Ce qui a changé du jour au lendemain et de manière générale, c’est une attitude anti-scientifique dans toutes les spécialités pour tout ce qui concerne le coronavirus.
En temps normal, la pratique de la médecine est confrontée à de nombreux défis, certains provenant de l’intérieur et d’autres de l’extérieur de la profession. Si vous le permettez, une grande partie de votre pratique quotidienne suit les directives des spécialités, les critères des compagnies d’assurance, les formulaires des hôpitaux et autres désagréments. Aucune de ces entités n’a de responsabilité vis-à-vis de nos patients. Dans la plupart des cas, la responsabilité incombe au médecin traitant.
Chaque spécialité joue un rôle particulier dans les soins d’un patient et les spécialistes envisagent souvent les problèmes sous des angles différents. Par exemple, certains médecins considèrent un taux de cholestérol élevé comme un indicateur permettant d’évaluer d’autres problèmes médicaux sous-jacents potentiels, tandis qu’un cardiologue se contentera de rédiger une ordonnance pour un médicament à base de statines, tout comme un chat chasse une souris par réflexe.
Ce qui a changé du jour au lendemain et de manière générale, c’est une attitude anti-scientifique dans toutes les spécialités pour tout ce qui concerne le coronavirus
Une infection virale n’a pas besoin d’être gérée par le gouvernement, sa rencontre fait partie de la pratique médicale quotidienne d’un médecin. Le gouvernement a apparemment accompli ce que les assureurs médicaux, les commissions médicales et les hôpitaux ont essayé, mais n’ont pas encore réussi : le contrôle mental complet des médecins. Et avec cela, le dernier vestige de respect que j’avais pour ma profession est mort.
J’assiste souvent à des réunions médicales où l’on discute des subtilités de l’immunothérapie et des anticorps monoclonaux dans le cadre du traitement des patients atteints de cancer. Pour les médecins, il s’agit de leur version de la science en ce qui concerne les indications d’un médicament, ses mécanismes d’action, sa posologie, la gestion des effets secondaires et les études justifiant un médicament ou une combinaison par rapport à un autre, ces dernières étant souvent étayées par des analyses statistiques douteuses.
Une fois la discussion scientifique terminée, le bavardage commence à propos du coronavirus et des vaccins, et l’on atteint le point où toute rationalité restante devient semblable à celle que l’on entend chez les élèves d’une école maternelle.
Le ton devient celui de l’acceptation de la ligne gouvernementale, toutes les connaissances médicales et les capacités cognitives s’étant évaporées. On ne parle pas des subtilités des différents tests PCR (polymerase chain reaction), de l’utilité du port du masque, de l’utilisation appropriée des systèmes de ventilation, de la modification des définitions médicales, de l’introduction de la thérapie génétique comme vaccin.
Personne ne s’attend à ce que l’on discute de la microscopie électronique sur la médecine clinique, des techniques d’isolement et de culture des virus, ou du nombre d’idées récompensées par un prix Nobel qui sont aujourd’hui utilisées de manière abusive sur le plan scientifique. Au lieu de cela, la conversation porte sur l’identité de la personne qui a reçu son rappel, la date du prochain rappel, la manière dont elle interagit, ou non, avec son entourage afin de rester en sécurité, son inquiétude quant à l’exposition de son enfant, et bien d’autres futilités qui font perdre du temps et des vies humaines.
Apparemment, la plupart des médecins n’ont pas pris la peine d’examiner les données annuelles sur la grippe, le calendrier de développement des vaccins, de se rafraîchir la mémoire sur des définitions telles que celles de vaccination et d’immunisation, ou sur la biologie cellulaire concernant l’ADN, l’ARN, l’ARNm et la transcriptase inverse. Ils ne se sont pas non plus informés sur les symptômes associés au syndrome grippal, sur l’efficacité de la vaccination contre la grippe ou sur les problèmes liés à la vaccination en période de mutation active des maladies infectieuses. [on ne vaccine pas pendant une pandémie car cela provoque inévitablement une mutation du virus. La folie c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent]
Ces concepts devraient être facilement assimilés par les personnes qui prennent en charge les patients atteints de cancer. Mais lorsqu’il s’agit du coronavirus et de la vaccination, ils sont inversés et ne ressemblent en rien aux principes ou aux soins médicaux connus. Tout ce qui relève du coronavirus est devenu l’exception médicale, et l’est depuis près de deux ans.
En ce qui concerne la perte de l’esprit critique, voici quelques exemples qui auraient dû donner aux médecins le temps de digérer le régime de propagande dont ils ont été nourris
Si je peux facilement transmettre le coronavirus à quelqu’un en respirant sur lui, pourquoi est-il nécessaire de faire un prélèvement dans les profondeurs du nez ? Pourquoi la méthodologie du test PCR est-elle omise des rapports envoyés aux médecins ? Depuis quand le port du masque est-il recommandé, sauf pour les personnes atteintes d’une maladie contagieuse connue, comme la tuberculose ou pour celles dont le nombre de globules blancs est transitoirement bas ? Quand la thérapie génétique a-t-elle été utilisée autrement que pour des maladies incurables ?
La prévention des maladies virales est devenu un sujet tabou
La vitamine D est essentielle à de nombreuses fonctions de l’organisme, dont le système immunitaire, tandis que l’obésité expose à de nombreux problèmes médicaux et que la vieillesse indique que les jours qui vous restent sont limités. Presque toutes les personnes supposées gravement malades ou décédées à cause du coronavirus présentaient ces facteurs, sinon tous.
Bien que vous ne puissiez pas changer votre âge, vous pouvez modifier votre apport en vitamine D, perdre du poids, arrêter de fumer, etc. Il est considéré comme non scientifique de s’écarter des principes de prévention autres que la vaccination ou les anticorps monoclonaux pour le traitement.
Entre le moment où notre gouvernement a lancé une alerte à la pandémie et le lancement des vaccins, où était l’esprit critique des médecins ?
Si moi, qui n’étais certainement pas le premier de ma classe de médecine, j’ai pu comprendre que ces éléments s’appliquaient directement aux questions en jeu, ceux qui me précédaient dans ma classe auraient certainement dû le faire.
La sagesse est une combinaison de connaissance, d’expérience et de jugement. La connaissance peut être transmise, l’expérience acquise, mais le jugement est une qualité inhérente, qui ne s’acquiert pas par l’instruction. Soit vous avez un bon jugement, soit vous n’en avez pas.
Ce manque apparent de jugement est-il intentionnel ? Il est certain que le nombre croissant de médecins qui sont employés par d’autres, notamment par des hôpitaux, joue un rôle. Rappelez-vous : “C’est celui qui paie le joueur de cornemuse qui décide de la musique.” Pensez-vous que les médecins sont à l’abri de cet adage ? Les médecins sont comme tout le monde, sauf qu’ils ont passé leur jeunesse dans une école professionnelle coûteuse.
Il n’est pas rare que des patients, des membres de la famille et des amis me disent que, quel que soit le problème qu’ils présentent à un médecin, la première question qui leur est posée est “Avez-vous reçu le vaccin contre le coronavirus ? Toute réponse négative est suivie d’une harangue sur sa nécessité.
Le dilemme de l’apparent manque de discernement des médecins ne se situe pas dans le futur puisque le futur est maintenant, représenté par le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System)
Il est de plus en plus difficile de cacher les événements indésirables et les décès importants dus au vaccin.
Bien que cela ait été déjà dit à propos de la guerre du Vietnam, cette situation me rappelle une citation de John Kerry que je vais modifier pour les circonstances dans lesquelles nous nous trouvons aujourd’hui : “Comment demander à un homme d’être le dernier à mourir du vaccin ? Comment demander à un homme d’être le dernier à mourir pour une erreur ?”
Toutes les choses relatives au coronavirus finiront par passer. Peu de choses sont éternelles. Mais à un moment donné, les médecins risquent de payer le prix lourd de leur mauvais jugement. La question est de savoir qui les jugera.
Par Steve Karp, spécialiste de radio-oncologie, pour American Thinker
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.

REMARQUABLE article, je me sens desormais un peu moins seul…..
Bonne journee a Tous ,
Dr trump
Le pire ce sont les donneurs de leçons de morale ! Moi je suis vacciné j’ai souffert énormément à la deuxième dose, alors qu’ils se gardent leur troisième 4ème…(il parait que l’Europe en a commandé 10 par habitant, à livrer jusqu’à 2023). Et je suis anti-Pass ! Les Pro-vax ont trouvé une manière de nous impressionner : un musulman , qui dit que c’est la faute à YouTube s’il ne s’est pas fait vacciné et qu’il est si malade ( effectivement le vaccin ne rend pas malade, mois je l’ai été plus de 2 semaines à en crever)…cette vidéo du musulman exhortant à se faire vacciner est de l’AFP, tourné à Montreuil dans un hôpital ultra moderne(???pas le mien !), 39 minutes plus tard reportage de BFMTV à Nice : un musulman s’emporte dans un service hospitalier, contre YouTube qui l’a induit en erreur…etc… Bougre d’ânes ils auraient dû lui mettre une perruque… Ahahaha ! C’est le même hospitalisé à Montreuil et à Nice en même temps !!! Ahahaha ! En même temps !
Depuis la faschosphère complotiste s’en donne à rires à gorges déployées…
Non personne n’essaie de les manipuler ! Non !
Mille fois bravo, votre réflexion est la substantifique moelle de quelque chose d’innommable :
l’interdit à Steve Karp d’encore proférer : “le dernier vestige de respect que j’avais pour ma profession est mort.”
+1000
oui enfin un auteur que sait de quoi il parle; MERCI
En France, la dictature sanitaire a été ordonnée par des médecins (le directeur du ministère et les barons de son comité “scientifique”)
et acceptée par une très grande majorité de médecins ou pharmaciens:
tous ceux qui répètent que la chloroquine prise à temps n’a aucun effet.
C’est l’interdiction sans raison ni motif d’une molécule si bénigne qu’elle était en vente libre, qui est l’absurdité dont ont découlé toutes les autres : mais nos médecins de ville ne se sont pas insurgés, une grande majorité a au contraire joué ce jeu.
Je crois qu’un directeur de ministère n’a pas le droit d’interdire quoi que ce soit sans raison.
Elle a été bien acceptée par tout le monde.
Merci pour votre article. Je pense que beaucoup de scientifiques pensent comme vous et ne sont pas dupes de ce qui se passe.
Magnifique !
Merci, pour cet article, monsieur Martoia!
Merci d’avoir partagé cet article:
Autour de moi , il commence a y avoir des malades du “vaccin” anti-covid :
paralysie et invalidité, fausse-couche, trombose énorme + probèmes rénaux (pronostic vital engagé) , zona etc
Aucuns de ces malades n’a été répertoriés par la pharmaco-vigilence, trop compliqué pour les médecins:
Ou encore un médecin, qui a du se faire vacciner pour continuer à travailler, et qui souffre le martyre aujourd’hui. Aucun des ses collègues ne veut lui faire un certificat indiquant une intolérence et une exemption à la 3eme dose !
Si la sureté de ces”vaccins” était celle annoncée, je ne devrais pas voir tous ces malades autours moi:
Les hommes courageux ne sont pas légion.
Parmi les médecins français qui résistent à la tyrannie sanitaire, figurent en bonne place : Didier Raoult, Christian Peronne, Louis Fouché et Alexandra Henrion-Caude
Comme vous, ce sont de précieux sauveurs….
Et le réel l’emporte toujours,
L’apparente désespérance de cet article, – « le dernier vestige de respect que j’avais pour ma profession est mort. » – fait l’impasse sur
“L’imagination de la nature est colossale”(Didier Raoult)
Il en sera de même de la résistance aux colosses d’argent, comme Big-Pharma, et leurs “collabos” de tous bords.
Patience !.
Merci à Bernard Martoia pour cet article
La profession médicale est fautive et ne se remettra pas de cette débâcle. Les docteurs n’ont plus de couilles et s’écrasent face à l’autorité et face au pouvoir. Ils s’autocensurent et se voilent la face. Ils préfèrent voir mourir leurs malades que de défier l’autorité. Le domaine de la recherche médicale est en grande partie sous la coupe des sources de financement, c’est-à-dire des compagnies pharmaceutiques et des hauts fonctionnaires, lesquels entretiennent des relations « incestueuses » avec elles.
La mort revêt plusieurs formes. Il y a la mort sociale, la mort professionnelle, la mort politique et bien entendu la mort physique. Les médecins pour rester « vivants » doivent se conformer à toutes les normes sauf celles de leur conscience quand celle-ci est en désaccord avec les normes qu’impose l’autorité. L’indépendance d’esprit n’existe plus, l’originalité et la créativité sont bannies. Le médecin s’efforce d’être conforme non seulement à l’extérieur pour ne pas éveiller les soupçons, mais il doit aussi internaliser cette conformité. Il met à l’écart sa conscience et la remplace par les normes imposées par les autorités médicales et celles de l’État. Il ne s’agit pas seulement de servitude mais de servilité.
Le sens du devoir et de l’honneur n’existe plus, seule compte la « réussite ». Le médecin ne se prend plus pour le Bon Dieu ce qui est bien, mais il n’a plus une haute idée de lui-même ni de sa profession. Il ne se soucie pas de s’élever par le don de soi, spirituellement il est à l’agonie.
La complicité, passive et active des médecins dans l’actuel gâchis est totale. Ils ont fait bon marché de leur conscience par lâcheté et par intérêt. Le mot d’ordre pour eux est « surtout ne pas faire de vagues ». Plus il y aura de morts et plus ils se fermeront les yeux jusqu’au jour où ils se retrouveront face au tribunal de l’opinion publique après que l’autorité gouvernementale les aura laissés tomber.
Ils seront le bouc émissaire et ils ne l’auront pas volé.
Chez Américain Thinker, ils sont particulièrement remontés en ce moment. Même si les gens qui désapprouvent les vaccins peuvent trouver désagréable que la plupart des médecins soient pour et ne les soutiennent donc pas, je crois que dans les pays développés on peut encore s’estimer heureux d’avoir des médecins. Certes, ils ne sont pas tous parfaits, mais ils sont là, et eux aussi, ils se font contaminer, pour nous soigner. Et pour être claire, quand je vais chez le médecin, je n’attends pas qu’il me demande si je suis vaccinée. Je l’annonce tout de suite. La dernière fois, une charmante praticienne m’a répondu que ce n’était pas obligatoire pour venir en cabinet libéral. J’ai répondu que je le savais, mais que j’estimais qu’annoncer la couleur était une affaire de courtoisie.
un document parfaitement clair, donnant une ligne de conduite on moins claire, qui fait le distinguo entre vaccin et thérapie génique.
monsieur delfrayssi devrait se souvenir de sa thérapie génique qui à tué plusieurs enfants et à été interdite au moins au départ.
Son comportement est il une revanche pleine de ressentiment?
Son portrait est sorosien
Tellement juste, que c’en est Ravageur
Un TRES GRAND MERCI pour cet article vrai et intelligent!
Mon cher confrère, merci pour votre papier. on dirait que tous les principes fondamentaux de médecine et d’éthique, et même de bon sens, ont été balayés depuis le covid-19.
Le médecin ne doit plus chercher à soigner, mais doit suivre les directives qui lui sont données.
J’avoue mes inquiétudes sur la vaccination des jeunes, et encore plus des enfants, par un vaccin toujours en phase 3 pour encore un an, donc toujours expérimental, avec un rapport bénéfice (aucun chez l’enfant) / risque (inconnu sur le long terme, ce qui ne pose pas de gros problème au 3ème âge, mais est un énorme problème chez l’enfant).
Je ne peux même pas faire part des mes inquiétudes ouvertement, ce qui me fera signer sous mon nom d’emprunt Richard Friand.
je ne suis pas un médecin mais un ancien diplomate qui observe l’évolution du monde depuis un demi-siècle avec beaucoup de tristesse et d’angoisse.
Nombre de médecins ne sont pas dupes mais ils n’ont pas le courage de se révolter contre la tyrannie hygiénique.
Le site American Thinker est une mine de renseignements dans lequel je pioche allègrement et traduit des articles pour les Français.
Médecins et BigPharma sont de connivence
Les médecins ne sont pas pharmacien mais semble connaitre tout ce qui concerne la pharmacopée. Combien de congrès voir voyages payés pour services rendus .a la machine a pilule.