes gauchistes français se contentent lorsqu’ils parlent des Etats unis, de recopier leurs crapuleux collègues américains). Johnatan Karl est le correspondant de la chaîne ABC à la Maison-Blanche et quand il ne diffame pas Trump, il décrit les merveilles résultant de l’action de l’administration Biden.

La gauche américaine détruit parce qu’elle hait les Etats-Unis et méprise le peuple américain et la porte-parole de l’administration Biden incarne la quintessence du mépris pour le peuple américain. A un journaliste de FoxNews qui lui disait juste avant Thanksgiving que le prix des carburants et de la dinde était très élevé et que des Américains pauvres auraient du mal à se réunir en famille autour du repas traditionnel de Thansgiving, elle a répondu que les Américains devaient s’habituer à la frugalité, moins se déplacer, et pouvaient remplacer la dinde par du tofu. Elle est coutumière de ce genre de réponse.

La gauche américaine a installé à la Maison-Blanche un homme sénile, corrompu, acheté par la Chine. Toutes les preuves de la corruption existent, mais aucun procureur, aucun juge ne se risquera à instruire un dossier à charge contre Joe Biden.

La gauche américaine a des préférences pour les régimes totalitaires, et met le monde en danger : elle a provoqué la débâcle en Afghanistan et le retour au pouvoir des taliban et d’al-Qaïda. Elle fait preuve d’une faiblesse complice face à la Chine, qui continue à massacrer dans le Xinjiang et accentue ses pressions sur Taiwan. Elle se plie peu à peu aux conditions du régime des mollahs et entérine l’accès prochain de celui-ci à l’arme atomique, qui lui permettra de se sanctuariser et d’avancer vers une hégémonie régionale. Elle traite de plus en plus nettement Israël en ennemi et va y réouvrir l’ancien consulat des Etats-Unis, «pour les Palestiniens», donc pour l’Autorité Palestinienne, ce qui fera qu’il y aura tout à la fois à Jérusalem une ambassade des Etats-Unis, et un consulat jouant le rôle de quasi-ambassade pour une organisation terroriste ennemie d’Israël : ce qui sera une grave remise en cause de la souveraineté israélienne sur Jérusalem et une récompense donnée a une organisation terroriste. La gauche américaine fait aussi preuve de mansuétude vis-à-vis de la Russie, alliée de la Chine et de l’Iran, et celle-ci masse des troupes aux frontières de l’Ukraine et déstabilise la Pologne par le biais du régime du Belarus, qui joue pour la Russie le rôle que la Corée du Nord joue pour la Chine.

Le peuple américain ne proteste que très peu, car les Américains qui seraient tentés de protester voient ce qui est arrivé à nombre de ceux qui sont venus le 6 janvier à Washington. Mais ils sont en colère. Et quand des élections partielles ont lieu, comme récemment en Virginie et dans le New Jersey, ils votent massivement républicain.

Si les élections de 2022 avaient lieu aujourd’hui, les républicains remporteraient les deux Chambres du Congrès par un raz de marée électoral, et Trump serait réélu avec des marges telles qu’aucune fraude ne pourrait lui voler la Victoire : douze à vingt pour cent selon les Etats. Il remporterait 48 Etats sur 50.

Les journalistes français diraient que cela montre que les Américains sont des abrutis, je sais…

Les démocrates et la gauche dans son ensemble commencent à paniquer. C’est étrange : n’ont-ils pas prévu qu’en ravageant les Etats-Unis, ils allaient provoquer ce qui se dessine ?

Les politiciens républicains trumpismes sont très confiants, et s’apprêtent a se battre aux fins de chasser les démocrates et la gauche, et d’éliminer de leurs rangs les traîtres. Deux noms se dégagent qui pourraient être vice-présidents d’un second mandat de Donald Trump, Ted Cruz et Ron DeSantis. Pour les avoir vus parler récemment lors de la réunion annuelle de la Republican Jewish Coalition à Las Vegas, je dirai que l’un et l’autre seraient d’excellents choix. Je donnerai une légère préférence à Ted Cruz, qui est un remarquable orateur (un peu meilleur que Ron DeSantis sur ce plan) et qui vient du Texas, un Etat crucial (la Floride est cruciale aussi, mais Trump y réside désormais, et la règle est que le candidat à la présidence et le candidat à la vice-présidence ne doivent pas être du même Etat, et la Floride connaît un afflux massif de personnes qui votent républicain, ce qui devrait la mettre à l’abri d’un basculement électoral, ce qui est moins le cas pour le Texas). Ted Cruz et Ron de Santis sont jeunes et si le pays se redresse, ils seront sans doute Présidents. Ted Cruz, avec qui j’ai eu une conversation à Las Vegas, rend sans cesse hommage à Donald Trump et m’a donné des détails sur l’action de Donald Trump que j’intégrerai dans mon prochain livre. C’est un homme bien sur tous les plans.

Le General Michael Flynn est moins confiant. Il dit que la gauche américaine est totalitaire et entend provoquer une crise majeure dans le pays pour éviter un retour des républicains et de Donald Trump. Je veux espérer que Ted Cruz et les autres républicains trumpismes ont raison, mais je crains que Michael Flynn n’ait pas tort.

Une bataille décisive prend forme. De la tournure que prendra la bataille dépendront le sort des Etats-Unis et celui du monde.

Michael Flynn a raison de dire que la gauche américaine est totalitaire. Elle peut même prendre un visage communiste. L’administration Biden essaie de faire nommer Saule Omarova au poste de responsable de la supervision du système bancaire, et c’est une communiste venue de l’université de Moscou, qui est arrivé aux Etats-Unis en 1991, au moment de la chute de l’empire soviétique. Elle a publié depuis des articles imprégnés de communisme.

Ce qui peut être ajouté à ce que dit Michael Flynn est que les très grandes entreprises américaines soutiennent massivement la gauche américaine : elles veulent travailler avec la Chine, comme la gauche américaine. Elles veulent un système post-démocratique où le pouvoir est aux mains d’une nomenklatura et/ou la population est réduite au statut de plèbe. Elles ont gagné des centaines de milliards grâce à la pandémie, qui a permis un asservissement massif des populations, la destruction de milliers de petites entreprises, l’éviction de Donald Trump, et l’installation de Joe Biden à la Maison-Blanche. C’est aussi contre elles que les républicains trumpismes doivent se battre.

Je maintiens le titre de mon prochain livre : après la démocratie ? La gauche américaine veut reléguer la démocratie dans le révolu. Les républicains trumpismes veulent sauver la démocratie américaine. Pour l’heure, la démocratie américaine est en danger.

Les propagandistes de gauche accusent bien sûr les républicains trumpismes de vouloir renverser la démocratie. Ils ont retenu les leçons de leur maître à penser, Saul Alinsky, l’auteur de Rules fors Radicals : «Accusez vos ennemis de ce dont vous êtes coupables».

Attendez-vous à ce que les propagandistes français répètent ce que disent et diront les propagandistes américains.

Des livres que je cite dans mon prochain livre, Après la démocratie ? sont des best-sellers aux Etats-Unis, malgré la censure des grands médias. Ils expliquent les actions totalitaires de la gauche américaine. C’est ce que fait David Horowitz, avec qui je me suis entretenu pendant que je rédigeais Après la démocratie ? Il a publié un livre appelé The Enemy Within : How a Totalitarian Movement is Destroying America. C’est un livre précis et accablant. Il vient de publier un autre livre tout aussi précis et accablant I Can’t Breathe : How a Racial Hoax Is Killing America, consacré à l’utilisation de la mort par overdose de George Floyd par la gauche américaine. Un autre livre remarquable et précis est American Marxism, de Mark Levin, avec qui j’ai eu également une conversation à Las Vegas. D’autres livres expliquent les fraudes de novembre 2020 et le rôle des grands médias, des grandes entreprises et de l’utilisation de la pandémie dans celles-ci (et je pense qu’il faut continuer à parler des fraudes de novembre 2020 car elles sont un crime contre la démocratie et le suffrage universel). Le plus complet est celui de Mollie Hemingway : Rigged: How the Media, Big Tech, and the Democrats Seized Our Elections. Un livre vient de paraître qui expose en détail le contenu de l’ordinateur de Hunter Biden et les liens de corruption liant Joe Biden ont la Chine : Laptop from Hell: Hunter Biden, Big Tech, and the Dirty Secrets the President Tried to Hide.

Vous verrez ces livres cités dans mon prochain livre. Vous n’entendrez parler d’aucun d’eux dans les grands médias français. Ils seront qualifiés de «complotistes». La propagande déversée à jet continu dans les grands médias français, propagande qui ne repose sur rien, et qui constitue des mensonges basés sur des mensonges, elle, n’est pas du tout complotiste. Cela va de soi. Le totalitarisme de type soviétique produisait de la désinformation : il en produit toujours en Chine ou en Corée du Nord. Il conduisait ceux qui disaient la vérité vers les asiles psychiatriques ou les camps de concentration constituant le goulag : c’est toujours ce qui se passe en Chine et en Corée du Nord.

Le totalitarisme qui monte en Occident produit de la désinformation. Il conduisait ceux qui disaient la vérité vers le silence forcé, et les traite de complotistes. Il ne les conduit pas vers les asiles psychiatriques ou les camps de concentration, tout au moins pas encore.

Le totalitarisme de type soviétique utilisait des désinformateurs qui savaient qu’ils désinformaient. Le totalitarisme qui monte en Occident utilise des désinformateurs qui ne savent pas tous qu’ils désinforment : nombre d’entre eux sont persuadés qu’ils sont du côté de la vérité. Ils ont été formatés pour ne plus savoir la différence entre la vérité et le mensonge, et c’est abominable.

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