Source : Lematin
Les sénateurs ont rejeté ce mardi une motion demandant que les enfants nés en Suisse reçoivent automatiquement la nationalité helvétique. Ils ont renvoyé en commission un projet sur la naturalisation de la Genevoise Lisa Mazzone.
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Faut-il accorder plus facilement la nationalité suisse aux étrangers? Le Conseil des États devait répondre à cette question ce mardi via deux motions déposées le printemps dernier par le Paul Rechsteiner (PS/SG) et Lisa Mazzone (Verts/GE). Le premier demandait d’accorder le «droit du sol» aux étrangers. Selon lui, toute personne née en Suisse doit avoir droit au passeport suisse. La Genevoise souhaitait, elle,(t que la Confédération facilite la naturalisation des étrangers de la 2e génération.
«La Suisse est leur patrie»
Sans surprise, le Conseil des États a refusé par 29 voix contre 13, d’instaurer le droit du sol en Suisse. Pourtant, Paul Rechsteiner relevait que plus d’un quart de la population suisse ne dispose pas du passeport à croix banche, alors que nombreux sont ceux qui sont nés et ont grandi dans notre pays. «La Suisse est le pays où ils vivent et c’est leur patrie. Or acquérir la nationalité helvétique est souvent très difficile, même pour les personnes de la 2e génération, voire impossible pour certaines d’entre elles du fait d’un changement du lieu de domicile ou d’une dépendance des parents à l’aide sociale», a-t-il relevé. En outre, des raisons relevant de la démocratie et des droits de l’homme justifient que le droit du sol s’applique en Suisse aussi, comme l’avait d’ailleurs proposé le Conseil fédéral il y a un siècle, estimait-il.
Karin Keller-Sutter s’est opposée au projet. «Avec cette motion, c’est le lieu de naissance qui serait déterminant, comme aux États-Unis», a-t-elle relevé. «Or on sait qu’il y a beaucoup de gens et touristes qui se rendent aux USA pour que leurs enfants obtiennent la nationalité américaine lorsqu’ils viennent au monde», a-t-elle ajouté. Et la ministre de la Justice a mis en garde. «Avec le principe du droit du sol, la Suisse ne pourrait plus gérer elle-même l’immigration et surtout la naturalisation».
Nulle part ailleurs dans l’UE
Elle se refuse donc à tout automatisme: «Seules les personnes qui se sont intégrées avec succès doivent pouvoir obtenir la nationalité suisse», a-t-elle souligné. Sans oublier que les procédures de naturalisation sont aujourd’hui gérées par les cantons et les communes. Avec le «droit du sol», leur participation serait nulle et non avenue. Ils n’auraient plus rien à dire à ce sujet, a relevé Karin Keller-Sutter.
Elle a également souligné que la citoyenneté accordée uniquement sur la base du lieu de naissance n’existait dans aucun État de l’UE. «En règle générale, la condition est que les parents doivent avoir vécu dans le pays pendant une certaine période avant la naissance de l’enfant», a-t-elle expliqué en citant la Belgique, l’Allemagne, l’Irlande et le Portugal.
Encore une chance pour les étrangers de la 2e génération
Si les sénateurs ont refusé le droit du sol, ils ont tacitement renvoyé en commission la motion de Lisa Mazzone sur l’accès facilité au passeport suisse pour les étrangers de la 2e génération. La Genevoise y observait que malgré l’acceptation par le peuple en 2017 de faciliter la naturalisation des jeunes étrangers de 3e génération, les demandes de passeport suisse étaient en baisse. Ceci en raison de la loi qui, en 2018, est devenue très restrictive. Son texte sera donc traité en commission, avant de revenir devant le plénum.
La tactique habituelle très en vogue ces derniers temps (idem pour la politique Covid et co) : avancer deux sujets en même temps, l’un plus extrême et l’autre plus modéré. Le premier sera rejeté, ayant provoqué l’effet d’un tissu rouge et focalisé toute l’attention sur lui, ce qui permettra au second de passer discrètement. Une fois le bon peuple amadoué, on pourra bientôt reproposer le premier. En se focalisant sur la pilule à avaler, on en oublie les gros suppositoires qu’on s’apprête à nous administrer d’une main très souvent gauche…
une vache met bas dans une écurie, ça donne quoi?
Il y a des évidences comme ça qui font mouche 😉 :wpds_wink:
La gauche est tellement hors sol, on ne peut plus rien faire pour elle 😂
Cette Mazzone et d’autres comme Ada marra sont a elles-memes LA parfaite demonstration a quel point les critères de naturalisation devraient en tout urgence être renforcés plutôt que facilités en Suisse. On devrait cesser de distribuer ce précieux document a n’importe qui, surtout par a ceux qui n’en ont cure de la Suisse!
La Suisse irait tres bien sans faire entrer dans son sein des individus de ce genre, qui, en échange de tout ce que la Suisse a offert a eux et a leurs parents, lui crachent dessus et œuvrent sans cesse a la destruction des structures qui ont fait de la Suisse ce qu’elle est. Ce genre de personnage n’ont rien de Suisse, n’aiment pas la suisse, et n’auraient pas du se trouver en suisse.
Et Cesla Amarelle?
Toutes deux des islamo gauchistes, à virer le plus vite possible. Je ne peux piffrer ni l une, ni l autre.
Et une fois qu ils ont la nationalité suisse, ils pourront devenir criminels, plus d expulsion dans leur pays d origine, à moins qu ils soient doubles nationaux. Dans ce cas, destitution de la nationailté suisse et retour au bled avec la famille.
on voit bien les dérives de cette mesure humaniste en france; l’hopital de mamoudzou à mayotte est devenu la première maternité de france!
Article écrit par Yvan Perrin dans « lesobservateurs.ch ».
En Suisse ont née Suisse part le sang, c’est tous et c’es très bien, ma fille née d’une mère Francaise en France est une enfant Suisse de part mon sang elle en à acquis tous les privilèges dû au citoyens, grâce à ses racines liée a ses origine familiaux. faut pas poussé mémé dans les orties,